Récit D'Une Vie De Nuit - Chapitre 11

2012, Éric n’est toujours pas revenu, je perds espoir, mais bon les moments de divertissements sont réguliers. Un jour que je reviens de la ville, shopping, beauté, un coucou à Marc au bureau, j’ouvre ma porte et je vois un immense bouquet de rose posé sur la table basse du salon. Je me déchausse, me dirige vers le dressing pour le mettre à l’aise. Et au détour du rideau de la penderie, Éric est là. Je lui tombe dans les bras. Je l’embrasse à en perdre notre respiration. Je ne cherche même pas à savoir comment il est rentré. Je l’entraine dans la chambre. Nous passons le reste de l’après-midi entre le lit, le jacuzzi, les tabourets du bar. Evelyne nous rejoint. Nous sommes en tenue d’Adam et Eve. « Je prends ma douche et j’arrive !!! » nous cri Evelyne, je pousse Éric à la rejoindre. Pendant de temps, je mets en place une novelle bouteille de champagne, et faire chauffer quelques amuse-bouche. Réjouis Evelyne arrive nue. Elle ne me dit « alors pas belle la surprise ? », « Excellente, Merci. ».

Voilà donc Éric de retour, enfin devrais-je dire. Il va passer entre 3-4 jours environ une semaine sur deux en lorraine et ce pour au moins 2 ans. Très bonne nouvelle. Marc nous avait un peu snober car il entretenait une relation avec l’assistante de direction du cabinet d’avocat dont il est l’associé. Une femme stricte, très BCBG, mariée, mais qui est très ouverte d’esprit. Madame se rendait régulièrement dans un sauna de la ville pour satisfaire ces envies primaires. Marc à découvert son secret, en surprenant une conversation, très orienté sur un RDV arrangé. Curieux il l’a suivi et à découvert le lieu de RDV. Ils ont fait connaissance, alors qu’elle était en levrette, saillit à tour de rôle par 3 hommes présents. Marc en voyeur est invité à se faire du bien. C’est une fois retiré qu’il lui dit « on en parle demain ? ». Donc, c’est ainsi que cette « cougar », oui j’oubliais Elise avait 62 ans, était devenu une relation intime de Marc.

Le gérant du sauna l’invitait pour satisfaire des jeunes hommes. Jamais plus de 50 ans, pas moins de 18 ans. Marc aussi à découvert ce lieu, ces salons qu’affectionnaient Elise. Elle était souvent l’attraction du sauna. Elise est venue chez nous, profiter de nos plaisirs.

J’ai offert à Éric la possibilité de vivre chez moi, de coucher avec nous. Evelyne, Marc, Elise, Éric et moi formions bientôt un clan. Le sauna nous recevait agréablement, Elise nous faisait profiter de ces connaissances, nous jouions dans les salons, j’ai pris un certain plaisir à me laisser malmener, attachée, et autres caresses plus ou moins douces. Cela excitait beaucoup Éric.

Au grès de nos escapades libertines, Éric m’offrait des accessoires très ciblés, tenues, jouets sexuels, parements explicite, panoplie. Petit à petit, j’ai accepté de devenir un jouet pour Éric. Je portais des accessoires en son honneur, comme des plugs, en journée je ne sortais plus sans un rosebud. Éric un jour me demande de le rejoindre à son lieu de travail, seule. Dans un sms il me donne l’adresse et l’heure, il me dicte ma tenue, guêpière, bas, tanga noir en dentelle transparente, ma robe en cuir noir zippée (une robe qui une fois assise ne masquerais plus mes bas), mes escarpins de 10 cm, mon plug. Je suis surprise, demande des explications, pas de réponse.

J’arrive au lieu de rendez-vous, le restaurant n’est pas trop rempli, je suis accompagné par le serveur dans un coin esseulé. Éric me félicite, je m’assieds, nous prenons l’apéritif, un second, il glisse un papier, « Défi N°1 : retire ta culotte et pose-la à gauche de ton assiette ». Je regarde, un peu craintive. Je lui souris et m’exécute, je relève ma robe, et fait glisse mon morceau de dentelle le long de mes jambes, et la pose à gauche de mon assiette. Le serveur vient pour la commande, et souris à la vue du tissu posé sur la table. Nous mangeons, l’apéritif et le vin à table embrume mon cerveau, c’est à ce moment qu’Éric me glisse une boite, je l’ouvre, un œuf vibrant télécommandé, sur le mot, « Défi N°2 : habille ta chatte de ton nouveau jouet ». Je m’exécute, ma chatte est déjà humide cela facilite son introduction. Je confirme sa mise en place, c’est alors qu’Éric allume à distance cette merveille. Je tente de contenir mes gémissements et mes ondulations que provoque la montée de la jouissance. Il coupe, je descends en pression, il rallume. Le jeu se poursuit jusqu’à la fin de dessert.

Je laisse ma voiture au restaurant, Éric nous conduit dans un bar où nous attend un couple. Hélène et Vincent, couple que Éric a contacté sur un site. Vincent la cinquante naissante allure commune des hommes de 50 ans un peu enveloppé mais charmant, et Hélène une jeune femme d’à peine plus de 20 ans aux charmes affectionnés par Rubens, une généreuse poitrine qu’un chemisier aux boutons résistants semblait difficilement contenir. A son cou, un magnifique raz du cou, avec un anneau auquel pendait un cadenas en forme de cœur. Je saisi rapidement la relation entretenue par nos deux nouvelles connaissances. Nous faisons connaissance, de temps en temps Éric joue avec la télécommande. Nous prenons congé du bar, je remarque une chainette coincée dans la jupe d’Hélène. Sur le trottoir, Hélène tend cette laisse à Vincent. Un peu plus loin, il lui relève sa minijupe et nous découvrons deux anneaux qui transpercent ces lèvres et donc relié à la laisse, Vincent promène sa chatte.

Mal assurée sur mes 10 cm pour un si long périple, nous arrivons chez Vincent. Nous nous installons dans le salon, Hélène s’absente pour revenir dans une tenue plus en adéquation avec son statut. Un harnais de cuir couté, le raz du cou discret à fait place à un collier aux inscriptions « Salope et Soumise », le tout rehaussée par des talons aiguilles sur lesquelles elle semble très à l’aise. Elle arrive et s’agenouille auprès de son Maître. Il la caresse comme une chienne et lui pose sa laisse.

Éric expose avec Vincent son désir de me voir soumise, je suis surprise par cette envie, et qu’il ne m’en a pas parlé. Je les écoute. Il expose les défis que j’ai accepté. Éric m’oblige à me lever, et de dézipper ma robe et me la retire. Vincent demande de constater la présence du plug, Éric fait pivoter et me fait me cambrer. Le bijou vert émeraude est en place. Hélène aussi à le sien. Vincent nous invite à une visite de son donjon. Hélène, tenu en laisse nous accompagne. Il nous propose de regarder une petite séance. Hélène se trouve jambes écartées, mais croisé haut dans le dos. Sans ménagement, Vincent palpe ces seins, pince ces tétons, glisse sur son ventre, puis entre ces cuisses. Il tire sur les anneaux, décalotte son bouton et le pince. Hélène pousse un cri. Elle reçoit une gifle. Elle remercie son maitre. Il va récupérer un plug de forte taille. Il nous le montre, le prépare avec un préservatif, l’enduit de lubrifiant. Il pose le plug sur un tabouret et place Hélène à sa verticale. Il retire le rosebud et lentement la jeune femme plie les jambes, ton petit trou est en contact avec ce défonceur d’anus. Vincent nous explique que pour le moment elle n’arrive à rentrer que le premier niveau. Mais ce soir je veux qu’elle passe un étage. Vincent propose à Éric le même exercice. Éric att mon téton, et me traine vers un second tabouret, Vincent à installer le jumeau d’Hélène. Éric, vas-tu accepter mon 3ème défi ? Je le regarde, inquiète, mais excitée. Les doigts d’Éric passent sur ma chatte presque dégoulinante. Une noisette de lubrifiant sur le préservatif, et Éric en tirant mes tétons vers le bas me positionne. Je m’enfonce, le premier niveau passe aisément, j’ai rattrapé Hélène. Mon expérience, et mon amour de la sodomie et du sexe d’Éric me fait rapidement épouser le deuxième étage de la fusée. Éric sourit, Vincent constate mon évolution, le dernier étage semble résister, mais je parviens à le faire entrer jusqu’à l’étranglement et pose mes fesses sur le tabouret. Vincent felicite Éric d’avoir une femelle de mon gabarit.

Hélène poursuit sa pénétration mais abdique. Sans ménagement Vincent place Hélène dans un pilori au raz du sol, son cul est expose, je me tourne je sens l’objet en moi. Vinvent invite Éric à la punir. 10 coups de badine s’abattent sur ces belles fesses roses, très vite marquées pas des sillons rouges. Vincent avec l’autorisation d’Éric me relève du fauteuil, je n’arrive pas bien à me deplacer avec ce monstre dans mon fondement. Vincent me mets accroupi comme pour déféquer. Je pousse et l’objet sort en me dilatant et m’arrachant le cul. Je me retrouve en croix et entravé. Éric, guidé par Vincent, joue sur moi avec une cravache, maltraite mes seins, mon pubis et sans oublier quelques tape appuyer sur ma fente qui cette fois laisse échapper de mon nectar. Alors que je reste crusifier, Vincent propose de se servir de sa soumise. Éric me regarde et defait son pantalon, baisse son boxer, enfile sur son braquemard un préservatif. Accroupi, Éric entre dans sa chatte et lime. Vincent autorise Éric à enculer sa soumise, malgré la taille de son membre. Il ecarte ces fesses et debute cette sodomie. Hélène subit cet assaut et laisse échappé un cri, malgré le passage du plug précédemment. Éric s’enfonce, Hélène tourne la tête et fait signe non. Mais Vincent lui dit de faire honneur à son invité. Éric est à la garde, il reste planté, puis entame des va et vient. Éric se retire, Vincent libère sa soumise. A genoux, les yeux mouillée et le maquillage défait, elle recoit le nectar d’Éric. Vincent me détacher, me pose sur le chevalet et vient à son tour me prendre la dilatation du plug réduit le plaisir de son enculade. Lui vient se finir dans ma bouche, comme un echange de bon procédé. Hélène nous accompagne à la douche, retire son harnais, s’agenouile dans la douche, Vincent, Éric et moi nous nous déhabillons. La douche coule, Vincent urine sur Hélène, je regarde Éric je lui souris, j’adopte la meme position, et presque immédiatement un jet chaud m’arrose, j’ai envie de jouir. La soirée prend fin, nous nous rhabillons, Éric m’impose de me plugger et de remettre mon œuf. Nous recupérons nos voitures et rentrons chez moi.

Evelyne dort profondément, nous choisissons la chambre d’ami. Je m’endors dans ces bras. La nuit est animée de pensées plus cochonnes les unes que les autres. Merci Éric, Vincent et Hélène. Je crois que c’est la qu’ai né mon désir de soumission.