Mon Premier Garçon

On est un peu timide quand on est pour la première fois auprès d’un premier garçon dans un grand lit d’été au soleil cassé de volets provençaux à l’heure de sieste.
Un peu timide un peu intimidée, le corps léché des rayons de soleil tamisés des persiennes vertes fermées.
On a la touffe un peu jeune un peu sauvage sombre frisée et on a un peu honte à devoir présenter son trésor en telle friche. On pense, que va-t-il penser…
On se dit la prochaine fois et on pense déjà à la prochaine alors qu’on a pas même encore vécu la première.
Et pourtant la première fois, c’est important ça, la première fois…
Bien plus que les suivantes, non ?

Moi j’étais tout étonnée de me retrouver là sur ce lit provençal.
C’est vrai que je l’avais tant révé tant espéré ce moment-là … que j’en étais presque en confiance en situation de coutume d’habitude.

En sus ce garçon était diablement caressant et ses mains étaient douces et parcouraient mes cuisses avec légèreté sous la robe de cotonnade. Je voyais très exactement où il voulait en venir et ma culotte n’était pas un obstacle bien sérieux à ses explorations.
Et il me souriait et puis moi aussi je riais, j’étais heureuse. Nous savions l’une et l’autre l’aboutissement. Et ça nous plaisait bien.

Encore que moi, toute pucelle, je ne savais pas grand chose. Mais j’avoue que je me doutais un peu…

Il a pris ma main et l’a posée sur lui. Sur son jean. Moi j’en révais de la bosse de sa braguette. Pensez bien que je n’ai pas dit non.

La bosse était dure.

Et en plus elle vibrait.

Moi j’ai toujours été intéressée par la bosse de la braguette des garçons. Enfin intéressée à regarder. Pensez si j’étais contente d’avoir enfin opportunité de toucher…
La bosse on sentait bien qu’elle grandissait qu’elle devenait dure quand par exemple en boum le garçon vous serrait pour un slow.
Et puis les copines racontaient.



Moi depuis longtemps je matais les jeans des garçons côté braguette. Je savais ceux qui portaient à droite et ceux qui portaient à gauche. J’ai toujours été un peu coquine.


J’ai pensé là sur ce lit je risque de froisser ma robe. Alors j’ai lâché la bosse du jean et j’ai bondi debout pour quitter. La robe était en petit tas sur mes pieds. Je l’ai pliée proprement sur le dossier d’une chaise. Mes seins pointaient de leurs tétons dressés, nus sur mon poitrail, car je ne porte ni brassière ni soutien-gorge tant je suis jeune et tonique.
Ma culotte blanche à fines côtes emballait chastement mon pubis déjà très velu et heureusement rien ne dépassait de la charette. Le fond tout simple sans gousset ni rien dessinait mon abricot charnu et les plis nouveaux des tendres chairs ourlées qui en sortaient depuis ma récente mue en jeune fille.

Je me suis recouchée auprès du garçon et ma main, qui y avait été préalablement dûment autorisée, est revenue en coque sur la braguette tendue. Il souriait en matant ma culotte et puis il a chanté quand j’ai posé ma main sur lui.

J’étais contente car manifestement son appareil sous ma main était bien plus développé que ceux que j’avais plus ou moins entre-aperçus chez mes copains d’antan. Et sa dureté me semblait bien plus sérieuse que celle des organes des petits cons qui se pressaient contre mon pubis en boum de samedi soir de frotti-frotta.
D’autant que je n’étais pas totalement oie blanche et savais un peu quel en était l’usage et connaissais, par ouïe dire, la suite des opérations. Mais par ouïe dire seulement.


Les copines parlaient beaucoup de fellation.
Moi je pensais bisoux, sans la langue ou même peut-être avec la langue, quand on connaissait le garçon depuis longtemps et qu’on avait réciproquement du sentiment.
Mais au collège en récré les filles ne parlaient que technique de pipage. Alors nous savions le vocabulaire. Le gland, le canal coronarien, le prépuce, le frein, la hampe, le méat, les testicules, le scrotum, les roupes, le liquide préséminal, le sperme et ses 250 millions de spermatozoïdes en vagues d’assault, et j’en passe…

Les copines étaient grandes spécialistes en pipes et autres suçâges des bites de garçons.
Et moi, comme conne blonde que j’étais, comme je vous l’ai dit plus haut, j’étais encore oie blanche.

Mais qui ne demandait qu’à apprendre…

En la circonstance j’avais pour la première fois de ma courte vie de gamine une bite en paume et ne savais pas bien quoi en faire.
En sus elle n’était pas mal cette bite-là. Chaude dure longue et vibrante. En plus le gars me plaisait bien et j’étais même un peu amoureuse. Statut qui facilite assurément les relations. Surtout ce genre de relations là.

Vu que j’étais assez dévêtue, le mec se considérait comme en pays conquis et prétendait, sans même avoir encore dégagé son bitos personnel, brouter ma chatoune. Il avait la tête entre mes cuisses et cherchait de ses lèvres prégnantes à bouffer mes circonvolutions à travers le tissu finement cotelé de ma culotte Petit Bateau.

J’ai dit halte à tout en référence à l’album Belle de Mai de Renaud. Renaud, le chanteur, Renaud le poète, c’est quand qu’on va où ?

Il n’a rien dit mais il a tombé son jean son T-shirt et son slip et il a été tout nu dans mes bras et moi j’ai bien aimé ça.
Sa bite était grande, très grande et juste j’ai pensé si je prends ça à fond dans l’abdomen, sûr qu’il va me faire un .
Faudrait quand même voir à s’en garder…

Le gars était caressant et il m’a caressé. C’était hyper bien.
Surtout sur les fesses.
Enfin pour vous dire que j’ai bien aimé. Surtout les trois doigts dans le velu trempé, par derrière.

Moi je ne l’ai pas sucé vu que malgré les cours particuliers des copines au réfectoire du collège, je n’avais pas encore intégré la technique. Mais j’ai joyeusement trituré le gland et ses acolytes et que cela a semble-t-il eu bon effet de gicle dans mes deux paumes, accueillantes en la circonstance.


Bon enfin voilà, vous savez tout de ma première avec un garçon, mon premier garçon.

Et bien c’était bien.

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