Mon Premier Garçon
On est un peu timide quand on est pour la première fois auprès dun premier garçon dans un grand lit dété au soleil cassé de volets provençaux à lheure de sieste.
Un peu timide un peu intimidée, le corps léché des rayons de soleil tamisés des persiennes vertes fermées.
On a la touffe un peu jeune un peu sauvage sombre frisée et on a un peu honte à devoir présenter son trésor en telle friche. On pense, que va-t-il penser
On se dit la prochaine fois et on pense déjà à la prochaine alors quon a pas même encore vécu la première.
Et pourtant la première fois, cest important ça, la première fois
Bien plus que les suivantes, non ?
Moi jétais tout étonnée de me retrouver là sur ce lit provençal.
Cest vrai que je lavais tant révé tant espéré ce moment-là
que jen étais presque en confiance en situation de coutume dhabitude.
En sus ce garçon était diablement caressant et ses mains étaient douces et parcouraient mes cuisses avec légèreté sous la robe de cotonnade. Je voyais très exactement où il voulait en venir et ma culotte nétait pas un obstacle bien sérieux à ses explorations.
Et il me souriait et puis moi aussi je riais, jétais heureuse. Nous savions lune et lautre laboutissement. Et ça nous plaisait bien.
Encore que moi, toute pucelle, je ne savais pas grand chose. Mais javoue que je me doutais un peu
Il a pris ma main et la posée sur lui. Sur son jean. Moi jen révais de la bosse de sa braguette. Pensez bien que je nai pas dit non.
La bosse était dure.
Et en plus elle vibrait.
Moi jai toujours été intéressée par la bosse de la braguette des garçons. Enfin intéressée à regarder. Pensez si jétais contente davoir enfin opportunité de toucher
La bosse on sentait bien quelle grandissait quelle devenait dure quand par exemple en boum le garçon vous serrait pour un slow.
Et puis les copines racontaient.
Moi depuis longtemps je matais les jeans des garçons côté braguette. Je savais ceux qui portaient à droite et ceux qui portaient à gauche. Jai toujours été un peu coquine.
Jai pensé là sur ce lit je risque de froisser ma robe. Alors jai lâché la bosse du jean et jai bondi debout pour quitter. La robe était en petit tas sur mes pieds. Je lai pliée proprement sur le dossier dune chaise. Mes seins pointaient de leurs tétons dressés, nus sur mon poitrail, car je ne porte ni brassière ni soutien-gorge tant je suis jeune et tonique.
Ma culotte blanche à fines côtes emballait chastement mon pubis déjà très velu et heureusement rien ne dépassait de la charette. Le fond tout simple sans gousset ni rien dessinait mon abricot charnu et les plis nouveaux des tendres chairs ourlées qui en sortaient depuis ma récente mue en jeune fille.
Je me suis recouchée auprès du garçon et ma main, qui y avait été préalablement dûment autorisée, est revenue en coque sur la braguette tendue. Il souriait en matant ma culotte et puis il a chanté quand jai posé ma main sur lui.
Jétais contente car manifestement son appareil sous ma main était bien plus développé que ceux que javais plus ou moins entre-aperçus chez mes copains dantan. Et sa dureté me semblait bien plus sérieuse que celle des organes des petits cons qui se pressaient contre mon pubis en boum de samedi soir de frotti-frotta.
Dautant que je nétais pas totalement oie blanche et savais un peu quel en était lusage et connaissais, par ouïe dire, la suite des opérations. Mais par ouïe dire seulement.
Les copines parlaient beaucoup de fellation.
Moi je pensais bisoux, sans la langue ou même peut-être avec la langue, quand on connaissait le garçon depuis longtemps et quon avait réciproquement du sentiment.
Mais au collège en récré les filles ne parlaient que technique de pipage. Alors nous savions le vocabulaire. Le gland, le canal coronarien, le prépuce, le frein, la hampe, le méat, les testicules, le scrotum, les roupes, le liquide préséminal, le sperme et ses 250 millions de spermatozoïdes en vagues dassault, et jen passe
Les copines étaient grandes spécialistes en pipes et autres suçâges des bites de garçons.
Mais qui ne demandait quà apprendre
En la circonstance javais pour la première fois de ma courte vie de gamine une bite en paume et ne savais pas bien quoi en faire.
En sus elle nétait pas mal cette bite-là. Chaude dure longue et vibrante. En plus le gars me plaisait bien et jétais même un peu amoureuse. Statut qui facilite assurément les relations. Surtout ce genre de relations là.
Vu que jétais assez dévêtue, le mec se considérait comme en pays conquis et prétendait, sans même avoir encore dégagé son bitos personnel, brouter ma chatoune. Il avait la tête entre mes cuisses et cherchait de ses lèvres prégnantes à bouffer mes circonvolutions à travers le tissu finement cotelé de ma culotte Petit Bateau.
Jai dit halte à tout en référence à lalbum Belle de Mai de Renaud. Renaud, le chanteur, Renaud le poète, cest quand quon va où ?
Il na rien dit mais il a tombé son jean son T-shirt et son slip et il a été tout nu dans mes bras et moi jai bien aimé ça.
Sa bite était grande, très grande et juste jai pensé si je prends ça à fond dans labdomen, sûr quil va me faire un .
Faudrait quand même voir à sen garder
Le gars était caressant et il ma caressé. Cétait hyper bien.
Surtout sur les fesses.
Enfin pour vous dire que jai bien aimé. Surtout les trois doigts dans le velu trempé, par derrière.
Moi je ne lai pas sucé vu que malgré les cours particuliers des copines au réfectoire du collège, je navais pas encore intégré la technique. Mais jai joyeusement trituré le gland et ses acolytes et que cela a semble-t-il eu bon effet de gicle dans mes deux paumes, accueillantes en la circonstance.
Bon enfin voilà, vous savez tout de ma première avec un garçon, mon premier garçon.
Et bien cétait bien.
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