Collection Cocu. Une Affaire De Pompiers (1/1)

Plantons le décor.
Deux villes moyennes du centre de la France distantes de 12 kilomètres.
Deux centres d’interventions des pompiers.
Les miens plus importants que l’autre que je dirige étant capitaine des pompiers.
J’ai commencé ma carrière aux pompiers de Paris où j’étais le roi de la planche.
Ceux d’entre vous qui connaissez savent que c’est l’un des principaux outils que nous avons pour contrôler la condition physique des sapeurs homme comme femme.
J'ai comme second un adjudant, des sergents et de simples sapeurs et des volontaires qui travaillent dans nos villes et peuvent intervenir à tout moment grâce à des bips qu’ils ont en permanence sur eux quand ils sont d’astreinte.

L’autre ville un centre géré par un lieutenant avec un sergent pour la seconder.
La seconder car ce lieutenant est une femme qui plus est ma femme.
Nous nous sommes rencontrés dans les premiers jours de mon installation en remplacement d’un vieux commandant partant à la retraite.
Cette belle femme est tombée dans mes filets rapidement, elle était belle et j’ai constaté rapidement côté sexe elle aimait beaucoup ça.
12 kilomètres entre les deux centres et une vieille maison que je retape à mis distance dans un hameau dépendant de ma commune.

Comme me l’avait dit un officier aux pompiers de Paris avant que je passe mes diplômes pour devenir officier.

« Chaque putain dans son bordel et les vaches seront bien gardées. »

J’avais répliqué que si j’étais une putain, j’étais dans mon bordel et que je savais garder mes vaches.
Je me suis retrouvé au rapport pour réponse mal placé à un supérieur qui risquait de laisser là ma carrière chez les pompiers.
Par chance un autre supérieur a témoigné en ma faveur, ayant été agressé verbalement et ayant répliqué verbalement moi aussi.
Comme il s’agissait d’un gradé influent, ils ont écrasé l’affaire.
Ça m'a servi de leçon et dès que j’ai vu la situation avec Gladys, je me suis bien gardé de m’occuper des affaires du centre qu’elle gérait.


Mariés par amour deux s et chacun son centre.

Un jour nous recevons un appel.

« Début d’incendie dans la ferme d’Albert. »

Avec les renseignements, mais je connaissais déjà car cette ferme entrepose des engrais chimiques hautement inflammables.
J’avais déjà fait un rapport trouvant que le bâtiment où ils étaient entreposés était près du stockage des bottes de foin.
J’ai demandé une bouche plus proche de cette ferme car depuis la dernière inspection le nombre d’animaux avait beaucoup augmentée.
Là c’est plus certain que des années seront nécessaire pour avoir une nouvelle bouche.
Albert avait fait une nouvelle stabulation plus moderne pour ses vaches à lait.
La lenteur de l’administration a fait que l’instruction de ma demande est en cours.

Il venait d’avoir un orage aussi nous sommes partis avec les deux sapeurs étant sur place avec le fourgon de première intervention.
En arrivant c’était bien le hangar à pailles et foins qui avaient pris feu.
Certainement la foudre.
J’ai tout de suite vu le niveau de l’intervention en bon professionnel et j’ai rameuté toute ma caserne.
Mon tanker à eau est vite arrivé car la distance avec la bouche la plus proche posait un problème comme je l'avais signalé.
J’ai aussi déclenché des renforts de centres voisins car la fumée devenait importante.
C’est Gladys qui devait venir rapidement.
J’ai concentré mes efforts sur le hangar à engrais bien plus dangereux que des bottes de foin.
J’ai vu arriver son centre de secours mais dirigé par le deuxième sergent venant juste d’avoir ses galons.

- Capitaine, j’ai attendu au maximum votre femme et Lionel mon copain.
Voyant leur absence, j’ai pris les choses en main et me voilà avec 10 de nos pompiers.
- On verra le problème des absences plus tard.
Je vois votre fourgon-pompe.
Le nôtre est presque vide, souvenez-vous du dernier exercice que nous avons faits avec les deux centres.

La bouche d’incendie est vers là-bas au bord de la route.
Prenez deux gars avec vous et faites une rotation pour remplir ces cuves roulantes, je garde les autres sapeurs.

Il y avait une demi-heure quand Gladys est arrivée en tenue avec notre deuxième voiture.

- Excuse, mon bip était en panne de batterie quand je l’ai vu je l’ai changé et je l’ai remis en service voyant l’appel me voilà.

Des pannes de batteries avec nos bips ça arrive, c’est pour ça que nous les contrôlons souvent.
Je lui demande de s’occuper comme elle le peut du foin car entre-temps la caserne de la ville principale du département arrive en renfort.

- Pardonnez-moi, je suis allé au supermarché en urgence pour ma fille et j’avais laissé mon bip dans ma voiture.
Me voilà.

Là encore il y avait plus urgent que ce problème de bip oublié dans sa voiture, nous continuons le combat en coordination avec la gendarmerie qui contient les badauds inconscients que ces fumés sans être mortelles peuvent engendrer des problèmes aux poumons.
Par chance le hangar à engrais reste en l’état malgré la température montant régulièrement.
On va battre ce feu.

Je m’appelle Gladys, je suis la femme de Régis capitaine des pompiers.
Je suis moi-même lieutenant ayant fait mes classes voulant être pompier.
Je viens de faire une connerie.
De fait, ça fait six mois que j’ai fait la connerie à éviter de faire, étant mariée.
J’ai fait cocu Régis avec Lionel l’un des sergents de notre caserne.
Il faut dire que Régis a tendance à me délaisser moi qui suis très portée sur le sexe.
Ses fatigues et autres migraines devenaient de plus en plus fréquentes.
Alors quand il y a six mois je réglais des problèmes administratifs, quand Lionel est venu derrière moi finissant par me caresser un sein j’ai flanché.
C’est sur le bureau qu’il m’a pénétré m’apportant une jouissance déjà connue mais satisfaite de la retrouver même avec une autre queue.

Quand il m’a rempli le vagin dans un dernier orgasme, je pensais que nous allions en rester là.
Je me suis relevée avec une courbature dans le dos, mais il avait encore des envies et c’est dans ma bouche qui l’a remise afin que je l’aide à rebander.
Appuyée les mains sur mon siège, il m’a sexé une nouvelle fois passant par-derrière.
Non, dans ma chatte, mon anus c’est tout à l’heure qu’il m’a sodomisée.
J’aimais ce qu’il me faisait mais les occasions étaient rares.
Il est dur de trouver un motif pour profiter d’une queue quand on est marié et que nous faisons le même métier même si c’est dans deux casernes différentes.
Quand on a appelé Régis pour une intervention, je savais qu’il en avait pour des heures car comme officiers après les interventions c’est nous qui montons les rapports.
J’ai hésité mais loin de moi l’idée qu’il puisse nous appeler en renfort j’ai appelé Lionel qui habite à 2 kilomètres de chez moi.
De toute façon j’avais mon bip et pendant tout le temps où nous avons baisé dans la chambre de ma fille voulant éviter le lit conjugal, j’ai pris un pied extraordinaire.
Comme je l’ai dit, il voulait mon cul chaque fois que nous nous croisions et je lui avais promis de lui offrir la fois où nous serions seuls.
Ayant repris mes esprits l’instinct a fait que j’ai contrôlé mon bip constatant la panne de batterie.
Lionel à chercher le sien et a constaté qu’il l’avait laissé dans sa voiture.
Voulant remettre le couvert car il avait seulement débandé de moitié, il est allé le chercher nu avant de revenir ayant constaté l’appel de la caserne.
C’est moi qui ai échafaudé le plan, mentant par moitié j’avais bien eu une panne de batterie du bip.
Lui aussi car il avait bien laissé le sien pressez de venir me défoncer.

Arrivé sur place tout ce que nous avions à faire à occulter notre absence avec notre retour l’un après l’autre.
Nous arrivons avec l’aide de la caserne principale à circonscrire le sinistre même si tous le foin a brulé.


Ouf, ça été dur, mais nous avons réussi à circonscrire le sinistre sauf le foin mais ça ç’a s’arrange avec les assurances.
Je viens d’enlever mon casque, Gladys aussi.
Pierre un lieutenant de gendarmerie vient vers nous en toute innocence.

- Dite, les amis quand vous êtes chez vous, évitez de sortir à poil ça déplait à Germaine votre vieille voisine.
Je sais ce que sait, je suis naturiste avec mon épouse.
Mais quand on a encore la trique comme tu l’avais ça fait désordre.
Je classe l’affaire, quand vous la verrez allée vous excuser.

J’ai regardé Gladys qui a baissé la tête.
Dans les jours qui ont suivi j’ai divorcé.
J’ai la garde des s elle les a deux week-ends par mois.
Les pompiers eux aussi ont fait une enquête sur les retards de ma femme et de son amant.
Ils ont eu un blâme car j’ai intercédé en leur faveur ce sont de très bon pompier et les volontaires sont de plus rares.
Ça a eu une conséquence, là encore avec mon accord.
Le centre de Gladys a fermé et tous les sapeurs et matériel m’ont été rattachés.
Lionel vit avec elle et depuis toutes ces transformations l’histoire en est restée là.

Et moi direz-vous, j’ai par négligence laissé tomber ma femme.
C’est vrai, c’est pourquoi j'aie évité de les enfoncer.
J’étais cocu par négligence.
Mais je suis toujours beau gosse, pour preuve, une jeune femme vient d’intégrer notre caserne ayant fini sa formation.
Nous sommes dans un restaurant où de nombreuses personnes nous salut.

Quand nous aurons bu notre café, je connais déjà la question que je vais lui poser.

« Chez toi ou chez moi. »

Mes s sont chez les parents.
Qu’importe sa réponse depuis mon divorce ma queue est restée vierge de toutes chattes que j’aie eues à ma disposition.
Je sais plus de 10 ans d’écart et alors une chatte est une chatte et ce soir nos bips sont restés à la caserne avec l’accord de mon adjoint le lieutenant Gladys.

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