Isabelle : Une Grosse Veuve Catho Branle Ses Petits Vieux. (1Ère Partie)

Suite à mon profil sur le site HDS, une jeune femme que j’appellerai Julie était à la recherche d'un auteur susceptible de mettre en scène sa mère dans des histoires érotiques, sans rapport avec l'e, le S.M, le crade, la pédophilie. Concernant les récits, elle ne désirait pas être incluse dans les histoires, pareillement pour l’auteur qui accepte de mettre en œuvre ses fantasmes, je devais être le narrateur, extérieur à l'histoire, sans me projeter dans l'un des personnages. Elle était toute émoustillée par les récits mettant en scènes sa mère avec des hommes, femmes, couples, d'origine maghrébine ou africaine, et bien plus âgés qu'elle. Voilà ce que j’ai écrit :

Isabelle était une veuve exemplaire de 56 ans, très prude et une bonne catholique pratiquante. Elle était une des bénévoles dans une association spécialisée dans l’intervention auprès des personnes âgées. Ces visites de convivialité auprès des personnes souffrant d’isolement, avaient pour objectif de leur tenir compagnie un moment, elle aimait en particulier leur faire la lecture de livres ou de magazines suivant leurs désirs. Elle recréait des liens permettant à ces personnes âgées de retrouver une certaine dynamique. De partager des expériences, de retrouver la joie, le bien être, la liberté de leur choix, oser réaliser ses rêves, oser se projeter à nouveau. Enfin vivre, tout simplement.

Une visite par semaine leur permettait déjà de rompre pendant un temps leur solitude et d'avoir un peu de conversation ou de pouvoir sortir se promener, des choses simples qui leur changeaient la vie en maison de retraite médicalisée. Beaucoup d’entre elles, souvent des hommes étaient issues de l'immigration. Ces hommes seuls, isolés, aimaient recevoir sa visite et son contact social. Elle entendait dire très souvent « J’aimerais tant me retrouver comme avant. »

A chaque visite, elle s’inquiétait de la santé de ses petits « vieux » en leur disant : « Vous ne buvez pas assez, vous n’avez pas trop chaud ? » Après les banalités d’usages, la discussion dérivait sur des sujets plus personnels.

Elle était à l’écoute, patiemment de ses amis, car oui, ils étaient ses amis. Ils lui racontaient leur vie. Entre autres, ses trois préférés étaient des hommes : Rachid un célibataire sans s de 77 ans qui, aujourd’hui, se retrouvait seul, mais gardait le sourire. Mohamed, ce veuf de 75 ans qui lui, avait un fils et une petite-fille de 24 ans. Malgré qu’ils lui rendissent souvent visite, il se sentait seul, et surtout, se sentait vieillir. Le dernier papi d’Isabelle, c’était Hassan, qui voulait qu’elle l’appelle par son prénom, il voulait qu’elle le tutoie. Ce tunisien de 73 ans fumait encore un paquet de cigarettes par jour, malgré la maladie. Cet homme était devenu son favori, l’homme avec lequel elle prenait réellement plaisir dans tous les sens du terme.

En effet, ça faisait plus d’un an qu’Isabelle le connaissait, un après-midi, elle faisait la lecture du Coran à Hassan, lorsque dans un passage sentimental, elle repensa à son défunt mari, quelques larmes coulaient sur les joues de la lectrice. Hassan la voyant ainsi lui dit :
— Tu mérites tant de caresses Isabelle, je vois que tu manques de tendresse et d’amour depuis la disparition de ton mari. Viens là ! Approche.

Il lui prit la main et l’attira, il déploya sa grande carcasse et l’avait prise dans ses bras. Faisant 20 cm de plus qu’elle, la tête d’Isabelle reposait sur son torse. Il lui caressa le visage et lui essaya, de son index replié la larme qu’elle avait encore sur la joue et releva son visage par le menton et lui déposa un tendre baiser sur ses lèvres humides.
— Merci Hassan, tu es le premier homme à m’embrasser depuis la mort de Jean-Paul.

Il l’enlaça et lui passait les mains tendrement sur ses larges épaules et sur son dos, elle ressentit un plaisir immense, elle ne s’imaginait plus combien cela était nécessaire de se sentir aimer. Lorsque les mains d’Hassan s’attardaient sur sa large croupe, elle tressaillit de bonheur, elle ne pensait plus à rien, elle ferma les yeux en se laissant emporter dans les cajoleries qui la rendait heureuse.
Néanmoins, après quelques minutes, lorsqu’elle avait senti l’érection de la verge d’Hassan prendre forme contre son ventre, elle eut une certaine appréhension et se recula en disant :
— Je crois que nous devrions nous arrêter là, Hassan.
— Laisse-toi aller... Prends le bonheur lorsqu’il est possible d’en avoir.

Isabelle l’entoura et le serra encore un peu plus contre elle, le sexe plaqué contre son ventre l’embrasait fortement et entièrement. Elle ne pouvait croire qu’elle serait encore capable d’apporter autant d’excitation à un homme, à ce point. Sa verge devait être à son paroxysme, elle était un exemple de dureté. Hassan bandait pour elle, il lui prit la main et l’emmena vers le lit où ils se mirent assis côte à côte. Leur main avait changé d’endroit, elles étaient chacune posée sur le sexe de leur partenaire.

Sans tabou, Isabelle enleva le pantalon d’Hassan se mit à genou devant lui et le masturba, jusqu’à l’éjaculation. Il râla de plaisir lorsque les jets de son sperme sortirent par saccade et atterrirent sur les cuisses dénudées d’Isabelle. Elle se releva et vint l’embrasser sur la bouche en le serrant par le cou :
— Merci Hassan, j’espère que je t’ai donné beaucoup de plaisir.
— Tu as été magnifique... C’est moi qui te remercie mais je suis un peu déçu que tu n’en aies pas pris.
— Mon bonheur est de t’avoir en ami, la prochaine fois peut-être. Ça fait tellement longtemps, que j’ai oublié ce que cela faisait. Je reviens dans une semaine, gros bisou Hassan.

Il était déjà l’heure, elle devait passer rendre visite à Mme Durand lui faire sa lecture. En rentrant à la maison, Isabelle était encore très émoustillée de la petite aventure dévergondée qu’elle avait vécu cet après-midi. Cela faisait une éternité qu’elle ne s’était masturbée mais avait un tel désir qu’elle n’hésita pas une minute pour se déshabiller et d’aller dans la baignoire où elle s’était caressée en pensant à Hassan et son sexe en pleine érection.


Depuis ce jour, toute les semaines, l’heure qu’elle lui accordait n’était que baisers, tendresses et caresses jusqu’à la jouissance. Ni l’un, ni l’autre ne pouvait affirmer qu’ils s’aimaient mais ils se sentaient bien ensemble et leur relation sexuelle sans pénétration faisait partie de leur petit jeu secret. Ils intervertissaient, une fois sur deux, elle lui donnait son plaisir manuellement en lui caressant délicatement la verge de ses mains, en prenant le maximum son temps, ses doigts se promenaient sur le gland démuni de prépuce, lui excitant la couronne, lui faisant monter au fur et à mesure sa queue veineuse pour finir en lui masturbant la hampe de sa main pendant que l’autre lui prodiguait des attouchements et des pressions légères des testicules, jusqu’à l’éjaculation. Elle prenait ensuite le soin de le nettoyer puis ils s’allongeaient tous les deux l’un contre l’autre en s’embrassant.

La semaine suivante, Hassan s’occupait d’elle entièrement, elle était nue sur le lit pendant qu’il la couvrait de baisers sensuels, il caressait sa forte poitrine en insistant sur les tétons qu’il prenait entre ses dents puis il descendait progressivement sur les bourrelets de son ventre qu’il massait tout en s’arrêtant sur les poils pubiens qu’elle entretenait beaucoup plus que précédemment. Lorsque l’excitation était à son comble, il plongeait sa bouche au contact de son vagin pour promener sa langue à l’intérieur de sa vulve puis léchait et aspirait le clitoris qu’elle offrait à son partenaire.

Ses doigts délicats pénétraient aussi bien dans sa chatte enflammée et trempée que dans son anus, elle avait appris avec lui, que le ou les doigts enfoncés dans ce sens interdit lui procurait beaucoup plaisir. Si dans les premiers temps, elle ne jouissait que très peu, dorénavant, une fois conditionnée, elle devenait accroc à ses caresses buccales et ses doigtés précis et prenait désormais son pied en lâchant quelques ruissèlements qu’Hassan affectionnait.


En même temps, à quelques kilomètres de là, l’avenir d’Ahmed, se jouait. En effet, lui et son épouse Inaya était un couple marocain qui vivait en France depuis 1965 après les émeutes de Casablanca. Ils étaient âgés d’une vingtaine d’années à cette époque. Il avait travaillé toute sa vie, jusqu’à sa retraite dans le bâtiment où il avait gagné sa vie difficilement mais grâce à leurs sacrifices et à la religion musulmane, ils avaient pu vivre sereinement et élever leurs cinq s dans le respect et le devoir. Ahmed et Inaya s’aimaient et s’aimeront toujours.

Très croyant Ahmed n’avait jamais trompé sa femme comme le Coran le spécifiait. Pourtant au fur et à mesure de la vie, sa dévouée Inaya qui était une superbe jeune fille était devenue au fil des ans, après plusieurs accouchements, une femme forte, voire même très forte. Lui ayant un membre entre les jambes hors norme, avait besoin de s’en servir et de l’utiliser très souvent.

Néanmoins, pour Inaya la panne de désir était là, les relations sexuelles étaient au cœur de la bonne entente des couples. Malheureusement, elle se sentait coupable de ce manque de désir qu'elle éprouvait envers son conjoint : « Si je ne le satisfais pas, il ira voir ailleurs, je « dois » lui faire plaisir... Je dois avoir un problème... » En somme, elle ne s'en sortait pas. Sa culpabilité engendrait un stress et une pression qui étaient loin d'améliorer son problème.

Depuis son dérèglement hormonal dû à ses grossesses et à la ménopause, sa maladie rénale et sa mauvaise forme physique dû à son surpoids, ce manque de désir était devenu permanent et constant. Elle était partagée entre le travail, les s, le ménage, la cuisine et les courses, cela faisait malheureusement passer sa vie sexuelle en dernière priorité. Il lui restait un peu de temps, après 23 h, mais elle était si fatiguée que lors de ses rapports sexuels obligatoires, voire s pour le maintien de la forme de son mari, Inaya souffrait le martyre, lors de la pénétration de la verge énorme (25 cm) d’Ahmed. Le lubrifiant qu’elle glissait à l’intérieur de son sexe, ne compensait pas sa sécheresse vaginale et rendait l’acte sexuel très douloureux au passage de la grosse et longue queue de son mari.

Ahmed bandait trop souvent pour Inaya, dès qu’il voyait à la télévision une nana séduisante, il avait envie de se masturber. Ne voulant pas le faire en solitaire, il invitait sa dévouée à l’aider à se soulager. Elle était donc obligée de lui faire l’amour dans la bouche, entre les seins ou à la main. Cela le calmait car malgré son âge bien avancé, sa longue et grosse queue ne réduisait pas de volume, contrairement à son corps qui perdait ses muscles au fur et mesure des années.

Quoiqu’il en soit, les samedis après la troisième prière de l’après-midi : « Asr » constitué de quatre rakkats, lue à voix basse, c’était le jour du coït, avant la quatrième prière du coucher du soleil « Maghreb ». Il fallait donc que ce jour-là, il enfonce son phallus hors norme entre les grandes lèvres sèche d’Inaya, qu’il glisse son gland de 6 cm de diamètre dans sa vulve et fasse coulisser plusieurs fois, sa longue hampe dans sa chatte pour y déverser jusqu’ 7 millilitres de son sperme.

Malheureusement, à l’âge de 73 ans, Ahmed étant sourd, suite à ses nombreuses heures passées au marteau piqueur, devint également mal voyant suite au diabète. Le maintien à domicile d’Ahmed n'était plus possible, ou plus souhaitable. La décision du placement en institution se révéla très pénible à prendre, pour Inaya, ses s comme pour lui. Après une chute dans leur appartement alors qu’Inaya était en course, le médecin lui dit que son environnement ne répondait plus à ses besoins et en tant qu'aidant, son épouse avait atteint ses limites. Ahmed se trouvait actuellement dans une chambre en maison médicalisée.

Isabelle arrivera-t-elle à satisfaire sexuellement cet homme au membre démesuré ? Nous le saurons dans la seconde partie.

Si comme Julie vous avez envie de raconter vos histoires de sexe, contactez-moi par Email.

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