Médecin Remplaçant Partie 8: Dîner D'Initiation (2/2)
Voici enfin la suite des aventures de Nemanja. La relation avec Mme Corbois prend une tournure des plus...inattendues. N'hésitez pas à me faire part de vos remarques en commentaires et à me contacter si vous souhaiter échanger davantage. Bonne lecture!
Bien. Allons diner. Je meurs de faim.
Je ramasse mon pantalon et commence à lenfiler, mais Mme Corbois minterrompt dun ton autoritaire.
Non. Je veux que tu restes nu. Je veux pouvoir admirer ton corps déphèbe pendant que je me restaure.
Daccord, dis-je en abandonnant mon pantalon.
Vlan ! La main de Mme Corbois vient gifler ma joue déjà rosie par les claques précédentes.
Quest-ce que je tai dit ? Tu ne me réponds pas sur ce ton.
Pardon, maîtresse.
Cest mieux.
Elle empoigne mon sexe tendu et violacé et me force à la suivre jusquà la salle à manger. Cest une pièce immense occupée en son centre par une immense table rectangulaire en ébène. Martine a installé le couvert aux deux extrémités de la pièce. Mme Corbois me dit de minstaller à lune des extrémités de la table, tandis quelle se rend à lautre. Ses longues jambes se croisent à chaque pas faisant danser ses hanches et ses fesses alléchantes, tandis que ses talons claquent sur le carrelage immaculé. Jessaie de ne pas regarder ce spectacle envoutant car chaque afflux de sang dans ma verge est plus douloureux, à cause de lanneau métallique qui empêche le sang de sen évacuer. Ma maîtresse se retourne finalement et sassoit face à moi. Elle mordonne de faire de même et je mexécute. Alors que mes fesses nues touchent le siège de cuir de la chaise, le gode sinsère un peu plus profondément dans mon fondement, marrachant un grognement de surprise.
Martine arrive quelques instants plus tard une énorme soupière à la main. Elle sapproche de Mme Corbois et sapprête à la servir lorsque cette dernière linterrompt.
Merci Martine.
Oui, maîtresse, dis-je en baissant la tête.
Alors que la cuisinière repart, je mavance à mon tour vers la délicieuse Mme Corbois. Son chemisier est mal boutonné, lundi avec mardi, et laisse entrevoir la naissance de sa poitrine laiteuse. Je lui fais remarquer cela et elle me remercie en me proposant de le reboutonner moi-même. Jaccepte de peur de ses représailles et déboutonne avec application son chemisier blanc. Ses seins sont à létroit dans le carcan de dentelle de son soutien-gorge. Elle voit que je suis en train de les reluquer et me propose de les libérer. Je dégrafe habilement les baleines de ce dernier qui saute en libérant la poitrine de ma patiente.
Prends-les ! mordonne-elle.
Je prends les seins dans mes larges mains calleuses et les soupèse. Ils sont doux, à la fois lourds et légers dans mes paumes, et sils ont perdu de leur fermeté de jeunesse, leur relative élasticité est très agréable et les rends souples et moelleux au toucher. Je les malaxe allègrement et fait rouler sous mes doigts les mamelons qui se sont érigés sous mes caresses. Voyant quelle ne soppose pas à mon initiative, je pose ma bouche sur son sein droit et fait passer ma langue sur le téton tendu. Je tourne autour, le mordille et le presse, puis le suce délicatement tandis que ma maîtresse se tortille sous mes caresses. Elle croise et décroise ses jambes afin de mobiliser les boules de geisha qui sont emprisonnées dans son intimité et qui massent les parois de son vagin qui se trempe de nouveau dexcitation.
Cela suffit, dit-elle finalement. Arrête et sers-moi ma soupe.
Je me relève et mexécute, déposant dans son assiette en porcelaine une grande louchée du potage verdâtre que nous a cuisiné Martine. Alors que je me sers à mon tour, Mme Corbois empoigne mon sexe toujours tendu et commence à faire des aller-retours le long de mon manche. Elle me regarde avec son air autoritaire et intensifie ses mouvements.
Je tinterdis de jouir, dit-elle.
Je
Daccord, maîtresse, mais pas trop longtemps
je ne pourrais pas me retenir éternellement.
Tu te retiendras aussi longtemps que je lordonnerai, cest clair ?
Je hoche la tête en signe dacquiescement et tente de résister à la vague de désir qui monte en moi. Sa main experte accélère encore la cadence et je la supplie darrêter, mais elle insiste, son visage étant déformé par un rictus sadique qui finit de machever. Alors, cédant finalement à son traitement exquis et au délicieux massage du gode dans mon fondement, je jouis abondamment, déversant ma semence en jets puissant qui viennent finir leur course dans la soupe de ma maîtresse. Cette jouissance apaise légèrement la douleur de mon sexe qui diminue de volume mais ne peux pas reprendre sa forme normale, toujours prisonnier de lanneau qui le maintenait en érection. Je nose pas regarder Mme Corbois et redoute sa punition. Elle ne dit rien, prend sa cuillère en argent et remue le potage afin dy intégrer mon foutre opalescent. Une fois le mélange devenu homogène, elle prend une cuillère quelle avale avec un bruit de succion.
Délicieux, dit-elle, mais je trouve cela dommage davoir gâché tout ce sperme qui aurait pu finir dans ma chatte humide. Cest de ma faute, tu mavais prévenu, jaurais dû arrêter plus tôt, lorsque tu me la gentiment demandé. Peu importe, ce qui est fait est fait.
Je suis soulagé par les paroles de ma maîtresse qui semble vouloir pardonner ma désobéissance.
Cependant, tu mas désobéi, dit-elle. Et tu sais que je vais devoir te punir. Pour commencer, passe sous la table, je veux que tu me fasse jouir.
Je maccroupis sous la table et relève le tailleur de ma maitresse. Jai une vue parfaite sur sa vulve imberbe, étant donné quelle na pas remis sa culotte après nos ébats de début de soirée.
Cest bien. Tu tes en partie fait pardonner. Mais ce nest pas suffisant. Mange vite ta soupe, le reste du diner va arriver.
Je prends mon assiette creuse et me prépare à me servir lorsquelle minterrompt.
Non, dans un bol. Et mets-toi à genoux.
Je mexécute, et magenouille face à elle. Elle prend le bol, me demande douvrir la bouche et déverse dans ma gorge le liquide encore brûlant.
Nettoie ! ordonne-elle.
Je prends une serviette et mapprête à la nettoyer quand elle marrête.
Pas comme ça. Lèche !
Je mexécute, et lape avidement le liquide étendu sur la jambe et le pied de ma maîtresse. Cela mexcite au plus haut point et mon sexe redevient douloureux. Je ne suis pas fétichiste, mais son pied délicat habillé dans cette chaussure de cuir noir révèle en moi un désir caché.
Alors que je mapplique à nettoyer mon erreur, le majordome entre dans la pièce avec le dîner. Il ne semble pas remarquer lhomme nu qui lèche la jambe de sa patronne à moitié nue et ne fait aucune remarque. Pour ma part, je suis un peu gêné et marrête dans mon action, afin de tenter de dissimuler ma nudité à ce nouvel arrivant.
Qui ta dit de tarrêter ? me demande Mme Corbois. Quas-tu donc ? Serait-ce la présence de Simon qui te gêne ainsi ?
Je hoche la tête en signe daffirmation.
Simon, la vue du Dr Karadjordjevic dans cette posture vous importune-elle ? demande-elle à son employé.
Aucunement, Madame, répond lintéressé.
Tu vois, il ny a rien à craindre, dit-elle. Simon na rien à faire dune lopette telle que toi. Il te faut apprendre encore bien des choses, avant que tu ne deviennes lesclave que tu mérites dêtre. Regarde. Simon, comment me trouves-tu ?
Splendide, répond le majordome, en restant droit comme un i.
Et la vue de ma poitrine dénudée te fait-elle quelque effet ?
Évidemment, Madame, qui resterait indifférent à un tel don de la nature ! Je bande comme un taureau à vous regarder ainsi.
Mmmm
Quel flatteur vous êtes. Je veux en avoir le cur net. Nemanja, vérifie que les propos de Simon sont exacts.
Interloqué, je défais la boucle de la ceinture du majordome et fait glisser son pantalon jusquà ses genoux. Il porte un boxer en coton blanc sous lequel on voit poindre la bosse de son sexe en érection. Dun regard vers Mme Corbois, je comprends que cela ne lui suffit pas, et je baisse à son tour le boxer, me retrouvant nez à nez avec un sexe érigé dune taille acceptable. Mme Corbois se lève et caresse dune main mon visage, puis passe son index le long de la hampe de son majordome qui se contracte sous le contact des doigts de sa patronne.
Nous nallons pas laisser ce sexe dans cet état, dit-elle. Nemanja, occupe ten !
Je suis trop choqué pour oser bouger ni dire quoi que ce soit. Devant labsence de réaction de ma part, ma maitresse pose sa main dans ma nuque et presse mes lèvres contre le gland turgescent du majordome. Passif et désuvré, jouvre la bouche et me laisse remplir pour la première fois par le sexe dun homme. Le contact est étonnant, à la fois dur et fragile, et je sens les veines gonflées de Simon sous ma langue. Ne voulant pas décevoir ma maîtresse, je mactive et fais des aller retours le long de la hampe tendue. Mme Corbois semble satisfaite de moi, aussi glisse-elle un doigt dans son entrejambe pour en extraire les geishas.
Cest bien, dit-elle. Tu apprends vite. Si tu le fais jouir, je te libèrerai du gode et de lanneau. Allez, suce-le !
Je mexécute, et mapplique à bien avaler ce sexe jusquau fond de ma gorge. Je masse avec la main les grosses couilles pendantes de Simon tandis que ma langue sactive sur son gland. Elles sont énormes et jappréhende la quantité de foutre quelles peuvent bien pouvoir contenir. De son côté, Mme Corbois sest placée devant son majordome et le laisse pétrir avec force son énorme poitrine tandis quelle caresse avec délicatesse le torse poilu de son employé afin décourter mon supplice. Au bout de quelques minutes, je sens le sexe de Simon se tendre, et tout son corps se contracte alors quil se vide en salves dans ma gorge. Comme je le redoutait, il déverse dans ma bouche une quantité énorme de foutre amer et épicé, que je recrache aussitôt le long de son manche avec un haut le cur. Mme Corbois mordonne davaler et de nettoyer avec application ce sexe qui ma été offert. Je la regarde droit dans les yeux, et refuse avec fermeté, lui disant que je navalerai pas ce sperme ni ne resuçerai jamais la bite de Simon ni aucune autre, quelle le veuille ou non.
Mmmm, jadore quand tu me résiste, mon petit chéri, me dit-elle. Et je vais accepter ta requête. Si tu refuses les relations homosexuelles, soit, je ne te les imposerai plus. Et je te garderai juste pour moi, désormais. Viens, assied toi et dine, nous allons discuter de la suite de notre relation.
Au cours du dîner, nous nous sommes mis daccord sur les conditions de notre relation et de ma soumission. Je devrais lui être totalement dévoué, et disponible pour elle à nimporte quelle heure du jour ou de la nuit. Je devrais mhabiller comme elle lordonnera et porter les jouets quelle voudra, quand elle le voudra. Enfin, elle prit la petite clef dargent cachée dans la boule de geisha et libéra mon sexe du carcan qui le retenait prisonnier. Elle retira le gode quelle avait mis dans mon fondement et mautorisa à me rhabiller. Alors que je mapprêtais à partir, elle me dit, du même ton autoritaire quelle avait eu plus tôt dans la soirée.
Dailleurs, jallais oublier. Jai bien réfléchi, depuis que tu mas rempli de ta semence sans protection, tout à lheure. Je ne vais pas prendre la pilule du lendemain et je ne vais pas remettre de stérilet. Je veux que tu me replisse régulièrement pour me rendre enceinte. Est-ce que cest clair ?
Limpide dis-je, sans critiquer la demander de ma maitresse, complètement soumis à sa volonté.
Parfait. Allez, va mon petit chéri, tu dois te reposer, je risque de faire appel à toi bientôt.
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