Collection Folle Du Cul. La Baronne, Son Chauffeur Et Le Forestier (1/2)
- Firmin reconduisez-moi au château le plus vite possible.
- Jean-Michel, madame la baronne, pas Firmin.
- Inutile de me contrarier Firmin tous mes chauffeurs sappelle Firmin.
Si vous souhaitez rester à notre service au baron et à moi ce sera Firmin ou la porte.
- Bien madame la Baronne.
- Excusez de vous faire finir si tard Firmin, Marie-Chantal a tenu à ce que je reste dîner après avoir fini notre bridge.
Je ferais attention la prochaine fois.
- Aucun problème madame la baronne.
On dort très bien dans votre voiture.
- Rolls Royce dernier modèle, je parie que comme les autres vous avez profité du bar.
- Non, madame la baronne, jamais une goutte dalcool de ma vie.
- Un point pour vous Firmin.
Quesque nous entendons, un genre de grondement ?
- Cest lorage, je crois que ça va taper fort.
- Dépêchons-nous de traverser la forêt et de rentrer au château, jai très peur des orages.
Ah !
Pourquoi tout a été vert autour de nous ?
- La foudre madame, elle a dû tomber tout près de nous.
Ça mest déjà arrivé une fois, ça fait toujours cet effet-là.
- Pourquoi ralentissez-vous Firmin ?
La pluie commence à tomber, jai peur.
- Madame, détrompez-vous, ces voitures bourrées délectroniques à notre époque, un capteur a dû griller et la voiture sest arrêtée.
- Eh bien, redémarré.
- Je crois que lon est en panne, Madame.
Avez-vous un portable ?
- Quelle horreur, nous avons une ligne au château, le baron dit que cest suffisant.
Si nous avons à nous parler nous le faisons au déjeuner seul repas que nous prenons ensemble.
Le petit déjeuner Alice nous lapporte dabord lui avec son journal pour quil consulte les cours de la bourse.
Cest ainsi quil gagne notre vie, avec les fermages que nous louons bien sûr.
Je dois reconnaître quil réussit assez bien.
Même si ma dernière voiture tombe en panne au bout de huit jours.
- Si je peux me permettre, nous venons de passer devant la maison de Charles le garde forestier, il est un peu bourru mais il est sympa quand on le connaît.
Venez, nous serons mieux dans une maison au toit dur.
Nous sortons de la voiture, il pleut, je prends le bras de la baronne qui met son sac gros comme une pochette dallumettes sur sa tête et court avec moi.
À vingt-huit ans, glandeur dans lâme, je suis content que Bob le cafetier de mon village ait parlé au baron Charles-Édouard De Lamotte du Pin que je pourrais faire laffaire pour remplacer son chauffeur que sa femme venait une énième fois de virer.
Payé à attendre que lon mappelle, logé même dans une petite maison derrière le château, nourrie, plus un fixe pour dormir dans cette Rolls, le meilleur des boulots pour un fainéant.
Il faut donc comprendre que je sais qui commande dans ce château et que si la baronne veut que je mappelle Firmin, Henri, Dupond, Durant libre à elle.
- Qui vient memmerder à cette heure ?
- Cest moi Charles, je suis avec madame, la baronne je travaille chez elle comme chauffeur et la voiture est tombée en panne à quelques mètres dici.
- Entrez, madame la baronne, je connais votre mari, cest la première fois que je vous rencontre.
- À part mes amies que je visite de temps en temps, je reste au château.
Charles, il va chez Bob, cest un loup solitaire.
Cest pour ça que lorsquil était jeune il a choisi dêtre garde forestier.
Logé lui aussi et vivant du petit jardin, des animaux abattus pour la régulation des espèces et des champignons quil ramasse.
À ce jour au bistrot, on le voit toujours seul.
- Ça sent bizarre chez vous !
- Cest le sanglier derrière vous.
Ce vieux mâle nous en a fait baver, trois jours à lui courir après.
Cest votre mari qui va être satisfait, il ravageait vos champs de maïs.
- Vous lavez pendu là, il a de grosses défenses, il doit être dangereux.
- 10 à 12 ans, cest le père dune partie des jeunes sangliers de nos forêts, il était temps de labattre pour quun autre dominant régénère lespèce.
À part ça, on parle et il fait sommeil.
Jai quun lit, et une chaise.
- Je vais aller garder la voiture.
- Non, restez Firmin, prenez la chaise, cest moi qui vais retourner dans la voiture.
- À part ça, on parle et il fait sommeil.
Tes trempée baronne, enlèvent tes fringues ici, les chichis on les laisse à ma porte.
- Tes pas mal foutu, le baron doit aimer samuser avec toi.
Un peu gênée, ma patronne enlève sa robe.
- Vous êtes un malotru monsieur.
La baronne les seins à lair étant sans soutien-gorge en simple petite culotte peu sexy.
Je minstalle sur la chaise, jaurais préféré la voiture.
Je pense quelle doit vouloir que je la protège.
- Vous avez de la chance quil pleuve et que jai peur des animaux qui rôdent dans cette forêt.
Mais que faite vous, Charles vous êtes devenue fou.
Elle parle doucement, surement à cause de moi.
Après lorage, le beau temps.
Dans la clairière où se trouve la maison du garde forestier, la lune est réapparue.
Elle éclaire suffisamment pour que je voie ce quil se passe dans le lit.
Charles est collé à elle et lui a enserré les seins.
- Jai envie de toi, sent, tu me fais de leffet.
Le baron à son âge, je pense que tu es une insatisfaite.
- De quoi parlez-vous Charles et enlever ce bâton de mes fesses, je vais vous faire virer.
Tes chauffeurs comme Jean-Michel, vire-les autant que tu veux.
Je suis fonctionnaire avec un emploi jusquà ma retraite alors tes menaces.
Isabelle De Lamotte du Pin, je me les car, je vais te baiser.
- Avec mon mari, on la fait une fois lors de notre nuit de noce.
Jacques-Antoine est né dans les délais et depuis avec le baron nous faisons chambre à part.
Ce sont les animaux de votre forêt qui copule pour se reproduire.
- Une presque vierge, merde si je mattendais à ça.
Je vois Charles faire sauter le drap qui les recouvrait.
Le corps de celle que jai vu le temps quelle se couche et que japprends sappeler Isabelle, tous lappellent madame la baronne au village, mapparaît dans la clarté de la lune.
- Lève ta jambe, je vais te sauter, tu verras, tu vas aimer ça.
Toutes les femmes aiment ça, comment fais-tu quand ça te démange ?
- Je prends un bain froid, ça calme.
Je mattends quelle résiste mais docile elle lève la jambe.
Jentends un bruit de tissu déchirer et je vois la culotte volée.
Il faut dire que Charles est une force de la nature et que son sexe vu aussi au moment où il sest couché avant déteindre est bien plus imposant que le mien.
- Oh !
- Tu vois, tu réagis déjà, tu verras tu en redemanderas.
Jentends et je vois le couple faire lamour.
Du moins copulés, connaissant Charles, les femmes ils les baisent et rapidement passent à la suivante.
Chez Bob, le nombre de cocus qui trinquent avec lui est légion.
Bien sûr ils lignorent.
Je pourrais écrire, les Ah ! Oh ! Oui, oui, encore, que la baronne fait entendre mais je pense que les choses vont finir là dans cette partie de baise.
Cest mal connaître Charles qui semble avoir une idée.
- Jean-Michel, je vois que tu nous regardes, vient nous rejoindre, la chaise est inconfortable.
Quand il y en a pour un il y en a pour deux.
De toute façon dans moins dun mois elle taura viré.
- Charles que veux-tu faire, pas mon chauffeur.
Je constate le tutoiement de madame, pardon dIsabelle.
Jai déjà sauté de nombreuses filles au village mais quand je me déshabille et que je les rejoins non seulement je bande mais cest la première fois que je vais baiser avec une femme de quarante ans où un peu plus son fils ayant 25 ans.
- Suce-le.
Présente-lui ta bite, si tu savais comme sa chatte est mouillée et ici pas de bassine pour quelle se refroidisse le cul.
Elle ignorait quelle était une salope, il faut simplement la révéler à elle-même.
- Oui, je suis une salope, continu Charles, jignorais que cétait si bon.
Je présente ma queue à cette salope qui la prend en main et qui se met à me pomper.
- Et pomper la bite de ton chauffeur, tu aimes.
Je sais, la bouche pleine on a du mal à parler.
Fait signe de la tête, tu vas voir je vais te remplir la chatte, tu vas aimer mon foutre chaud qui va frapper ton utérus.
Quelques secondes Isabelle la baronne De Lamotte du Pin lâche ma bite de sa bouche continuant à me masturber.
- Vas-y salopard, jignorais que baiser était si bon.
Le soir de mes noces, ça a duré à peine trois minutes.
Baiser moi mes salops.
Pour la baiser on la baise et on fait delle une femme comblée au point que nous nous écroulons après avoir déchargé Charles dans sa chatte moi dans sa bouche
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