La Vie Dissolue D'Une Bigotte 8 : Les Femmes Âgées Sont Des Coquines
Parallèlement à cette relation avec mon ex belle-mère, jentretenais des rapports avec une autre dame âgée. Celle-ci, présidente du club des aînés, était devenue ma maîtresse depuis plusieurs années et nous nous voyions épisodiquement, parfois de façon rapprochée, parfois il se passait plusieurs semaines sans relation.
Pauline, donc, connaissait aussi lexistence de mon autre amie « officielle » et se trouvait très heureuse que je la retrouve elle, de temps en temps. Jamais demandeuse, mais toujours joyeuse de nos retrouvailles. Elle était « reposante » car dhumeur toujours égale. Parfois, je la voyais en public, il marrivait de « jouer » avec elle, jouant lindifférence ou lui glissant à loreille en la saluant « prépare-toi, tout à lheure je vais te baiser comme la salope que tu es! »
Dans ces cas là, elle était nerveuse durant toute la durée de la réunion, ou de la soirée. Une fois, javais agis ainsi au début de lassemblée quelle devait présider devant ses adhérents. Assis au premier rang, je lavais déstabilisée du regard tout au long de la réunion, à tel point quon lui avait demandé si elle nétait pas malade.
Complètement liquéfiée lorsque nous nous sommes retrouvés ensuite, elle mavouait avoir eu envie de se caresser.
Un soir où nous étions couchés dans son lit après avoir fait lamour, elle me confie que sa voisine et amie Jacqueline, dépérit depuis que son amant la quittée. Celle-ci, très demandeuse en matière de sexe malgré son âge, dixit Pauline, ne se satisfait plus avec ses doigts. Elle a confié à son amie que la présence dun homme, un mâle qui la dirige, lui manque. Ces confidences ne sont pas venues naturellement et pour les obtenir, Pauline a été obligée de lui avouer quelle aussi avait un amant. Jacqueline sest alors laissé aller.
Elle lui a dabord reproché de ne lui avoir rien dit durant ces années, alors quelle-même ne se cachait pas davoir une relation.
- « Et ton amant, a-t-elle interrogé, il naurait pas un copain avec qui je pourrais
?
- Dis-donc, tu es à laise toi ! Tu me vois, lui demander ça comme cela ?
- Pourquoi pas ?
- Cest vrai quil est assez vicieux, mais, il faut que je te dise tout de même, il est plus jeune que nous !
- Beaucoup plus ?
- Ben
Quinze ans
un peu plus
- Ah quand même ! Ben dis donc ! Tes une sacrée cachottière toi ! Tu as un amant depuis longtemps et en plus il est jeune ! Je me disais aussi que tu étais trop honnête ! »
Jacqueline a réussit à convaincre Pauline de men parler. La copine de ma maîtresse est assez « gironde » des yeux toujours rieurs, ne paraissant pas trop coincée et sans être un canon de beauté, ses formes opulentes me plaisent assez. Je dis à Pauline quon se retrouverait dans deux jours chez elle et quelle navait quà inviter Jacqueline à venir, pour faire ma connaissance et me demander directement le service. En attendant, lui dis-je, Tu ne révèles pas qui je suis et tu lappelleras quand je serai là.
Le surlendemain donc, je retrouve Pauline chez elle. Nous avons un petit moment avant larrivée de Jacqueline, aussi, pour mettre ma partenaire en condition, nous nous « amusons ». Volontairement, je la laisse insatisfaite pour quelle reste excitée.
A son arrivée, Jacqueline est tout dabord surprise en me trouvant. Elle pense tout dabord que je suis venu, comme cela arrive parfois, rendre visite à son amie. Elle na jamais pensé que je pouvais être moi lamant. Nous lui révélons enfin notre relation en riant.
- « Eh bien, ça cest une surprise ! Je croyais même un moment que tu me draguais, me dit-elle, et en fait tu te tapes ma copine depuis longtemps.
- Cest un peu trivial, mais cest vrai que nous avons été discrets. Je le suis toujours avec les dames pour ne pas ternir leur réputation.
- Et tu en as beaucoup comme ça ?
- Dis-donc toi. Tu es bien curieuse ! Tu nen sauras rien.
- Tu as de ces expressions !
- Ce nest pas la vérité peut-être ?
- O
Oui, mais, dit comme cela, cest bizarre !
- Bien ! Alors, tu recherches quoi ?
- Je... Je ne sais pas, tu connaîtrais quelquun ?
- Peut-être, oui. Mais il faudrait que je me fasse une idée.
- Comment ça ?
- Et bien, jai parlé de toi à un copain
- De ton âge ?
- A peu près, pourquoi, tu naimes pas les jeunes ?
- Cest que
- Quand tu croyais que je te draguais, tu pensais à quoi ? Tu étais flattée, troublée ou tu trouvais que je me fichais de toi ?
- Je
Ça me plaisait bien, surtout venant de toi, un jeune, oui. Mais je me disais aussi que cétait par gentillesse et que quelquun de ton âge ne peut pas sintéresser à une vieille peau comme moi. Je pensais que tu étais gentil avec tout le monde. Avec moi, comme avec Pauline.
- Cest vrai que jessaye dêtre gentil et puis surtout je ne fais pas de différence entre Pauline et ses amies, cela évite que lon se pose des questions. La preuve, ça a marché avec toi.
- Donc, tu ne me draguais pas !
- Tu sembles le regretter. Mais qui sait ? Revenons à ce qui nous rassemble aujourdhui. Tu nes pas contre une relation avec quelquun de plus jeune si jai bien compris.
- Ben
Je ne sais pas
Non
Enfin
Ça dépend.
- Ah bon ! Et de quoi ?
- De la personne, bien sûr.
- Est-ce que tu me fais confiance ?
- Oui... Je pense.
- Jai donc parlé de toi à un de mes amis.
- Qui cest ?
- Ne sois pas pressée ! Il ma donné carte blanche pour voir avec toi, mais veut rester discret dans un premier temps. Je lappellerai ensuite si on est daccord, mais à sa demande, je dois te tester.
- Vas-y, je suis prête !
- Tu ne reculeras pas ? Il faut que tu montres que tu as envie, que tu es motivée !
- Non, non ! Pas de problème !
- Je vais vous laisser déclare alors Pauline.
- Pas question ! Tu restes là dis-je
- Mais, Ça me gêne !
- Ne fais pas ta mijaurée ! Et puis, toi aussi tu fais partie du test.
- Je
- Bien ! On commence. Vous êtes prêtes ? » Les deux femmes se regardent, nosent pas reculer. Je madresse à Jacqueline. « Lèves-toi et tiens-toi devant nous. » Docilement elle obéit « Jai cru comprendre que tu cherches un homme qui te dirige, qui te domine tout en te respectant, cest Ça ?
- O
Oui ! Mais je naime pas la violence
enfin
pas trop.
- Donc, tu nes pas contre un jeu de soumission et si besoin, un peu de sévérité. Une petite fessée pour te remettre dans le droit chemin ne te fait pas peur ?
- N
Non. Jai un peu honte, tu sais. Mon mari mavait habituée comme Ça.
- Il ny a pas de honte à avoir. Pauline aime aussi que je la commande et que je lui donne de petites fessées, nest pas ?
- O
Oui, cest vrai !
- Je ne savais pas que tu aimais ça aussi, réplique Jacqueline reprenant du poil de la bête en voyant quelle nest pas la seule dans cet état.
- Donc, tu cherches un homme qui soit un peu dominateur et qui aime les femmes de ton âge ?
- O
Cest un peu Ça.
- Bon. Quand Pauline men a parlé, jai contacté quelquun qui pourrait te convenir. Je pense que tu seras contente. Maintenant, il désire en savoir un peu plus sur toi et notamment si tu es suffisamment motivée et soumise. Est-ce que tu te sens capable ?
- O
Je crois, oui. Comment faire pour quil le sache ?
- Il ma chargé de te tester. Si tu es daccord, je lappelle.
- Quoi ? Maintenant ? Tout de suite ?
- Tu es bien venue pour Ça non ?
- O
Oui
Bon, daccord ! » Elle est nerveuse, car maintenant elle ne peut plus reculer. Je prends mon téléphone, jappelle mon correspondant et jengage le dialogue.
- « Salut ! Tu vas bien ?
Je tappelle comme prévu à propos de la dame dont on a parlé
Oui, oui. Je suis avec elle et elle est daccord pour essayer, à condition que cela soit discret.
La conversation se poursuit un peu et, voyant que Jacqueline est mal à laise debout devant nous je décide de commencer.
- Bon, je crois quelle a assez attendu. Je técoute
Oh-là ! Tu démarres fort dis-donc !.. Ok, ok, je transmets tes demandes, on verra bien, il faut bien un début ». Je madresse à Jacqueline. « Il veut que tu te déshabilles !
- Comment ? Ici ? Devant vous ?
- Tu nas pas bien compris ! Tu es là pour obéir ! Tu ne discute pas !
- D
Daccord.
- Allez ! Plus vite que Ça ! Mets-toi à poil ! » Jai monté volontairement le ton pour la mettre en condition et tester sa motivation. Nous sommes à un moment crucial. Soit, Jacqueline accepte, soit elle abandonne et lexpérience tourne court. Elle tremble. Ne sait quoi faire, puis, lentement, comme un zombie, elle retire sa veste, puis défait un a un les boutons de son chemisier. A mes côtés, Pauline est tétanisée.
Sous de la blouse, Jacqueline porte une combinaison jaune clair, comme le font souvent les dames dun certain âge. Ses yeux se sont embués, mais je ne fais aucun signe. Je commente ses gestes à mon interlocuteur.
Les mains de Jacqueline tremblent. Elle sattaque à la jupe, la dégrafe, baisse la fermeture sur le côté et la laisse tomber à ses pieds. Elle lenjambe, la ramasse, puis la jette sur le fauteuil avec le chemisier.
Je commente toujours, la poussant un peu en précisant « Je pense quelle va enlever sa combinaison » Jacqueline att le bas du vêtement et lenlève par la tête, dévoilant ses aisselles poilues. Elle se retrouve en culotte, et soutien gorge. Bien sûr pas très seyants mais de belle qualité.
- « Je ne sais pas si elle va se décider, mais de ce que je vois, il y a ce quil faut où il faut
.. Oh oui. Attends !... Mon copain voudrait savoir la taille de tes seins.
- 100 E
- 100 E. Oui, des superbes loches
Je ne sais pas, elle a toujours son soutien-gorge
» Jacqueline, entendant cela, passe ses bras derrière le dos, dégrafe et retire sa parure. Les gros seins tombent un peu mais restent tout de même largement au dessus du nombril. « Pas mal ! Oui, ils tombent un peu, ce sont deux belles outres !
Attends un peu, ne soit pas pressé ! » Je fais signe à Jacqueline denlever sa culotte. Elle sexécute et se retrouve enfin nue. Son bas ventre est orné dune toison grise bien fournie. Je décris Jacqueline à mon correspondant anonyme, vantant un peu la marchandise en clignant de lil à Jacqueline, pour la décontracter. Je la fais tourner, sans oublier de jeter un il vers Pauline, complètement scotchée par le spectacle de son amie nue au milieu de son salon.
Le téléphone toujours à loreille, je demande à la coquine dapprocher et avec la main, je cache le micro du téléphone, pour que mon correspondant nentende pas.
- « Tu as lair de lui plaire ! Il veut que je te teste un peu plus. Tu es libre de refuser.
- Que veut-il ?
- Il veut que tu me suces !,,, Désolé !
- Mais
- Il attache beaucoup dimportance à ça ! Il veut tester ta docilité et voir si tu es prête à obéir à tous ses ordres. Si tu ne veux pas, je comprendrai... Il y tient
sinon
»
Jacqueline hésite, prise au jeu, elle pense surtout à satisfaire lhomme mystérieux qui veut la dominer. Il faut bien quelle montre sa soumission, aussi, sagenouille-t-elle, défait ma ceinture, ouvre le pantalon. Je me soulève pour quelle le baisse en même temps que mon caleçon et me retrouve nu et bandé face à son visage. Elle sourit et dit : « Jolie queue » Elle plonge sur ma bite et lavale, la suce, la pompe avec gourmandise.
Je commente son travail. « Elle se débrouille bien ! Elle avale presque tout. Elle lèche et me caresse les couilles
Je larrête enfin, car je ne veux pas jouir ainsi.
« Oui ! Elle suce très bien
Daccord !
Tu crois quelle va accepter ?
Il le faut ?
Ben dis-donc, toi, tes gonflé toi ! Mon copain veut que tu lèches Pauline !
Mais
Ce nest pas possible ! Je nai jamais
Elle ne voudra jamais !
Ça cest un autre problème ! Je relève la jupe de Pauline, assise à mes côtés et sous laquelle à ma demande, elle ne porte pas de culotte. Tu vois, elle na pas de culotte et en plus elle est épilée. Donc tu vas faire ce que demande ton futur maître, pour lui prouver ton obéissance. Cest ta dernière épreuve. Il ma demandé, pour me remercier de lavoir aidé, de te prendre en levrette pendant que tu bouffes la chatte de ta copine.
Je
Mais
Décides-toi !... Vite !
Pardon Pauline, je suis obligée !
Elle na rien à te pardonner. Tu nas pas intérêt non plus à faire semblant. Tu vas la faire jouir ! »
Jacqueline est rouge de confusion. Cependant, elle se déplace, hésite une dernière fois et plonge entre les cuisses de sa présidente et amie. Pauline a fermé les yeux. Surement pour ne pas être témoin de cette relation homosexuelle avec son amie de longue date. De mon côté, je me penche pour lembrasser et lui glisse à loreille « lâches-toi et profite ! ».Je me relève, passe derrière Jacqueline, admirant le tableau de ces deux femmes septuagénaires. Lune complètement nue à genoux entre les jambes de lautre. Face à moi, le cul somptueux et large de Jacqueline qui est un appel au viol. Penchée ainsi, son corps opulent ne trahis pas lâge de sa propriétaire. Cest une femelle bonne à saillir. Je magenouille, écarte ses cuisses pour me glisser entre, pointe mon dard sur sa chatte poilue et, magrippant aux larges hanches, je la pénètre dun seul élan, jusquau fond de sa cramouille luisante.
Jacqueline, malgré plusieurs accouchements et malgré son âge, a gardé un vagin souple qui gaine bien ma bite. Je la baise profondément, nosant pas croire ce que je vois. Deux femmes âgées, nayant jamais eu de relation sexuelles avec dautres femmes, se connaissant depuis de nombreuses années, qui sont en train, lune de se faire bouffer la chatte par son amie, lautre la léchant tout en se faisant monter comme une chienne, sous prétexte de retrouver un amant qui puisse la soulager de ses envies de vieille femme assoiffée de sexe.
Jacqueline, la première, commence à couiner. Il est vrai que je ne la ménage pas, cognant fortement ses fesses, la pilonnant à fond. Sa chatte fait des « floc floc » prouvant son plaisir. De temps en temps je me retire et lui administre des claques sonores sur son gros fessier joufflu.
Je replonge ensuite brutalement dans sa chatte brûlante. Mes mouvements précipitent son visage contre la vulve de Pauline. Petit à petit elle recule de moins en moins, restant contre la chatte de sa copine pour la lécher quand je me retire. Elle prend plaisir à ce nouveau jeu pour elle. Pauline, de son côté, commence à apprécier la caresse de la langue de Jacqueline.
Complètement partie dans son orgasme, Jacqueline tremble de tout son corps qui est brûlant et rouge. Pauline se lâche dans la bouche de sa copine et par expérience je sais que cette dernière doit se régaler de la mouille odorante de sa présidente, quelle ne regardera plus de la même façon. A son tour elle crie son bonheur et son jus coule sur ma bite enserrée par les muscles toujours vaillants de son vagin.
Je me dégage de la femelle et retourne m'asseoir sur le canapé. Je reprends le combiné téléphonique et fais des commentaires sur la prestation de Jacqueline.
« Je crois que cest un bon coup ! Elle a tout accepté, même de gougnotter sa copine. Sa chatte est bonne et elle est bien docile. Quand à son cul, je ne te dis pas ! Une merveille à baiser en levrette
. Tu es daccord ? Je te la passe alors. Tu vas voir avec elle. Jacqueline me fait signe que non. Elle ne veut pas te parler
.. Ah bon ? Si tu ne lui parles pas, il préfère ne pas te voir. Tu nes pas assez motivée
Oui ! Je veux lui parler. Mais que va-t-il penser de moi Je fais semblant découter
Il pense, avec ce quil a entendu, que tu peux être une bonne salope à dresser. Tu es toujours daccord ?
Je
O
Oui Je lui passe le téléphone Allo ?... Allo ?... Il ny a personne ! Il a raccroché ! » Jacqueline semble déroutée, désolée ! Elle pense que l'homme n'a pas eu la patience, ou n'a pas voulu continuer avec elle. Peut être n'a-t-elle pas été suffisamment convaincante ?
Jéclate de rire. Les deux femmes me regardent alors interloquées.
« Je vous ai bien eues ! Il ny avait personne ! Eh oui, ma chère Jacqueline ! Cet homme intéressé par toi, eh bien, cest moi !
Co
Comment ? Mais
Pauline ?
Ça nest pas un problème. Elle sait bien que jai dautres maîtresses, alors une de plus ! Nest-ce pas Pauline ?
Oui, mais, comment vas-tu faire avec nous deux?
Eh bien, un peu comme aujourdhui. Vous navez pas aimé ?
Cest que
Je navais jamais fais avec une femme déclare Jacqueline
Tu nas pas aimé ?
Si
Mais avec Pauline, ça me gêne un peu tout de même.
Eh bien tu thabias ! Et toi Pauline, tu as aimé ?
Oh oui !
Donc tu rendras la politesse à Jacqueline !
Cest que
Ah ! Je vois ! Cest sa toison qui te gêne ? on va sen occuper !
Non, ce nest pas ça
Enfin, tu arrives toujours à me faire faire des trucs
Vous voulez me raser ? sécrie Jacqueline.
Tu nas pas aimé lécher cette chatte sans poil ?
Cest vrai que cest agréable, mais
Vois-tu, moi, je naime pas lécher une chatte poilue, alors Pauline sest épilée. Elle est aujourdhui habituée et maintenant elle adore ça. Je ne vois pas pourquoi tu ne ferais pas pareil. Tu as vu que ma queue aussi est sans poil.
Cest vrai ! Cest la première fois que jen vois une comme ça et jai bien aimé ! Daccord pour me raser ! On fait ça quand ?
Mais tout de suite, ma salope ! Allez couches-toi sur la table. Toi, Pauline, vas chercher ce quil faut ! Et puis, tu te mettras à poil aussi ! Il n'y a plus que toi qui es habillée. Ta copine a aussi le droit de te voir toute nue !»
Jacqueline a aussitôt obéit et s'est couchée sur la table. Je lui demande de relever ses bras pour les placer derrière la tête, découvrant ainsi ses aisselles poilues. Sa position est obscène. Avec ses jambes écartées elle présente son corps sans pudeur. Pauline, revenant avec les ustensiles, se fige devant le spectacle de sa copine. Elle se déshabille à son tour sous le regard curieux de lautre qui ne la jamais vue ainsi.
A laide de ciseaux, je coupe la pilosité abondante sous les bras et le mont de vénus. Les poils poivre et sel jonchent rapidement la table. Je demande à Pauline de les ramasser et les jeter et japplique la mousse à raser aux aisselles, qui rapidement sont débarrassées du moindre poil.
Jacqueline est parfaitement immobile et se laisse faire les yeux fermés. Pauline, un peu crispée au début regarde maintenant son amie, exposée nue sur la table, avec des yeux brillants. Je me doute quelle doit être excitée, à voir sa poitrine se soulever. Jacqueline doit être dans le même état, aussi, avant dattaquer le rasage de son intimité, je glisse un doigt entre les lèvres de son sexe, y trouvant une humidité de bon aloi.
« Salope ! Tu mouilles bien ! Ça texcite de te foutre à poil devant nous et de te faire épiler ! Tu nen as pas eu assez tout à lheure ? Tu as encore envie dun coup de queue ?
- Oh oui ! Tu as compris ! Je suis une salope ! Être à poil devant vous deux mexcite à mort ! Jai envie de me caresser. De me faire jouir ! Jai honte Pauline, de me montrer comme ça à toi, mais en même temps, ça mexcite !
Pas question de te branler avant que jai fini de tenlever tous ces poils ! Tu vas pouvoir mouiller un moment avant dêtre soulagée. »
Je badigeonne son entre jambes et rapidement jélimine les restes de sa toison grise. Pour attaquer le périnée et lentre fesses, je lui fais relever les jambes. Sa position, déjà obscène, devient pornographique. Cette vieille femme exhibée nue, est complètement soumise. Elle provoque en moi des pulsions de domination.
« Vielle salope ! Vieille pute ! Je vais te faire monter pour tous les mâles de la région ! Ils vont téclater la chatte et le cul, vieille pute ! Je suis sur que tu aimes te faire enculer, vu létat de ton trou ! Tu as dû enfiler des kilomètres de bite !
Oh oui ! Traite-moi de vieille pute ! De salope ! Je suis une salope ! Mon mari aimait menculer ! Il me faut de la bite ! Ça fait longtemps que je nen ai pas eu ! Tu peux faire ce que tu veux avec moi, mais je veux me faire baiser par tous les trous ! »
Pauline est stupéfaite de découvrir son amie ainsi, mais elle ne peut détacher son regard, dautant que, ayant terminé mon ouvrage, jenfile deux, puis trois doigts au fond de la chatte brûlante de Jacqueline. Dun geste vif je la branle. Je rajoute un quatrième doigt et me dis que je pourrais facilement la « fister », mais pour une première je marrête là. Les bruits mouillés et la cyprine qui coule de son vagin annoncent lorgasme de la vieille qui halète, le corps couvert de transpiration. Elle dégage une forte odeur de foutre, Elle se cambre sur la table et dun coup, jouit en criant.
Je retire ma main couverte de mouille, saisis une serviette et sèche tout le bas de son corps, enlevant les restes de mousse mêlés à son jus intime. Jacqueline est complètement abandonnée sur la table. Je me tourne alors vers Pauline et lembrasse tendrement. Elle aussi a chaud. Le spectacle ne la pas laissée indifférente. Je lentraîne entre les jambes de cette dernière, la fait pencher et lui intime lordre de lécher la moule maintenant imberbe de Jacqueline.
Je ne sais si elle y a pensé à lavance, mais elle ne manifeste aucun recul. Pose ses lèvres sur la chatte et sapplique rapidement à lécher lintérieur de la vulve.
Pauline ne me dira jamais si elle avait déjà pratiqué les amours saphiques mais par la suite, elle ne rechignera jamais à saccoupler avec dautres femmes.
Je laisse les deux tribades seules et massoie sur le fauteuil face à elle pour admirer le tableau de ces deux septuagénaires, amies de longue date et copines dans le club de troisième âge.
Bien sûr les corps ne sont plus aussi fermes et harmonieux mais les deux femmes restent malgré tout bandantes et je me caresse doucement en le regardant. Jacqueline tourne la tête un moment vers moi et sourit en caressant la tête de Pauline qui la suce. Elle soupire de plus en plus vite jusquà se lâcher dans la bouche de sa présidente et amie.
Les deux femmes se relèvent, échangent un regard puis sapprochent de moi en souriant. Sagenouillent, elles soccupent de mon sexe. A un moment les deux bouches se retrouvent ensemble sur le gland et leurs lèvres se soudent dans un baiser.
Nous finissons la nuit à trois dans le lit de Pauline, où alternativement, je baise les deux vieilles sous le regard de lautre. Au matin, après un court sommeil, je laisse les deux femmes seules pour partir travailler. Dans laprès midi, je reçois un message de Pauline, qui me demande de passer la voir chez elle dans la soirée.
J'y retrouve les deux femmes qui me racontent leur journée. Tout dabord, elles sont restées au lit très tard, passant le temps à faire lamour. Après le déjeuner, quelles ont pris nues, précisent-elles pour mexciter, elles ont pris conscience quil leur manquait quelque chose entre elles. Les coquines ont alors eu lidée de se rendre dans un sex-shop, pour la première fois de leur vie, pour acquérir quelques gadgets.
Le patron de létablissement, dabord surpris par lâge de ses visiteuses, après avoir un peu discuté avec elles, les a conseillées, ce qui lui a permis de faire une belle vente.
Elles tiennent à me montrer leurs achats. Boules de geishas, gode vibrant et simple, tout cela en double exemplaire, un double gode, elles lui ont expliqué en rougissant quelles avaient des rapports lesbiens, il les a fourni aussi en gel lubrifiant et préservatifs.
La fin est plus comique. En effet, le vendeur leur a proposé une réduction sur leurs achats en contrepartie dune fellation ! Les deux cochonnes ont bien sûr accepté, dautant quil sagissait dun bel arabe. Elles ont pu vérifier en direct que ces hommes sont bien pourvus par la nature. Le commerçant avait un sexe dau moins vingt cinq centimètres. Je crois que den parler, les deux femelles mouillaient à nouveau.
En sortant, il leur a proposé de leur offrir des dessous sexy, si elles acceptaient de se faire baiser par quelques clients.
« Finalement, dis-je, vous autres les femmes matures, vous adorez faire lamour et vous comporter comme des salopes !
Oui ! A notre âge on ne risque rien, même pas notre réputation. Il y a beaucoup de veuves, le seul problème est de trouver des hommes qui veuillent de nous ! réplique Jacqueline.
Il y en a plus que vous ne croyez ! Regardez votre commerçant. Sil vous a proposé ça, cest quil a sûrement en tête, des clients pour deux vieilles salopes ! En plus il va les faire payer, et vos cadeaux ne lui coûteront rien. Tu aurais pensé que je pouvais mintéresser à toi, ou à Pauline ?
Cest vrai ! Mais, tu crois quil y en a dautres comme toi ?
Cest sûr ! Il ny a quà voir les sites internet
Comment ça ?
Il existe des sites qui permettent des rencontres avec des femmes, vous le savez ?
Oui, mais ce sont des jeunes non ?
Détrompez-vous ! Il y en a quelques uns spécialisés pour les vieilles. En général, ce sont des sites avec des vidéos ou des photos pornos. Mais on en trouve avec des blogs. Il suffirait den créer un sur les « vieilles salopes des gaves ».
Ben dis donc toi ! Tu nous prends pour qui ?
Pour ce que vous avez envie dêtre ! Mais il faudrait quon agrandisse un peu le club. A deux, cela ne suffit pas, il faut recruter.
Tu parles facilement toi !
Jai mon idée. Dans votre club, il y a Mélanie qui est une cochonne et je crois quelle est seule en ce moment. Jacqueline, tu vas lui parler !
Moi ? Mais quest ce que je vais lui dire ?
Tu vas lui dire que vous voulez monter un club dans le club. Des femmes qui veulent séclater et connaître des expériences avec les hommes, souvent plus jeunes. Je suis sûr quelle va adorer ça !
Tu la connais ?
Pas intimement, mais je sais quelle aime les hommes et que cest une coquine. Tu lui en parles jeudi et si elle est intéressée, tu lui dis de venir le lendemain soir chez toi. Un homme veut voir avec elle.
Mais
Il ny a pas de mais ! Tu obéis, sinon je te punirai. Je sais que tu aimes ça, mais ce nest pas toujours agréable. »
***
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