Suzanne 6
-- ATTENTION HISTOIRE POUR LECTEURS AVERTIS --
Suzanne 6
Revenons sur ce qui vient de se passer. Jai passé un week-end hyper chaud chez une cougarde, ma « maîtresse » à tous les sens du terme : Suzanne. Et, avec elle, ce week-end là, une connaissance à elle, Ginette. Bien mûre elle aussi. Deux vraies salopes sadiques. Un moment jai bien cru finir châtré. Mais, non, je me suis juste retrouvé avec un piercing sous les bourses, genre boucle doreilles, avec un double anneau en forme de huit, serti pour toujours au scrotum.
Au cours du samedi jétais leur jouet à ces deux salopes, la nuit aussi mais là jétais comme sous anesthésie. En revanche le dimanche, changement de situation, cest la Ginette qui est passée à la casserole, et bien comme il faut.
On a quitté la maîtresse en fin daprès-midi, en lui souhaitant « à bientôt » non sans avoir échangé nos 06 et mos adresses internet. Dans le métro, Ginette et moi avons quelques stations en commun. Elle mentraine au fond du wagon. Comme personne ne peut nous voir, elle se jette sur moi, me baisse le pantalon, le slip, et saccroche à mon sexe comme une folle. Et elle tire sur mon anneau, si fort que je suis prêt à la cogner. « Tu mas bien eue aujourdhui. Je me rattrai ».
Et elle me plante là.
Lundi, retour au boulot. Monotonie, comme dhabitude. Sauf que
11h45. Un mail de Suzanne. « Regarde ta boite e.mail ».
Jallume le portable, et voilà que la Cochonne mapparaît en trois selfies très
XXX.
- Le premier, elle enlève le haut. Enfin, pas tout à fait, elle a un top noir transparent. Et rien dessous bien sûr. Les pointes ressemblent à des fraises bien mûres. Hmmmm
- Le deuxième, cest son cul. Bien gainé dans un collant noir uni du plus bel effet. On a beau ne pas aimer les collants, on est réconciliés avec cette lingerie quand on voit cela. Sublime !
- Le troisième, elle est en body sexy face à lobjectif. La main dans léchancrure.
Retour en Sms
- « Tu bandes, cochon ?
- Je crois que Oui, Madame.
- Tu en mettras une en fond décran. Daccord ?
- OK. Voilà , cest fait. Jai mis la troisième, celle où vous vous tripotez la fente. On voit bien. Hmmmm. Vous êtes vraiment vicieuse. Jadore.
- Tu es seul , là ? Ouvre ta braguette
- Oui.
- Masturbe-toi, décalotte bien. A fond.
- Pas là, je ne peux pas, ma secrétaire risque darriver.
- Justement, cest bien.
- OK mais je ne baisse pas le pantalon.
- Ouvre-le, quon puisse voir ta queue.
- Vous allez me faire jouir, Madame, ce nest pas bien. Pas ici.
- Continue, chéri, imagine que cest ta secrétaire qui te tripote.
- Je crois que je ne vais pas pouvoir tenir.
- Fais trois photos
et tu me les envoies.
Et voilà le travail. Une érection, une branlette, une éjaculation. Trois photos. Jenvoie ? Je nose pas.
- Tu as fini ?
- Oui. Jai juté, jen ai plein le slip.
- Envoie, polisson.
- Oui.
- Voyons ça. Ouiiii La troisième est super bien, trop bien le gland et sa couronne et le jus qui commence à sortir.
- Ce nest pas facile, vous savez, se branler dune main et se photographier avec lautre.
- Je sais, je connais ça
je la garde en écran daccueil celle-là. Merci. A plus.
Et cest raccroché. Juste le temps de majuster ; la secrétaire rentre de déjeuner. Jy vais.
Mardi, rien.
Mercredi, rien.
Jeudi, encore rien.
Vendredi midi, toujours à lheure de la cantine, SMS
- Libre, ce soir, comme prévu ?
- Heu
oui.
- On a rendez-vous chez moi pour lapéro. Vers 19h. Tu viens tel que tu es. Mais
je te garde jusquà lundi matin. Tu préviens ta secrétaire.
- Je lui dis quoi ?
- Que tu seras absent lundi matin. Peut-être même laprès-midi, si tu as besoin de récupérer un peu.
- Je peux arriver plus tôt si vous voulez, je sors à 16h.
- Viens quand tu veux on discutera un peu.
Je sonne à son immeuble vers 17h. On a deux heures, pour nous deux. Car il est clair quil y aura dautres invités à 19h.
Pour une fois, aucune directive à lentrée. Et elle mentend en tailleur pantalon noir du plus bel effet. Surprise !
- Comment sest passée la semaine ?
- Bien.
- Je veux dire, ton joujou entre les jambes ?
- Au début ça me gênait un peu. Un corps étranger. A présent je ne le sens pratiquement plus.
- Montre, sil te plait.
Exécution, je baisse pantalon et slip et, sans toucher, elle dit « ça va ; aucune rougeur, aucune inflammation, cest gagné »
- Puisque nous sommes seuls je vais en profiter pour la séance danthropométrie
- Cest quoi ?
- Tu vas voir ; mets toi nu, tout nu, et reste au repos.
- Difficile de rester au repos, avec vous
- Je te fais tant deffet que ça ? Pourtant je suis une vieille pour toi.
- Ne dites pas ça.
- OK. Donc, je reprends : à poil, et au repos. Sil le faut je te montre des photos de vieilles moches à poil. Mais je peux te bander les yeux si tu préfères.
- Faites, ce sera mieux.
Aussitôt dit, aussitôt fait. Me voilà à poil devant ma vieille Suzanne petite soixantaine chic et sexy. Pour tout vêtement, jai un bandeau noir. En fait, ce nest pas un bandeau, cest un truc quelle a fait avec un de ses dessous. Sans doute un collant. Comme il me recouvre une partie du visage, je sens une odeur de culotte. Une odeur de mouille. Peut-être un peu lodeur de pisse aussi, Hmmm jaime bien. Mais, bon, interdiction de bander quelle a dit.
La séance commence. Classique, ça met en confiance. Pèse-personne. Puis la toise. Cest marrant, je sens quelle veut jouer au docteur.
- Commençons les choses sérieuses. La bite. Au repos, 7cm à peine. Cest peu, mais dans la norme.
- Les couilles, normales, bien suspendues, sensibles au toucher.
- Je vais consigner tout ça sur mon ordi. Avec deux photos du bidule, face et profil. On fera les mêmes en action, plus tard.
Elle me guide vers le fond de la pièce, toujours les yeux bandés. Au bruit des pieds de chaises je sais quelle est en train de sasseoir. Cest alors quelle prend par la taille et me dispose sur ses genoux, comme si cétait pour une correction.
- Une fessée ? Ai-je fait quelque chose de mal ?
- Pas du tout. Je vais te faire un examen intime.
- Comme un toubib ?
- Ah non, alors, bien mieux quun toubib. Détends-toi, laisse-moi faire.
Ce faisant, je sens quelle me caresse les fesses tout doucement. Elle a du mettre des gants latex, je devine. Je sens quelle descend la raie du cul (la rue du quai, dit-elle en riant), et quelle mécarte le petit trou. Salope !!!
- Difficile de rester sans bouger, Madame Suzanne.
- Je sais, je sais. Je vais te passer au colomètre. Tu as le cul propre ?
- Oui, propre. Cest quoi le colo machin ?
- Silence, ne bouge pas, ou je te mets une bonne claque.
- Jaime bien ça, madame, vos claques.
- On verra plus tard. Pour le moment, séance colomètre première partie. Ça ressemble à un thermomètre mais, en fait, cest un truc pour évaluer la profondeur de ton petit cul. Serre les dents, mais pas le reste. Ne bougeons plus
Je sens quelle me maintient bien. Et elle menfile une sorte de canule à la fois rigide et souple. « Cest du silicone médical. Tu ne risques rien. Tu me fais un petit signe quand tu as limpression que je suis au bout. Avant davoir mal ».
Je serre les dents. Et je sens létrange canule senfoncer dans mon cul. Tout doucement, certes, mais sûrement. A un moment donné, ça touche. Je fais signe.
« Cest bon, tout va bien. Jai mis 13 cm. On continue. ».
Sans sourciller et sans hésiter, elle me met encore 5 ou 6 cm, et là je le sens passer. Elle sen rend compte, enlève le tout, me flanque la belle claque que jattendais.
- Comment ? ça ne suffit pas ?
- Cest presque fini. Je vais tenfiler une autre canule, un peu plus large, et la gonfler pour voir combien tu peux prendre. En math ils appellent ça le volume. Ca ne fait pas mal.
Au bout de deux minutes, ouf, cest terminé. Ma fiche est bien remplie.
A force de ma tripoter le cul comme ça, ça ma drôlement excité. Et
impossible de le cacher. Elle me conduit vers le lavabo et me fait un brin de toilette car, on a beau être propre, à force de farfouiller là dedans ça laisse des traces. Et le scat, ce nest pas vraiment mon truc. Jai toujours son collant sur mes yeux, pour ne pas voir.
De retour au salon, je lentends qui pianote à lordi. Et elle se lève.
- Viens par ici, voyons où tu en es. Je nai pas fini de remplir ton dossier.
Deux caresses très douces (ça change) sur les couilles, qui nattendaient que ça. Et voilà ma bite en mode Action.
- Attends, je prends la mesure. Longueur, circonférence. Bel outil.
- Vous ne vous lassez pas, Suzanne.
- Non, mon chéri, pas du tout. Et on na pas terminé.
Et alors elle minstalle à côté delle de manière à jouer avec ma queue bien raide, et en même temps elle arrive à me fourrer un doigt dans lanus. « Jusquà la prostate, tu verras comme cest bon ». Et en effet je bande comme jamais.
- Il est grand temps de faire les tests. On va commencer par lélasticité. Mets-toi debout devant moi, face à moi, écarte les jambes.
Je devrais avoir honte, les yeux bandés, exposé comme un morceau de viande devant une belle femme mûre toute habillée. Quoi que, toute habillée, pour elle ça ne signifie pas grand-chose. Linstant que je redoute arrive. Elle veut voir où jen suis, avec le bidule quelle ma fixé sous les testicules la semaine dernière. Elle tâte le petit anneau, étire un peu le tout. « ça ma lair bien cicatrisé, cest du bon boulot ». En moins de temps quil nen faut pour le dire, je sens quelle accroche quelque chose avec un petit mousqueton. Un poids.
- 200 grammes pour commencer.
- Cest bon. Je suis bien.
- Je vais doubler. 400 grammes.
- Aïe, là je le sens.
- Oui, mais cest normal. Quitte ou double ?
- Double. Pour voir.
- 800 grammes.
- Jai mal, madame, ça va sarracher. Très mal.
- Daccord, on redescend. 600 grammes.
- Jai encore mal, mais pour vous je supporte.
- Je note : élasticité OK jusquà 500 grammes. Limite rupture à 600. Cest bon.
- Cest quoi, ces fils électriques ?
- Ces fils cest pour brancher ta bite à une petite batterie. On appelle ça le twist. Comme la danse des années soixante.
- Ce doit être terrible.
- Pour le danseur, oui. Hi hi
- Est-ce que ça brûle ?
- Ça dépend. Le rhéostat va de 0 à 20. A 20 cest difficile. Jai un pote black qui supporte bien le 20, ça le fait rire ; cest bien le seul. Mais, en fait, lui, il supporte tout.
- A votre avis, je vais jusquà combien ?
- Tu veux essayer ? Cest le test « résistance volt ». Je navais pas prévu pour aujourdhui.
- Jaimerais voir si je passe le 10.
- OK. On va voir si tu danses bien. Jenlève les poids et je te branche.
- Ça fait tout drôle
des chatouilles dans la queue.
- Attends, je monte un peu. 5. Cest bon ?
- Oui. On continue.
- Je suis à 10. Tu te sens bien ?
Je fais le fier. Je résiste mais il faut reconnaître, je le sens, et ça commence à faire mal. Comme si javais des dizaines dabeilles
- Envoyez une décharge à 15, mais juste pour voir.
- Tu ne tourneras pas de lil ?
- Go
.
- Cest parti. 15, Rouge vif !
- Aïe, aïe, aïe, arrêtez sil vous plait. Cest trop. Et pas question de danser.
- Je note. Test résistance-volt. Pas de souci jusquà 10.
- Je pourrai recommencer ce test sur Ginette ?
- Tu veux la faire danser le twist ?
- Oui, je veux lexciter avec cet outil. Je parie que je suis meilleur quelle.
- On verra, on verra. Cest différent selon quon la branche au clito ou aux tétons
En tout cas, on en a fini pour les tests. Enfin, non, presque fini. Il reste lendurance.
- Cest quoi, ça ?
- Ah, cest le meilleur. Reste debout face à moi, masturbe toi un peu.
- Oui Chérie ; Hmmm.
En moins dune minute, ma queue est à lhorizontale. Et même un peu vers le haut. Superbe érection, digne de la Suzanne. Voilà quelle se met à poil, elle aussi. Elle est magnifique. Evidemment, et je men doutais un peu, elle fixe un anneau de quelques centimètres à ma boucle de couilles, il paraît quon dit comme ça.
- Et maintenant, tu me laisses faire. Ou plutôt tu te laisses faire. Et arrête de mappeler Madame. Appelle moi Suzanne, ou un autre nom à ta convenance. Et tu peux me tutoyer aussi.
- Et on fait quoi, Suzanne ?
- Cest simple. Je vais moccuper de toi, faire tout ce qui me passe par la tête. Et toi, défense de juter. Tu jouiras le plus tard possible, quand je te dirai. Le but du jeu cest que tu tiennes longtemps. On lappelle « enduro » ce test.
Et, ce faisant, voilà quelle sen prend à mes testicules. Ah, ses doigts, on dirait une pieuvre. Elle les suce un peu et, comme jai les jambes bien ouvertes, voilà quelle sen prend au périnée. Et un petit coup de langue bien râpeuse dans la raie du cul. Ouahhhh que cest bon.
- Une bonne petite pipe, ça te dit ?
- Tu es une vraie sorcière.
- Donne-moi ton gland, jai faim
Pas besoin de lui donner, elle prend. Comme une boule de glace. Je me retiens. Je pense à ma vieille voisine moche et à son mec mal rasé ; ça aide.
- Tiens bon, chéri, et elle se met à tirer sur lanneau des testicules. Je sais, ça fait mal, mais ça aide à tenir. Mets-toi sur le dos, on va faire Andromaque. Mais à lenvers.
- Ok mais je te préviens, ce sera dur à maîtriser
Superbe, cette scène. Je nen reviens pas. Elle est agenouillée sur moi, empalée sur mon sexe, et elle me tourne le dos. Son joli dos. Nos quatre mains sont occupées. Les miennes tantôt sur son dos, ses hanches, tantôt sur ses nénés, et je peux lui tripoter les tétines elle adore. « Encore, encore, crie-t-elle, cest trop bon
Retiens-toi mon polisson, retiens-toi. Jen veux encore ». Et elle, de son côté, a pris les choses (les miennes) en main, à pleine main ; elle joue avec mes couilles comme un sac de billes. Alors, jose, je lui lance. « Salope, vas-y, serre moi fort, fais moi mal ».
La séquence dure depuis plus de 20 mn.
- « Assez, on a atteint le temps imparti. Tu as marqué le point, dit-elle en sempalant jusquà la garde.
- Oui, mais je nai pas joui
- Justement. Jai envie de te faire plaisir. Et à moi aussi dailleurs. On finit en beauté. »
Et alors, elle sélève, sort ma queue de sa fente bien juteuse, lajuste à son petit trou en deux temps trois mouvements, et se laisse tomber dun seul coup. Enculée jusquaux couilles.
- « Vas y, remplis moi, laisse toi aller, jen veux jen veux, envoie moi tout ton jus dans mon cul
Ouahhh »
Ainsi se termine ce début de soirée après que jaie juté et rempli son anus bien huilé.
- « Viens prendre une douche, petit chéri, avant que les autres arrivent »
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