Vive Le Sport : Rêverie Dans Le Vestiaire
Petite variante du rêve de mon souvenir à la piscine.
Laquelle préférez-vous ? Celle dorigine dans Souvenir (7) « Vive le sport » ou celle-ci un peu plus délirante ?
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Martine prend le volant, je vais avoir 20 minutes de repos. Dans la voiture, comme chaque fois que Martine conduit, je suis bercé par le ballet de ses cuisses qui sécartent et se resserrent, passant du frein à laccélérateur.
Je ferme les yeux goutant le plaisir de me faire conduire, mon esprit retourne à la salle de gym.
Je nous revoie sortant de la piscine
direction les vestiaires.
Nous sommes surpris, alors que nous pensions nous séparer, les hommes à gauche, les femmes à droite, le gardien na laissé quune seule salle ouverte, regroupant toutes les affaires dans une même pièce.
Il faut dabord passer à la douche avant de se rhabiller, vestiaire commun, douches communes. Notre petit groupe arrive, il y a là avec nous, Jean-Claude et sa femme Julie, Vincent, Simon et Joseph.
Trois hommes entièrement nus sont en train de se rincer. Martine fait semblant de ne rien voir, mais en profites, comme jen aurais profité sil y avait eu des femmes, petit regard en biais.
Jai limpression dêtre le seul surpris, sans aucune hésitation nos amis tombent leur maillot sans aucune gêne, Simon le premier exhibant une queue asses longue, les autres suivent sous le regard intéressé de Julie et de ma femme.
Martine non plus nhésite pas, son soutien-gorge saute, suivi de près par sa culotte, à côté de moi Julie est déjà nue, personne ne sera surpris cest vers elle que se tourne mon regard.
Martine ne se cache pas, nessaie pas de protéger sa nudité, bien au contraire très à laise, nue au milieu de nos amis, face à eux. Eux ne se gênent pas pour admirer sa poitrine, sa fine toison, ses fesses potelées dont le blanc fait ressortir la sensualité.
Sous la douche, Martine tourne sur elle-même, laisse couler leau le long de son corps, se lave en se caressant les seins, la chatte, les fesses. Je vois les queues se tendre, son but est atteint.
Je profite surtout de la scène offerte par Julie, elle aussi se lave de façon sensuelle pour le bonheur des mâles présents. Suis-je plus excité par le spectacle que moffre Julie, ou par celui que Martine offre aux hommes qui lentourent ?
Julie se retrouve rapidement dans les bras de son mari, quelques bisous, ils se lavent mutuellement, de tendres caresses, elle le branle en lui souriant, il a lair aux anges. Cest beau, cest excitant
Je les regarde, alors que ma femme a relevé ses cheveux dans un geste naturel, les bras en lair, qui lui fait remonter sa poitrine.
Simon sapproche de Martine « je te lave le dos ? », et sans attendre sa réponse, prend du savon au distributeur et commence à lui passer la main sur les épaules, sur les bras, sur les fesses, il la lave consciencieusement, au passage sa queue frôle Martine. Il se rapproche, se colle contre elle, passe sa main devant pour lui « laver » la poitrine, se frottant à elle par derrière. Tout le monde rit sans sen offusquer. Martine laisse faire, un sourire éclatant inonde son visage.
Vincent se déplace devant elle « là je prends le relais » et tandis que Simon continue à lui laver/caresser le dos, avec ses mains et avec son sexe, Vincent se charge de ses seins, longuement, tendrement, il insiste, sattardant sur ses tétons, sa main passe sur son ventre, descend le long de son pubis, ses doigts se perdent dans sa toison, il glisse sa main entre ses jambes. Martine écarte un peu les cuisses, ferme les yeux et se laisse emporter par cette double caresse. Elle frisonne, me regarde sans me voir, le plaisir se lit sur son visage.
Martine est couverte de savon, des pieds à la tête, pleine de bulles blanches, seuls ses tétons roses et sa toison brune crèvent ce voile immaculé.
Elle ondule des hanches, frottant son pubis contre sa queue surement déjà bien raide. Jai remarqué quil est circoncis, jimagine son gland décalotté en contact avec sa chatte, avec son clito.
Je tourne les yeux, Vincent est en train de laver/caresser Julie sous le regard hilare de Jean-Pierre, son mari, jai envie de laider. Julie à la peau douce. Vincent se retourne et donne une petite tape sur les fesses de Martine « attention tu vas luser à force », tout le monde rit.
Martine se détache de Joseph qui bande, la queue en lair. Avec un grand sourire, elle vient vers moi, « Je vais te laver, toi aussi tu dois en avoir besoin », elle prend du savon, me frotte le torse doucement, tendrement, sa main descend elle me savonne le ventre, me savonne la queue
ça mousse. Sans hésiter, elle me branle en me regardant dans les yeux, et pose un doux baiser sur mes lèvres.
Simon sapproche « je tai lavé, à toi de faire maintenant ». Avec un grand sourire, Martine tend le bras, étale du savon directement sur la queue de Simon, qui en profite pour embrasser Martine dans le cou.
Martine une « savonnette » dans chaque main, nous branle en cadence, quatre mains se partagent son corps, chacun un sein, chacun une fesse, on se partage ses baisers.
Vincent sapproche « et moi ? », Martine tourne la tête vers lui avec innocence « pour ceux qui en veulent, le savon est là » en désignant le distributeur accroché sur le mur.
Une sonnerie nous informe que le club va bientôt fermer. Simon, encore lui, donne le signal, petit tour rapide sous la douche pour se rincer, direction le vestiaire.
Je veux prendre Martine par la taille, elle nest plus à côté de moi. Restée en arrière, elle me fait un petit signe « part devant ».
Arrivé au vestiaire, je me retourne, Martine est toujours sous la douche, elle a lair toute petite dans les bras de Joseph, leurs bouches sont collées, ils échangent un baiser langoureux. Joseph dune main lui pétrit les fesses en la tenant serrée contre lui, de lautre il lui malaxe un sein. Martine, pendue à son cou, a posé une main sur une partie de son anatomie « que rigoureusement ma mère ma défendu de nommer ici », elle le masse lentement.
Intrigué, je les regarde
Martine se détache un peu de son chevalier servant, lève les yeux vers moi, je nentends pas ce quelle essaie de me dire, mais je peux lire sur ses lèvres « va mon chéri, jarrive », et pose à nouveau ses lèvres sur celle de Joseph.
Je rejoins le vestiaire déjà plein de sportifs à moitié nus. Jenfile mes vêtements machinalement pour faire comme tout le monde. Personne ne fait attention à Martine et Joseph, aucune réaction, aucune réflexion.
Bourdonnement des conversations, brouhaha incompréhensif, je ne perçois quun bruit de fond qui a du mal à couvrir les sons qui me parviennent de la salle de douche, des soupirs, des gémissements, des râles de plaisir, personne ne semble y prêter attention. Suis-je le seul à les entendre ?
Je retourne sur mes pas. La salle de douche est vide, personne, pourtant jentends toujours les mêmes bruits caractéristiques.
Dun coup, la salle se rempli de buée, je ne vois plus rien. Je mavance prudemment, uniquement guidé par les soupirs qui samplifient à mon approche.
Enfin, perçant la brume, je perçois des silhouettes. Est-ce Martine accroupie devant Joseph, sa bite dans la bouche, agrippée à ses cuisses, une main posée gentiment sur la tête.
Je mapproche un peu, les ombres deviennent floues, les silhouettes sestompent, il ny a plus personne.
Les gémissements persistent, ils viennent de plus loin. Excité et curieux, je me dirige vers de nouvelles ombres, une femme penchée en avant, bien cambrée le cul en lair, les mains appuyées contre le carrelage blanc, acceptant lhommage dun homme derrière elle. La buée estompe les traits, est-ce Joseph accroché aux hanches de Martine ? Est-ce lui qui la baise par derrière ?
limage se brouille, disparait, encore un mirage.
Je me retourne, pas de doute je les ai enfin trouvés, ce sont eux. Sans faire attention à ma présence un couple enlacé sembrasse et se caresse, debout. Je tends la main pour toucher Martine
rien, le vide, personne
encore un couple debout, enlacé, encore un autre, trois, quatre, dix couples autour de moi. A chaque fois que je tends la main, elle se perd dans le vide qui mentoure.
Les soupirs redoublent à lautre bout de la salle. Cette fois doit être la bonne, plus javance plus les gémissements se font précis. Ils émanent de ces deux corps, Martine et Joseph ? Martine étendue sur une banquette, une jambe dans le vide, cuisses écartées, Joseph est allongé sur elle, ils sembrassent, il lui caresse un sein, je vois ses fesses monter et descendre me faisant comprendre quil a investi son intimité. La femme ma-t-elle vu, est-ce à moi que ce sourire sadresse ?
Je me penche pour mieux distinguer leurs visages, pour lire la jouissance sur le visage de Martine ... tout sefface, la banquette est vide.
Je ne sais plus où je suis. Des bruits, toujours les mêmes, semblent provenir de partout, devant, derrière, comment savoir ? Vers où me diriger ?
Comme par enchantement, la buée se dissipe. La salle de douche me semble immense, je ne distingue même pas les murs dun blanc immaculé. Personne, la salle est vide, totalement vide. Pourtant jentends toujours les mêmes râles, les mêmes soupirs.
Je marche sans savoir où je vais, au hasard.
Tiens, me voilà devant lentrée du vestiaire. A lintérieur nos amis sont encore en train de shabiller, ils discutent toujours, je vois leurs lèvres bouger, mais aucun son ne sort, je nentends que la respiration haletante dune femme qui saccélère et qui samplifie.
Soudain un flash, une lumière blanche venant des douches illumine toute la pièce et un cri, un long cri déchire le silence, le cri de jouissance de Martine.
Autour de moi, personne ne bouge, personne na entendu, personne na rien vu. Aucune tête ne se lève, certains sen vont dautres arrivent, suis-je le seul à avoir compris le plaisir de Martine ? Son cri résonne comme un écho répercuté à linfini sur les murs de faïence.
Le silence sinstalle, plus aucun bruit, excepté celui dune douche qui coule au loin.
Nouveau flash, dans un halo de lumière la porte du vestiaire souvre devant Joseph triomphant, affichant un large sourire, content de lui, sa serviette sur lépaule, sa bite en berne. « Aaah ! » cent bouches lacclament
La gloire na quun temps, tous les yeux se détournent. Derrière lui, enroulée dans une serviette, Martine apparait dans lembrasure de la porte, éclairée en contre-jour. Elle avance lentement vers nous, le visage affichant le sourire radieux dune femme après lorgasme.
Une foule dhommes a envahi le vestiaire. Cent, mille mâles regardent Martine marcher au ralenti, les quelques mètres qui nous séparent semblent interminables.
Sa serviette tombe au sol, Martine continue sa marche entièrement nue. Des centaines dyeux la contemplent, des centaines de queues au garde à vous lui rendent hommage. Ignorant le trouble quelle provoque, comme absente, elle fend la foule pour venir devant moi « je nai pas été pas trop longue mon chéri », et dépose une bise sur mes lèvres.
Nos amis forment un cercle autour de nous. Il y a là Simon, Vincent, Jean-Pierre et quelques inconnus, où sont passés les autres ? Martine lentement fait un striptease à lenvers, sa culotte
sa robe
chacun peut admirer avec quelle grâce elle fait profiter de ses charmes tous ses admirateurs. Elle reboutonne sa robe lentement, laissant ses seins à la vue de son public.
Elle vient alors se blottir dans mes bras, nous nous abandonnons dans un baiser langoureux qui nen finit pas, une minute, une année, un siècle. Collée contre moi, elle ne laisse découvrir que ses fesses
jouvre enfin les yeux, nous sommes seuls, tout le monde est parti, le vestiaire est vide
tiens je croyais être habillé, Martine aussi
nous sommes nus lun contre lautre.
Les hautparleurs diffusent une musique douce.
Une porte souvre, venue de je ne sais où, Julie apparait dans le plus simple appareil, suivi, dune, deux, dix, cent femmes nues, elles sapprochent de nous, des mains me touchent, me caressent, caressent Martine.
Martine me chuchote à loreille « choisi celle que tu préfères ». Mon regard balaye la salle autour de nous, comment choisir ? Elles sont toutes plus belles les unes que les autres, une brune ? Une blonde ? Une rousse ? Une grande black, une frêle asiatique ou Julie, la belle Julie
Elles me plaisent toutes.
Debout face à elles, je bande sans essayer de me cacher. Je nose pas bouger, je les vois sans les voir. Martine pose sa main sur mon épaule, me secoue légèrement me tirant de ma léthargie : « Il faut choisir
Patrick, tu rêves ? ».
« Patrick, tu rêves
nous sommes arrivés », une main sur mon épaule Martine me secoue gentiment, elle me réveille un peu trop tôt. Bercé par le ronron de la voiture, je me suis assoupi. Jouvre un il, nous sommes dans le parking de notre immeuble.
Martine me sourit « Dis donc, je ne sais pas qui hante tes pensées mais vu ton sourire, ce ne doit pas être désagréable ».
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