Carnets Des Voluptés : Une Étudiante Pas Si Sage-Côté Elle
La volupté est faite de désir, de perversité, de curiosité allègre, d'insistance libertine. - Colette
"Carnet des voluptés" est une rubrique de récits érotiques dont les histoires sont indépendamment et simultanément écrites côté homme et côté femme comme une sonate à quatre mains.
En franchissant le porche monumental de la faculté, Janine eut limpression de sortir dun tunnel. Un tunnel qui la retenait prisonnière depuis exactement un an. Triste jour anniversaire !
En général, un anniversaire de rupture ne se fête pas. Surtout quand on a limpression davoir touché le fond. Depuis quavec Julien, lami denfance, ils sétaient juré de se marier, elle navait vécu que dans limpatience de vieillir pour sceller définitivement cette destinée. Très vite et trop jeune elle sétait donnée à lui totalement. Un tourbillon les avait emportés dans une relation charnelle qui était prématurée. Les appétits sexuels de ladolescente avaient fini par effrayer son amoureux et sans doute le lasser sinon lépuiser. Les derniers mots de Julien furent : « tu me dégoûtes, tu ne penses que ça ! »
Vexée, meurtrie, culpabilisée, Janine sétait repliée derrière une austérité sentimentale et sexuelle ressemblant à un deuil, celui de ses espérances dans une vie sans nuages avec son amoureux.
Après un an de jachère où elle se consolait dans létude de lhistoire, elle avait enfin décidé de réagir et de sortir de cette situation. Elle allait faire de ce jour de commémoration malheureuse un nouveau départ.
Cest ainsi quaprès ses cours en fin daprès-midi, elle était déterminée à croquer dans la vie en renvoyant au statut de « première expérience malheureuse » son amour de jeunesse. Elle se rendit à la brasserie où elle étudiait après la fermeture de la bibliothèque car elle étouffait dans sa minuscule chambre de la cité universitaire. Elle sinstalla à sa place habituelle au fond sur une banquette pour commencer létude dun ouvrage du philosophe romain Sénèque.
Plongée dans son pavé de littérature romaine, elle peinait à se concentrer lorsquelle remarqua que le garçon et le type appuyé au comptoir la regardaient et visiblement samusaient beaucoup en parlant delle. Elle se sentit encore rougir et des picotements à peine perceptibles la rendait nerveuse. Machinalement elle ajusta sa petite robe noire sur ses cuisses comme si cela pouvait détourner les regards des deux hommes. Bientôt elle eut limpression quune correspondance brumeuse sinstallait entre elle et les deux types du bar les isolant des autres occupants de la brasserie.
Elle évitait de regarder franchement dans leur direction. Une étrange sensation d lenvahissait ; sa robe collait à sa peau ; elle sentait le cuir de la banquette lui brûler les fesses ; elle dût essuyer plusieurs fois ses énormes lunettes ; elle éprouvait sans cesse la nécessité de croiser puis décroiser ses cuisses. Elle sentait quil se passait quelque chose en elle. Elle souhaitait quil se passât quelque chose.
Se réfugiant dans son livre, Janine sentait une présence tenace mais elle nosait plus relever son visage, lorsquune voix jeune et un peu étranglée se fit entendre : « je ne suis sans doute pas celui que vous attendez ici mais vous lisez peut être du Proust alors je vous apporte les madeleines pour accompagner votre thé.
Décontenancée par cette intervention, Janine piqua un fard et ne sut que répondre. Elle se sentait soudain stupide, incapable de parler et restant la bouche ouverte. Elle aurait voulu disparaître, ne sachant comment réagir mais elle se reprit un peu après quelques secondes qui lui parurent interminables :
« Non ce nest que Sénèque » fit-elle en se mordant les lèvres davoir répondu maladroitement au premier degré alors quun brin dhumour aurait été plus judicieux. Elle se reprit en ajoutant pour combler ce long nouveau silence : « mais jadore les madeleines. » Elle venait douvrir la porte à ce séducteur annoncé avec cette formule qui pour elle nétait encore que de politesse.
Pendant quil sinstallait en face delle, Janine put dévisager lhomme. Il faisait jeune mais avait sans doute au moins cinq ans de plus quelle. Il avait un beau visage de grand blond aux cheveux souples coiffés en arrière ; un petit front ; des yeux bleus délavés de rêveur ; un nez droit sans défauts ; une bouche plutôt étroite aux lèvres sensuelles, un menton volontaire. Ne sachant que faire de ses mains après avoir écarté son livre, elle saisit une madeleine et la trempa dans le thé.
Elle craignait quil naborde lhistoire des souvenirs de jeunesse avec la madeleine de Proust et cela ne manqua pas darriver. En poussant un long soupir, elle lui répondit, cette fois plus habilement : « Mes souvenirs de jeunesses ne sont plus ma tasse de thé. » et elle ajouta en riant « Heureusement ! »
Un long moment de fou rire les réunit. Pour elle cétait plus un rictus pour chasser définitivement sa douleur. Dailleurs, quand elle eût fini de sesclaffer son visage juvenile redevint sérieux puis triste, terriblement triste. Cest alors quelle lui lança en usant subitement du tutoiement : « Fais- moi oublier ! »
Elle le vit soudain mal à laise. Elle ne lui plaisait pas ? Il la trouvait trop jeune ? Trop stupide ? Trop facile ? Il la prenait pour une pute ? Il croyait quelle se moquait de lui ?
Pourtant il lui plaisait, il était beau, il paraissait gentil, et puis quand même il lavait abordée avec des intentions qui paraissaient si claires.
Après avoir jeté un regard panoramique sur elle, il saisit le livre de Sénèque en essayant de lui faire croire quil sintéressait à lhistoire ou plutôt à lhistorienne quelle était. Elle sourit à nouveau lorsquil lui dit : « Tu sais jai quelques bouquins dhistoire romaine qui pourraient te rendre service dans tes études. »
Elle le regarda étrangement et faisant semblant dentrer dans son jeu elle ajouta : « eh bien ! tu veux me les montrer maintenant ? »
Elle le vit si embarrassé de quitter ainsi la brasserie devant le regard goguenard de son copain barman que cela rendit définitive son envie de baiser avec lui.
Dans lescalier, elle monta à ses côtés en tenant ses distances et en prenant soin de ne pas le devancer pour ne pas quil regarde ses fesses. Elle resta silencieuse mais son corps attendait tant depuis un an quelle se laissa prendre par le désir qui lembrasait de plus en plus à mesure quelle gravissait les marches. Lorsquils entrèrent dans le studio elle fut surprise quil lui demandât de quitter ses bottes tandis quil ôtait ses chaussures. Cela lui procura même une certaine excitation de glisser ses pieds gainés de nylon sur lépaisse moquette devant ce garçon .
Elle quitta sa veste et se laissa guider vers létagère où effectivement il y avait deux volumes dune histoire de Rome. Elle rejoignit le canapé et commença à feuilleter les ouvrages par curiosité sinon par politesse car ils navaient aucun intérêt pour elle.
Elle samusa longtemps à le sentir avide den finir avec sa lecture mais malicieusement elle tournait les pages en laissant le garçon attendre tandis que sa petite culotte se collait contre sa vulve qui coulait dans lattente du plaisir. Lorsquil lui proposa de venir consulter chez lui ces ouvrages quand elle le voudrait elle faillit éclater de rire devant une proposition aussi maladroite que risible.
Elle se tourna vers lui en souriant et, alors quil allait lui dire comment il sappelait elle posa sa main sur sa bouche en lui disant quelle ne voulait pas savoir son nom et quelle ne lui dirait pas le sien, tout ceci en avançant ses lèvres vers les siennes.
Elle aima de suite le contact de la bouche étroite et pulpeuse sur laquelle elle posa ses fines lèvres maquillées de rose. Satisfaite de le sentir surpris, elle en profita pour prendre linitiative en goûtant sa bouche en y promenant ses fines lèvres délicatement. Elle les appliqua plus fermement dans un baiser ventouse puis se décolla de son visage satisfaite de lempreinte rose et luisante quelle avait déposée sur ses lèvres soudées de stupéfaction. Elle avança un doigt pour étaler sur toute la surface des lèvres le résidus de rouge, comme si elle maquillait son partenaire.
Elle eut envie de sentir les mains du garçon dans sa chevelure mais comme il paraissait sur la défensive, elle les saisit pour les amener sur sa nuque. Elle fut déçue par sa retenue. Comprenant quelle devrait assumer le tempo de leurs échanges, elle saccrocha à son cou pour lattirer contre sa bouche. Enfin, son premier vrai baiser depuis un an ! Elle y mit toute sa fougue de victime dune frustration imposée. Elle le cherchait avidement ; cétait comme un cri daffamée quelle poussait dans sa gorge. Elle voulait dans ce baiser effacer la rancoeur accumulée pendant douze mois de chasteté.
Tout en continuant de soumettre sa bouche aux délices de cet enfer charnel, elle descendit ses mains sous la laine du pull pour le retirer tout en y promenant ses doigts et ses ongles, caressant et griffant la peau douce et imberbe du garçon. Le pull retiré, elle se colla à son corps tout en lui demandant de lui enlever sa robe. Elle apprécia que ses mains sattardent sur ses cuisses lorsquelles découvrirent quelles étaient gainées de bas. Son excitation navait cessé de monter et sa petite culotte baignait maintenant dans son jus poisseux. Elle sentit la caresse du coton de la robe qui séchappait, guidée par les mains redevenues précises de Ray. Elle se blottit contre le torse nu du garçon et sa bouche retrouva la sienne, naturellement. Elle accepta cette fois le jeu des partenaires. Le solo de sa langue fut remplacé par un duo aux échanges harmonieux. Un nouveau monde souvrait devant Janine.
Collée au garçon, Janine sentait ses petits seins semplir de désir et darrogance. Elle jubilait lorsquils se réveillèrent contre le torse de Ray. Elle avait besoin dun homme depuis si longtemps quelle attendait beaucoup de Ray. Elle ne voulait supporter aucune maladresse, aucune retenue, aucune insuffisance, aucune méprise, aucun relâchement de son partenaire quelle navait choisi ou plutôt accepté que pour se sentir femme à nouveau. Elle voulait ressentir avec lui en une seule nuit tout ce quelle avait vécu avec Julien en trois ans. Ray devait lui servir à effacer la fuite de son premier amour. Cet état desprit la rendait gourmande de ce garçon qui maintenant lembrassait avec une passion quelle partageait sans retenue. Elle frémit quand elle le sentit si habile à la libérer de létreinte devenue insupportable de son soutien-gorge. Elle comprit quil allait aimer ses seins ronds dont la petitesse la complexait. Les lèvres enflammées par le baiser interminable qui unissait à la fois leurs bouches et leurs torses dénudés, elle profita dun instant de répit pour venir sattarder sur les tétons du garçon. Elle saperçut non sans déplaisir que cétait là pour son partenaire nouveau une découverte. Cela lencouragea à y prolonger sa fougue licencieuse. Les râles et grognements du garçon la poussèrent à exagérer les pratiques les plus salaces pour lachever avec ses propres tétons quelle appliqua contre ceux du garçon.
Ne lui accordant aucune pause, elle plongea une main dans son jean pour y empoigner la bite. Ravie de découvrir quil navait pas de slip, elle se rendit compte de suite de sa grosseur. Les petits doigts de sa main gauche narrivait pas à en faire le tour. Quelle différence avec celle de son premier et unique amant qui avait un sexe si fin. Sans lâcher la queue dénudée, elle lui tendit à nouveau sa bouche pour un baiser où sa langue suivit le rythme des pressions quelle exerçait avec sa main. Elle le sentit, après une séance si intense, se tendre et crier quand le flot de sperme jaillit dans le jean entre ses doigts qui emprisonnaient la pine vaincue une première fois. Le sourire quelle ne put dissimuler ne sadressait pas à lui mais aux expériences analogues quelle faisait subir à Julien qui en était si gêné, notamment quand ils étaient dans des situations où lon pouvait les voir : cinéma, bouchon de circulation, promenade dans les jardins publics, repas ennuyeux en groupe etc.
Contemplant ses yeux étonnés, elle se contenta de lui dire : « tu as un lit ? »
Lorsquelle entra dans lalcôve où un lit encore défait étalait laffront dun lupanar encore tiède des ébats précédents, elle entendit la boucle du ceinturon du jean tomber sur le sol. Elle le vit sapprocher, superbe dans sa nudité déphèbe prêt à lhonorer dune ardeur loin dêtre assouvie. Elle fut soulevée puis balancée sur la couche tandis quune main ferme sapprêtait à arracher sa dernière parure. Elle se défila avec la souplesse dun félin tout en lui disant : « Laisse-moi encore un peu ma petite culotte ! » Et se retournant sur lui elle se coucha sur le corps musclé de son partenaire qui ne sétonnait plus des bizarreries de la jeune fille. Elle entama alors un curieux chevauchement en collant son pubis voilé de rose contre la grosse bite qui reprenait des proportions majestueuses. Elle lui fit subir alors un délicieux massage en se frottant contre la hampe. Le buste dressé en sappuyant sur ses bras tendus, elle le chevauchait, cuisses ouvertes, en rugissant de plaisir. Elle sentait le pieu noueux glisser sur sa culotte tandis que sa chatte ouverte inondait la soie rose qui se souillait de cyprine. Son clitoris relevait le défi dexciter la tige martyrisée et émergeait de son sillon fangeux en poussant lexcitation du garçon à son paroxysme. Elle seffondra sur lui écrasant sa petite poitrine aux tétons en ébullition sur son torse et lui murmura un ordre qui le stimula. Aussitôt il bascula sur elle, lécrasant de tout son poids pour venir avec son gland appuyer sur la culotte tendue et la transpercer. Ce fut en vain quil sefforça de la pénétrer. Janine remuait ses hanches pour laffoler. Son bouton en éruption cherchait et trouvait le contact du gland turgescent qui redoublait de puissance pour déchirer le tissu. Elle sagitait en espérant recevoir la récompense que sa vulve appelait en crachant sa bave et son écume. A nouveau elle fut aspergée par les jets de foutre chaud et gluant qui vinrent se mêler à la mouille imbibant sa culotte. Elle saffaissa, déçue mais satisfaite davoir reproduit ses instants vécus avec Julien quand celui-ci refusait de la déflorer et quil lobligeait à faire lamour en gardant sa culotte.
Le garçon semblait épuisé par ce traitement. Janine se leva pour boire de leau. Elle avait toujours envie de lui. Il était si beau et coopérant. Cela la changeait des craintes et pudibonderies de Julien. Elle était maintenant sûre dy avoir gagné quand celui-ci lavait abandonnée. Pas encore lassée bien au contraire de son étalon de cette nuit, elle savança vers le lit avec lidée dabreuver le garçon avec ses propres sécrétions vaginales. Elle le prit à la gorge en entourant son visage de ses cuisses. Elle lencouragea à boire en elle en larrosant de mots orduriers et salaces qui le réveillèrent au-delà toutes ses espérances. Léchant sa culotte saturée de mouille, il la croqua et la déchira avec ses dents pour atteindre ses chairs en feu où sa langue fit des ravages. Il savait la trouver dans les plis de ses lèvres ; entrer dans sa fente tel un serpent fureteur ; débusquer son bouton pour en faire une friandise. Tout devint lumineux et explosif grâce à lhabileté de Ray qui la faisait jouir avec une précision technologique. Elle ne sut comment cela se termina tellement elle hurla son plaisir surtout lorsquil lui saisit les hanches pour la coller à sa bouche et lui interdire toute échappatoire. La main de lorgasme lempoigna jusquau plus profond de ses entrailles, elle se sentit trembler, entraînée au fond dun abîme inconnu ; sa chair éclatait de partout. Elle retomba sans énergie, comme morte de plaisir aux côtés de cet amant si précis et précieux.
Elle ne sut combien de temps elle resta ainsi sans pouvoir bouger. Elle se rendit compte que le garçon la regardait tendrement et cela la toucha. Elle lui sourit car elle sentait quil avait aimé son comportement. Un bref coup doeil à son sexe la rassura sur son pouvoir de séduction car il était à nouveau dressé. Elle ressentit le besoin de se confier après quil eut pris linitiative dentamer un dialogue que leur fougue bestiale navait pas permis déclore. Elle lentendit lui demander si une « drôle de fille comme elle » avait eu beaucoup damants. Et elle ne lui cacha pas quil ny en avait eu un avant lui. Mais surtout elle ajouta de sa petite voix de gamine : « Tu me fais quand même un peu peur, mon chéri » et, voyant quil ne comprenait pas où elle voulait en venir, elle ajouta : « cest pas vraiment toi qui mangoisse mais cest plutôt la grosseur de ta bite. Je ne sais pas si elle pourra entrer car lautre lavait beaucoup plus fine». Et elle éclata dans un long rire presquin. Ce nest quaprès quelle reprit son sérieux pour échapper dune voix impersonnelle mais décidée : « Enfin, si elle le peut je veux le savoir tout de suite. »
Débarrassée de sa culotte qui avait été mise en charpie par lardeur de Ray, elle revint sasseoir sur ses cuisses, le regardant avec malice. Se saisit de sa queue qui nétait pas encore dans son état le plus imposant et pourtant les doigts de sa main droite ne pouvait déjà plus en faire le tour. Elle commença à la caresser doucement avec un succès qui la fit rire comme une gamine. Sa petite main glissa sous la bite en suivant les lignes bleutées des veines. Puis elle sarrêta sous le col du gland, le serra comme si elle voulait faire jaillir le gros bout lisse à loeil menaçant. Son pouce joua sur la peau lisse et tendue et samusa en malmenant le trou maléfique. Puis elle joignit son autre main sur la hampe qui maintenant se portait au mieux et entama une masturbation prodigieuse avec le tuyau formé de ses dix doigts. Le résultat fut diabolique : lhomme commençait de grogner de plaisir sous le savoir-faire faussement maladroit de la jeune fille.
Son visage se referma lorsquelle souleva son petit cul pour poser le gland qui lui paraissait monstrueux contre sa fente étroite. Elle se laissa descendre sur le pieu qui maintenant subissait le poids sa vulve qui sétait asséchée dans la crainte de la douleur. Elle se bloqua dès quelle écarta un peu plus les cuisses pour souvrir au passage de lengin. Elle hésitait, tremblante et peu rassurée.
Elle comprit quelle naurait pas la force de sempaler ainsi sur son amant. Le regard quelle lui lança était un message de détresse.
Elle nattendait quun geste de lui et il arriva lorsquil la renversa sur le dos pour venir se placer entre ses cuisses et entamer la préparation de la fentine pour quelle puisse supporter la pénétration. Elle se laissa faire, confiante et déterminée. Progressivement ses chairs se ramollir jusquà la rendre plus réceptive. Les mots doux et tendres qui accompagnaient les gestes précis de Ray apprivoisaient ses sens en anesthésiant ses craintes. Elles ne ressentit aucune douleur, une fois sa vulve redevenue fondante, la bite entra sans forcer dans létui fragile. Ce nest que lorsque lavancée du pénis buta sur le fond de son vagin quelle sut que cétait fait.
Ce moment où la pieu épais simmobilisa dans son ventre fut délicieusement interminable. Elle sentait sur elle son corps lourd de souveraineté et de contrôle. Elle avait besoin de le retenir en elle, lui, si imposant de puissance, si différent de ce quelle avait vécu sexuellement, si nécessaire à cette plénitude à laquelle elle goûtait maintenant depuis quil remplissait ce vide de toute sa puissance de mâle. Ses muscles se détendaient maintenant, la crispation qui la bloquait sévaporait . Elle était capable désormais de recevoir lassaut viril capable de la combler, de la sublimer, de la rassasier, de lui ouvrir les portes dun plaisir rêvé mais encore inconnu. Ses pensées lenvahissaient et lencourageaient maintenant à participer à cette fête initiatique dédiée au plaisir suprême.
Elle rompit le long silence dune supplique impérieuse : « Remplis-moi encore ! Totalement chéri ! Déverse en moi tout ton jus ! » Elle sagrippa à lui de ses cuisses et de ses mains pour subir les coups de bite qui senchaînèrent sur un rythme progressif et haletant où leur lucidité se perdait.; où les mots nétaient plus intelligibles. Puis elle le sentit ralentir pour gagner en force aussitôt en ressortant sa queue pour la transpercer sans vergogne. Elle lencourageait à poursuivre, à ne jamais sarrêter et il lui obéit jusquà ce quune clameur commune retentit, les laissant exsangues sur la couche tandis que la queue remplissait la fille jusquà la dernière goutte.
Elle le vit épuisé tandis quelle ressentait une béatitude extraordinaire. Le petit jour était là quand il sendormit contre elle. Cest à regret que le pénis séchappa de ses chairs. Il était maintenant rabougri et inoffensif lorsquelle se dégagea du corps de son amant. Elle se leva, enfila sa petite robe à même son corps encore plein des effluves de la nuit quelles voulaient conserver intactes sur sa peau, rajusta ses bas et décida de laisser en cadeau son soutien-gorge et sa petite culotte devenue inutilisable.
Elle rafraîchit son visage et après sêtre maquillée, avec son rouge à lèvres elle laissa un message sur la glace du miroir.
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