Notre Premier Trio Avec Un Homme Bi

Après 40 ans de mariage, et après seulement quelques petits écarts extras conjugaux consentant, nous avions décidé d’approfondir nos expériences sexuelles en nous inscrivant sur un site de rencontre. Notre recherche n’était pas précisément définie, même si nous avions une préférence pour les couples.

Nous avions, quelques années auparavant, eu la joie de connaitre un trio féminin et cette relation eut pour conséquence la découverte de la bisexualité de mon épouse. Ce qui était au départ un simple phantasme, était devenu réalité et offert par mon épouse. J’avais apprécié ce geste de partage et de complicité et je lui avais déjà à l’époque proposé un trio masculin, phantasme qu’elle n’avait pas jugé réalisable sur le moment.

Avec le temps, nos points de vue et nos envies changent et pour avoir abordé le sujet plus récemment, elle accepta cette nouvelle expérience. Nous nous sommes donc mis en quête d’un amant pour satisfaire notre envie. Après avoir consulté les fiches des nombreux volontaires, et bien que nous souhaitions un homme entre 35/40 ans, nous nous sommes arrêtés sur un jeune homme de 29 ans, en nous disant qu’il n’avait peut-être pas l’âge mais qu’il aurait au moins la vigueur. Brun, yeux clairs, peau mate, il était pas mal d’après mon avis, et très séduisant pour mon épouse. Le seul souci c’est qu’il était bi et que je n’étais pas prédisposé à cette pratique. Aussi face à l’engouement de mon épouse, et après un premier rendez-vous pour faire connaissance et fixer nos limites (hygiène, santé, pratiques, etc.) nous décidions d’un rendez-vous dans un hôtel quelques jours plus tard.

Dès notre arrivée, et avant d’accéder à notre chambre, nous prirent un verre au pub de l’hôtel, histoire de se désinhiber. Mon épouse s’était habillée de façon à nous exciter et dans une tenue très osée, robe transparente, bas noirs, décolleté profond, talons hauts et sans sous-vêtements. D’habitude très timide et prude en public, elle affichait fièrement son envie du moment et n’hésitait pas à ouvrir ses jambes pour offrir son sexe à la vue des autres.

La lumière tamisée du pub se prêtait particulièrement bien à son exhibition. Nul doute que notre amant fût très réceptif à son attitude au regard de la protubérance, très visible, de son bas ventre.

Arrivé dans la chambre, mon épouse s’absenta pour faire un brin de toilette. Pendant ce temps nous nous sommes assis pour finir notre bouteille de champagne, remontée du pub. Elle revint entièrement nue avec pour seul habit, ses bas et talons hauts. Elle nous proposa de se déshabiller et de venir la rejoindre. Pendant que nous nous étions en train de nous mettre à nu je jetai un œil sur le sexe du jeune homme. Il était de belle prétendance et je me disais qu’une double pénétration était envisageable, vu que mon épouse n’avait jamais acceptée que je la sodomise à cause de la taille de mon engin. Nous rejoignîmes mon épouse, qui, allongée sur le lit, se caressait déjà.

Nous nous installâmes de chaque côté d’elle, pour procéder à quelques attouchements et caresses. Après quelques instants, je restais allongé sur dos et elle me présenta son sexe pour un face sitting. Notre amant en profita pour se lever et lui présenta son sexe au niveau de sa bouche, elle l’engloutit d’un seul coup avant même qu’il est fini de se positionner.

Au bout de quelques minutes, notre amant vint se positionner au pied du lit et me demanda de relever mes jambes. Je m’exécutai sans trop savoir à quoi m’attendre. Il m’attrapa les cuisses et m’avança brusquement vers le bord du lit. Mon épouse se repositionna pour que je puisse continuer la pratique de son désir. Il s’agenouilla et se saisi de mon sexe pour le sucer avidement. Malgré notre entente préalable sur nos exigences relationnelles et ma réticence habituelle envers les relations bisexuelles, j’avoue que je me suis laisser faire, car d’une part j’étais trop affairé à m’appliquer pour donner du plaisir à mon épouse et d’autres parts, parce que je ne voyais pas la personne qui me pratiquait cette fellation. Mon sexe gonflait de seconde en seconde sous les aller et venue de cette nouvelle bouche gourmande et de cette langue douce qui s’attardait sur le frein de ma verge, mais aussi, et brièvement, autour de mon anus. Après quelques instants il me demanda :
« Tu aimes ? »
« Ce n’est pas désagréable ! » lui répondis je, sans oser lui dire que j’aimais bien.

Il continua son emprise et sa langue s’attardait de plus en plus près de mon orifice en y approchant et en tentant d’y insérer un doigt de temps en temps. Face à mon inquiétude, il me dit :
« Ne t’inquiète pas, laisse-toi faire et si cela ne te convient pas j’arrêterai »

Sans réponse de ma part, trop occuper à savourer le sexe de mon épouse, il entreprit un doux massage qui lui offrit rapidement la possibilité de m’introduire un doigt, puis deux doigts. Il se releva, me saisit le bassin et releva mes jambes, lui offrant ainsi ma croupe grande ouverte sans aucune pudeur. Il approcha son sexe et l’introduisit doucement dans mon anus. Saisissant mes deux jambes pour les maintenir en hauteur, il avançait millimètre par millimètre. Je sentis assez rapidement ses testicules toucher mon orifice, il avait tout rentré en douceur sans que je perçoive aucune douleur. Puis il s’activa en de doux va et vient et me dis :
« Alors ! tu aimes ? »
« Oui, tu peux continuer comme ça, mais doucement » lui répondis je.

Mon épouse devinant cette scène se retourna pour mieux profiter du spectacle. Après quelques coups de langues, je la sentais s’abandonner en de multiples secousses qui secoua son beau corps de femme mature. Pendant ce temps mon amant avait entrepris de me masturber pendant qu’il me sodomisait. Je sentais son sexe gonflé en moi et ses vas et vient m’excitaient terriblement. Il accentua ses mouvements en me disant :
« Je vais te remplir le cul, tu vas aimer »

Cette phrase me choqua un peu, puis m’excita, aussi j’attendais avec impatience le moment promis. Quelques va et vient supplémentaires et je sentais sa jouissance inonder mes entrailles. Cette sensation de douce chaleur remontante avait irradié mon bassin de plaisir. Il se retira progressivement laissant mon orifice béant, dégoulinant de sa semence.

Je m’absentai quelques instants pour faire un brin de toilette et effacer les traces de jouissance de mon amant. Je revins dans la chambre ou il s’occupait déjà et ardemment de mon épouse, en lui pratiquement une fougueuse levrette. Je me suis dit que nous avions fait le bon choix car non seulement je n’avais pas envisagé un seul instant de tester la bisexualité, et encore moins me faire sodomiser, mais surtout qu’il était vaillant et pouvait jouir vraisemblablement plusieurs fois, chose que moi malheureusement je n’étais pas ou plus capable. Je reprenais ma participation en présentant mon sexe dur comme du bois à mon épouse qui le suça aussitôt.

Je m’étais positionné devant mon épouse et pendant qu’elle me suçait, il la pilonnait avec fougue et entrain. Il se retira, vint debout vers moi, me présenta son sexe devant ma bouche, puis me dit :
« Suce-moi ! »

Je m’exécutai sans rechigner mais avec un certain dégoût, celui-ci disparaissant dans les premières secondes de la fellation. Ne sachant trop comment faire, il prit ma tête pour la guider et m’indiquer le rythme à suivre. Il les relâcha quelques instants plus tard, me laissant libre de la fréquence de la succion. Vraisemblablement satisfait, il me dit :
« Tu suces bien pour un débutant, je suis sûr que tu vas bien me faire jouir »

Cette phrase calma mon ardeur, car je n’imaginais pas une seconde recevoir sa semence dans ma bouche, mais après avoir déjà accepté une sodomie alors que je ne l’avais jamais envisagé, je me suis dit que subir cette pratique était dans la lignée de notre recherche de nouvelles expériences. Je m’appliquais donc à donner le plus de plaisir possible à mon amant. Ma langue eu raison de son plaisir et il saisit ma tête au moment de jouir pour que je ne l’enlève pas de son sexe. Je senti son jus envahir ma bouche en ne nombreux jets chauds et gluants.

Mon amant m’ordonna :
« Ouvre la bouche ! »
Je m’exécutai et lui montrai le fruit de son plaisir.
« Avale, avale tout ! » m’ordonna-t-il de nouveau.
Je m’exécutai de nouveau pour sa plus grande satisfaction.
« C’est bien ! tu es une bonne salope ! » me dit-il avant de poursuivre : « Tu m’a bien fait jouir, et j’ai encore envie de te baiser »
« Une autre fois peut-être, je pense que pour une première fois c’est déjà bien, non ? » lui répondis-je.
« Comme tu veux, mais sache que j’ai vraiment pris mon pied et que si tu as de nouveau envie, je me ferai un plaisir de te gicler dedans, j’ai adoré te remplir. Je suis sûr que tu aimerais une bonne levrette » me dit-il d’un air sérieux.
« Non, pas cette fois-ci, mais j’y réfléchirai pour une prochaine fois, je te remercie » lui dis-pour conclure.

Mon épouse n’avait pas cessé sa fellation et s’était juste arrêtée pour regarder la nouvelle jouissance de notre partenaire tout en se masturbant.

Face à mon refus de me faire à nouveau « baiser », il se positionna derrière mon épouse, lui demanda de se pencher en avant et dirigea son sexe vers son anus. Celle-ci, n’ayant que très peu l’habitude de cette pratique, lui fit part de sa réticence. Comme pour moi, il lui indiqua de ne pas s’inquiéter et qu’il allait être doux pour son apprentissage. Elle se pencha, à moitié rassurée, et il la pénétra avec douceur au plus profond d’elle-même. Ses râles en disant long sur le plaisir ressenti et elle ne tarda pas à se masturber en même temps pour obtenir un second orgasme.

Pendant ce temps, je me masturbai en regardant mon épouse se faire prendre. Je regardai les longs va et vient qu’infligeait ce sexe long et dur qui pénétrait doucement l’étroitesse de mon épouse, s’enfonçant jusqu’à la butée des testicules sur ses fesses, puis se retirait complètement pour voir un gland rouge et gonflé de plaisir avant de recommencer ce rituel. J’étais prêt à me libérer de cette souffrance qui faisait que je me retenais pour ne pas jouir quand il me demanda de me positionner sous elle. Je devinais rapidement qu’elle était la finalité de sa demande. Je m’exécutai rapidement pour venir m’installer sous mon épouse. Elle saisit mon sexe et le guida vers le sien, je senti aussitôt le sexe de notre amant au travers de la paroi anale et ses vas et vient amplifiaient la montée de mon plaisir. Je n’osai bouger de peur de jouir prématurément. Je sentais son sexe dur exercer une pression sur le mien qui gonflait à chaque passage. Mon épouse était aux anges, elle en redemandait sans aucune limite, jamais je ne l’avais vu aussi démonstratrices dans ces propos :
« Oh oui ! allez-y, défoncez-moi, baisez-moi »
Face à ces demandes, notre amant avait vite saisi l’opportunité de continuer la conversation :
« Tu aimes ça, Salope ! on va bien te défoncer ! tu aimes ça avoir deux bites en toi, hein ma salope ? »
Puis il poursuit :
« On va bien te baiser et on va bien te remplir, tu vas voir, tu vas en redemander »
« Oui, allez-y défoncer moi, c’est bon » dit-elle en bougeant son corps

Leur conversation m’avait terriblement excité et quelques va et vient plus tard, ne pouvant plus me retenir, j’annonçais ma jouissance pour alerter mes deux partenaires de mon abandon séminal. Mes deux partenaires étaient également prêts et notre jouissance fût commune. Mon épouse s’écroula sur moi terrassée par l’intensité de son orgasme. De notre côté nous connurent des orgasmes longs et puissants, liés à la perception au travers de la paroi anale du sexe de l’autre, le sentant se raidir à chaque giclée de plaisir, intensifiant ainsi l’orgasme mutuellement. Puis nous nous retirions doucement laissant notre amante souillée par quelques décilitres de notre plaisir.

Après un repos bien mérité, nous nous sommes dirigés vers la salle de bain pour profiter d’une douche bien méritée. Celle-ci était grande avec de la place pour trois, inutile de préciser qu’il y a eu quelques attouchements sous la douche et il entreprit une fellation sous la douche. Mais j’avais tellement bien joui et n’ayant qu’un fusil à un coup, que je n’arrivais pas à retrouver une ardeur satisfaisante.

Nous retournâmes nous allonger sur le lit pour d’autres discussions. Allongée entre nous deux, mon épouse tenait et caressait nos deux sexes encore engourdis de leurs activités. Après quelques minutes, la réaction se faisant de nouveau sentir, elle changea de pratique en me masturbant. Sentant la jouissance montée, je me suis agenouillé près de son visage en me masturbant. Habituellement repoussante à cette pratique, elle m’autorisa de jouir sur son visage. Quelques jets vinrent inonder son doux visage que notre compagnon s’empressa de lécher.

Avant son départ il nous confia avoir particulièrement aimé cette relation et qu’il aimerait bien renouveler celle-ci. Nous lui avons fait part également de notre satisfaction pour ce premier coup d’essai. Nous l’avons félicité pour son endurance et son approche initiatique et que nous étions d’accord pour un nouveau rendez-vous. Mais la vie étant ainsi faite, il s’est éloigné de la région et nous ne l’avons jamais revu malgré un contact gardé.

Cette expérience m’a permis d’assouvir plusieurs phantasmes, voir mon épouse se faire prendre par un autre homme devant moi, pratiquer une double pénétration et faire une éjaculation faciale. Cependant, me faire sodomiser et faire une fellation n’était pas dans mes priorités et même si j’ai particulièrement apprécié cette expérience, sa réussite fût conditionnée par la présence d’une personne qui a su me diriger et me mettre en confiance. Pas sûr de pouvoir toujours tomber sur une personne comme ça à chaque fois, auquel cas je réitèrerai bien ce moment car à ce jour ce fût ma seule et unique expérience bisexuelle. Merci pour votre lecture.