Summer Of Love 9

J’ai comme l’impression que Bérénice lâche du lest et qu’elle ne pense plus à rien.


Elle ne pense plus qu’à nous deux. Elle est corps et âme et sexe, à moi.


Elle est si belle. Le plaisir lui va si bien.


Sa peau a rougi du fait qu’elle a pris beaucoup de plaisir depuis tout à l’heure et que je me suis occupé d’elle, toute entière.


Ses yeux sont mi-clos, et elle a un beau sourire aux lèvres.


Oh… oui… Le plaisir lui va si bien.


Elle reprend son souffle. Elle en a besoin.


Elle va en avoir besoin parce que je n’ai pas l’intention de m’arrêter en si bon chemin : j’ai encore envie de lui faire l’amour et de lui donner plus, bien plus, encore plus, toujours plus de plaisir. Je n’en ai pas fini avec son petit cul…


Bérénice est encore et toujours à quatre pattes. Moi ? Mon torse épouse toujours autant son dos. Nous sommes collés l’un à l’autre. Nous sommes à fleur de peau, au sens physique du terme. Nous aimons beaucoup ça, que nos corps se caressent et se touchent. Se rencontrent.


Nos lèvres se rencontrent. Se touchent. Se goûtent. Se caressent.


Bérénice et moi, nous aimons beaucoup ça, nous embrasser. Nous y prenons… beaucoup de plaisir.


Nous jouissons de ce moment de répit pour renforcer l’amour et le désir que nous avons l’un pour l’autre.


Bérénice a les cheveux lâchés, et je sens leur contact pendant que je l’embrasse et que je continue d’être allongé sur elle, ma poitrine contre son dos.


Ma poitrine contre son dos, je sens son corps qui est un peu en sueur. Ce contact est agréable…


Je suis si bien avec elle. Et… je sais qu’elle se sent à l’aise quand elle est dans mes bras ou bien quand son corps est contre le mien.


Telle une jeune chatte avide et en recherche de caresses, Bérénice fait en sorte que nos deux corps se touchent beaucoup.

Elle raffole de ça, la petite coquine !


Je suis en érection. Et alors que je continue d’embrasser et de caresser Bérénice, je m’arrange pour que mon sexe se frotte à ses fesses.


Et Bérénice le sent contre son beau petit cul, mon pénis… Même si je la domine puisque je suis allongé sur elle, elle joue un peu de ses fesses pour faire en sorte que mon membre coulisse. C’est si bon…


Bérénice adore que je m’occupe d’elle, toute entière, et que je lui donne du plaisir. Beaucoup de plaisir… Mais, et elle me l’a déjà dit, la tête sur l’oreiller, après que nous ayons fait l’amour : elle se sent belle, désirée et séductrice quand elle m’en donne. C’est son souci à chaque fois : que je prenne du plaisir et que je jouisse. Elle a besoin de savoir ça, Bérénice. Parfois, elle n’a pas besoin de me parler. Il ne suffit que d’un regard de sa part pour qu’elle me demande. En réponse, je caresse ses cheveux. Je hoche la tête. Je lui souris. Je pose une main douce sur sa joue. Je prends son visage entre mes mains. Je l’embrasse tendrement. Je lui dis que je l’aime. C’est aussi simple que ça. Je prends déjà beaucoup de plaisir quand elle m’embrasse et qu’elle me dit qu’elle est toujours aussi folle de moi. Le fait qu’elle s’occupe de moi et qu’elle me fasse jouir, c’est du bonus à l’état pur.


Je sens que mon sexe est si dur. Ça en est presque douloureux. Pourtant, le fait que Bérénice fasse coulisser son joli petit postérieur contre ma queue, c’est si bon...


J’en profite alors pour effec des mouvements de va-et-vient contre ses fesses. Je m’y masturbe un tout petit peu. C’est si bon…


Ma petite amie, elle, elle sent bien que je me masturbe. À entendre les petits bruits de plaisir qu’elle se remet à émettre, ça lui plaît. Ça lui plaît… beaucoup.


Tous les deux, nous avons beaucoup de plaisir...


Les fesses de Bérénice sont si douces.


J’aime les embrasser.



J’aime les lécher.


J’aime les mordiller.


J’aime les prendre à pleines mains.


Bérénice sait que je les aime, ses fesses.


Et, quand elle est comme ça, à quatre pattes, que je suis collé à elle, torse contre dos, et que mon pénis se colle à son derrière et qu’il coulisse contre lui, à mes yeux, il n’y a rien de plus beau, de plus émouvant, de plus jouissif.


Parce que ce que nous vivons là, rien que nous deux, ce n’est que du bonheur. Ce n’est que de l’amour. Ce n’est que du désir. Nous sommes si bien dans notre nid d’amour.


Nous donnons libre cours à notre imagination, et nous nous faisons tout ce qui nous semble être bon, l’un et l’autre. C’est tout ce qui compte.


Nous nous faisons du bien, l’un et l’autre. L’un à l’autre.


Nous sommes si bien, dans notre lit. Ce premier lit qui est véritablement le nôtre.


Et des matins comme celle-ci, j’en veux, mais tous les jours !


Je me souviendrai pour le restant de mes jours de ce matin. Je me remémorerai chaque chose que j’ai faite à Bérénice. Chaque geste… Chaque baiser… Chaque caresse… Chaque morsure… Chaque léchouille… Son goût… Sa cyprine… Son anus… Sa poitrine lourde, juste comme il faut…


Et quand je me masturbe entre ses fesses et qu’elle me laisse faire, quand mes yeux sont dans ses yeux et qu’elle me regarde avec les yeux d’une amoureuse, je me sens l’homme le plus heureux du monde. Parce que Bérénice me donne toute sa confiance et qu’elle est à l’unisson avec moi.


Bérénice est, pour moi, la plus jolie femme du monde. Elle est celle que j'aime plus que tout. Celle qui a le beau sourire. Celle qui a les plus jolies lèvres. Celle qui a la plus jolie des poitrines. Celle qui a le plus beau corps. Celle qui a le plus joli minou du monde… ce minou que j'aime lécher et manger, à la folie. Celle qui a le plus beau cul.
Celle qui me donne envie de lui lécher le petit trou.


Bérénice est sexy.


Si, si ! Je vous jure !


Vous ne la connaissez probablement pas, mais moi, je peux vous dire que dans l'intimité, elle n'est pas la Bérénice que l'on croise, quand elle est vétûe de sa tenue d'étudiante sérieuse… Dans l'intimité de notre chambre, c'est une toute autre Bérénice à laquelle j'ai affaire…


Elle est sensuelle. Elle est craquante. Elle est irrésistible. Elle est… coquine… Cochonne, même, à certains égards.


Elle me donne envie d'elle, plus que tout.


J'ai toujours autant envie d'elle, plus que tout...


Je ne peux pas résister à Bérénice, quand elle est comme ça. Pas possible.


Nous continuons d’être dans ce moment de répit.


Je le veux.


Je veux jouir, en compagnie de Bérénice, de ce moment unique où nous renforçons notre amour et notre désir.


Je veux que Bérénice se sente bien et qu’elle reprenne un peu des forces.


Le plaisir lui va si bien quand elle s’en habille, mais il est vrai aussi qu’il lui prend beaucoup d’énergie quand je lui fais l’amour parce que je m’efforce, inexorablement, à lui en donner le plus possible. Je ne fais que lui donner au centuple tout l’amour, tout le désir, tout le plaisir… et toute la jouissance qu’elle m’offre en cadeau.


Je veux qu’elle reprenne un peu des forces parce que je m’apprête de manière imminente à m’occuper de son anus…


Et pour qu’elle puisse être à l’aise, prendre le plus de plaisir possible… et le savourer, Bérénice doit reprendre des forces.


Ce que j’ai en tête pour elle ?


Un cocktail délicieux et savoureux fait à base de caresses, avec mes lèvres… ma langue… mes mains… mes doigts. À base de mots, tantôt doux et amoureux, tantôt salaces et osés. À base d’amour et de désir.
À base de sensualité et de sexe.


Jusqu’à présent, je n’ai donné qu’un avant-goût de ce cocktail de plaisir et de jouissance à Bérénice. Mais… et comme je l’ai dit et comme je l’ai fait plus tôt, moi aussi… j’ai un cinquième as… Et il faut dire que… moi aussi… je cache bien mon jeu… J’AI L’INTENTION DE FAIRE JOUIR BÉRÉNICE et je me donnerai les moyens pour y parvenir.


Son beau petit cul d’amour…


Je l’aime bien.


Je l’aime.


Je l’adore.


J’en suis raide dingue. J’en suis tombé fou.


Mes lèvres… Ma langue… Bérénice les a déjà senties sur elle… en elle, quand je m’occupais de son minou. Elles m’ont aussi servi quand je lui faisais cette feuille de rose…


Mes doigts… Bérénice les a déjà sentis sur elle, en elle, au tout début de notre câlin, quand j’ai commencé à m’occuper d’elle et à la caresser… Ils m’ont aussi servi quand je l’ai doigtée…


Cette fois, ils vont me servir pour que je puisse lui pénétrer son mignon petit anus...


Nous sommes rien que nous deux, et nous sommes en train de faire l’amour.


Disons que… JE suis en train de lui faire l’amour.


Hier soir, Bérénice, rappelons-nous, n’avait pas son sourire d’un jour optimal. Disons… qu’il n’était plus que vague. Elle m’a dit qu’elle voulait prendre une douche afin de se changer les idées puis qu’elle irait directement au lit parce qu’elle était fatiguée.


Ça ne m’a fait de bien de la voir ainsi, pas comme d’habitude.


J’aime Bérénice, plus que tout au monde, et c’est insupportable, pour moi, de la voir triste, en colère…


Il fallait que je fasse quelque chose pour qu’elle aille mieux. Pour qu’elle sache que je suis là, moi, son petit chat, et qu’elle peut me demander tout ce qu’elle veut pour que je lui redonne le sourire, que je la rende heureuse de nouveau.


Et là, à ce stade de nos ébats, dès le réveil, nous ne voyons pas le temps passer. Nous ne le voulons pas. Il est juste question de nous. Il est question pour nous de renforcer notre amour et notre désir. Deux cœurs, deux âmes, deux corps, deux sexes, au service d’un même amour, d’un même désir.


Et là, alors qu’elle continue de retrouver son second souffle et que je la laisse récupérer un peu, j’imagine déjà ce que je vais lui faire…


J’imagine déjà le traitement que je vais continuer de mener à son petit cul…


Après ma langue et mes lèvres, ce sera au tour de mes doigts de procurer du plaisir à Bérénice. Bien du plaisir… Beaucoup de plaisir…


Ce sera au tour de mes doigts de faire de leur mieux, de faire de tout leur possible pour emmener Bérénice au plaisir intense, au plaisir suprême. À la jouissance.


Mais pour le moment, je suis encore allongé sur elle.


Ma poitrine épouse parfaitement son dos.


Bérénice a la tête tournée vers moi.


Nous continuons de nous embrasser, et nos regards sont intenses. Les yeux de Bérénice sont pétillants. Pleins de désir. Pleins d’amour. Mais… je remarque que Bérénice est aussi émue. Ce qui veut dire… que ses yeux lui piquent. Elle ne semble pas en revenir. Elle ne semble pas croire que notre amour et notre désir soient toujours aussi forts.


Que Bérénice est belle.


Ma-gni-fique.


Je peux voir, à travers ses yeux, à travers le regard qu’elle m’adresse, qu’elle était émue. Elle a le regard d’une jeune femme amoureuse, pleine d’amour et de désir pour son homme. L’homme de sa vie. Moi. MOI.


Cependant, j’ai le sentiment qu’il n’y a pas que de l’émotion dans ses yeux. Au plus profond d’elle.


Je la regarde bien, Bérénice, et j’ai comme l’impression qu’il y autre chose. Ses yeux se fixent dans les miens, et ils ne me quittent pas.


Puis…


– Chéri… Chéri… Encore… Encore… Toi… Tes lèvres… Ta langue… Tes doigts… Ton sexe… Mon petit cul…


?


Bérénice me veut tout entier ? Au plus profond d’elle-même ?


Je la regarde bien. Je la dévisage. Je braque mes yeux dans les siens. J’ai besoin de savoir.


Ses yeux, eux aussi, sont plongés dans les miens. Ils se font… suppliants. Bérénice, elle, halète.


Moi, je ferme les yeux, l’espace d’une nanoseconde, et puis je pousse un tout petit soupir.


Nous sommes corps et âme et sexe, et nous sommes sur la même longueur d’onde.


Bérénice, je savais qu’elle était curieuse et qu’elle me désirait beaucoup. Mais là, c’est limite si son appétit sexuel est insatiable. Mais, moi… je veux ce qu’elle veut. Et moi, ce que je veux, c’est qu’elle se sente bien. Qu’elle oublie ses petits soucis, quels qu’ils soient.


Si tels sont ses désirs…


– Tu l’aimes, mon petit anus, mon chat… Hmmmm… Oui… Et moi, j’aime que tu m’explores comme tu le fais… Chéri… Chéri… Continue… S’il te plaît…


Si tels sont TES désirs, Bérénice…


– Je l’aime bien. Beaucoup, à présent, ma jolie coccinelle. Et je ne m’en lasse pas…


Sur ces mots, Bérénice glousse. Puis, elle se met à se dandiner. À se trémousser.


– Ne bouge pas, jolie coccinelle…


Sur ces mots-là, je reprends ma position de tout à l’heure.


Je me retrouve de nouveau sur mes genoux, comme si je faisais une prière. Une sorte de prière où ce sont les fesses de ma chérie que j’honore.


Puis, j’approche ma tête de son cul.


Mes mains, aussi…


Si tels sont tes désirs les plus chers, Bérénice...


– Occupe-toi de mon petit cul, mon chéri ! S'il te plaît…


Bérénice est insistante, mais c'est parce qu'elle sait ce qu'elle veut, ce dont elle a envie.


Bérénice est insistante, mais c'est parce qu'elle sait que j'aime son beau petit cul et que c'est ce dont j'ai envie, moi aussi.


Mais… et même si j'ai beau avoir commencé de m'occuper de son anus avec mes lèvres… avec ma langue, c'était tout sauf suffisant. Le bel anus de Bérénice a besoin d'être préparé. Il a besoin d'être préparé, d'être préparé comme s'il se doit, longuement, à cette belle chose qu'est le sexe anal.


– Il te plaît, mon petit cul, mon chat ? Tu aimerais m'enculer ?


Mes yeux doivent être grands ouverts. Je suis sur le cul, sans faire de jeux de mots. Je ne m'y attendais pas du tout. Je veux dire… Nous avons beau nous connaître progressivement, sensuellement et sexuellement parlant, Bérénice et moi, et nous avons beau adorer explorer de nouveaux territoires sensuels et sexuels avec le temps, je ne me doutais pas le moins du monde qu'elle aimerait que nous goûtions à la sodomie, à cette stade de notre histoire d'amour naissante. C'est ce qui me fait penser que Bérénice m'étonne toujours.


– Tu as envie de mon cul, mon joli oiseau ? Tu en as envie, de m'enculer ? Tu en rêves ?


Je la regarde dans les yeux, sans dire un mot. Je cherche à savoir. Je veux savoir. Est-ce que c'est vraiment ce qu'elle veut ? Elle veut uniquement me faire plaisir ? Il faut que je sache…


– Encule-moi, chéri ! Je veux sentir ton beau sexe dans mon cul !


Bérénice semble déchaînée. Le désir et la passion ont pris possession d'elle. Elle en est insatiable.


– Ton petit cul est irrésistible, jolie Bérénice. Tu es irrésistible, bébé. Et moi aussi, j'ai tellement envie de toi.


– Tu bottes en touche là, chéri. Pourquoi tu ne l'avoues pas, que tu veux me sodomiser ? Tu ne fais rien de mal, tu sais ! Et moi aussi, j'ai envie que tu me prennes par le cul.


– C'est vraiment ce dont tu as envie, pupuce ? Je ne veux pas te faire mal, tu le sais. Et l'anus, c'est fragile. C'est sensible. Je ne supporterai pas de te faire du mal.


– Mais tu vas pas me faire le moindre mal, tu sais ! Et puis, dois-je te rappeler que tu t'es déjà bien occupé de mon petit trou. J'aime beaucoup sentir ton corps contre le mien. Ta langue et tes lèvres sur moi. Tes doigts en moi. Tu m'excites tellement. Tu me plais ! Je suis si excitée… Tu as vu comment je suis trempée ? Je suis chaude comme de la lave en fusion, et ça c'est toi. Et… attends-moi là, un tout petit peu.


Elle ne bouge quasiment pas. Elle est toujours à quatre pattes. Moi, je me tiens toujours derrière elle, contre ses jolies fesses.


Elle, elle tend la main vers la table de chevet qui est de son côté du lit. Elle en ouvre le tiroir et elle a un flacon à la main.


Puis, elle me le tend.


Je lis l'étiquette. C'est du lubrifiant, pour le sexe anal.


– Tiens, mon joli oiseau… Prépare mon petit cul comme il faut… Je veux te sentir en moi. Ton sexe en moi, dans mon cul. Encule-moi… S'il te plaît...


Sur ce, j'ouvre le flacon et je place le bouchon vers le bas. J'appuie sur le flacon de lubrifiant et je fais tomber quelques gouttes sur le beau petit cul de Bérénice.











































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