Carnets Des Voluptés : Une Étudiante Pas Si Sage Côté Lui
La volupté est faite de désir, de perversité, de curiosité allègre, d'insistance libertine.- Citation de Colette ; Claudine en ménage (1902)
Son prénom était Raymond mais on lappelait Ray. Ce dont il nétait pas peu fier et lui permettait de se donner les airs de lartiste quil avait rêvé dêtre. Il avait 25 ans et essayait de réussir un dernier diplôme pour entrer dans une administration, ce qui ne le passionnait pas le moins du monde mais lui permettait de prolonger une condition de « vieil » étudiant très commode pour continuer à profiter des avantages dune certaine oisiveté. Il navait quune seule passion mais elle lui prenait tous ses loisirs : la chasse.
La chasse à laquelle sadonnait Ray ne faisait pas de lui un joyeux Nemrod arpentant la campagne avec un chien et un fusil et encore moins un cavalier en tunique rouge galopant derrière une horde de beagle. En fait de courre, sa spécialité concernait plutôt la cour ; celle quil prodiguait aux jeunes femmes dont il était plus que friand. Si les chasseurs de palombe ont coutume de se percher pour guetter les passages des oiseaux, Ray utilisait une technique similaire en occupant un studio perché sous les toits dun immeuble face à la sortie de la faculté des lettres. Cest de ce mirador quil choisissait ses proies avant de fondre sur elles en rapace sûr de sa technique.
En cette fin daprès midi printanier, alors quil venait de congédier une conquête facile et très vite devenue ennuyeuse, il fut intrigué par la vue dune jeune fille sortant de la faculté pour entrer dans la brasserie située au rez-de-chaussée de son immeuble. Du haut de son promontoire, ce qui le surprit en premier lieu est quil navait jamais repéré cette étudiante. Après un examen plus affiné, il fut happé par limpression de fragilité qui se dégageait de la fine silhouette traversant la place avec la grâce de linnocence. La fille était tête nue, enveloppée dune veste noire et dune coupe au carré de cheveux châtains.
Encore nu derrière sa fenêtre car il sortait auparavant de la douche, il enfila à même la peau un pull de laine genre camionneur et un jean, négligeant slip et chaussettes pour dégringoler les quatre étages qui le séparaient de la brasserie. Il entra dans létablissement qui, à cette heure grouillait détudiants, et naperçut quen approchant du comptoir la jeune fille installée au fond de la salle. Avant même de passer commande il demanda à Gilbert le barman qui était cette petite nouvelle. Un éclat de rire lui répondit. Devant son incompréhension, lami Gilbert lui dit : « toi aussi tu tes fait avoir ! Elle vient tous les jours ici depuis la rentrée universitaire. »
Les regards des deux hommes convergèrent alors vers la table de la fille et devant la stupéfaction de Ray il ajouta : « cest vrai quaujourdhui elle est métamorphosée, un vrai papillon sorti de sa chrysalide ».
Alors que Ray ne quittait des yeux létudiante penchée sur un énorme bouquin, Gilbert lui expliqua que chaque fin daprès-midi la fille sinstallait à la même table devant un thé pour travailler, mais que jusque-là elle était toujours en jean, pas maquillée et les cheveux en queue de cheval. Jamais elle ne parlait, dailleurs personne ne la remarquait même les plus célèbres matous de la place.
« Il est temps que ça change ! répliqua Ray, fais-moi un thé et prépare une assiette de madeleine sur un plateau. »
Pendant que le garçon préparait sa commande il put dévisager celle qui lui paraissait maintenant de plus en plus inaccessible. Joli petit visage fin ; coiffure naturellement chatain avec une frange descendant jusquaux bords de grosses lunettes sombres mais aux branches fantaisie teintes de rose comme ses lèvres fines ; cheveux raides descendant aux épaules avec les pointes chatouillant le cou fermé dun décolleté rond très sage ; nez volontaire pointu ; menton marqué en signe de caractère affirmé
Tout en elle annonçait la place forte aux défenses prêtes à subir un siège sans faillir. De sa place il espérait quand même trouver une solution mais déjà il savait quil lui faudrait du temps : une semaine, un mois, un an ? Pourquoi pas ?
Lintervention de Gilbert le sortit de ses calculs : « Ne rêve pas trop ! Je ne pense pas que cest avec des madeleines que tu vas la cueillir celle-ci. A mon avis elle attend un prince charmant qui ne devrait pas tarder à arriver. »
Piqué au vif, Ray entama sa marche prudente vers un travail quil jugeait herculéen et dangereux pour sa réputation. Il eut le temps de préparer son attaque en allant se poster devant la table de la jeune femme. Elle ne bougeait pas, pourtant il était sûr quelle lavait vu venir. Cest alors quil déclencha la phrase magique quil utilisait toujours pour aborder les femmes qui lisaient en buvant du thé : « je ne suis sans doute pas celui que vous attendez ici mais vous lisez peut être du Proust alors je vous apporte les madeleines pour accompagner votre thé. » Elle fit leffet dune bombe car la fille parut pétrifiée.
Ce temps mort lui permit détudier la plastique de la belle : une petite poitrine avantagée par létroitesse de la robe qui laissait supposer une fermeté pimpante et prometteuse ; une taille qui sannonçait étroite ; des cuisses pas aussi maigres quil les avait perçues du haut de son nids daigle ; un amour dingénuité en petit format.
Il sourit en voyant la petite sembarrasser de confusion avec une réponse qui lui fit leffet dun déraillement de locomotive. Cétait une intello ! Ce fut à son tour dêtre un peu désemparé mais la seconde partie de la réponse lui permit de retomber sur ses pieds :
« Alors voila une jolie concordance de goûts, moi aussi jadore les madeleines et il ajouta en posant la main sur le dossier de la chaise : puis-je partager ce plaisir avec vous ? »
Sans attendre la réponse il sinstalla en face delle, décidé à faire jouer les mots pour amadouer la jeune fille. Il choisit de la jouer savante car il jugeait la fille plus portée sur lintellect que sur la gaudriole.
« Cette madeleine doit sans doute comme Proust vous rappeler des souvenirs ? » continua-t-il sur la voie du charme littéraire. Il comprit quil se fourvoyait car elle lui répondit quelle préférait oublier ses souvenirs de jeunesse. Puis elle éclata bizarrement de rire et il se crut obligé de la suivre sans comprendre. Ce moment désopilant se prolongea au-delà du raisonnable et lui parut bien artificiel. Ce nétait pas le rire de la femme conquise par lhumour de son séducteur et cela léloignait de son terrain habituel de conquête. Alors quil réfléchissait à une tactique dapproche plus conforme à ses compétences, cest là quil reçut ces trois mois balancés comme une gifle : «Fais-moi oublier ! »
Que fallait-il comprendre ? A première vie cétait très clair, elle voulait oublier un probable chagrin damour. Mais loublier comment ? Non ce nétait pas possible que cette quasi gamine lui propose de faire lamour. Non ! NON !
Ce nétait pas conforme à sa « déontologie » de séducteur. Cétait lui qui avait toujours proposé. Cest lui qui avait conquis. Cette petite le mettait dans la position dun général qui compte sur une bataille pour devenir maréchal et dont lennemi le prive de sa victoire en se livrant sans combattre.
Ce silence entre eux devenait insoutenable, comme une fracture quil lui fallait réduire, quil se devait de réduire lui lhomme conquérant.
Cest ce qui les amena dans son studio.
Dans lescalier il entendait les talons de ses bottes qui scandaient cette marche commune vers les hauteurs où tant de femmes avaient fini par lui céder. Que voulait celle-ci ? Son parfum acidulé, sa respiration rapide, les frottements de sa robe sur ses cuisses, son air de fille sage derrière ses énormes lunettes, ce visage camouflé derrière ses cheveux qui battaient ses épaules
Elle paraissait moins fragile quil avait cru déceler. Bien au contraire il sentait en elle une diablesse dune espèce inconnue.
Aussitôt entrés chez lui, il lui donna les deux livres sur lhistoire de Rome quelle prit en le remerciant. Alors il posa une main sur son épaule pour la guider vers le canapé où nombre de proies avaient succombé. Il devait même y avoir quelques cheveux blonds de celle quil avait mis dehors ce matin-là. Il la regardait feuilleter les livres avec intérêt lui semblait-il et se crut obligé de dire, avec un petit sourire de manipulateur, quelle pouvait revenir les consulter quand elle le voudrait chez lui . Il lentendit lui répondre :
« je peux revenir pour consulter les livres ? cest gentil ! » et elle se pencha vers lui pour poser un léger bisou sur sa joue ce qui linquiéta car il craint de la voir partir en petite allumeuse. Mais se retirant elle ajouta : « Alors aujourdhui tu peux me baiser ! »
Il neut pas le temps de se remettre de ce choc quelle refusa déchanger leurs prénoms. Cest alors quelle vint poser sa bouche sur la sienne. Dabord caressante, elle lobligea à tenir ses lèvres closes pour les aspirer dans un baiser de sangsue. Il se sentit contraint par linitiative de la jeune étudiante, qui redevint tendre en promenant un doigt sur les lèvres enduites de rouge à lèvres. Il eut la désagréable sensation davoir lair dun travesti ridicule. Il neut pas le temps de se remettre de cette curieuse sensation quil se laissa saisir les mains quelle dirigea sur sa nuque tout en gardant sa bouche à quelques centimètres de la sienne. Troublé par le souffle si proche, il se sentait maladroit car il ne voyait pas où la petite polissonne voulait en venir. Il égarait ses doigts dans la chevelure de la fille lorsquil sentit les mains agripper sa nuque violemment pour le coller à sa bouche qui souvrait avec lavidité dune fleur carnivore. Il fut contraint de partager la fougue de la belle qui écrasait ses lèvres, aspirait sa langue, cognait ses dents, mordait dans le plaisir de ce baiser sauvage. Létreinte buccale lui parut interminable. Il en perdait le souffle. Il bavait sa salive. Elle lui baisait la bouche, inversant le rôle quil se plaisait à jouer avec vanité.
Il frissonna de plaisir lorsquelle saventura sous son pull où il sentit les ongles se planter dans sa peau. Cela commençait à vraiment lui plaire. Quelle furie cette gamine ! Se disait-il en commençant à croire aux dons si bien cachés de la petite. Lorsquelle se colla à lui en le suppliant de lui quitter sa robe, il comprit lintérêt dentrer dans son jeu, oubliant ses velléités de dominations récurrentes. Un doux frémissement de satisfaction lenvahit quand il remonta ses mains sur ses cuisses dont il apprécia la fermeté lorsquil découvrit quelle portait des bas. Aussitôt son sexe réagit avec vigueur car ce détail était pour lui un facteur capital dexcitation. Il sattarda sur le mignon bourrelet de chair marqué par la pression de lélastique recouvert de dentelle. Saisissant le bas de la petite robe, il éplucha le corps de cette petite femme bien moins maigre que le tissu noir voulait suggérer. Deux petits seins craquant de vie giclèrent sous yeux, emmaillotés dans un soutien-gorge rose à la transparence soulignée par les bordures de dentelles.Il était temps de la décoiffer en dégageant son visage de la robe froissée. Cest lui qui lenveloppa de ses bras pour unir leurs peaux dénudées.
Le frottement des tétons petits mais si agressifs sous la soie du soutient gorge lenchantèrent et il se pencha sur sa bouche qui cette fois semblait lui obéir. La symphonie des gestes pouvait commencer.
Tout en joignant sa bouche épaisse aux minces lèvres de Janine, ses mains cherchèrent le soutien-gorge. Il adorait découvrir sur les fines bretelles cette tension explosive quil devinait sous ses caresses. Les tétons durs dardaient contre son torse musclé. Leurs pointes agressives paraissaient chercher à transpercer le voile rose des bonnets. Sa poitrine, armée de globes miniatures à la fermeté audacieuse, simposait contre son torse en cherchant ses propres tétons. Tandis que ses doigts profitaient de la liberté offerte par la fille, il singénia à défaire lattache qui libéra dun coup les seins avides de délivrance. Bouche contre bouche, tétons contre tétons, peau contre peau ils échangèrent un interminable baiser. Quand il fut contraint de reprendre sa respiration elle lui échappa pour glisser plus bas. Il sourit en pensant que son chibre tendu à lextrême allait recevoir à son tour la visite de sa bouche. Non ! La bouche osa ce quaucune autre fille navait voulu ou pu prodiguer à ce mâle si fier de sa masculinité dominatrice. Il la laissa sacharner sur ses tétons quil abandonna à lemprise de la bouche vorace qui les lécha, suça, mordilla, tirailla, aspira, tritura jusquà les rendre tendus et sensibles à lextrême. Cette découverte le rendit pantois et il se laissa aller à ce plaisir qui inversait les rôles en faisant de lui la femme. Cette gamine était vraiment un cas dexception pensa-t-il tout en ne pouvant écarter un soupçon dinquiétude.
Quelle salope ! Se dit-il quand elle vint plonger sa menotte dans son jean. Le contact avec les petits doigts fureteurs magnifia son érection et il lut dans son regard la surprise ce qui le flatta. Il se pencha pour lembrasser à nouveau. Leurs langues entamèrent un combat dont il abandonna la maîtrise, perturbé par lagitation digitale qui jouait dans son jean une partition diabolique. Perdant tout contrôle, il ne put résister au traitement tellement efficace quil éjacula prématurément sans pouvoir protester autrement que par des cris dune délivrance qui lui échappait totalement. Quand il aperçut son sourire coquin, il se sentit victime à la fois de son propre plaisir et de lhabileté de la petite. Cest alors quil la vit se relever et quil put contempler sa plastique de jeune fille aux rondeurs si harmonieusement girondes malgré la minceur de sa silhouette. Ses mignonnes fesses serrées dans une petite culotte de soie rose presque transparente auraient à elles seules pu ranimer lardeur de Ray tel le soufflet de forge sur la braise assoupie. Et cest exactement ce qui se produisit à linstant où la jeune fille lui demanda où était son lit.
Il aurait voulu lui proposer de changer les draps mais ce corps de petite femme le rendait impatient. Après sêtre débarrassé de son jean il lenleva pour la jeter sur sa couche. Il lui fallait la pénétrer au plus vite. Lavoir à lui. Lui imposer son plaisir. La faire crier jusquà ce quelle lui demande darrêter. Mais cest encore elle qui eut le dernier mot en refusant quil lui quitte sa culotte. Elle était au-dessus de lui, le regardant avec des yeux devenus vitreux derrière ses grosses lunettes quelles ne quittait toujours pas. Cette protection artificielle la rendait encore plus troublante. Il la vit se cambrer en le dominant appuyée sur ses bras et entamer un roulement de fesses qui avait pour but de lui masser sa queue avec sa chatte tout en gardant le rempart du frêle tissu de la culotte. Cétait formidable comme sensation avec son visage grimaçant de gourmandise ; ses petits seins aux tétons dardants qui sagitaient au-dessus de lui, et ce mouvement de roulis qui enflammait sa bite. Son gland pouvait lire à travers la culotte la géographie de sa vulve. Elle était trempée et se frottait de plus en plus vite contre sa tige. Elle se mit à rouler des hanches quand son bouton agressa son gland. « Déchire ma culotte avec ta bite ! « vint-elle lui susurrer à loreille tout en sallongeant sur lui.
Cela le rendit fou et il la retourna en lécrasant de tout son poids et la pilonna comme sil possédait un marteau piqueur à la place de son pénis. Le tissus léger eut le dessus et sa grosse artillerie se répandit en un flot de sperme au débit impressionnant qui sétala sur le triangle déjà imbibé de la petite culotte. Surpris par cette éjaculation loin dêtre volontaire, il se posait des questions sans réponses : où veut-elle en venir ? Est-elle vierge pour refuser de quitter sa culotte ? A quoi joue-t-elle ? Se moque-t-elle de moi ? Qui suis-je pour elle, un instrument ? Un jouet ?
Lorsquil eut repris ses esprits et son souffle, Ray était seul dans le lit transformé en champ de bataille.
« Javais soif chéri » et il lui sourit, pas encore lassé de contempler ce corps de sorcière à peine sortie du berceau. Oui ! Elle lensorcelait, cette polissonne aux talents incroyablement inédits pour le vieux routier de lamour quil croyait être.
« Tu veux boire, toi aussi ? » Et sans attendre sa réponse il la vit le rejoindre dans le lit pour mettre son visage entre ses cuisses. Il suffoqua presque sous lodeur très fortement musquée de la chatte de Janine.
« Cest toi qui a transformé ma culotte en éponge, alors bois à ma source ! »
Il écarquillait les yeux devant une telle proposition venue de celle quil considérait comme une gamine lubrique. Il la sentit saisir ses cheveux pour appliquer sa bouche contre sa culotte. « Je suis ta fontaine ! Bois-moi ! Léche-moi ! Broutte-moi le minou ! Nettoie-moi la vulve ! Arrache ma culotte avec tes dents ! »
Un nouvel élan lentraîna à lui obéir même si cette proposition lécoeurait quelque peu. Pendant quil sappliquait à la satisfaire, sa récompense vint quand il entendit une longue plainte monter de sa gorge pour se transformer en un hurlement strident qui dût réveiller tout limmeuble. Une nouvelle giclée de mouille séchappa de son vagin en crue et il aspira ce nectar épais et âcre sans en perdre une goutte.
La belle sabattit enfin à ses côtés tandis que la pleine lune filtrait à travers le carreau de la fenêtre les fils de soie de ses rayons glabres qui venaient éclairer le triangle de poils noirs de la touffe encore ruisselante de Janine.
Cet instant fut pour lui un délicieux moment de contemplation. Quest-ce-quelle était belle ! Des rondeurs délicates de fausse maigre ; un visage dintello cachant une nymphomanie affirmée ; une allure de danseuse dans une chorégraphie torride ; une voix aux tonalités vertigineuses de la douceur à la fureur
Elle ouvrit enfin les yeux et il fut rassuré car le message de son regard était reconnaissant.
« Quelle drôle de fille tu es ! Tu as du faire des ravages chez les hommes ? » osa-il lui dire sans que cela eût lair dune vraie question. Elle comprit néanmoins instantanément où il voulait en venir. Sa réponse révéla sa nature de fille intelligente et surtout surprenante. Elle évoqua un premier amoureux mais dune façon qui trahissait un besoin deffacer cette première expérience. Le reste de la réponse fut fidèle à ce quelle lui avait révélé jusque-là dans leur ébats en lui expliquant crument quelle avait peur « de sa grosse bite », chose à laquelle elle précisa navoir pas été habituée. Elle ajouta quil était de découvrir cela.
Elle le surprit encore en voulant prendre une fois de plus linitiative en chevauchant ses cuisses. Elle se mit à jouer avec sa bite avec une telle innocence dans les gestes quil en fut très ému. Il sentit sa queue bander à nouveau pour atteindre sa taille maximale. Ce fut un délice pour lui de la voir soulever ses fesses pour venir se positionner sa queue qui lattendait avec impatience. Il fut surpris car les lèvres nétaient plus trempées mais sèches sur son gland. Elle saccroupit encore plus pour happer sa bite. Les grimaces sur son visage lui indiquèrent que sa peur de la douleur était plus forte que sa volonté et il voulut lui éviter un désagrément douloureux.
Il la prit dans ses bras et délicatement la déposa sur le lit pour mieux préparer cette petite chatte gourmande de sa grosse queue. Il dût sarmer de patience tellement son envie de pénétrer au plus vite les chairs intimes était tentante. Promenant ses doigts sur les lèvres et explorant la cavité rose, au point de négliger le clitoris qui dressait la tête en vain pour participer à la fête, il sut dompter les tensions responsables des crispations de Janine. La vulve souvrait maintenant béante et baveuse et il promena son gland sur les lèvres frémissantes et redevenues luisantes. Sallongeant sur le jeune corps tremblant dune impatience craintive, il posa son gland à lentrée de la bouche en feu et ly glissa avec précautions si habilement que la hampe entière savança jusquau fond de la grotte. Elle simmobilisa jusquà ce quil ne sente plus trembler les cuisses de la jeune femme. Il savourait sa victoire acquise dans la douceur. Contre sa bouche le souffle de la jeune fille se ralentissait pour redevenir normal. Ecrasant sous son torse les petits seins qui avaient perdus de leur vanité érectile, il lemprisonna ainsi sous lui comme si sa bite était un bijou précieux dont il devait désormais partager la propriété avec Janine. La pendule de la nuit avait perdu ses aiguilles pour les jeunes amants qui, immobiles, redoutaient maintenant que laube qui sannonçait les oblige à désserrer leur étreinte.
Lérection monumentale du garçon navait pas faibli, piégée par létui intime qui sétait adapté à la taille de lengin. II nosait achever son oeuvre sans la brusquer. Elle dût le comprendre car elle lui demanda de la remplir de sa semence.
Il sentit alors les cuisses le serrer aux hanches tandis que les mains de la gamine se posèrent sur ses fesses pour le pousser à la fourrager jusquà léruption finale. La folie des corps reprit et sa grosse bite se déchaîna en la pilonnant sans vergogne, avec une hargne bestiale. Lintensité de cette pénétration à grands coups de butoirs qui ressortaient de la vulve pour mieux sy enfoncer, arrachant aux deux protagonistes grognements sauvages, hurlements de folie, claquements de chairs, rythmés par les « Encore ! Encore ! » qui se répétaient chaque fois que son vagin redevenait vide dans lattente dun nouvel assaut. Cet ordre crié sans relâche eut raison de sa résistance et il se lâcha sans pouvoir se retenir dans le vagin de Janine.
En se réveillant, en fin de matinée, il constata que la fille était partie. Il lui sembla quil avait rêvé. Létudiante qui paraissait si sage était une vraie bombe sexuelle qui cachait bien son jeu. Alors quil pensait faire sa conquête, cest plutôt elle qui avait fait la sienne. Il lui fallait absolument la revoir. Il avait besoin delle ! Et ça cétait nouveau pour lui.
Plus tard il entra dans la salle de bains où un message inscrit au rouge à lèvres disait « Merci, si jai renoncé à lamour, tu mauras fait découvrir la rage de faire lamour. » Et cétait signé : J.
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