Collection Fétichiste. Mes Petites Culottes (1/1)
- Adrien alors cest toi qui viens me voler mes petites culottes la nuit sur ma corde à linge.
Attend, viens ici et assieds-toi sur le pied de mon transat.
- Pardon madame, je vous jure cest la dernière fois !
- Madame !
Tu es bien obséquieux, quand on te prend la main dans le sac.
Que fais-tu de mes culottes ?
- Je les suce et je décharge à lendroit où votre chatte est venue à son contact avant de les ranger dans ma collection.
Ne dites rien à maman, ni à ma sur, elles croient que je suis guérie mais jai fait semblant devant la psy.
- Si tu veux que je garde ton intrusion pour moi, raconte-moi ton histoire.
Mais avant quelle âge as-tu ?
Pas de méprise, je nai aucune envie de baiser avec ce puceau et je me fiche quil soit sexuellement en âge de me satisfaire.
Je suis enceinte de sept mois.
Mon mari Jules est parti pour trois mois en Afrique depuis un mois et doit revenir avant mon accouchement.
Je me suis rendu compte il y a deux jours quon me volait mes petites culottes.
Ayant des pertes dues à ma grossesse, je les change souvent dans la journée.
Je les lave et je les étends sur mon sèche-linge extérieur pour pouvoir les remettre quand je me lève.
Avant-hier au soir je voulais trouver mon voleur, je me suis donc allongée sur mon transat à côté de notre piscine.
Je me suis lamentablement endormie réveillée par le soleil commençant à chauffer. Deux de mes cinq culottes avaient disparu.
Voulant trouver le pickpocket de lingerie féminine, ce soir je me suis allongée en mettant mon portable sur alarme sonnant toutes les cinq minutes en mode vibreur afin déviter de me faire repérer par mon voleur.
Les vibrations de 2 heures venaient de me réveiller sinon jaurais une nouvelle fois lamentablement échoué à prendre Adrien la main dans le sac ou plutôt la main sur mes petites culottes.
- Jattends !
- Jai bientôt dix-huit ans madame, pardon Véronique.
- Et pourquoi fais-tu collection de mes bouts de tissu ?
- La psy a dit que jétais fétichiste de lingeries féminines.
- Où as-tu commencé ?
- Vous me promettez de ne rien dire à maman.
- Tu as ma promesse.
- Jétais en vacances chez ma grand-mère quand un jour de grand vent le linge de sa voisine, comme vous avec nous, sest envolé.
Lorage grondait et mamy ma demandé daller fermer le poulailler les poules étant rentrées.
Les voisins avaient une fille Paulette dont jétais secrètement amoureux.
Elle se fichait de ce jeune garçon boutonneux que jétais il y a deux ans.
Javais une acné juvénile qui grâce au médecin a disparu depuis.
- Elle aurait pu être sympa, si tu lavais baisé ton acné aurait disparu tout seul.
Je sais de quoi je parle jai épousé Jules encore puceau et cest en me faisant lamour quil a disparu.
Cest la petite culotte de Paulette qui a été ton point de départ.
- Oui, ça a été lélément déclencheur.
Comme avec tes culottes, je la suçais et je me masturbais dans son entrejambe.
La deuxième !
- Il y en a eu une deuxième, je suis bête les miennes sont dans ta collection.
- Oui et la première que je taie volée m'à déclencher énormément de plaisirs.
Je parlais de la deuxième, cest à ma mère que je lai prise.
Elle lavait fait tomber à côté du panier à linge salle dans la salle de bains sans la voir quand elle a fait sa lessive.
- Tu as mis dans ta bouche cette culotte appartenant à celle qui tavait mise au monde.
- Tu as raison, mais lodeur était si forte que pendant huit jours tant que je lai senti jai bandé comme un âne.
La suivante, je lai cherchée dans le panier à linge.
Maman a des culottes de grande taille pour y mettre ses grosses fesses et a des sous-vêtements très classiques en coton.
Jai eu facile à en trouver une autre, la première est entrée dans ce qui est maintenant ma collection.
- Tu en as beaucoup ?
- Vingt-neuf avec les tiennes.
Outre celles de Paulette et de maman, dans le village de mamy je pistais les femmes étendant leur linge à lextérieur comme toi et jallais les voler la nuit.
Jai pu en subtiliser une à ma sur Susy.
Elle les lavait elle-même pour éviter de les abîmer dans la machine.
Cest la plus belle de ma collection pour deux choses.
La première, il a fallu que jarrive à rentrer dans sa chambre pour en voler une des trois qui séchaient.
Jai profité de la fenêtre ouverte pour entrer et en piquer une.
Je devrais dire « un » car cétait un string rouge.
- Cétais ta sur, jaurais eu honte à ta place !
- Moins que pour maman, c'était seulement un string.
Certes cétait un string dont la corde était passée entre ses fesses et ça, ça me facilitait quand je bandais.
- Dommage, les miennes sont assez classiques en ce moment à cause de ma grossesse.
Moi aussi, en temps normal je porte des strings sous mes robes moulantes car lélastique est disgracieux surtout quand je me baisse.
Mais dit-moi, tu mas parlé du psy, tu as été pris la main dans ta collection ?
- Pris oui, à cause de mamy mais jai réussi à cacher ma collection leur disant quaprès men être servi pour ma jouissance, je les jetais à la poubelle.
- On t'a donc attrapé.
- Oui, par grand-mère Paulette.
Elle étendait du linge un jour sans vent.
Elle ma vu sauté la barrière comparée à ton mur de presque deux mètres.
Elle a appelé maman car Susy avait constaté mon larcin et la disparition de son string.
Jai dû avouer mon fétichisme des petites culottes.
Ce que jai caché à la psy, car ils avaient choisi une femme, cest que tout le temps où elle était derrière moi, je répondais à ses questions en même temps que je révais de la couleur de la sienne.
- Tu las su ?
- Oui rose, elle cherchait à savoir la couleur qui mattirait le plus.
Jai dit les bleues plus rares et elle ma dit quelle était classiquement rose avant de se reprendre et clore la séance.
De retour dans ma chambre je me plongeais avec délice dans ma collection mettant à mal tout le travail fait pendant une heure.
Elle a fini par dire à maman quelle mavait guérie de mon sale penchant.
- Comment as-tu su que je mettais les miennes de lautre côté de ce mur si haut.
- En cueillant les cerises au printemps.
Jétais grimpé sur une branche pour cueillir celle du haut et jai vu ton linge.
Comme la psy me lavait appris jai résisté deux mois et me voici.
- Tu me prends mes culottes, mais elles sont propres.
Je les lave, prends celle-là, je lai mise avant de venir essayer de te piéger.
Grâce à la lune, je tai vu et je tai reconnu, impossible que tu méchappe.
Je me soulève et ôte ma culotte, seule pièce de lingerie que jai sur moi.
Adrien doit constater ma nudité, ça mémoustille, Jules est parti depuis si longtemps.
- Tient, respire.
- Oh merci, tu comprends mes envies et mon fantasme de fétichisme des petites culottes de vous les femmes.
Elle sent bon, jadore, regarde ça me fait bander.
Je sais jai dit que ce garçon de 18 ans était loin dêtre mon but.
Ma grossesse a un effet accélérateur de ma libido.
Ma chatte dégouline à me voir observé par ce garçon alors que celui qui ma mise en cloque est loin de moi.
- Adrien, veux-tu passer une étape dans ta vie dhomme ?
Tu lèches ma culotte avec appétit à ce que je vois.
Veux-tu directement aller à ma source ?
- Que veux-tu dire, tu veux que je te lèche la chatte ?
- Et surtout le petit bouton là que tu vois mal mais qui existe, cest mon clitoris.
- Manger un clito, jattends ça depuis que mon corps a tracé ma première carte de France dans mon lit.
- Bouffe-moi !
Je suis folle, mais la situation si prête, Adrien est à ma disposition, son larcin lui donnant le mauvais rôle.
Les cuisses écartées il vient me lécher.
Il relève la tête.
- Cest bon, je viens de trouver une petite boule en haut de ton vagin, cest ça ton clitoris ?
- Oui.
Je suis aux anges, bébé lui aussi doit être aux anges quand mon corps éclate.
Je sais que cest une fille, a-t-elle eu elle aussi sa première sensation intense ou la-t-elle ressenti là où elle est ?
- Veux-tu que je te dépucelle ?
- Au oui, mais ton bébé ?
- Aucune crainte, elle est bien protégée, tu vas seulement faire attention à mon ventre.
Place toi sans t'appuyer, sers-toi de tes bras.
Il entre en moi, rapidement il mapporte un nouvel orgasme.
Au matin comme la veille, cest le soleil qui nous réveille.
Il me prend de nouveau mais en levrette.
Cest plus sûr afin déviter le déclenchement de mon accouchement.
Lorsque son sperme minonde il vient boire nos jouissances.
Il saute le mur la trentième culotte que je lui ai offerte à la main.
Elle va retrouver sa collection.
Le soir, cest par la porte quil revient me voir.
Il menlève ma culotte que jai gardé depuis que jai pris ma douche.
Cest un homme qui me fait jouir comme il la fait la nuit dernière dans mon jardin.
Ce matin à 6 heures, Anaïs est née.
Adrien a coupé le cordon.
Et le père direz-vous ?
Le père vient de refuser son rôle de père restant à létranger et menvoyant un avocat pour divorcer.
Par obligation, il a reconnu quil avait une autre femme dans le pays où il est et quelle est enceinte.
Adrien a amené sa collection chez moi, je laide à la compléter.
Je cherche ce qui pourrait être choquant, il a 18 ans et jai 25 ans.
Je suis loin dêtre une cougar.
Si un jour dans votre jardin, vos culottes disparaissent cest nous !
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!