La Vie Dissolue D'Une Bigote 9 : Les Vieilles Salopes
Le vendredi soir, je retrouve Jacqueline chez elle comme convenu. Elle mannonce que Mélanie nétait pas à la réunion de la veille. Elle me propose de boire un verre et, puisque je suis là, de « passer un petit moment » Sur la table, elle a « négligemment » laissé traîner des menottes et un martinet. Lorsque je la regarde en sirotant l'apéritif, elle sourit en disant.
« Je crois que jen ai besoin !
Expliques-toi !
Je tai menti ! Jai vu Mélanie hier mais je nai pas osé lui parler.
Faute avouée, à moitié pardonnée. Alors, combien mérites-tu de coups ?
Dix ? Ça va ?
Tu es un peu maline ! Jai plutôt pensé à vingt !
Oh non !
Comme tu as avoué je ramène donc la peine à la moitié et tu en auras dix. Allez ! A poil vieille salope ! » Il ne faut pas longtemps à Jacqueline pour quitter ses vêtements, La coquine a revêtu des dessous affriolants, bas, porte jarretelles et soutien gorge pigeonnant.- « Donne-moi tes mains. » Jacqueline se retourne pour que je la menotte dans le dos, mais jai une autre idée. Je lui passe donc devant et je lève ses bras pour passer la chaînette sur le porte-manteau accroché à côté de la porte de cuisine. Jacqueline se retrouve ainsi exposée dans son salon. Jen rajoute une couche «- Tu sais que quelquun pourrait rentrer et te trouver comme Ça ! Malgré sa peur elle est excitée. Je vais te corriger salope ! Tes fesses vont le sentir passer ! »
La coquine prend position en tendant ses fesses rebondies. Le tableau est superbe, aussi, avant de commencer à la fesser, je la prends en photo. Elle tourne la tête au moment où je déclenche ce qui mobligera à flouter son visage avant de publier la photo
Je saisi alors le martinet et fais passer les lanières sur les fesses de Jacqueline. Sa peau se hérisse dans lattente de la correction. Volontairement je la fais languir. Je vois ses muscles se relâcher et je frappe une première fois, pas très fort. Jacqueline sursaute et lâche un petit cri.
- « Prends-moi ! Salaud ! Baises-moi ! Baise ta salope ! Tu mas chauffée comme une pute, alors viens éteindre mon incendie ! Fourre-moi ta lance ! Salaud ! Fais ce que tu veux de moi, mais baises-moi ! »
Je me déshabille prestement, me positionne derrière sa croupe et la pourfend dun seul élan. Cest quand je me retrouve au fond delle quelle crie à nouveau :
- « Salaud ! Tu mencules ! Tu as raison ! Je suis une pute quon encule ! Jaime ça ! Il y a longtemps que je navais pas pris ça ! Cest bon ! Mon mari adorait me prendre comme ça ! Vas-y ! Défonce-moi le cul ! »
Sans men rendre compte je me suis trompé de passage. Jacqueline ne sen offusque pas au contraire! Je suis entré comme dans du beurre, la salope est une adepte de la sodomie. Elle mavouera ensuite sêtre « préparée » avec le gode, ce qui fait que je nai pas fais de différence. Il faut dire que Jacqueline nest pas très grande et que « naturellement » ma queue se trouvait à la hauteur de son anus. Bref, la salope avait bien préparé son coup pour sa plus grande joie et, passé la surprise, pour la mienne.
Jacqueline jouit du cul autant que du vagin. La fessée précédente lui apporte un plaisir supplémentaire quelle manifeste bruyamment. Ses muscles se crispent sur ma bite plusieurs fois avant que je ne me lâche dans son boyau.
« Il y a longtemps que je navais pas jouis comme ça, me déclare Jacqueline, après quelques instants de repos.
Ton amant ne te satisfaisait pas ?
Oui, mais il ne voulait pas menculer. Il trouvait ça sale et humiliant.
Tu ne lui as pas dis que tu aimais être dominée ?
Jai essayé, mais il na pas, ou pas voulu comprendre.
Jai un peu dexpérience et jai détecté en toi la salope soumise. En plus, avec le cul et les loches que tu as, tu es un appel au viol.
Même à mon âge ?
Tu sais bien que cela ne compte pas pour moi.
Alors tu recommenceras ?
Bien sûr et je compte bien te faire remplir par dautres mecs. Déjà avec ton gérant de sex-shop, tu vas pouvoir téclater.
Et avec Pauline, comment vas-tu faire ?
Comment ça ?
Tu vas continuer à la voir ?
Bien sûr ! Tu ne comptes pas être ma seule maîtresse ?
Non, ce nest pas ça mais vous deux, ça dure depuis un moment. Maintenant que tu nous embarque dans cette aventure, cela va changer, non ?
Je crois que lorsque je serai seul avec elle, nous ferons lamour « normalement » et tendrement, et dans le groupe, ce sera plus hard. Mais pourquoi tu me demandes ça ?
Ben
quand on a
parlé lautre jour après notre
première nuit
Elle ma confié quelle taimait.
Moi aussi je laime bien.
Tu ne comprends pas. Elle taime damour !
Elle sait depuis toujours que jai une compagne et qu'avec elle cest une histoire de cul, point.
Oui, mais il nempêche que
Cest une sentimentale. Tu sais, à moi aussi elle ma dit quelle maimait !
Après une seule nuit ? Elle confond encore lamour et le sexe. Après quelques expériences « hard » elle changera davis.
Cest que
Quest-ce quil y a ?
Ben
Moi aussi je crois que
je laime !
Eh bien dis donc ! Vous les vieilles quand vous vous y mettez ! Tu vas être jalouse de moi et des autres partenaires ?
Je... Je ne sais pas. Non je ne crois pas.
Quand vous avez sucé le commerçant, tu las vue faire, est-ce que tu étais jalouse ?
Non. Jétais excitée comme une folle.
Eh bien tu vois ! Allez ! Rien ne vous empêche de vous aimer entre vous et de baiser comme des folles en dehors !
Toi alors ! Au fait. Je tai encore un peu menti !
Tu as encore envie dune raclée ?
Ce nest pas ça ! Cest vrai que javais envie que tu me punisses.
Eh bien ma salope ! Tu vas être à nouveau punie. En attendant tu vas lappeler et lui dire de venir.
Ne sois pas méchant ! Tu sais, je voulais tavoir un peu pour moi.
Peut-être. Je vais réfléchir à ce que sera ta punition. Allez appelle ! »
Jacqueline sexécute aussitôt. A lautre bout du fil, la discussion est courte. Mélanie devait attendre et elle annonce son arrivée dans un quart dheure. Jappelle aussitôt Pauline et lui demande de venir rapidement chez Jacqueline. Cinq minutes plus tard elle arrive. Elle est surprise de trouver sa copine uniquement vêtue de bas et porte jarretelles. Je fais retourner cette dernière pour que lon découvre ses fesses encore rouges, la fait pencher et écarter les fesses, indiquant que je viens de lui remplir le petit trou encore boursouflé.
« Quelle salope tu fais ma chérie se marre Pauline. Confirmant quelle rentre dans notre jeu.
Tu vas aller te cacher dans la chambre. On attend Mélanie. Tu ne sortiras que lorsque je tappellerai.
Et moi ? Interroge Jacqueline.
Toi, tu restes comme Ça. Nous attendons notre amie.
Mais
Tu as encore quelque chose à dire ?
Non
Non. » Dit-elle rougissante en baissant la tête.
Lattente est terrible pour Jacqueline. Pauline et moi discutons de la condition de soumise de notre hôtesse. La présidente demande si elle pourra elle aussi dominer son amie. Je lui signale que ce nest pas évident et quil faut avoir lesprit à cela et se dominer soi-même car le jeu peut dér.
Mélanie arrive plus vite que prévu. Dans le regard de Jacqueline se lit la panique. Pauline va se cacher dans la pièce voisine, laissant la porte légèrement ouverte pour entendre ce qui va se passer. Je lui signifie de ne faire aucun bruit.
Au coup de sonnette, Jacqueline se fige.
« Bonjour Mélanie.
Je me doutais bien que ce serait toi, le mystérieux homme !
Ah bon ? pas trop déçue ? Mais comment ça tu te doutais ?
Pas du tout déçue ! cest plutôt si tu navais pas été là que je l'aurais été ! Quand tu me faisais la bise, cétait très proche de mes lèvres et en reculant tu plongeais tes yeux dans les miens
Ça te plaisait ?
Je dois dire que oui. Je voyais mal un autre homme faire ce genre de proposition. Mais on ne sait jamais. Je ne mattendais tout de même pas, à ce que Jacqueline soit dans cette tenue pour me recevoir.
Cest une soumise, elle aime être dominée ! Elle vient de recevoir une volée au martinet sur ces fesses tourne toi et montre nous ton cul salope ! » Docile, Jacqueline nous montre ses fesses encore bien rouges « En plus je lai enculée parce quelle aime aussi ça ! Bien. Puisque tu sais pourquoi tu es là, on va passer à la suite. Toi Jacqueline, va te mettre dans le coin, à genoux face au mur. Ce sera ta punition. Tu entendras, mais ne verras rien. Mélanie, mets-toi devant moi et tu vas te déshabiller. Ça fait longtemps que jai très envie de te voir.
Espèce de cochon ! Ça me gêne !
Tu sais bien que dans notre petit club, tu en feras beaucoup plus. Et puis, il faut bien que je me fasse une idée.
Tu veux surtout te rincer lil !
Bien sûr ! Et pas que lil.
Je ne suis pas très belle. Jai de grosses jambes !
Je sais un peu comment tu es faite. Nous avons tous nos défauts et on ne voit que ça sur nous. Seulement tu oublies tes beaux yeux bleus, ton beau cul et tes formes alléchantes. Sans parler des tes qualités de bonne salope. De toute façon, tu es venue pour ça, alors fais-moi un striptease ! »
Mélanie se débarrasse de son sac à main et entreprend un effeuillage digne dune « pro » La veste, puis le chemisier sous lequel je découvre des seins pas très gros mais bien tenus dans une lingerie fine. Un sourire aux lèvres, elle ne me quitte pas des yeux en jetant ses habits sur le divan proche. La jupe suit rapidement et Mélanie se retrouve en sous-vêtements et escarpins. Elle na pas mis de bas. Effectivement ses jambes ne sont pas des plus belles mais lensemble est plaisant. Son bas ventre est orné dune toison abondante qui sétend très haut vers son nombril. Bien taillée tout de même, elle est toute blanche comme les cheveux.
Un peu gênée malgré tout, Mélanie prend la pose, une main sur la hanche et lautre derrière la tête comme les pinups des années soixante. Pour lui montrer que japprécie le spectacle, jouvre mon pantalon et sors ma bite bien dressée. Elle est en train de regarder mon bas ventre lorsque que jappelle Pauline et lui demande à de revenir dans la pièce.
Mélanie est surprise par larrivée de sa présidente et se cache tout dabord les seins et le sexe.
« Tu ne savais pas que Pauline fait partie de notre groupe ?
N
Non. Je naurais pas cru
Tu auras peut-être dautres surprises. Il ne faut pas se fier au gens. Que penses-tu de notre nouvelle amie dis-je à Pauline qui sest positionnée à côté de mon fauteuil, la main posée sur mon épaule.
Jai limpression quelle te fait de leffet en tout cas ! Je crois que lon va avoir encore du travail de rasage. Sa toison est abondante !
Eh bien, tu vois, je crois au contraire que lon va garder sa belle toison. Cest un vrai tablier de sapeur et je trouve très érotique. Pas toi ?
Oui, Je trouve très joli. Ça serait en effet dommage de lui enlever, surtout quelle a une belle couleur blanche, comme ses cheveux.
Cest exactement ce que je pensais. Il faudra tout de même tailler autour des lèvres et entre les fesses.
Nayez crainte, cest déjà fait. Indique Mélanie. En se tournant elle se penche et écarte ses grosses fesses. Effectivement, la femme est bien entretenue et de larrière on voit très bien les lèvres de son sexe et son illet bien dégagés.
Javais raison de penser que tu es une belle salope ! Viens ici maintenant. Il y a une queue qui a très envie de se faire sucer.
A ton service mon cher. Moi aussi jai très envie de la sucer ! »
Mélanie sapproche, toujours le sourire aux lèvres, sagenouille, me retire le pantalon pour lequel je soulève les fesses afin de laider. Sans hésitation, elle se penche. Passe la langue sur le gland avant de le prendre en bouche et de le sucer comme un bonbon. Elle avale ensuite la tige pour une gorge profonde. La coquine a du savoir faire !
Sortant le gode ceinture de dessous un coussin, je le tends à Pauline, lui faisant signe de le mettre et de prendre Mélanie, occupée à sa fellation. Rapidement, dun air gourmand, elle se déshabille, enfile lengin dans sa chatte et lattache sur ses hanches. Pauline se positionne à genoux derrière sa copine, pointe le sexe factice et sans attendre senfonce dans la chatte.
Mélanie relève la tête se demandant quel est cet homme quelle na pas vu venir et qui vient de la posséder. Surprise, elle découvre sa présidente nue qui la baise. Elle replonge sur ma bite, lengouffrant encore plus voracement.
Pauline, a pris goût à cette forme de sexe avec Jacqueline. Elle se déchaine, bien agrippée aux hanches de Mélanie qui grogne sans toutefois lâcher sa proie. Bientôt pourtant, elle nen peut plus et relève la tête pour crier son plaisir. Heureusement pour moi, car je nétais pas loin de lâcher mon sperme dans sa bouche accueillante.
Mélanie est en sueur. Pauline nest pas mieux. Du coin de lil jai vu Jacqueline glisser une main entre ses jambes. Punie de ne pouvoir assister à ce coït sauvage. Je relève Mélanie et la fait asseoir près de moi.
« Tu es bien la salope que je pensais !
Tu es choqué ? Tu sais, je ne suis pas comme ça dhabitude !
Tu ne sais pas encore que très peu de choses peuvent me choquer et jespère que tu ne me décevras pas lorsque je te demanderai parfois de te dépasser. Je suis sûr que tu es une bonne recrue et que les hommes en redemanderont avec toi. Je me fiche, de ce que tu faisais avant, mais maintenant je compte bien que tu sois une vraie cochonne, toujours prête à des expériences.
Compte sur moi. Je nai jamais trouvé un homme aussi vicieux que toi et jai hâte dêtre une salope pour toi et avec toi.
Vous avez entendu mesdames ? Nous avons une nouvelle recrue. Il faut fêter ça.
Oui, dit Mélanie, mais une chose encore. Tu ne mas pas baisée, toi. Je ne te plais pas ?
Tu as vu que je bandais bien en te regardant. Ne sois pas pressée. Je vais te baiser et tenculer, ma belle, mais auparavant nous allons rappeler Jacqueline qui a purgé sa peine. Viens ici toi ! A quatre pattes comme la chienne que tu es ! »
Mélanie et Pauline sont surprises que je la traite ainsi, aussi je leur explique la véritable personnalité de Jacqueline qui est une soumise aimant être humiliée et corrigée. « Vous verrez comme elle jouit après avoir reçu le martinet. Nest-ce pas salope ? »
Oh oui ! Dit-elle aux femmes. Jean ma fait jouir comme jamais depuis la mort de mon mari. Jai pris une volée sur le cul et quand il ma sodomisée je nai pu me retenir. Cétait énorme ! Je tai entendue toi aussi Mélanie. Jai limpression que tu as bien aimé, toi aussi te faire baiser.
Oui, mais la différence cest que ce nest pas lui qui ma baisée, mais Pauline !
Ah cochonne ! Tu me fais déjà des infidélités ?
Parce que
Vous deux
Vous
sétonne Mélanie.
Eh oui ! Cest encore un coup de Jean ! lui répond Jacqueline. Tu sais que ce salaud couche avec notre présidente depuis longtemps !
Je naurais pas cru ! déclare Mélanie
Eh oui ! Elle cache bien son jeu la coquine !
Mais
Vous deux
Comment
Lorsque mon amant ma quitté, je déprimais. Pauline ma demandé ce qui marrivait et en a parlé à Jean. Celui-ci ma « piégée » en me faisant croire quil me faisait passer un test pour un homme sintéressant à moi, mais qui souhaitait la discrétion. En fait, cétait pour son propre compte. Ce vicieux ma fait déshabiller, puis jai dû le sucer, ensuite sucer Pauline et il ma baisée. Après ça on a baisé toute la nuit tous les trois.
Quand il est parti, nous nous sommes retrouvées toutes les deux, et avons continué. Nous avions découvert le plaisir entre femmes et depuis, on adore.
Eh bien ! Jai du travail pour arriver à votre niveau !
Ne tinquiètes pas dis-je alors. Tu as de bonnes dispositions et daprès ce que jai vu, tu vas très vite être aussi cochonne que tes copines.
Oh Toi ! Mais, dis-moi. Comment se fait-il que tu ais su que je suis une coquine ?
Une salope tu veux dire ? Eh bien jai appris il y a quelques années que deux hommes se sont battus pour toi. Tu devais donc être un bon coup. Cest une qualité qui ne se perd pas. Depuis que je tai revue avec les aînés, jai eu envie de toi.
Malgré mes cheveux blancs ?
Surtout à cause de tes cheveux blancs ! Et quand je vois ta chatte poilue de la même couleur, Ça mexcite. Je nen avais jamais vue comme ça ni daussi étendue.
Longtemps jai été complexée. Je navais pas de poils ailleurs, mais là Ça poussait toujours. Je nosais pas me mettre en maillot ou alors je taillais beaucoup. Cest lun de mes amants qui adorait ma toison qui ma fait prendre conscience de son attrait. Bizarrement, elle est devenue blanche très vite alors que mes cheveux étaient gris. Lorsquils sont devenus blancs, je me suis dis que je ne les teindrai plus.
Tu as bien fait ! Et maintenant que je sais que ta toison est de la même couleur, ça mexcitera de te voir ainsi dans la rue. Mais assez parlé. Moi je ne tai pas encore baisée.
Je nattends que ça mon cher !
Alors tu vas attendre encore un peu. Jacqueline ! Lèche cette salope, quelle mouille bien avant que je la prenne »
Cest le genre dordre auquel la soumise obéit tout de suite. Elle plonge dans la fourrure de Mélanie, surprise elle, par la fougue de Jacqueline. Cest quelle y a pris goût la salope, depuis quelle a découvert ce plaisir.
Elle se redresse une fois pour manifester sa joie de plonger dans une touffe garnie. Il est vrai que son expérience se limitait jusque là, à la chatte de Pauline complètement lisse.
Mélanie gémit rapidement. Je décide de prendre enfin cette femme dont jai envie depuis si longtemps.
Je demande à Jacqueline de se coucher par terre et à Mélanie, de lenjamber en soixante neuf, afin de lui rendre la pareille, ce dont elle sacquitte rapidement. Elle mavouera plus tard que « Tu mas traitée de salope et jen suis vraiment une. Jai eu longtemps des relations saphiques avec une femme. Elle est partie loin dici et je dois dire que ça me manquait ».
Positionnée ainsi, la croupe voluptueuse de Mélanie soffre à mes yeux et à ma bite. Jhésite un moment à passer par la porte étroite, mais je me décide pour son vagin, me laissant le plaisir de la sodomiser pour plus tard. Jacqueline, tout en continuant à lécher son bouton, guide ma queue dans la moule luisante. Dans cette position, je ne vois plus que les fesses, le dos et la chevelure couleur neige qui sagite entre les jambes de Jacqueline. La femelle est étroite, malgré ses maternités et sa vie sexuelle animée. Je la pénètre facilement, mais ensuite cest une véritable pompe qui maspire. Je naurais presque pas besoin de bouger, tant ce traitement est efficace, mais je veux profiter au maximum de ce moment, aussi parfois je me retire pour mieux replonger ensuite dans sa caverne onctueuse. Jacqueline profite de ces sorties pour lécher ma queue et recueillir le jus de sa compagne.
Pauline, un peu délaissée, sest installée sur le divan, le gode ceinture toujours en place, elle se branle comme le ferait un homme, tenant sa bite factice et lagitant pour bouger la partie interne enfoncée dans sa chatte. Décidément ces vieilles femmes, sont de satanées salopes quand elles se lâchent !
Ce ne sont plus que gémissements et soupirs qui résonnent dans la pièce. Les corps sont moites. La chaleur monte et avec elle, une odeur de sexe. Je me vide enfin dans lantre de Mélanie, Pauline jouit à son tour. Jacqueline est un peu plus longue, Mélanie layant un peu abandonnée lorsquà son tour elle a été submergée par un orgasme dévastateur. Elle la termine en pilonnant le vagin de celle qui récupère mon sperme et sa mouille au sortir de la moule ruisselante.
Après quelques instants de récupération bien mérités de tous, Jacqueline va chercher du champagne pour fêter la naissance du club des « Vieilles Salopes des Gaves »
La discussion se poursuit alors que nous restons nus. Nous convenons quil est utile dagrandir le cercle des « salopes » Jai avancé cette idée en leur disant que je voyais bien une femme de leur club quil me plairait bien de baiser « tu nen as jamais assez toi » répondirent-elles en chur.
« Ce nest pas ça. Mais il faut pourvoir présenter des femmes avec différentes caractéristiques. Nous avons Jacqueline qui est soumise et adore la sodomie, Mélanie a des cheveux et une toison abondante blanche, Pauline et Jacqueline aiment lamour avec les femmes.
Moi aussi ! déclare Mélanie.
Toi aussi, daccord ! Vous êtes trois salopes ! Pauline, toi tu es la plus « normale » mais tu as envie de baiser en permanence et aucune nouveauté ne te fais peur. Quand à votre amie
Irène, mavez-vous dit, daprès ce que jai pu voir, cest une rousse. Cest très apprécié des hommes. Au fait, est-ce que lune dentre vous se fait fister ?
Cest quoi ça ? demande Jacqueline.
Cest se faire pénétrer la chatte ou même le cul par une main.
Mais... Cest impossible !
Vous verrez que oui. Je suis sûr que Mélanie adorerait ça !
Pourquoi moi ?
Parce que tu as les hanches larges et que ta chatte que jai pu apprécier, est très élastique. Je suis sur que tu te godes avec des trucs imposants, je me trompe.
N
Non, cest vrai !
Courgette ?
Oui ! Jai honte !
N'aies pas honte, cest normal. Je suis sûr que la main dune de tes copines, voire la mienne, te feras monter au ciel. Enfin, si à son tour, Irène est partante, je vous proposerai une de mes maîtresses que vous apprécierez sûrement.
On la connaît ? Cest qui ?
Vous êtes bien curieuses. Vous verrez bien et serez assez surprises. Dans tous les cas elle vous en remontrera en matière de sexe.
Elle est jeune ?
Non, dans vos âges, puisquil sagit dune « Vieille Salope des Gaves »
Tu la connais depuis longtemps ? Demande Pauline.
Assez longtemps oui, même si pendant un certain temps elle na pas été ma maîtresse. Disons que nous nous sommes « retrouvés ». Mais on verra ça plus tard. Avant il faut que vous recrutiez Irène. Vous allez vous y mettre toutes les trois.»
Lors de la réunion suivante, les trois coquines ont préparé une stratégie. Elles invitent Irène à se joindre à elles pour une partie de cartes. Ces dames sarrangent pour que leur table soit un peu à lécart des autres privilège de la présidente afin de parler sans être entendues.
Jacqueline, la plus délurée, oriente le sujet de conversation vers le sexe. En se disant déprimée depuis le départ de son amant. Irène na pas lair choquée, aussi Mélanie poursuit à mi-voix en disant à Jacqueline quelle-même fait partie dun club un peu secret, dont les femmes rencontrent des hommes discrètement, seule, ou en groupe. Jacqueline, déclare aussitôt vouloir en faire partie et fait semblant dapprendre que Pauline y adhère aussi.
« Toi, Irène, tu nas pas besoin de ça, tu as un homme ! lance Jacqueline.
Cest que
Tu sais, ajoute Mélanie, ce nest pas réservé aux célibataires ou aux veuves. Il peut y avoir aussi des femmes mariées.
Il faut que je parle à mon mari ! déclare Irène en se levant aussitôt. »
Les trois femmes sont abasourdies et inquiètes. Que va-t-elle dire à son mari ? Va-t-elle les dénoncer ? Créer un scandale ? Elles nen mènent pas large, surveillant du coin de lil la réaction du mari dIrène, qui nest pas des plus rigolos du club Malheureusement celui-ci est de dos. Elles aperçoivent malgré tout quil hoche la tête, puis la secoue de gauche à droite comme pour dire non. Elles espèrent au moins que le couple gardera la conversation pour lui. Après quelques minutes qui paraissent longues aux trois amies, Irène revient à leur table.
« Mon mari est daccord, mais à une condition. Il veut assister. Il ne veut pas participer, mais simplement assister.
Tu peux nous expliquer un peu ? demande Mélanie.
Ce nest pas facile, mais bon, si nous sommes amenées à vivre cela ensemble, cest bien que vous soyez au courant, mais vous me promettez de nen parler à personne.
Parce que tu crois quon va chanter sur tous les toits, quon se réunit pour baiser en groupe ?
Cest vrai. Mais, ce nest pas glauque ?
Oh non ! Dit Pauline. Cest très correct. Même si cest plutôt « chaud ». Mais personne nest obligé de faire ce quil ne veut pas.
Écoute ! Si tu veux avoir une idée, et montrer à ton mari comment Ça se passe, je peux demander au monsieur qui sen occupe, de vous recevoir au cours dune rencontre.
Vous y serez ?
Si ça doit tarranger, oui. Il ny aura que nous avec lui.
Et moi ? Interroge Jacqueline.
On va soccuper de toi ce soir. Tu as lair motivée et tu en as besoin, lance Pauline en lui adressant un clin dil
Et pour moi alors ? interroge Irène à son tour.
Il faut quon en parle au monsieur. Si ça lintéresse, je tappelle. Mais, tu devrais nous expliquer
Voilà
Euh... Est-ce quon pourrait en parler ailleurs. Ici il y a toujours des oreilles qui trainent. Passez à la maison après la réunion. »
Les trois femmes se rendent chez le couple en fin de journée. A leur arrivée, lhomme leur propose de boire un peu de champagne. Ils adorent ça et ne manquent pas une occasion pour en déguster. « Et cest une occasion ! » déclare le mari, qui une fois chez lui, est beaucoup plus avenant quen société. Il parle peu, mais se montre galant et souriant.
Les trois copines sont un peu gênées car lobjet de leur visite est tout de même particulier. Elles sont également impressionnées par le cadre chic de la demeure. Mis à part Pauline, qui y était déjà entrée, Jacqueline et Mélanie découvrent une belle maison cossue richement meublée. Le couple a semble-t-il des moyens quelles nont pas.
Irène qui sent le malaise, sévertue à dégeler lambiance.
« Nous sommes entre personnes adultes et vu ce que vous mavez dit, assez délurées. Plus jeunes, avec Gérard, nous avons fréquenté des clubs libertins. Dans ces campagnes ici, cest beaucoup plus difficile, aussi jai été très surprise de découvrir que ce genre de lieu existait, et je dois dire, que vous en fassiez partie. Vous voyez que cela ne nous choque pas.
Cest un petit club, en voie de développement. Notre mentor prépare un groupe localement. Il est très au fait de ces choses là et pense quune telle organisation est possible et peut fonctionner dans notre monde rural.
Jadorerais faire partie de ces « pionnières » ! Ça mexcite ! Voilà, je vous explique. Comme je vous le disais, mon mari et moi avons eu une vie sexuelle épanouie. A Paris cétait facile. Quand nous sommes arrivés ici, grâce à nos contacts, nous avons participé à quelques soirées privées sur la côte basque ou landaise. Il y a quelques années, mon mari a connu un problème physique. Depuis ce jour là il
il na plus dérection ! Au début, nous avons continué à fréquenter les soirées, mais il était gêné. Il le faisait surtout pour moi, mais nosait plus se montrer. Jaime mon mari et malgré son encouragement, je nai pas voulu y aller seule. Petit à petit, nous navons plus fréquenté les clubs et avons perdu tout contact avec ce monde.
Gérard, mon mari, ma encouragée à fréquenter des hommes, mais les quelques expériences que j'ai eues ne mont pas satisfaite. Il ma aussi fait de nombreux cadeaux de ce quon appelle aujourdhui des sextoys. Rien ne remplace la présence dun corps vivant. Au risque de vous choquer, jaime aussi les femmes.
Mais tu ne nous choque pas ! dit Pauline. Nous aussi nous aimons faire lamour avec les femmes !
Eh bien ! Je crois que nous sommes sur la même longueur donde. Vous pensez que votre contact macceptera ?
Je crois que oui dit malicieusement Mélanie. Nous lui en parlons ce soir puisque nous allons lui présenter Jacqueline.
Et pour mon mari ?
Je ne sais pas. Il nous le dira. Mais ça métonnerais que cela le gêne.
Je le connais ?
Je ne sais pas. On ten dira plus dès que possible. »
Le soir même, Mélanie mappelle. Les deux autres ne peuvent se libérer, aussi me demande-t-elle de passer chez elle. En fait, la coquine leur a demandé de me recevoir seule. Pauline et Jacqueline ayant décidé de passer la nuit toutes les deux, acceptent bien volontiers sa proposition.
Discrètement, lorsque la nuit est tombée, je me retrouve chez Mélanie. Elle sest bien préparée pour me recevoir. Une nuisette transparente qui descend jusquau dessous des genoux toujours le complexe de ses grosses jambes en dessous, pas de soutien gorge ni de culotte, mais des bas autofixants et des chaussures à talon. Sa toison blanche faisant une tâche claire visible à travers le léger tissu.
Elle est splendide et je le lui dis.
« Cest vrai ? Je ne suis pas ridicule ?
Pas du tout ! Et je ne connais pas dhomme, ou de femme aimant les femmes, qui nait pas envie de te baiser en te voyant comme Ça ! Si tu mets ça lors de nos soirées, tu seras vite la vedette. Regarde ! »
Jouvre mon pantalon et lui présente ma bite au garde à vous. Le sourire aux lèvres elle sagenouille et me suce goulûment. Mélanie est une super-suceuse et la voir ainsi dévêtue mexcite particulièrement. Je ne veux tout de même pas jouir de suite. Aussi je la relève, et je lui demande de prendre des poses devant moi. Je lui dis que je veux quelle oublie ses complexes. Quelle est très excitante, bandante. Que les bas ainsi portés embellissent ses formes. Que sa chatte blanche est un appel au viol.
« Tu na pas des chaussures à talons plus hauts ?
Oui, mais ce nest pas facile de marcher avec.
Ce nest pas pour faire des kilomètres mais juste pour te pavaner. Va les chercher ! »
Elle revient bientôt juchée sur des talons démesurés (seize centimètres) qui effectivement ne permettent pas de marcher beaucoup. Néanmoins le galbe de ses jambes et de ses fesses est accentué et on ne lui demande pas de déambuler pendant des heures. Je lamène devant une glace où elle peut se voir en pied.
« Regarde-toi ainsi. Tu ne trouve pas que tes jambes sont affinées.
Oui, mais je nirai pas loin comme ça.
Tu sais, on te demande juste ensuite de tagenouiller ou de te coucher. Tu ne risque pas grand-chose. En plus, si tu trébuches, il y aura bien des bras pour te retenir. Je vais te prendre en photo dabord, ensuite, espèce de salope, je vais te prendre dans tous les sens. »
Je me déshabille et entreprends de la photographier sous tous les angles. Les prises en contre plongée à ses pieds, allongent encore ses jambes et quand je lui montrerai les clichés, elle aura du mal à se reconnaître. A genoux, étendue dans le sofa, de dos de côté, je mitraille Mélanie qui, prenant de lassurance joue avec moi. Après avoir retiré la nuisette vaporeuse, je continue un peu plus. Tournant autour delle, la frôlant, mais me retirant dès quelle veut attr ma queue tendue.
Enfin, ny tenant plus, je plonge mon visage dans sa fourrure et lape sa chatte onctueuse. Excitée comme une puce après la séance de pose elle jouit rapidement sous ma langue et mes doigts. Bien mouillée, je la pénètre alors de trois, puis quatre doigts.
Je la sens prête et décontractée, aussi je joins mon pouce et entreprends dentrer ma main dans son vagin.
« Oh oui !! Mets-la-moi ! Défonces-moi la chatte ! Salaud ! Cest bon ! Tu vas me faire jouir avec ta main ! Vas-y ! Mets-la-moi ! »
Je tourne délicatement ma main comme pour forer létroit passage quand, tout dun coup, elle est comme aspirée, la partie la plus large est passée et je suis enfoncé jusquau poignet ! Je continue dabord mes mouvements de rotation puis, je ferme le poing et là, Mélanie décolle carrément. Elle crie, son bassin vient au devant de ma main, excroissance monstrueuse de son corps. Je la pistonne littéralement et elle râle, en redemande, lance son bassin une dernière fois en lair et seffondre enfin sur la couche. Seule sa poitrine qui se soulève et sa bouche grande ouverte à la recherche dair, trahissent sa vie.
Délicatement, pour ne pas la blesser, je retire lentement ma main. Sous ses fesses, le tissu est trempé de mouille. Je la laisse récupérer, prenant encore quelques photos qui la feront rougir par la suite.
Elle ouvre enfin les yeux. Un grand sourire aux lèvres elle ouvre grand les bras pour que je me couche sur elle. Sans avoir besoin de me guider, je pénètre son antre et je suis surpris quand presque aussitôt je me sens serré par les muscles de son sexe. Quelle élasticité ! Il y a quelques instants ma main était à cette place ! Elle rit de mon étonnement et me demande de la baiser doucement. Comment lui refuser ce plaisir ? Pour la première fois je la prends en missionnaire. Son corps de femme mûre et enrobée, est souple et accueillant. Sa peau est brûlante après la séance précédente. Elle me serre fort dans ses bras et je la baise lentement. Ses yeux bleus me fixent intensément. Malgré son âge et ses rondeurs, Mélanie est particulièrement souple. Je lui relève les jambes sur le torse et la pénètre profondément pour son plus grand plaisir. Je la retourne et, à genoux la prend en levrette. Avec ses bas, son gros cul ressort encore plus. Je me régale. Enfin, couchés en cuillère, car elle fatigue un peu, je jouis dans sa chatte brûlante qui se serre fort sur ma tige.
« Il y a longtemps quon aurait dû faire ça ensemble ! Me dit-elle. Tu sais que moi aussi je tavais remarqué. Je ne pensais pas que tu pouvais tintéresser à une vieille comme moi.
Cest vrai ? Depuis quand ?
Petit coquin ! Il y a bien vingt cinq, trente ans. Tu travaillais sur un chantier et tu étais torse nu. Ce jour là, jai eu un coup de chaleur en te voyant. Tu mas regardée et si tu mavais approchée je taurais dit oui tout de suite. Je suis rentrée chez moi et me suis branlée comme une folle en pensant à toi. Me traitant didiote, car un garçon comme toi ne pouvait pas penser à moi.
Eh bien, comme quoi tu te trompais ! Je te trouvais déjà très bandante, mais je nai pas osé te draguer ouvertement. Je sentais bien que tu devais être une coquine, mais les convenances et la peur du ridicule sont des barrières difficilement franchissables.
Malgré tes autres maîtresses et les « folies » que nous allons faire, tu reviendras avec moi, me baiser toute seule ?
Si tu es toujours aussi bandante que ce soir et que tu restes une chaude salope, jespère que tu mouvriras ta porte, ton lit, tes cuisses et ton cul, parce que jadore te baiser ! Au fait, tu fais quoi demain soir ?
Tu veux revenir ? Pas de problème !
Non, ce nest pas Ça. Je te propose une soirée dans un sauna.
Pour faire quoi ?
Il sagit dun sauna libertin. Il y a des femmes, des hommes, souvent plus que de femmes et Ça baise.
Tu me vois à mon âge et
Arrête avec ton physique et très grosses jambes ! Tu vas voir quil y a de tout dans ce genre dendroit. Que tu seras surement abordée, parce que tu es bandante avec ta fourrure blanche, ce qui devient rare par les temps qui courent. Et puis, rien nest obligé. Si tu ne veux pas quon te touche, tu dis non et Ça sarrête. Ceux qui insistent se font jeter par les autres. Alors, tu viens avec moi ?
Je
Je ne sais pas
Peut-être.
Écoute, je pars vers dix huit heures, je tappelle avant. Si tu es daccord, je passe te prendre dans un endroit discret et on va samuser. »
Il est déjà tard et je dois rentrer chez moi. Mélanie maccompagne à la porte et se colle contre moi pour membrasser avec fougue. Quand on se sépare, elle me dit « Cest daccord pour demain. Viens à
Je tattendrai »
La découverte du sauna libertin par Mélanie est une autre histoire. Simplement elle adorera lambiance et se rendra compte que son physique est loin de déplaire aux participants. Pour le moment, revenons à la constitution en cours du club des « Vieilles Salopes des Gaves »
La semaine suivante lors de la réunion hebdomadaire du club des aînés, Jacqueline ayant été « officiellement » intégrée, Pauline confirme laccord du responsable du site pour la rencontre avec le couple Irène Gérard. Le rendez-vous est fixé le soir même chez Jacqueline, dont la maison est à lécart du village et les véhicules peuvent se garer à larrière, cachés aux regards du voisinage.
Nous sommes donc réunis Jacqueline, Pauline, Mélanie et moi. Ces dames se sont mises en tenue seyante, et plutôt sexy. Jen profite pour vérifier labsence de culotte en passant la main dans la chatte de chacune. Elles sont déjà mouillées, ce dont je les félicite en goûtant leur suc. Jacqueline a préparé quelques boissons et des gâteaux, jai amené du champagne que le couple semble apprécier, Pauline et Mélanie ont eu la même idée. Du coup, Jacqueline range ses boissons et va aussi chercher du champagne.
Lorsque Irène et Gérard arrivent, nous rions, car eux aussi ont apporté une bouteille de champagne. Décidément, nous nallons pas manquer de « carburant ». Ils sont un peu surpris de me voir là. Nayant pas pensé que je pouvais être ce fameux « interlocuteur ».
Mélanie, qui décidément se place naturellement comme le leader du groupe, leur explique que je suis linitiateur de ce club un peu spécial. Que jaime les femmes dâge mûr et que il y a plus dhommes quon ne le croit qui sont comme moi.
Jai déjà préparé le terrain et leur présente la première version dun site internet qui fera la promotion des rencontres. Je leur montre la page avec les photos de ces dames, dont jai flouté les visages, mais qui montrent suffisamment leurs charmes. Celles-ci rougissent un peu, car Gérard a lair très intéressé. Cest vrai quil ne les a jamais vues ainsi.
Nous commençons par trinquer, histoire que chacun prenne sa place et que lambiance sinstalle. Quand tout le monde a bu, je donne le signal du départ.
« Maintenant que vous avez vu ces dames et lorientation de notre « club privé». Vu ce quelles mont rapporté, vous ne devez pas être choqués.
Pas du tout ! déclare Gérard. Mais laissez-moi vous dire mesdames que vous êtes charmantes et que je regrette de ne pas vous avoir vues ainsi avant ce jour.
Vous êtes un coquin, Gérard, dis-je. Mais maintenant cest votre femme que nous allons découvrir, dans tous les sens du terme.
Mais faites donc ! Jespère quelle saura être à la hauteur de vos attentes.
Je dois vous dire pour être honnête, que cest moi qui ai repéré votre femme et qui ai encouragé nos amies à la « recruter ». Elle est très charmante. Je naurais peut-être jamais osé lapprocher, mais je suis très heureux que nous soyons sur la même longueur donde.
Bien ! Irène, à partir de maintenant je vais te tutoyer, tu es amenée à être plus que nue et a te faire baiser. Cela me semble donc plus normal et te préparera aux futures rencontres.
Tu vas te lever et nous montrer comment tu es faite. Déshabilles-toi lentement, comme pour un strip-tease. Jacqueline, mets-nous un peu de musique. »
Rougissante malgré tout, Irène prend place au milieu de la pièce. Cest une femme pas très grande, habillée avec classe, on sent quil y a des moyens. Sa chevelure rousse, qui mavait attiré est décolorée. Est-elle une vraie rousse ? Ses formes sont attrayantes et sa taille encore fine malgré son âge. Elle a revêtu un tailleur à carreaux sur un chemisier blanc.
Elle commence à retirer la veste quelle jette négligemment sur un fauteuil. Le chemisier suit en dessous elle est nue. Sa poitrine, pas très grosse est en revanche bien ronde et tient très bien malgré son âge. Sa peau de rousse laiteuse est parsemée de taches de rousseur. Elle dégrafe alors sa jupe qui rejoint les autres habits et fait apparaître une belle culotte bien échancrée. Irène a revêtu des bas tenus par un porte-jarretelles et est juchée sur des souliers à talon ce qui lui donne une très jolie silhouette.
Les trois femmes à mes côtés sont muettes et son mari est captivé par le spectacle que donne sa femme. A ce moment, elle ne sait trop quelle attitude prendre, aussi jinterviens.
« Tu es ravissante et très sexy. En revanche tu sauras que les vieilles salopes des gaves ne portent pas de culotte. » Désigne en une et on va vérifier.
Je ne sais pas
Pauline, peut-être ? Je demande à celle-ci de relever sa jupe, ce quelle sempresse de faire, dévoilant son intimité.
Aussitôt, Irène va pour enlever sa culotte. Je suis impatient de vérifier sa toison intime. Elle se retourne et descend son dernier vêtement sans plier les jambes, faisant ressortir sa croupe, mise en valeur par les bas et la ceinture du porte-jarretelles. Enfin elle nous fait face. Un petit toupet roux orne le haut de son sexe. Bien entretenu. Il est aussi dun roux flamboyant.
« Tu te teins là-aussi ? Pourtant tu es une vraie rousse !
Oui ! Mais
Jai
quelques poils blancs. Mon mari me la conseillé.
Il a eu raison ! Je pensais bien que tu étais une vraie rousse. Tu es superbe ! Maintenant, tiens-toi droite, écarte un peu les jambes et mes tes mains derrière la nuque. Cest ainsi que les salopes se présenteront face à leur public. Ils pourront ainsi bien les découvrir.» Je mapproche dIrène et sans quelle ne sy attende, je passe ma main dans sa fourrure et sa chatte.
« Cest déjà bien mouillé dis-donc ! La situation texcite ?
O
Oui, pardon !
Tu na pas à te faire pardonner, au contraire ! » Je porte ma main au visage pour la sentir et je retrouve cette odeur caractéristique des rousses qui me ravie. « Jaime ton parfum de rousse ! » Je replonge ma main puis me dirige vers les trois femmes et tour à tour leur fait sentir mes doigts.
« Alors, mesdames, vous ne trouvez pas que notre amie sent bon ?
Moi jadore dit Jacqueline.
On se doute que toi ma salope tu as envie de fourrer ta langue dans sa chatte. Mais je vais en profiter dabord. »
Je retourne vers Irène qui na pas bougé. Je passe derrière elle et me colle contre son corps. Elle a déjà chaud et mon nez dans sa chevelure recueille tout son parfum. Irène nest pas très grande, un mètre cinquante trois, cela ajoute à son charme. Ses seins ronds sont bien durs sous mes mains. Je les caresse, roule les tétons entre mes doigts, puis, gardant une main sur les seins, je descends vers son ventre et commence à la caresser. Bientôt, Irène colle ses fesses contre moi et réagit à ma caresse. Je vois en face de nous le « public » subjugué. Dans loreille de la rousse je glisse :
« Regardes-les ! Ouvre les yeux ! Tu aimes que je te branle ! Ils adorent te voir ainsi. Tu vas jouir devant eux, pour eux et pour moi. Montre-leur la salope que tu es ! Je veux tentendre crier et te lâcher. »
Irène se tord contre moi, je sens son corps brûlant et son parfum qui envahit mes narines. Je bande comme un fou, mais je veux lamener à la jouissance. On nentend plus que ses soupirs qui gonflent, et enfin elle jouit. Ses jambes se dérobent, mais je la tiens bien et elle ne pèse pas lourd.
Je fais signe à Pauline de séquiper. Nous avions prévu quelle mettrait le gode ceinture dont elle adore se servir. Je couche Irène, je me déshabille et métends par terre. Je la positionne sur moi tête bêche. Ma bite face à sa bouche et sa chatte gluante au dessus de ma bouche.
Pauline sest elle aussi déshabillée. Je remarque du coin de lil que Gérard se délecte de la vue de sa présidente nue, lexcroissance du sexe factice lui donnant une allure androgyne. Elle vient se placer derrière Irène dont jécarte la chatte pleine de jus et sans attendre, Pauline la pénètre.
Irène couine étonnée de sentir un membre la pénétrer alors quil ny a pas dautre homme que moi, son mari ne pouvant bander ainsi. Je la maintiens et pousse son visage contre ma bite. Elle comprend vite le message et avale ma tige pendant que sa présidente la baise. Je recueille dans ma bouche la mouille abondante dIrène, tout en léchant son bouton, ce qui la rend folle. Elle jouit une nouvelle fois coulant abondamment. Je me dégage alors de dessous son corps et prend la place de Pauline à qui je demande daller présenter son sceptre à la bouche dIrène.
Voyant cette tige, celle-ci lève les yeux et découvre sa présidente nue, qui vient de la baiser et la faire jouir. Je la pénètre alors. Elle pousse un grand Ouiiii ! Enfin une queue ! Que cest bon ! Oui ! Baise-moi bien ! Elle est bonne ta queue ! »
Je vois Gérard qui se touche un peu les parties. Cest homme nest peut-être pas si impuissant que ça. Je demande à Jacqueline daller vers lui, et de le sucer. Malgré son opposition, elle ouvre son pantalon, dégage ce qui effectivement ressemble à un gros clitoris et plonge dessus avalant à la fois le petit bout et les boules.
Cette salope a lair de se régaler de sucer la petite bite et Gérard a lair de prendre son pied. Jaccélère mon coït avec Irène et lui dit de regarder son mari se faire sucer.
- « Oui, vas-y Jacqueline ! Salope ! Pompe-lui son petit sifflet. Cest bien mon chéri ! Jouis en regardant ta femme se faire baiser. Si tu savais comme cest bon de sentir une vraie queue dans la chatte ! Je taime mon amour ! On va jouir tous les deux ! Ça fait si longtemps ! Viens ! Je jouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiis !
Bien cramponné aux hanches dIrène je me vide dans la cramouille gluante. En face, Gérard geint à son tour. Les talents de Jacqueline sont récompensés et surement le spectacle de sa femme jouissant sous les coups de butoir dun homme ny est pas étranger.
Un moment de calme succède aux cris. Sur le sofa, Mélanie a glissé une main sous sa jupe et se caresse négligemment en embrassant la scène du regard. Je me rends compte quelle est la seule à ne pas avoir participé, aussi, après lavoir laissée récupérer, je déclare à Irène quil lui reste une épreuve. Je la guide vers Mélanie et lui demande de la lécher. Elle découvre alors la fourrure abondante de notre amie et sans hésiter plonge entre ses cuisses y recueillir les larmes de son plaisir.
La coquine, qui a dit quelle aimait aussi les femmes, prouve quelle a dit la vérité et avec application bouffe la chatte de son amie.
Après cet épisode, Gérard déclare que cet événement doit être fêté comme il se doit et nous descendons une nouvelle bouteille de champagne.
Jacqueline, qui ne perd pas le nord, me dit alors.
« Tu nous as dit que si nous convainquions Irène de se joindre à nous, tu complèterais notre groupe avec une de tes maîtresses.
Parce que tu étais dans le coup depuis le début, Jacqueline ?
Eh oui ! Nous avions comploté tous ensemble, sans savoir que ton mari et toi étiez des adeptes du libertinage ! Nous avions même un peu peur quil ne fasse un scandale, cest pour ça que jai joué à celle qui ne connaissait pas. Cest Jean qui a tout manigancé !
Vous aviez pensé à moi ? demande Irène en me regardant. Je naurais jamais pensé intéresser un homme jeune.
Pas si jeune que ça, dis-je. Mais je te trouvais à mon goût. Jai toujours aimé les rousses. Au milieu des autres femmes, javais repéré tes formes, ta chevelure et tes yeux rieurs.
Vous ne manquez pas de culot, vous !
Jai limpression que jai eu raison, non ?
Et si javais été choquée ? Si mon mari navait pas apprécié ?
Tu as vu que je suis passé par ces dames. Tu naurais jamais sû lintérêt que tu avais suscité. Bien, je crois que tu es intégrée au groupe maintenant. Comme promis et à condition que vous soyez tous daccord, je vais rajouter une personne qui ne fait pas partie de votre club
Qui est-ce ? » Jacqueline est trop curieuse une fois de plus.
Je ne vous le dirai pas, tout du moins tant que vous ne laurez pas acceptée. Même à ce moment là, je ne sais pas si je le ferais.
On la connaît ? Cest maintenant Mélanie qui interroge.
Peut-être que oui. Elle restera inconnue tant que je le désirerai.
Ce nest pas elle qui décide ?
Non, elle mest soumise comme toi Jacqueline, et même encore plus. Elle ne sait pas encore ce que jai prévu pour elle et de toute façon ce nest pas elle qui décidera, quoi quil lui en coûte ! Peut-être que cette fois-ci je tiendrais compte de son avis, mais ce n'est pas sûr.
Ben dis-donc ! Comment une femme peut en arriver à se livrer ainsi ?
Lhistoire est assez longue, vous verrez
peut-être. Dans tous les cas cela ne devra pas sortir de notre groupe. En attendant, je veux voir comment vous allez vous comporter pendant quelques temps, maintenant que vous partagez un secret. Il ne sagit pas que tout ceci sébruite. Je vais préparer la suite. Vous ne devez rien changer dans vos rapports avec les autres. Il y a maintenant votre vie publique et celle des «Vieilles Salopes des Gaves »
Mais
quand est-ce quon va commencer ?
Eh bien, il va falloir que le site se fasse un peu référencer. Je crois quavec les photos et curriculum de chacune dentre vous, cela devrait assez bien fonctionner. Ensuite, il faut un lieu pour organiser les soirées. Cest pour cela que je compte sur la dernière personne. Elle possède lendroit qui conviendrait tout à fait. Donc, pour linstant on va se contenter de se retrouver entre nous, que ce soit ensemble comme ce soir, ou séparément. Vous allez apprendre à vous connaître autrement que dans le club On va voir sil ny a pas de jalousies qui se créent et alors on passera à la phase suivante.
Pourquoi des jalousies ? Demande Pauline.
Par exemple. Tu es la première et la seule avec qui javais des relations. Maintenant Mélanie a très envie que je moccupe aussi delle en aparté. Toi, tu adores baiser avec Jacqueline et vous vous gouinez quasiment tous les jours espèces de vieilles salopes. Quand à Irène jaimerai bien en profiter avec lune ou lautre dentre vous et essayer quelques trucs avec Gérard.
Comment ? Vous voulez avoir des rapports avec mon mari ? Mais il nest pas
Ce nest pas ça, mais je suis sûr quil aimerait se retrouver attaché, nu sur son fauteuil, comme sil ne pouvait rien empêcher alors que tu te fais baiser devant lui, et même peut-être sans quil ne puisse rien voir mais seulement entendre. Nest-ce pas mon cher Gérard ?
O
Oui je crois que jen ai envie mais
Par la suite, on pourra même dire dans les soirées que cet homme est le mari de lune dentre vous qui le punit, sans dire laquelle. Vous verrez que notre ami en sera tout excité. Tu nas jamais pensé à ça Irène ?
Non, cest vrai ! Cest ça que tu veux mon amour ?
Oui ! Je le veux !
Pourquoi ne men as-tu jamais parlé ?
Je... Je nosais pas.
Quel dommage ! Nous allons nous rattr ! Ce diable d'homme m'a l'air d'avoir plus de vice et d'idées que nous tous réunis!
Bon, en attendant, je vais aller baiser Irène dans ta chambre, Jacqueline. Je vous propose mesdames de vous gouiner comme vous savez si bien le faire, devant ce monsieur qui entendra peut être sa femme crier, mais sans savoir pourquoi. »
Avant de nous séparer, Irène va embrasser son mari sur la bouche en lui disant « je taime » Pendant plus dune heure je vais lécher, sucer, baiser, enculer cette petite femme dans le lit de Jacqueline qui gardera quelques traces de notre passage. A notre retour, on retrouve Mélanie et Pauline couchées face à face les jambes emmêlées jouant avec un double dong enfoncé dans leurs chattes, alors que Jacqueline qui semble y prendre décidément beaucoup de plaisir, est à genoux entre les jambes de Gérard et suce son petit bout.
Irène sapproche de son mari et lembrasse tendrement « Oh mon chéri ! Il ma baisée dans tous les sens ! Je suis si heureuse que toi aussi tu prennes du plaisir. Je vais te sucer à mon tour ». Elle sagenouille a côté de Jacqueline qui bientôt lui laisse la place. Le couple nous oublie, tout du moins Irène, car son mari contemple les deux gouines qui se donnent du plaisir à un mètre de lui. Sous la langue de sa femme. Il prend son plaisir. Pour un homme impuissant il retrouve une certaine verdeur !
Quelques jours plus tard, le site est prêt et je lajoute sur un blog déjà renommé. Surprise deux jours plus tard, une première réaction et une demande dinformation. Je me dis quil va falloir accélérer le mouvement.
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