Suzanne 7 : À Table
Suzanne 7
Nous attendons patiemment les invités de Suzanne. Il est 19 heures, la table est préparée pour quatre personnes. Jignore de qui il sagit.
- En attendant, petit, jai une question indiscrète
- Oui
- Tu as souvent fait lamour avec des mecs ?
- Fait lamour ? Jamais. Je naime pas cette expression.
- Alors, on dit autrement. Tu as souvent baisé avec des mecs ?
- Non. Pas vraiment.
- Cest oui ou cest non ?
- Pas facile à dire, Madame. Cest Oui, mais
pas souvent.
- Alors, cest Oui. Mais daprès ce que jai vu ton cul na pas dû en prendre beaucoup.
- Vous me faites rougir.
- Alors ?
- Bon, il y a eu ce mec dont je tai parlé au début (cf Suzanne 1). Lui, il ma mis une fois. Une seule fois. En sandwich. Il ma enculé en même temps que moi, jétais dans le cul de sa meuf. Un taré vicieux !
- Ça ne ta pas laissé un bon souvenir ?
- Oui et Non. Oui, tout dabord, parce que ça ma aidé à perforer sa grosse femme bien à fond, et cest ce quil cherchait. Et Non, pour le plaisir que je nai pas connu parce quil avait une mini-bite et, du coup, je nai rien senti. Jai même pensé un moment quelle nétait pas rentrée.
- Et, dans lautre sens, je sais que tu sais y faire avec les culs de nanas. Je tai vu faire, et jy ai eu droit. Et tu fais ça super bien. Mais, des mecs ?
- Pas grand-chose.
- Raconte.
- Je nose pas, jai un peu honte.
- Jinsiste, vas-y
- Allez, je me lance
- Jécoute
- Je passe sur les toutes premières fois.
- Non, dis-moi tout
- Bon, cétait des jeux de gamins. Aux scouts, à linternat, ou avec des cousins. Toujours en été quand on est en short ou en maillot de bain. Des bagarres en corps à corps, qui se terminent avec une mise à lair, ou une branlette à deux, un doigt au cul ou deux, ou quelquefois la bite au cirage. Cest crétin, ça, la bite au cirage.
Ensuite, plus grand, plus rien.
- Et les mecs ?
- Je nose pas. Vous allez rire et vous moquer de moi.
- Go, dit-elle en me masturbant comme une reine, raconte moi.
- Cest en été, dans le sud. Il fait chaud, très lourd, orageux, et le soir tombe. Je rentre dune sortie entre potes. je marche le long de la route qui conduit chez mes parents. Je suis en tenue de saison, comme tout le monde ici au mois daoût. Short, t-shirt, tongs. Une voiture sarrête. Un gros 4x4 genre pick-up. « Monte, petit, sinon tu vas prendre lorage ». Je lai déjà vu ce mec, mais je ne le connais pas. Sans doute un campeur. La quarantaine confortable. Habillé comme moi, c'est-à-dire pas grand-chose sur lui. Lorage éclate. La main du type se pose sur mon genou comme par erreur ou par hasard, mais en fait ce nest peut-être ni lun ni lautre. Je vais devoir vérifier cela.
Nous continuons, alors que lorage devient plus fort et que la nuit arrive, et je sens sa main insister et glisser lentement vers léchancrure du short. Je desserre un peu la ceinture et surtout ma braguette pour voir où il veut en venir. Il doit être timide, il nose pas fouiller dans mon slip mais je suis certain quil en meurt denvie. Ceci dit, ce nest pas facile en conduisant. A part les jeux de gamins je navais jamais eu ça. Il fait nuit noire à présent avec les éclairs, jen profite pour poser ma main gauche sur sa cuisse. Et le toucher un peu. Vous voyez ce que je veux dire ?
- Continue, tu racontes trop bien, tu me fais mouiller.
- Bon. Il est tout en sueur, je ninsiste pas, je ne voudrais pas dune embardée. Comme la pluie redouble on ny voit rien ; on juge plus prudent de sarrêter un moment.
- Continue, Chéri, tu mexcites drôlement, dit-il en me caressant les couilles avec gourmandise. Tu bandes ?
- Eh bien, oui, je reconnais, je vois mal comment le cacher.
On passe derrière, mais comme il pleut nos vêtements sont mouillés.
- Et alors ?
- Alors, pas grand-chose. Rien. Il na même pas tenu trente secondes. Il était tellement excité que je nai même pas eu le temps de lui baisser son slip ; il en a mis partout, et il sest mis à chialer. Comme un gamin.
- Cen est resté là ?
- Non, heureusement. Il sest remis de son émotion en cinq ou dix minutes. Et on est toujours à demi nus dans sa bagnole. Et jai une érection du tonnerre, lépisode branlette ratée ne ma pas fait débander. Au contraire. Et lorage qui narrête pas. On est encore là pour un bon moment. « Tu as bien tes 18 ans ? » me demande-t-il. Je le rassure, jétais bien majeur. Alors il me caresse la bite, les couilles, et un doigt vers le cul, jai toujours mon short. Tout mouillé. « Je vais te mettre nu. Daccord ? - OK, mais alors toi aussi. » Il me met à poil, tout doucement, et je lui fais pareil. Les éclairs nous illuminent par intermittences, sa bite me semble géante dans cet éclairage de fête foraine et jai bien envie de le faire juter une deuxième fois. Cest à ma portée, je sens.
- Tu y arrives, à le faire juter ?
- Attends, cest lui qui, du coup, prend les choses en main. « Tu veux que je te suce ? Jai envie. » Pas le temps de répondre. Il me gobe, et, surprise, il sait y faire le cochon, il a dû prendre des cours, ou alors il me fait comme sa bonne femme avec lui.
- Jimagine que la fête sarrête là.
- Je le croyais aussi. Surtout que lorage avait bien baissé dintensité. Mais, comme je tai dit, jai envie de le faire jouir une deuxième fois. Je le dispose devant moi, il est entièrement nu, à ma merci, tourné vers lavant de son 4x4, cramponné au dossier du fauteuil avant. Pour avoir plus de place on a fait glisser le siège vers lavant et incliné le dossier vers le volant. Comme moi, tout à lheure, en Andromaque inversée. Je lutilise comme une meuf. Je lenserre, je caresse son dos comme si je le massais, jexcite les pointes des tétins, je le mordille dans le cou. Je naime pas trop ça mais je sens que ça le fait bander. Et alors je mattaque à la bite. Va-t-il tenir cette fois ? Oui, gagné. Je tripote ses bourses poilues mais douces, je branle la hampe dune main, je lui caresse le gland. Il est dur comme un zèbre. « Vas-y petit, fais moi mal. Hmmm ». Je continue sous les éclairs, et
- Et
?
- Jarrive à mes fins. Il lui en restait une bonne dose. Comme quoi
Je lessuie, je le nettoie, avec ma main et lui donne à lécher.
Cest alors quil me dit « Mais tu bandes à nouveau, je me trompe ? » Il ne se trompait pas en effet. En le branlant, dans cette position, ma queue sétait remise en action. « Encule moi Petit, jai jamais fait »
- Tu las fait ?
- Attends. Cest pas facile en bagnole. Pressentant une cata, je lai fait sortir de lauto malgré le mauvais temps mais la pluie avait diminué et les coups de tonnerre séloignaient. « Appuie- toi au capot. Réponse : Embroche-moi comme une femelle.
- Ça sest terminé comment ?
- Pas terrible, la fin. Il ma déposé à quelques mètres de chez moi. Tout mouillé. Mais jai eu une bonne surprise en rangeant mon short. 100 uros.
- Je ne lai plus revu, ni cherché à le revoir.
- Eh bien, voilà une belle histoire. Jen déduis que, à part la mini-bite du vieux pépère pervers, tu es puceau du cul. Je men doutais ».
- Oui, cest tout à fait ça.
- Où en sont nos invités ? Je vais voir Anny à la cuisine.
- Anny ? Cest qui ?
- Une connaissance. Plus jeune que moi, bien plus jeune. Elle vient maider pour la cuisine.
- Elle sait ce qui se passe ici ?
- Bien sûr.
- Elle participe ?
- Parfois. Si ça se présente. Rien nest prévu davance.
Inutile daller voir Anny. La voici qui arrive. Cest une Eurasienne très brune. Elle a un joli visage, mais elle est habillée à lancienne. Longue jupe noire, chemise blanche et gilet noir, tablier blanc et bonnet blanc ? On dirait une domestique du siècle davant. Rien de bien sexy, tout le contraire, alors quelle doit avoir tout juste vingt-cinq ans.
Heureusement que, dans lattente des invités, je métais correctement rhabillé. Et Suzanne aussi. Mais jimagine quelle a du sapercevoir que je lui caressais le bas du dos, et le haut du reste
.
- Madame Suzanne, nous venons davoir un appel. Vos invités ont un empêchement. Ils narriveront que demain.
- Bon, daccord. Alors, nous dînerons dans un moment. Vous aviez prévu de rester ce soir, je crois, et dormir ici ?
- Oui, Madame, on avait convenu comme ça.
- Je vous ferai signe pour le repas. Vous nous servirez, puis vous mangerez avec nous.
- Daccord. Petite tenue, jimagine ?
- Vous imaginez juste, Anny, soyez prête dans une demi-heure
Je sens que ma Suzanne veut me montrer quelque chose, pour occuper le temps jusquau repas.
- Viens au salon, viens voir.
Je le connais un peu ce salon, on y a supplicié Ginette la semaine dernière. Elle me fait visiter en détail :
- Lespalier avec godemiché incorporé, je connais, jy ai suspendu Ginette.
- Le phallus en ivoire de 40 cm, je connais, elle ma déjà expliqué ; on lappelle le Sénégalais ; cest normal. .
- La malle croix rouge avec les pour jouer au docteur, jai déjà vu mais jai droit aux détails : les seringues, les aiguilles dacupuncture, les ventouses, les outils de lavement, le speculum, et bien sûr le thermomètre. : je suis sûr que ça va servir au cours du week-end.
- Il y a aussi une trousse Coiffeur ; jy ai déjà eu droit quand Ginette ma épilé.
- Et le coin des supplices ; fouet, cravache, pinces à seins, crochet anal, cordelettes, bâillons, Il y a tout ce quon veut.
- Et les boules de toutes sortes « pour mettre au cul ou au vagin, cest selon ; surtout pour les vieilles», précise-t-elle.
- Et bien sûr des crochets au plafond et une sorte de palan. Et des sangles, et des mousquetons dans tous les coins.
- « Ça te plait, tout ça ?
- Je dois dire que ça meffraie un peu.
- Tu verras, je suis sûre que tu vas aimer.
- Tout dépend de quel côté on se trouve.
- Oui, mais quand on vient chez moi, on sattend à tout. Sado ou Maso.
- Je sais, je sais. Bon, on verra ».
Bon, On va sinstaller vers la table. Elle a toujours son ensemble en crêpe noir, léger, et sans doute pas grand-chose dessous. Et moi un beau t-shirt et un boxer noir, elle ne voulait rien dautre. « Dégrafe les petits boutons, tu seras à laise », quelle dit en sasseyant en face de moi. Et comme je my attends, elle glisse un pied vers mon entre-jambe et commence à me branler. « Salope, tu vas trop vite ! me dis-je. Si ça continue, je tomberai de fatigue trop tôt »
- « Anny, vous pouvez venir. »
Elle avait précisé « en petite tenue ». Raté ! Elle est là avec sa robe de servante à lancienne. Très british. Complètement coincée, on dirait quelle va à loffice. Il suffirait denlever son tablier de bonniche. Du coup je montre mon étonnement.
Et
je débande illico.
Et Suzanne lui fait les gros yeux. Lautre ne se démonte pas. Elle dispose les trois assiettes, remplit les verres de vin blanc, et, sans un mot, commence un strip-tease express.
Vite fait, le déshabillage ! Enlevée la robe à lancienne, enlevé le tablier blanc style mémé, enlevé le bonnet XIXème siècle, enlevées les chaussures cirées et les chaussettes blanches. Voici une Anny parfaite. En combi-short noir, sexy à souhait. Pas transparent, mais presque. Dans la même matière que les collants. On aperçoit les pointes de ses nénés qui ne demandent quà être tripotées. Un mini tablier blanc de servante, ne loublions pas - qui sert en fait de cache-sexe. Quand elle se tourne, elle montre des fesses parfaites ; un cul pour photographe. Et
surprise, on voit bien quon a aménagé une petite ouverture pour entrevoir la raie du cul, et tout ce qui va avec, et pour faciliter le passage, quand ce sera le bon moment. Hmmmm
la petite cochonne cachait bien son jeu. Et maintenant, elle le montre.
Et
je me remets à bander.
- « Doucement, petit, la soirée ne fait que commencer.
- Oui, Madame, vous avez bien raison, dit Anny, nous avons tout le temps devant nous.
- Quand nous aurons terminé, nous tirerons au sort.
- C'est-à-dire ? dis-je.
- On fera ça aux dés. Le sort désignera lequel de vous deux sera le boss, ce soir. Moi je ne participe pas. Au tirage au sort, sentend. Je serai la maîtresse de cérémonie. Tout le monde est daccord ? »
Le repas est vite expédié. En fait tout le monde a envie de passer aux choses sérieuses. Et Suzanne qui, de temps à autre, continue à me masser la bite avec son pied. Elle sait y faire, celle-ci. Le pire cest quelle ne se cache pas. Le plateau de la table est en verre épais. Pour un peu, il ferait loupe.
- Je parie que tu aurais aimé te faire une mature, ce soir ?
- Jy avais pensé, je me serais bien laissé aller.
- Raté, ce soir nous avons Anny à notre merci.
- Mais, on na pas encore fait le tirage au sort.
- Je sais, chéri, je sais. Mais les dés sont truqués.
- Alors on va se la faire toute la nuit ?
- Ouiiiiii chéri
A suivre.
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