Ashley - 7 Né Pour Lécher Les Chattes.
Bien sûr, Bobby ne ressemble pas du tout à Allan. Il nest pas très grand, pas très costaud, pas très sûr de lui, mais il dessine très bien et ses photos sont splendides. De plus, il a peut-être d'autres talents. Il se jette sur ma chatte la langue la première et ça me fait constater que, oh oui, il fait ça bien ! Pearl ma bien léchée, de peur dêtre fouettée, mais Bobby, cest un... "natural born pussy licker" (né pour lécher des chattes). Sa bouche et sa langue me titillent délicieusement. Oh ! Il la remet dans sa bouche... mais cest pour me demander :
Je peux plier tes jambes ?
... Euh, oui...
Il replie mes jambes, dans la position du bébé quon lange.
Ensuite, appelons un chat, un chat, il enfonce sa langue dans ma chatte et puis dans mon cul. Ça, cest la première fois quon me le fait ! Il y a déjà eu des doigts et des bites qui lont visité, mais une langue, jamais... Et ça me plaît ! Cest tellement... intime et inconvenant ! Après une courte mais délicieuse romance entre sa langue et mon cul, il remet mes jambes dans une position normale et sa langue se remet à virevolter sur mon clito. Putain ! Il est bon ! Vous voyez, un mec comme Alan, il a l'impression, qu'il vous fait une fleur en vous enfonçant sa bite dans la bouche, mais jamais il nirait embrasser un minou et encore moins un cul. Sa bouche, il estime quelle sert à donner un baiser à sa mère, pas à embrasser le cul des filles. Chacun a sa spécialité : la nuit dernière Alan ma mis 10 cc de sperme dans la chatte et ce midi, Bobby la nettoie. Ce sont des pensées que je ne devrais pas avoir : ça mexcite trop, mais si je pense au fouet qui claque sur les fesses de Pearl, cest pire ! Alors je lâche les amarres et le bateau de la jouissance memmène sur une mer de félicité ! Ou bien, pour parler normalement, je prends un super pied. Je plaque son visage sur ma chatte et je resserre mes cuisses tandis quil me fait jouir. Cest trop bon..
Je pourrai le refaire ?
Tous les matins, si tu veux.
Ses yeux brillent comme ceux dun qui découvre les jouets laissés par le père Noël... Enfin, moi, je nai pas connu ça ! Il me dit :
Je sais que tu vas partir bientôt. Je pourrai taccompagner quand tu iras à Hollywood ? Mes parents me versent une rente, je te la donnerai et...
Allons bon, voilà autre chose. Est-ce que jai besoin de lui ? Oui, pour faire des photos et pour être mon boy, si jai envie. Je lui demande :
Tu mobéiras ?
Oui, je te le jure.
Cest combien la rente ?
750 $ par mois...
Mouais, pas énorme, mais il peut mêtre utile. Je réponds :
Daccord, je te ferai venir.
Oh merci Ashley.
Pour le taquiner, jajoute :
Mais tu devras laver mes culottes... à la main.
Ouiiii...
Il me donne son numéro de téléphone et prend le mien. Bon, assez joué, je descends vers la terrasse, mon boy sur mes talons. Pearl ne fait aucune bêtise, ça ménerve !
***
En fin de journée, je pars au club avec Allan. Il y a une nouvelle fille, une jolie rousse et il a lair très intéressé. On ne sest pas juré fidélité et bon, je vais partir dès que possible.
Vers 23 h, un groupe arrive. Il y a dabord un homme dune cinquantaine dannées, très noir de cheveux. Il nest pas séduisant mais apparemment très sûr de lui, comme tous les riches. Il pourrait être Italien comme Enzo, le patron du club. Une jolie blonde laccompagne, ça pourrait être sa fille ou sa petite fille... Il y a aussi une femme dune trentaine dannées, une jolie brune aux yeux bleus. Sans pouvoir expliquer pourquoi, je la sens dangereuse. Enfin, il y a un homme plus jeune et costaud, sûrement un garde du corps.
Dès que Ruby voit lhomme, elle dit à une fille :
Demande à Monsieur de venir immédiatement.
Puis elle va au-devant de lhomme en disant :
Signor Boizano, je suis ravie de vous voir dans notre club.
Il lui tend la main et répond :
Tu es Ruby, cest ça ?
Oui, Signor, lépouse dEnzo. Dailleurs, le voici.
Enzo s'incline devant le nouveau venu en disant :
Bienvenue, Signor Boizano, votre visite est un grand honneur. Si je puis vous être utile de quelques façons que ce soit...
On est ici pour affaire et jai entendu parler dune fille qui serait le sosie de Marilyn.
Certainement... Si vous voulez, les filles vont vous installer dans la salle VIP et elle va vous rejoindre.
Eh ! Je suis connue ! Monsieur ouvre lui-même la porte de la salle VIP. Il fait signe à plusieurs filles de soccuper deux. Ruby me dit :
Va vite te changer. Tu mets la robe rouge pour faire ton numéro devant le signor Boizano. Cest quelquun de très important.
Non, pas possible ? À les voir ramper devant lui, je men doutais un peu. Après mêtre changée, je me donne un coup de peigne. Puis je vais dans le club, par la porte qui donne sur la grande pièce VIP. Jentre et je prends une pose de pin up en demandant avec la voix de Marilyn :
Puis-je danser pour vous ?
Ils sont surpris, eux ! Il faut dire que ma ressemblance avec Marilyn est... comment dire ? Hallucinante. Voilà... Le signor Boizano me répond :
Je suis venu pour te voir et je ne suis pas déçu, tu es très belle....
Merci Monsieur.
Je clique sur mon iPhone et la musique de "Diamonds" se fait entendre. Le son nest pas très bon, mais je suis sûre que cest la vue qui lintéresse. Je grimpe sur la table. Elle est grande, ce qui me permet de danser en chantant et en me déshabillant. Je fais mon numéro pour el signor. Je commence à chanter :
The French are glad to die for love (les Français sont heureux de mourir d'amour).
They delight in fighting duels (ils aiment se battre en duel).
But I prefer a man who lives (mais je préfère un homme qui vit).
And gives expensive jewels (et qui moffre des bijoux coûteux).
Moi, je suis tout à fait daccord avec ces paroles. Je continue à chanter tout en me déshabillant et je termine en saluant... Et... il na pas mis de billet sur la table. Je lui dis :
Ça ne vous a pas plu, Monsieur ?
Si, si, mais je suis surpris de la ressemblance.
Ayant compris que je voulais que son admiration se transforme en espèces, il sort un billet de son portefeuille. Je me retourne et il le glisse entre mes fesses. Cest lhabitude au Club, les clients glissent les billets sous le string, entre les fesses ou ils les posent sur la table. Je le remercie et prends le billet. Oh ! cest 100 $, mon plus gros pourboire. Je me mets à quatre pattes sur la table pour lembrasser sur la bouche. Il a lair surpris, les autres aussi... Peut-être suis-je un peu trop familière ? Je dis aussitôt :
Pardon, cétait spontané.
En regardant la fille qui laccompagne, jajoute :
Je ne voulais pas... euh... marcher sur tes plates-bandes. Je suis nouvelle et...
Elle répond :
Pas de problèmes, tu peux embrasser mon oncle. Je suis une grande fille, hein tonton Sam ?
Mais oui, Pussycat.
Ils se foutent de moi là, Tonton Sam et Pussycat ? Il me dit :
Assieds-toi petite, jai une proposition à te faire.
Si vous voulez mépouser, cest "oui" tout de suite.
Dabord surpris, il finit par rigoler. Je vais masseoir sur une chaise en face de lui. À ses côtés, il y a Pussycat et lautre la fille de trente ans.
Il dit à cette dernière :
Sers-lui un verre, Summer.
Ça lui va bien, ce nom Summer. Elle remplit une coupe de champagne et me la tend. Je remercie les yeux baissés car elle mintimide. Je vide mon verre dun coup... et je fais un petit renvoi discret. Sam me dit :
Tu sais qui je suis ?
Mon plus riche client jusquà présent.
Oui, mais aussi un homme daffaires. Ma société possède un grand studio à Hollywood et je voudrais tengager.
Oh ! Il se fout pas de moi là ? Je lui dis :
Sérieux ?
Oui. Bon, il faudra travailler, apprendre à jouer, à danser, à chanter...
Oui, bien sûr, je travaillerai dur. Je veux devenir une star !
Tu es vraiment décidée ?
Oui.
Il me tend la main et je me lève pour la serrer. Cest tout ? On ne signe pas de contrat ? Ça me surprend, mais bon, je viens de la campagne. Summer mexplique :
Une poignée de main avec Monsieur Sam, devant témoins, vous engage tous les deux. Cest plus important quun contrat.
Sam, mon nouveau patron, me dit :
Si tu veux, pars avec nous maintenant.
Oui, mais oh ! Ça va trop vite, là ! Il me voit paniquer, tout à coup, car il sort une tablette d'une serviette et dit à Summer :
Explique-lui.
Oui, Monsieur Sam.
Elle me prend la main en disant :
Viens avec moi.
On va s'asseoir côte à côte, à une table du fond. Elle ouvre la tablette, tape quelques mots et me montre le site du studio "New Hollywood Studios" en disant :
Le studio de la société de Monsieur Sam.
Ensuite elle me montre un grand casino à Vegas, qui appartient à sa société et enfin, un site qui s'appelle "Slave Paradise" Vente d'esclaves. Je lui dis :
C'est à lui ?
Oui, sa société est la seule à vendre les esclaves, les shérifs ne peuvent plus le faire.
Et, je pourrai y aller ?
Ce n'est pas encore ouvert, mais je connais tous les gardes. On pourrait y aller et même se baigner à poils sur la plage privée...
Et pendant le voyage, on sera ensemble ?
Oui.
C'est d'accord.
On se lève, elle me reprend par la main... D'accord, elle me traite comme une gamine, mais elle me rassure... On retourne près des autres, Summer dit :
La petite part avec nous.
À suivre.
Si vous aimez mes histoires, vous pouvez me le dire ici : mia.michael@hotmail.fr
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