Terma 73 : Si Ali Et Sa Nouvelle Femme Layla À Paris (3):

Dès le lendemain, il réussit à trouver ce que lui fallait. Ce fut une amie, Berthe (30 ans) et célibataire elle aussi et qu’il baisait de temps en temps depuis plusieurs années. Il lui expliqua l’affaire et elle accepta le scénario qu’elle trouva excitant, car Berthe qui aimait le sexe à deux l’adorait encore plus à trois. Et le même jour, à 13h David et Berthe s’installèrent dans la pension et Marcel, le proprio leur donna une chambre et leur expliqua les horaires du diner et du petit déjeuner. Et vers 18h, lorsque Si Ali et sa femme rentrèrent à la pension, David, installé exprès depuis un bon moment au salon TV, les vit arriver. Il se leva et les suivi dans l’escalier vers les étages des chambres. Le couple le remarqua aussi et Layla eu l’heureuse surprise de voir son amant déjà installé à la pension. David suivit le couple pour connaitre leur chambre, puis revint rapidement au salon. Layla, s’excusa auprès de son mari et descendit pour, soi disant, aider Rebecca à la cuisine. Elle rejoignit David au salon et ils mirent au point leur rencontre d’après diner, puis elle remonta vers son mari, mais l’œil expérimentée de Rebecca l’a bien vue discuter avec David. Et le soir, après le diner des clients, David et sa complice Berthe rejoignirent leur chambre. Puis Marcel, le patron et Si Ali et Layla dinèrent en amis, dans la cuisine. Ensuite, Layla aida un petit moment Rebecca à la cuisine, juste le temps pour s’assurer que le son mari et le patron se sont installés pour jouer au chach bach, pour au moins deux heures, puis elle s’éclipsa prestement vers les escaliers. Elle trouva David qui l’attendait dans le couloir et, sans attendre, il l’enlaça et l’embrassa avec passion en mettant ses mains sur ses fesses. Le feu brulait dans le zob de l’homme mais aussi dans la chatte et le cul de Layla malgré le froid du couloir. Il l’entraina vers sa propre chambre où se tenait déjà Berthe allongée sur le lit et à poil. Layla se bloqua de surprise, un instant mais le couple lui expliqua la situation et l’astuce et qu’ils allaient, tous le trois, ensemble, baiser à leur guise.

Calmée et excitée, Layla, aidée de David, ôta ses vêtements et David en fit autant en extrême vitesses. Alors Layla, impatiente et brulante de désir, s’allongea à coté de Berthe et ouvrit largement ses cuisses car elle mouillait déjà de la chatte depuis les escaliers. David préféra s’accroupir un moment sur sa poitrine pour y frotter son zob déjà gonflé et dur, puis il l’offrit à sa bouche pour une petite sucette bien lubrifiante. Layla empoigna le zob et le branla et le suça avec passion en grognant de désir, puis elle fit reculer David vers son bas ventre, presque avec force, elle désirait une baise ardente tout de suite, sa chatte brulait. David se positionna et de la main, il enfonça son zob dans Layla, presque avec violence . La chatte était chaude et mouillée de désir, alors le zob s’enfonça en vitesses jusqu’aux couilles. David cria le plaisir de son coup de rein par un « ahhh » sonore et prolongée, mais Layla hurla encore mieux, par une longue plainte rauque « ahhh ! ya m’ma » (maman) qui risquait d’ameuter les voisins.
Et la danse commença par des vas et viens saccadés et violents surtout lors des enfoncements du zob. Layla goutait les frottements de la queue et y ajoutait ceux de ses doigts sur son clitoris. Elle soufflait et gémissait en continu et secouait son bassin malgré le poids lourd de David. Ils baisèrent une bonne demi heure sinon plus et Layla a bénéficié de trois orgasmes bruyants. Et quant David ressentit les prémisses du plaisir monter de ses couilles, il sortit son zob de la chatte et brutalement retourna Layla sur le ventre, lui souleva un peu le derrière et trouvant facilement l’anus de la femme, il y enfonça son zob toujours gonflé et affamé. Layla, dès que David l’a retournée avait compris et aida en gonflant son derrière et ses fesses. Elle savait que le zob allait la pénétrer dans le cul pour éjaculer par la suite. Déjà David, accroché aux larges hanches, faisait danser son zob dans le cul de Layla par des vas et viens passionnés. David aimait les culs et les sodomies, et en plus, il était fortement excité par la vue devant lui, des larges et rondes fesses blanches et douces au toucher. Il s’excitait encore plus au vu du tableau du délicieux anus de la femme et que son zob écartait avec désir et s’y enfonçait, puis en revenait avec une lenteur diabolique qui affolait encore plus son bas ventre et son zob, et tout cela devant ses yeux émerveillés. Ce plaisir s’ajoutait et accentuait celui qu’il recueillait à l’intérieur du cul chaud et profond de la femme. Layla, elle aussi, adorait la sodomie car le zob qui lui écartait avec jouissance l’anus puis lui remplissait l’intérieur du cul était la grosse queue qu’elle avait sucée et branlée avec impatience et dont elle attendait les ultimes jouissances des éjaculations explosives qui allaient lui éclater et enflammer les entrailles déjà brûlantes de désirs. Et c’est après une simple dizaine de pilonnages, que David atteint son maxi et son zob éclata par quatre éjaculations chocs et presque continues. A chacune d’elle, il donnait un coup de rein violent et s’enfonçait encore plus dans le cul de Layla et les deux amants hurlèrent en même temps leurs jouissances. La aussi, Layla, à la chatte toujours très sensible, toujours affamée, eu trois forts orgasmes humides et bruyants, et le dernier juste pendant le coup violent de la troisième éjaculation. Puis, satisfaits et épuisés, les deux amants s’écroulèrent sur le lit.
Berthe qui a assisté à toute la séance, applaudit discrètement et, sachant que pour Layla n’était qu’à ses débuts dans les jouissances de l’infidélité conjugale, la félicita de sa totale liberté aux plaisirs du zob. Elle voyait nettement que cette femme et sa chatte adoraient les gros zobs et les plaisirs sexuels et n’hésitaient absolument pas à encorner son mari, alors qu’il n’était qu’à quelques mètres de sa totale nudité, les cuisses largement écartées pour le gros pieu de chair et de plaisir d’un inconnu. Berthe croyait aussi que les femmes arabes étaient plus discrètes lors des jeux sexuels, mais Layla vient de lui démontrer et lui prouver le contraire. Quant elles se donnent volontairement, par désir provoqué et accepté, ce genre de femmes arabes vont jusqu’au paradis du plaisir et amènent avec elles, dans leurs jouissances partagées, affolées et bruyantes leurs bienheureux partenaires. David demanda l’heure et Berthe répondit qu’ils ont encore une heure de plaisir, s’ils peuvent. Le zob de David s’était un peu courbé et allongé sur ses cuisses. Alors c’est Layla qui prit l’initiative et plongea dessus pour l’empoigner, le branler et le sucer avec détermination. Encore humide du sperme de son amant, elle manipulait le zob avec volonté et désir appuyé. Elle avait encore envie de lui et l’astiquait avec détermination et réussit pleinement dans son œuvre de réanimation du gros zob Davidien qui se gonfla, s’allongea et se durcit en vitesse. Lui aussi avait envie de Layla encore plus que son maître car le corps de cette femme était magique et ses ondes d’excitation étaient impossibles à éviter. Alors Layla s’allongea et écarta ses belles cuisses lourdes et blanches et David monta sur elle. Mais il préféra s’installer sur la poitrine de la femme et enfoncer son zob dans sa bouche. Elle l’accepta avec plaisir et commença à le lécher puis sucer et branler avec volonté. Layla aimait tout dans ce zob, que ce soit dans sa chatte, dans son cul, dans sa bouche et même simplement dans sa vue et son toucher. Ce zob l’ensorcelait totalement et elle en jouissait complètement et à volonté. Et David commença son doux frottage et même parfois un léger pilonnage de la bouche et ses coups de reins devinrent de plus en violents et saccadés, appuyées de râles prolongées. Layla, la bouche pleine, le suivait dans le plaisir et traduisait son excitation par des plaintes de jouissances étouffées. Il s’activèrent ainsi pendant quelques instants et quant David sentit son zob gonflé au maximum, il s’écarta, recula et s’allongea à coté de Layla et lui fit signe de s’assoir sur son zob bien debout, vertical à souhait comme un mât de chair délicieuse. La femme accepta avec un cri presque hystérique, se releva et se positionna sur les cuisses de l’homme.
Les cuisses bien écartées, la chatte encore luisante de sperme, elle empoigna le gros zob, le pressa et le soupesa, constatant son extrême puissance et sa douceur ensorcelante, elle ouvrit la bouche et souffla fortement de désir, puis se mouva et enfoncer lentement le gros zob dans sa chatte brûlante de jouissances. Puis, d’un coup ; elle s’assit brusquement et complètement sur le zob, faisant claquer ses fesses sur les cuisses de l’homme qui hurla lui aussi de plaisir. Elle se souleva un peu puis, aussi brusquement s’enfonça la chatte sur le zob et la, elle hurla d’un seul coup l’orgasme qui éclata brusquement dans ses entrailles et l’inonda de jouissances. Elle s’écroula, immobile, pratiquement étourdie sur la poitrine de son amant qui la laissa reprendre ses esprits. Lui aussi ressentit cet éclatement de la chatte par de délicieux chatouillements sur son zob. Après un moment, Layla reprit conscience et recommença ses vas et viens de la chatte sur le zob qui n’a pas rien perdu de sa vigueur, de sa puissance et de sa douceur de miel pour la femme. Elle continuait à se branler et de temps à autre David donnait un coup de rein supplémentaire au rythme de désirs qui choquaient son zob. Et Layla réussit à obtenir deux autres orgasmes, certes moins violents que le premier mais toujours jouissants humides et bruyants. Enfin, David reçut le message de son zob et de ses couilles qui allaient éclater, alors il empoigna les hanche de Layla et prit l’initiative de la baise. Son corps soulevé en partie, il donnait des coups de reins violents et accélérés et le femme se laissait faire, la tête dans les vapeurs et renversées en arrière, elle était encore pratiquement prisonnière des jouissances continues de sa chatte enflammée. Enfin, le plaisir arriva et par quatre jets explosifs, son zob éjacula son jus chaud et visqueux du mâle viril qui ensemençait la chatte heureuse de sa bien aimée. Il gémissait longuement en accord total avec celui de Layla et ils finirent en duo par un bruyant « ahhh » de satisfaction et libération de leurs jouissances communes et Layla s’écroula encore une fois, étourdie sur la poitrine de son amant. Ils restèrent un long moment ainsi et c’est Berthe, voyant l’heure avancer, les secoua pour les réveiller. Ils avaient encore seulement une demi heure et David refusa de libérer Layla qui avait n’était du reste pour le zob de David, mais qui avait un peu fléchi.
Alors Layla toujours volontaire quant il s’agit de sucer et branler le zob de la jouissance infidèle conjugale, recommença ses lèches et sussions lentes puis rapides et ses manipulations de la queue et des couilles complices et sa méthode réussit rapidement. Le pieu se réveilla et pointa à la verticale, prêt au labeur jouissif. Alors Layla rassit sa chatte sur le zob mais en tournant le dos à David, lui offrant ainsi la vue de sa belle Terma, de ses larges fesses et que son anus rosacée qui palpitait. Ce tableau enchanta et excita encore mieux David qui décida d’une sodomie. Alors, il empoigna les hanches de Layla et la souleva pour libérer sa chatte. Layla, surprise cria à David son défaut de plaisir, mais celui-ci lui sourit et des yeux lui expliqua ce qu’il désirait. Encore surprise mais enchantée, elle accepta avec un cri de plaisir et, elle offrit son cul au zob de David qui s’enfonça à fond et presque brutalement dans le chaud cul de la femme, il savait depuis l’autre jour qu’elle adorait la brusquerie, la violence même dans sa Terma. Effectivement, elle hurla son plaisir et recommença à danser sur le zob qui offrait maintenant le plaisir et les jouissances non plus à la chatte mais au profond cul de Layla. Mais sachant que Layla s’était fatiguée dans la baise précédente, David et Layla changèrent de positions. Elle s’agenouilla sur le lit, la tête sur les draps et la derrière bien soulevé et offert , et David se pointa à genoux en arrière et entre les cuisses largement ouvertes et écartées de la femme. L’anus déjà sensibilisé auparavant, palpitait de désirs et Layla accentuait ses mouvements adorables et délicieusement provocateurs. David fut encore sensibilisé par ces mouvements de l’anus qui amplifièrent son excitation et le gonflement de son zob qu’il enfonça de nouveau avec la même violence qui enchantait Layla. Et, comme prévu, elle hurla de la jouissance à l’enfoncement rapide du gros zob qui se coula jusqu’aux fond de ses entrailles et commença ses vas et viens haletants et jouissifs. Et la sodomie démarra dans des halètements et des gémissements réciproques et même des cris parfois brusques, hystériques particulièrement de Layla. David faisait de son mieux et la sodomie durait. Certes Layla a eu ses jouissances et par-dessous son corps, elle s’aidait du doigts sur son clitoris et ses plaisirs devenaient continus, certes moins forts qu’avant mais permanents. Mais David, peut-être à cause des violences de ses baises précédentes, commençait à se fatiguer et Berthe qui les observait, attendant son tour après le départ de Layla, remarqua cette attitude ralentie de David. Et comme le dernièree demi heure avançait dangereusement, elle décida d’intervenir. Elle connaissait bien David, ses qualités et ses défauts depuis des années et savait son poing faible qui pouvait lui donner un fouet et réveiller son zob.
Alors, elle se mit derrière lui et, avec douceur et amour, elle commence à lui masser mollement le dos, puis à lui caresser les fesses, puis discrètement, elle les écartait et observant l’anus de David qui palpitait faiblement, elle savait quoi faire. Brusquement, sans crier gare, elle plongea son petit doigt dans l’anus de David et l’y enfonça complètement. Puis elle commença à lui faire des branles et des vrilles avec douceur mais avec volonté à l’intérieur du cul. Ce geste brusque de Berthe donna un fouet à David et surtout à son zob et son désir sexuel. En effet, le brusque enfoncement du doigt dans son cul l’a fait réagir rapidement et il a eu un violent coup de rein automatique qui donna un surplus de gonflement à son zob affaibli et il l’enfonça encore plus au fond du cul de Layla qui répondit à ce choc dans sa Terma pat un hurlement hystérique. Berthe connaissait fort bien le choc sur le zob et les éjaculations quant l’homme reçoit un coup de doigté dans son anus et elle l’a pratiqué plusieurs fois sur David avec succès. Layla constata aussi le plus de gonflement du zob dans l’écartement de son anus et même à l’intérieur de son cul. Et David repartit de plus belle dans ses vas et viens accélérés et violents et en cinq minutes à peine, ses couilles libérèrent leur sperme. David éjacula fortement par trois fois et chacune avec un coup de rein puissant et un râle rauque et prolongé de satisfaction. Et Layla eu sa part de plaisir et jouissances par derrière et même un peu par devant car la peau intérieure qui séparait son cul et sa chatte était si mince que les deux organes communiquaient presque totalement leurs jouissances.
Ensuite, pressés par Berthe et l’heure tardive, le couple se disloqua. David voulait embrasser et caresser encore Layla mais Berthe les avertit que les deux heures sont dépassées de peu et Layla doit rejoindre sa chambre. Alors elle se rhabilla rapidement et tenant encore son slip à la main, elle se coula discrètement vers sa chambre, comme une voleuse de plaisir interdit mais si agréable et jouissif, laissant la fausse famille terminer leur nuit, peut-être que Berthe aura la chance sur le gros zob de David. Layla, dans sa chambre, courut à la douche pour se nettoyer et se entièrement afin de dégager complètement l’odeur du mâle qui vient de la saillir et éviter à son mari les senteurs de son jeune amant. Puis, rassurée, et rassasiée sexuellement par devant et par derrière, elle se faufila sous les draps et avant de se laisser aller dans les bras de Morphée, elle pensait déjà aux nuits suivantes et au zob de David, puis, terrassée par la fatigue des plaisirs de la soirée, elle plongea très rapidement dans le sommeil plein de rêves érotiques.
Mais ce que Layla ne savait pas, c’est que Rebecca la femme du patron Marcel, l’avait vue parler avec David et avait soupçonné quelque chose. Aussi dès que son mari Marcel et Si Ali se sont installés pour jouer et que Layla s’est éclipsé vers l’étage, Rebecca l’avait suivie et discrètement elle avait vu David qui enlaçait et embrassait Layla dans le couloir puis l’avait amenée dans sa chambre. Elle s’était approchée et collé son oreille à la porte et rapidement elle a bien entendu et comprit ce qui se passait. Elle était resté un long moment à écouter, mais les gémissements et surtout les bruits humides et extrêmement érotiques que faisait le zob en frottant la chatte mouillée, l’ont excitée et elle est repartie vers la cuisine. Elle avait l’habitude de préparer aux joueurs, du thé, puis son mari venait à la cuisine pour sucrer la boisson, c’est une petite cérémonie spéciale qu’il avait apprise au bled et ne laisser jamais sa femme s’en occuper.
Alors, elle prépara le thé et rapidement, finit la vaisselle puis elle mont à l’étage pour coller encore son oreille, écoutant et s’excitant sur les gémissements dans la chambre et surtout les bruits érotiques des sexes qui se donnaient bruyamment du plaisir . Alors, ne résistant plus à son excitation et à la tentation du plaisir sexuel, elle s’éloigna pour monter à la terrasse de la pension, où il y avait une sorte de petit studio de bonne et où logeait, depuis 25 ans, Moussa, le vieil employé de la pension. Moussa était sénégalais, âgé maintenant de plus de 50 ans, il était chargé de plusieurs tâches, la surveillance des locaux la nuit, les petits travaux d’entretien et bien d’autres services comme homme à tout faire, même à satisfaire les besoins sexuels de Rebecca.
En effet, Marcel a toujours été trop occupé à la gestion de son affaire et au jeu plus qu’à la satisfaire et surveiller sa femme, qui avait de gros besoins pour sa chatte et pour son cul, et Moussa a toujours été à la hauteur pour faire, discrètement le nécessaire dans son antre de la terrasse. D’ailleurs, même quand Marcel s’absentait de la ville quelques jours pour ses affaires, et cela arrivait souvent, Rebecca et Moussa baisaient toutes les nuits dans le lit même de Marcel qui a rapidement découvert les infidélité de sa femme. Mais il a rapidement fermé les yeux, tant que les amants faisaient cela discrètement. En effet, Marcel savait d’une part, que les besoins sexuels de sa femme ont toujours été très loin de ses possibilités à lui et d’autre part elle était nettement majoritaire dans le capital financier et immobilier de la pension, alors il s’est surtout plongé dans les plaisirs du jeu, les courses de chevaux et le chach bach quant il trouve un partenaire. Et Rebecca a toujours su choisir les moments de plaisirs avec Moussa. Elle a aussi une copine d’enfance Rachel, qui n’habite pas loin, veuve et affamée elle aussi du zob. Elle l’amenait souvent l’aider dans la gestion, surtout la cuisine et la literie, de la pension. Marcel n’y voyait aucun problème, au contraire. Et comme Rebecca raffolait du sexe à trois, à chaque absence de son mari quelques jours hors de la ville, elle gardait sa copine toutes les nuits à la pension et l’amenait avec elle, baiser avec Moussa. Alors, durant ces nuits, tous les trois satisfaisaient à la fête du gros zob avec leurs chattes et leurs culs. Il faut signaler que Moussa avait un gros bagage sous la braguette, de la résistance à toute épreuve et des couilles toujours remplies à bonnes doses et satisfaisaient pleinement les deux femmes.
Donc, ce soir, Rebecca, excitée par David et Layla est allé éteindre le feu de sa chatte avec Moussa dans sa chambre du dernier étage. Elle avait l’habitude aussi des petites baises rapides avec Moussa, juste pour éteindre les flammes de sa chatte ou de son cul. Et pendant plus d’une demi heure, elle eut ce qu’elle voulait dans le lit de Moussa, puis, elle se nettoya et redescendit les escaliers, pour s’arrêter à la porte de David. Elle constata que la fête du sexe continuait avec gémissements et bruits érotiques. C’était trop long, alors elle descendit au salon et se promit de revenir avertir les amants dès que les joueurs seraient en fin de partie de chach bach. Plus tard, quant elle vit qu’ils allaient finir, elle remonta les escaliers rapidement et alla toquer à la porte de David. Berthe lui ouvrit et elle lui demanda si Layla y était encore, puis rassurée, elle alla toquer à la porte de Layla, mais personne ne répondit, la jeune femme dormait, alors, rassurée, elle alla se coucher. Mais sa passion du zob, surtout celui très appétissant de Moussa, la faisait réfléchir au cas de Layla qui trompait aussi son mari, mais David que Rebecca considérait déjà comme un gringalet, nettement loin derrière les possibilités de Moussa. Elle a cogité un long moment, dans son lit, puis elle a eu une idée qui a remué sa chatte de désirs. Elle se proposa de la réaliser bientôt et s’endormit très contente d’elle-même.