J'Ai Sucé Un Pote Par Accident

Ne vous est-il jamais arrivé de sucer un pote par accident? Non ?
Cette histoire s'est passé l'année dernière. J'avais un très bon ami, Justin. Nous avions tous les deux 21 ans. Nous nous sommes connus au lycée, mais nous étions perdu de vue pendant les études. Grâce à Facebook nous avons repris contact. J'étais déjà venu chez lui à deux reprises, pour regarder des films et jouer à la console tout en dévorant des pizzas et siffler des bières.


Cette troisième fois, on regardait des séries sur Netflix ; en faisant une pause, on a rebasculé sur un autre canal, celui du disque dur de Justin. Malheureusement pour lui, il était arrêté sur un répertoire caché, celui qu'on garde dissimulé aux yeux de tous. Maladroitement, Justin tenta de fermer l'explorateur, mais il dut y a avoir un accident de pile.


_ Bah dis donc, t'en as du porno, lui dis-je.
_ Ah, désolé...
_ T'excuses pas. Tous les mecs ont un répertoire de porno. On pourrait même faire un échange de nos vidéos préférées !
_ Haha ouai, toi tu regardes quoi d'habitude ?
_ J'aime bien les films mal joueés et les scènes avec des blacks.
_ Ha, je préfère les gangbangs, les bukkakes et les actrices américaines blondes à gros nichons.


Justin navigue et j'apprécie sa classification et sa collection très précise : gang bang, double anale, milf... Il y a même un répertoire gay.


_ T'as du gay aussi ?
_ Ha oui heu... C'est par curiosité
_ Pas de souci, bah tu m'en montres ? J'en ai jamais vu... Tu le montres un ou deux extraits ?


Justin met une de ses scènes favorites, 4 beaux mâles bien musclés qui se pompent les uns les autres, puis finissent par s'enculer à la chaîne en poussant des râles bien rauques. Justin a du mal à dissimuler son érection, coincé dans son jean trop étroit, il n'a plus vraiment de solution que d'extirper son énorme chibre de 22cm tendu et bien charnu.

Moi je panique, deviens très gené. Je veux me lever mais le canapé de Justin, qu'il a récupéré de chez ses parents, est vieux et je glisse le long du cuir qui ballote trop bas.


Par réflexe je tombe en avant, à genoux en parallèle du canapé, et comme j'ai poussé un grand cri de surprise, ma bouche forme un grand O bien rond bien large. Les accidents de la vie ont voulu que par le plus grand des hasards, ma cavité buccale s'imprègne de son sexe bien dur.


Me voilà dans une situation plutôt embarrassante, la bite de mon camarade malencontreusement fourrée dans ma bouche, moi à genoux devant lui. Après vingt bonnes secondes de consternation, je décide de m'extirper. Dans un premier temps, je pivote de sorte à être face à lui, poussant la table basse de mes fesses. Ce sera beaucoup plus simple pour m'évader de sa biroute bien dure. J'appuie ensuite les paumes bien à plat sur ses cuisses et exerce une pression pour soulever ma nuque. Lentement, mes lèvres glissent soyeusement le long du mandrin. Je ne veux pas provoquer plus d'accident, doncje manoeuvre millimètre par millimètre. Malheureusement, ma connaissance de la mecanique des fluides aura raison de moi : j'entrouve légèrement la bouche et un appel d'air s'engouffre dans la commissure de mes lèvres, provoquant irrémédiablement la descente de mes babines le long de sa longue hampe, le tout dans un "slurrrrrp" bien ragoûtant.


Justin pousse un long râle de détresse. Je lève les yeux vers lui, plein d'espoir sur le fait qu'il croise mon regard et puisse comprendre quelle sera ma prochaine tentative pour que sa biroute s'extirpe de ma cavité buccale, mais à mon grand désarroi je constate qu'il a la tête basculée en arrière, un horrible rictus de douleur qui s'apparente à un sourire béat tandis que sa langue pend de sa bouche. Heureusement, je sens qu'il veut que cette situation cesse car je sens sa main s'aggriper avec vigueur à ma chevelure, me tirant la tignasse pour que je cesse ce supplice.



J'ai heureusement plus d'un tour dans mon sac. Dans un premier temps, bien que j'ai les babines collées à la base de son baobab de chair, j'aspire extrêmement fort dans le but de reprovoquer un appel d'air. Je sais que cette manoeuvre sera à double tranchant et je dois supporter un gargouillis de douleur mêlé à du plaisir masochiste. De mon côté je sens son gland tresaillir contre ma glotte, et je dois m'assurer de ne pas m'etouffer. J' humecte bien sa bite et darde la langue pour recouvrir ses bourses imberbes de mes papilles râpeuses. Pour être sûr de bien réussir mon coup j'exerce un mouvement rotatif, m'assurant que chaque centimètre carré de scrotum est bien lubrifié. Puis en appuyant bien sur mes mains j'exerce un va-et-vient extrêmement rapide ; ma bouche coulisse de haut en bas et inversement, salivant abondamment pour mieux lustrer. Je m'en veux d'entendre mon ami souffrir le martyre, arc-boutant son bassin sous la douleur, soupirer et gémir dans tous les tons, mais si nous voulons mettre fin à ette inconfortable situation il faut bien passer par ces moments de souffrance. Heureusement, il m'aide dans mon dur labeur en donnant un coup de pelvis en avant tandis que moi aussi je donne un coup de nuque dans la direction opposée, vers lui. Cela ne fait que renforcer la sensation de friction, moi vers lui et lui vers moi. Il grogne et gémit de nouveau, et son grognement de douleur s'apparente à un cri de joie.


Enfin, ma bouche commence à gagner du terrain, dès que quelques centimètres de son chibre se libère je l'aggripe puis la secoue vigoureusement et fermement. Je sens soudainement comme des spasmes venant de sa bide. Il pousse un oui - il voulait certainement dire non mais je comprends, dans la confusion - et sans prévenir gicle dans ma bouche plusieurs jets de foutre bien crémeux.


Quel désastre ! Voilà ma petite bouche remplie d'une colossale quantité de sperme ! J'ecarquille des yeux et proteste devant l'invasion blanchâtre, s'engouffrant dans ma cavité buccale toutes vannes ouvertes ! Je ne peux tout contenir et mes lèvres adhérant encore à sa sucette de chair, je n'ai malheureusement qu'une direction où diriger la marée de semence.
La valve s'ouvre et dégouline dans ma gorge le torrent de foutre que je me surprends à savourer.


Justin enchaine soupirs, râles, puis son corps se relâche. Enfin je peux m'extirper de cette situation incongrue, je regarde sa queue dégonfler et devenir comme une banane molle et désœuvrée. Sans rien dire, Justin remonte son pantalon, puis me demande si je peux partir car il doit se coucher. Silencieusement j'accepte et je rentre, me demandant si un jour en racontant cette rocambolesque histoire, on me croira un jour que j'ai sucé et bu un mec accidentellement...

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