Moi Léa Récit D'Une Partie De Ma Vie (Partie 6)

Mathilde vint me voir. Nous avons passer la soirée à papoter. Elle m'a beaucoup fait parler sur cette expérience. Voulait t-elle me tester et jauger comment j'avais encaisser le coup ? je ne sais pas.
Quelques jours passèrent et je suivais mes cours normalement.
Un soir, je reçu un mail depuis le site d'annonce:
"Bonjour, homme 40 ans souhaiterait vous rencontrer pour assouvir fantasme. Je rémunère bien- Contactez-moi si intéressée"
Cette lecture me laissa perplexe... mais je répondis quand même afin d'en savoir plus.
Le Type me rappela:
- Bonsoir, Voilà je souhaite rencontrer jeune fille vous correspondez au profil que je recherche et j'ai une demande à vous faire.
- laquelle ?
- je voudrais vous voir faire pipi.
- hum... en effet pas banal comme demande mais pourquoi pas. Je vous ferai ça moyennant supplément de 50 €
- Ok ca me va parfaitement.
- autre chose je veux que vous veniez en jupe et avec culotte en dessous. Pas de string
- OK entendu a demain

J'honorai donc mon rendez-vous qui était fixé à son hôtel. C'était un bel hôtel dans un quartier chic.
Je frappais à la porte et comme d'habitude c'était toujours le moment que je redoutais le plus. Est-ce que le mec allait me plaire ou tout du moins pas trop me déplaire.
Il m'ouvrit. Il n'était pas trop souriant. J'avais bien pris soin avant de venir de boire plusieurs verres d'eau afin d'avoir envie d'uriner quand il me le demanderait.
Il déposa quelques billets sur la table et me demanda de me relever ma jupe.
- Parfait tu as mis une jolie culotte comme je t'avais demandé. viens me voir rapproche toi.
il tâtât mes fesses et je me retrouvais rapidement en culotte.
- tu as bu ? j'ai vraiment envie de te voir pisser. On va aller dans la salle de bain tu vas te mettre dans la baignoire et tu vas pisser bien devant moi
Je n'étais pas super enthousiaste mais je m'exécutais selon son souhait.

J'étais nue et je me mis debout dans la baignoire en écartant un peu les jambes. Il m'ordonna de tout lâcher. Le jet sortit et vu toute l'eau que j'avais bu il fut important et long. J'en avais sur le bas de mes jambes.
Je voulu donc me rincer mais il ne m'autorisa a ne me rincer que les pieds. Il passa sa main sur ma vulve afin de "m'essuyer"
Ensuite il me ramena dans la chambre.
il m'installa afin de me faire un cuni qui me laissa de glace. Je ne mouillais que très peu. Ce n'était pas vraiment agréable.
Il bandait fort et voulu me prendre en levrette. Vu que je restais assez sèche je m'enduis la minette de gel lubrifiant afin de ne pas avoir mal. Il me pénétra sans ménagement et le coit était assez violent.
Il parlait tout seul.
-Tu as un joli petit cul me disait il. Tu as du en faire bander des mecs ma petite salope !
Son discours un peu vulgaire ne me plaisait pas.
Je sentais qu'il passait sa main sur ma vulve pour récupérer ma cyprine et il me caressait l'anus. je serrais mon orifice mais je me laissais faire.
a un moment donné il sortit de mon vagin et pointant son sexe tout dur il s'enfonca dans ma rondelle. Je ne pus m'empêcher de hurler de douleur. En échange de ça je reçu une belle claque sur les fesses et m'ordonant de me taire.
- Ta gueule salope je vais défoncer ton petit cul
- je ne veux pas j ai mal arrêtez !
- mais si tu aimes hum c 'est trop bon tes fesses
heureusement il ne tarda pas à jouir. Il se retira avec autant de délicatesse qu'il était entré. J'avais mon anus qui me faisait mal.
Je lui montrais mon désaccord et ma colère. Je lui dit que pour la sodomie il me devrait 50 € de plus.
Il me sourit avec un air con en me disant que j'aille me faire foutre.
- Allez dégage je t'ai assez vu sale pute. Je n'ai pas le temps j'ai un rendez-vous.
Je me rhabillais sans dire un mot je ris mon argent et filais au plus vite.
J'étais furieuse. Furieuse parce que je m'étais faite avoir comme une débutante, furieuse parce qu'il ne m'avait pas parlé de sodomie avant et furieuse parce que j'avais mal aux fesses.

Une fois chez moi je me douchais et je ne faisais plus la fière. Je venais de comprendre que ce n'étais pas si facile que ça. J'avais été humiliée et je retenais la leçon.
Ca ne devait plus se passer comme ça à l'avenir !