Marie-Laure 4

Un jour de printemps, je m’étais rendu à la Rochelle pour le week-end. Si à la base, j’y étais allé pour raisons professionnelles, lors du dernier jour, je me dis qu’il serait dommage de ne pas profiter d’être là pour faire des choses… plus amusantes. Je me rendis donc vers le gymnase où Marie-Laure donnait ses cours de gymnastique. J’y arrivais en fin de journée, pile quand la belle sortait du gymnase.

On avait beau être au printemps, il faisait assez frisquet. Elle portait donc une veste en haut, mais en dessous portait son habituel leggins. Je devinais donc qu’en dessous de sa veste, elle devait porter une simple brassière, et ça me chauffait encore plus. Elle s’apprêtait à monter dans sa voiture quand je la hélai :

« Eh Marie-Laure ! »

Elle se retourna, visiblement surprise, et sourit en me voyant.

« Ca alors ! Qu’est-ce que tu fous ici ? »

« J’étais de passage à la Rochelle. »

« Et t’es aussitôt venue me voir ? Je suis flattée. »

Je m’approchai d’elle. On était maintenant à quelques centimètres.

« Le sois pas… je suis pas venu par courtoisie. »

Elle s’approcha à son tour, et posa sa main sur mon torse.

« Ah non ? »

« Non. Je suis venu… pour le plaisir. »

Marie-Laure me dévisagea, puis se jeta sur moi. On se colla l’un contre l’autre, et on s’embrassa avec passion. Nos lèvres s’entrechoquèrent et se mêlèrent, tandis que nos mains coururent sur le corps de l’autre. Je serrai ses fesses à travers son leggins, et savourai le contact de mes mains avec ce boul si rond et ferme. Pendant ce temps, Marie-Laure me tenait par les cheveux, et m’embrassait avec une passion non feinte, donnant le ton dans ce délicieux baiser. On continua de s’embrasser pendant qu’elle m’entraîna avec elle. On fit le tour de sa voiture, elle ouvrit la portière, et me poussa sur le siège passager. Elle vint sur moi, et me plaqua contre le dossier tout en refermant la portière.

Elle retira son leggins, puis mon pantalon et caleçon, et avec force, elle s’empala sur moi. On poussa tous les deux un cri de plaisir, lorsque mon engin s’enfonça loin elle. Marie-Laure eut un sourire satisfait, et retira sa veste, se dévoilant en brassière noire qui mettait en valeur son corps de rêve. Elle commença de puissants va-et-vient secouant son bassin d’avant en arrière, me cognant avec force, le fond de son intimité allant taper contre mon sexe. Elle me tenait par les épaules, et me plaquait solidement contre le dossier du siège, tandis qu’elle me baisait avec de plus en plus de ferveur. Marie-Laure me dévisagea d’un air insolent, et me sourit d’un air vicieux : elle savourait ce moment où elle était la reine, la patronne, et où moi je n’étais qu’un jouet à sa disposition. Elle plaqua son énorme poitrine contre mon visage, m’étouffant à moitié et me lança :

« Alors mon soumis ? Tu kiffes ce qui se passe, pas vrai ? T’es venu te livrer à moi, te mettre à mes pieds… Eh bien savoure… savoure ça ! et ça ! et ça ! »

Elle ponctua chacun de ses « ça » par de gros coups de reins, et chacun d’entre eux m’arracha un cri de plaisir. Elle me fit alors un nouveau sourire moqueur, et me donna une petite gifle. Ce fut la goutte d’eau qui fit déborder le vase : me revint alors en mémoire tout ce qu’elle m’avait déjà fait, toutes les fois où elle m’avait dominé, et je décidai alors que c’était fini.

Je saisis ses fesses avec autorité. En plus de les masser, je l’obligeai à ralentir le rythme de ses coups de reins. Elle perdit un peu de sa superbe, lorsqu’elle comprit qu’elle ne pouvait plus me baiser à sa guise. En plus, je me mis à donner des coups de reins par en dessous, reprenant petit à petit le contrôle de la baise. Marie-Laure ne tarda pas à réagir, se débattit, et donna des coups de reins aussi forts que possible. Les yeux dans les yeux, on se défia du regard, tandis que chacun de nous baisait l’autre aussi fort que possible. La voiture tanguait, nos corps se percutaient, on gémissait de plus en plus fort, tandis que le plaisir nous faisait vibrer de la tête aux pieds. Marie-Laure était déchaînée, elle ne pouvait pas prendre d’élan à cause de mes mains posées sur ses fesses, mais elle se déhanchait à fond, comme une danseuse, bien décidée à me mettre KO.

Alors que notre baise atteignait son paroxysme de sauvagerie, je lâchai son cul. Elle crut y voir un signe de capitulation, et eut un sourire triomphant. Seulement, je la saisis par les épaules, et l’attirai contre moi, avant d’enrouler mes bras autour de son dos. Prisonière de mon étreinte, elle ne put rien faire, lorsque je me mis à la baiser sauvagement par en dessous, bondissant de mon siège à chaque coup, la sautant littéralement. Je la sentis se raidir et se cambrer entre mes bras, tandis que je la baisais de plus en plus fort, donnant tout ce que j’avais pour la soulever toujours plus férocement. Je lui dévorais le cou et le buste en même temps, et me délectait des gémissements de chienne qu’elle lançait. Au début, elle se débattit autant qu’elle put, mais au fur et à mesure que mes assauts s’enchaînaient, elle finit par devenir docile, et se laissait faire. Je pus ainsi la baiser, jusqu’à exploser en elle, tandis qu’elle même avait un délicieux orgasme. Le plaisir fut intense, et je poussai un grand grognement de soulagement, tandis que je frissonnai de la tête aux pieds en me vidant.

Haletant, et ivre de plaisir, je m’effondrai sur le dossier du siège. J’étais ravi de ce qui venait de se passer : j’avais dominé Marie-Laure ! Je lui jetai un regard narquois : elle était encore plus à bout de souffle que moi, et toute rouge à cause de l’effort et du plaisir.

« Alors ma belle ? Je suis toujours ton soumis ? »

Elle répliqua immédiatement, et d’une voix dure :

« On va chez moi. Toute de suite. »

« Je rentre demain, t’es au courant ? »

« Ferme ta gueule. J’ai dit qu’on allait chez moi. »

Elle se rhabilla, s’installa sur le siège conducteur, et démarra la voiture. Le trajet se passa en silence, elle semblait ruminer ce qui venait de se passer. Pour ma part, je me sentais non seulement comblé d’avoir baisé et dompté cette bombe, mais en plus extrêmement confiant pour la suite. Quand on arriva chez elle, je vis qu’une autre voiture était présente.

« Tes parents sont là ? m’exclamai-je un peu déçu. »

« Oui. Mais t’inquiète, tu vas entrer discrètement, et on va baiser en silence cette nuit. »

Je n’étais pas très chaud à cette idée, mais je ne voulais pas rater une occasion de baiser la belle Marie-Laure, alors j’acceptai. Elle entra la première, moi sur ses pieds. On vit que ses parents étaient dans la cuisine. Marie-Laure fit diversion pendant que je passais devant la pièce discrètement, et me faufilais rapidement jusqu’à sa chambre. Je connaissais bien le chemin, j’étais déjà venu là une ou deux fois.

Je grimpai les escaliers le plus silencieusement possible, et m'enfermai dans sa chambre. Puis je m'assis sur son lit, pour l'attendre. Je m'enfonçai aussitôt dans le matelas à eau : c'est vrai, je l'avais oublié celui-là, et pourtant la dernière fois il avait joué un rôle important dans mes ébats avec Marie-Laure.

La porte s'ouvrit à la volée. Marie-Laure entra, vêtue de son leggins et de sa brassière. Ses yeux lançaient des éclairs. Elle avait clairement l'intention de me faire payer ce qui s'était passé tout à l'heure dans voiture.

« Tu vas prendre cher, prévint-elle. »

« Je t'attends, répliquai-je. »

Elle se rua sur moi. Je l'attendis tranquillement. Elle me saisit par les épaules, et me plaqua contre le lit. On s'enfonça dans le matelas à eau, et on fut déséquilibré par les mouvements aléatoires qu'il faisait. J'en profitai pour saisir Marie-Laure, et la renverser, passant au-dessus. Elle se débattit, et on lutta un petit moment, furieusement. Je la saisis par les poignets, et l'immobilisai. Elle s'agita encore un petit moment, mais finit par se calmer.

« C'est bon ? On est détendue ? la narguai-je. »

Elle me jeta un regard furieux. Je lui souris, et défis mon pantalon et mon caleçon, puis, m'installant confortablement sur elle, j'insérai mon sexe dans sa poitrine. Je poussai un grognement de plaisir, qui s'intensifia lorsque je me mis à faire des va-et-vient entre ses seins. Marie-Laure se débattit encore un peu, mais je la tenais bien. Je saisis ses seins pour bien les comprimer autour de ma bite, et bordel qu'est-ce que c'était bon ! Marie-Laure aussi commençait à bien kiffer, et poussa des gémissements. Je fis ça un bon moment, jusqu'à être au bord de l'orgasme. Alors, je m'interrompis, sortis de sa poitrine, et la retourna, la mettant à quatre pattes.

Je lui arrachai son leggins, et sans ménagement, la pris en levrette. Elle poussa un petit cri lorsque mon sexe entra en elle, et ce cri se transforma en gémissement, lorsque je me mis à aller et venir en elle, la limant férocement. J'allai directement à un rythme élevé, la culbutant avec puissance, lui procurant de grands frissons de plaisir. Marie-Laure se mit à secouer son fessier, histoire de rendre les choses plus délicieuses encore, et je ne tardai pas à pousser des grognements de plaisir. Elle accéléra un peu le rythme, mais moi, de mon côté, je me mis à aller à fond, donnant libre cours à ma sauvagerie, lui envoyant d'énormes coups de reins, qui la paralysèrent sous l'effet du plaisir. Je saisis ses cheveux et tirai dessus, tout en lui envoyant une grosse claque sur son fessier. Puis j'accélérai encore le rythme, jusqu'à l'amener au bord de l'orgasme.

C'est alors que je m'interrompis soudainement, et que je me retirai d'elle avant de la retourner. Je voulais la prendre en missionnaire. Grosse erreur : Marie-Laure enroula ses jambes autour de mes hanches, et me renversa. Avant que j'aie eu le temps de dire ouf, elle s'empala sur ma queue, et sans perdre une minute, commença à me chevaucher.

Je voulus me redresser, mais aussitôt elle me plaqua contre son matelas à eau, m'enfonçant dedans. Elle accéléra le rythme, et je me sentis décoller. Qu'est-ce qu'elle chevauchait bien ! Le plaisir montait en moi, et je ne tardai pas à pousser des râles de plaisir. Marie-Laure sourit d'un air narquois, et se mit à se déhancher de gauche à droite, utilisant les mouvements du matelas à eau pour amplifier ses gestes, bringuebalant ma bite dans toutes les directions, me faisant fondre de plaisir. Puis, elle se remit à aller d'avant en arrière, et le plaisir fut si intense, que des étoiles dansèrent devant mes yeux. Elle me prit par le cou, histoire que je me sente bien soumis, mais ce qu'elle me faisait était si bon, que je me sentais pas de résister.

Elle se redressa quelques secondes, et retira sa brassière, dévoilant son corps de malade dans toute sa splendeur. Ses énormes seins bondirent devant moi, et lorsqu'elle reprit sa chevauchée fantastique, ils se mirent à se balancer sous mes yeux ébahis. Elle me saisit à nouveau par le cou, m'obligea à la regarder dans les yeux, et me servit un nouveau sourire mouqueur, avec un regard dominateur. Elle alla moins vite dans sa chevauchée, mais me donna un gros coup de rein bien fort, histoire de m'enfoncer dans le matelas. Elle répéta ça encore, puis encore, et encore. A chaque fois, elle prenait bien son temps entre deux coups de rein, mais faisait en sorte qu'il soit bien fort. Le message était clair : « c'est moi qui te baise. »

Elle se remit ensuite à aller et venir à un rythme effréné, me baisant comme une folle. Le plaisir monta à nouveau en moi, à une vitesse alarmante. Marie-Laure, elle, se mit à gémir sans retenue, et ça m'excitait de l'entendre prendre son pied comme ça. Elle me baisa pendant un long moment, allant toujours à un rythme étourdissant, son corps de rêve s'agitant sous mes yeux, m'offrant un spectacle incomparable. Je prenais un sacré pied, mais quand je tentais de me rebeller, je me faisais toujours refouler. Cependant, je n'avais pas capitulé pour autant. Je me contentais d'attendre mon heure. A un moment, alors qu'elle me chevauchait de plus en plus fort, elle passa ses mains dans ses cheveux, comme en proie à un plaisir immense.

Je saisis aussitôt l'occasion. Je la choppai par les hanches, et voulus la retourner. Elle se rétablit très vite, et me donna de gros coups de reins qui me clouèrent au matelas. Soit. Je ne pouvais pas repasser au-dessus, surtout avec ce matelas à eau et ses mouvements aléatoires, mais je pouvais malgré tout reprendre le dessus. Je m'accrochai aux hanches de Marie-Laure, et la pilonnai par en-dessous bien férocement. Elle se raidit, et poussa un gémissement. Elle voulut retirer mes mains, mais j'avais trop de force, et avec les coups de reins que je lui mettais, elle était de plus en plus paralysée par le plaisir. Elle voulut reprendre ses coups de reins, mais je la tenais bien fermement, et elle ne pouvait plus trop bouger.

J'eus un immense frisson de plaisir et d'excitation : allongé sous elle, j'avais une parfaite vue sur son corps de rêve, son ventre plat, son visage parfait, et ses énormes seins qui frémissaient à chaque coup de butoir que je lui mettais. C'était tellement incroyable de baiser une fille si bien faite ! Tellement excitant de la tenir bien fort, la sentir immobilisée, incapable de bouger, obligée de subir les coups de butoir que je lui assénais !

Je poursuivais mes efforts, y allant si fort que Marie-Laure décollait un petit peu à chaque coup de rein que je lui envoyais. Elle poussait des petits cris de plaisir à chaque fois, et son visage rougissait sous l'effet du plaisir. L'extase et la fatigue montaient en moi, je me sentais décoller de plus en plus haut, et le souffle me manquait à chaque fous, mais inlassablement, je soulevais Marie-Laure, frémissant à chaque fois sans jamais jouir.

Je saisis son dos, et l'obligeai à se pencher sur moi. Je la tins par la nuque, et plongeai mon regard dans le sien, au moment même où je lui administrai une nouvelle série de coups de reins plus forts et rapides que jamais. Je vis immédiatement ses yeux chavirer, et elle poussa des gémissements aigus qui me dopèrent, et me firent accélérer encore le rythme. On ressentit tous les deux une brusque montée de plaisir. On se mit à crier tous les deux en même temps, je serrai les dents pour contenir le plaisir autant que possible, mais dans le même temps, j'accélérai encore le rythme. Il arriva ce qui devait arriver : on explosa tous les deux dans un orgasme tonitruant, qui nous fit hurler. Je me déversai en Marie-Laure dans une vertigineuse sensation de soulagement, et elle s'effondra sur moi, assommée par le plaisir.

On resta un moment, étendus et haletants.

« Bordel ce que tu m'as mis, souffla Marie-Laure. »

« N'est-ce pas ? lui dis-je d'un ton moqueur. »

Elle m'embrassa l'épaule.

« T'es un super coup. »

Je lui rendis un baiser sur le front.

« Toi aussi ma belle, toi aussi. »

On s'endormit. Le lendemain matin, je repartais chez moi, ravi de cette soirée.