Les Femmes Matures De Ma Vie : #2 Christine

Et voici le deuxième épisode de la série : « les femmes matures de ma vie ». J’ai décidé de vous raconter, dans cette série, les retrouvailles avec les femmes qui m’ont fait fantasmer durant ma jeunesse. Elles sont maintenant des femmes matures (entre 60 ans et 80 ans) mais pour la plupart encore très excitantes. Vous verrez, également, qu’elles sont bien en chair ; Eh oui, j’adore les femmes avec des gros seins et un gros cul.

Dans cet épisode, j’ai retrouvé mon ancienne professeure de français / latin de seconde.
À l’époque, Christine T-F devait avoir 50 ans et divorcée. C’était une vraie peau de vache, elle aimait écraser les élèves qui n’étaient pas très doués dans ses matières. Malheureusement pour moi, j’en faisais partie. Cependant, cela ne m’empêchait pas de lui vouer une véritable admiration. Et pour cause, Christine était, à mes yeux, le fantasme ultime. Elle n’avait pas un beau visage, mais alors, une énorme paire de nichons qu’elle mettait en avant avec beaucoup d’arrogance, et un joli petit cul bien rebondi qu’elle mettait en valeur avec ses pantalons et tailleurs.
Je la détestais et l’admirai en même temps.
Je me suis déjà branlé au fond de la classe en matant son chemisier entre ouvert.
Il arrivait souvent que ses énormes seins frottent le tableau noir lorsqu’elle écrivait. Elle montrait une certaine sensualité lorsqu’elle tapait sur ses seins pour enlever la craie, on avait l’impression qu’elle se caressait les tétons. Avec le recul, je me demande si elle n’allumait pas un peu les jeunes qui étaient dans sa classe. Elle avait parfois un regard qui sentait le cul, un désir sexuel. Elle était surement en manque de bites.
Aujourd’hui, Christine a 78 ans, et je veux assouvir mon désir de la baiser et me venger

Je recherche sur Facebook, impossible de la trouver ; elle n’est sur aucun réseau social. Par contre, je trouve son adresse. Je décide d’aller y faire un tour. Elle habite dans un pavillon de banlieue, il y a bien son nom sur la boite aux lettres.



Puis je la vois, elle est dans son jardin. Je n’y crois pas mes yeux. Christine est allongée sur une chaise longue en train de lire un livre ; elle porte un short et un T-shirt. Comment l’aborder ? Elle est à 20 mètres de moi ! Mon cœur bat très fort.

Je vois à côté de son portillon d’entrée l’arrivée d’eau du jardin. Je vais essayer de casser son arrivée d’eau … mais quelle idée à la con !

Je tire un grand coup dessus, peut-être trop fort. J’arrache tout et je pars en courant. Un geyser d’eau se déverse dans son jardin. J’y retourne une minute après. Je retrouve Christine sous le geyser, complétement trempée. Je lui dis :.
- Laissez-moi vous aider Madame !
- Oui s’il vous plait.

Je rentre chez elle. À ce moment-là, elle se redresse et tombe en arrière.
Je parviens à arrêter le geyser d’eau et me dirige vers elle.
Quel spectacle devant moi. Christine est allongée par terre et mouillée, je vois son soutien-gorge au travers de son T-shirt. Je reprends mes esprits et me mets derrière pour la relever. Putain, elle pèse son poids. Je lui dis :
- Tout va bien madame, vous ne vous êtes pas fait mal ?
- Non ça va merci. Essayez de me relever s’il vous plait.
- Oui bien sûr

Je suis derrière elle, je l’agrippe et tire fort pour la lever. J’en profite pour prendre ses énormes nichons à pleine main ! Je bande comme un taureau, je frotte ma queue contre son cul ! Encore sous le choc, elle ne se rend compte de rien. Tant bien que mal, je la redresse et la ramène dans sa maison. Je l’installe sur une chaise. Elle me dit :
- Merci beaucoup monsieur d’avoir aidé une vieille dame.
- De rien Madame, mais vous avez encore beaucoup de charme
- Merci vous allez me faire rougir.

Je vois Christine de plus près. Comme on dit, avec l’âge, elle a bien morflé. Elle est complétement ridée, par contre j’avais oublié à quel point ses seins étaient énormes. Elle me dit :
- Je vais me changer, je suis trempée, mais restez, je vous proposerai quelque chose à boire après.

- Merci beaucoup madame, je vais aller voir la fuite dans le jardin.

Je sors et la laisse seule. Je remets en place le connecteur et le tuyau et je retourne à la maison. Elle n’est pas dans la cuisine. Elle m’appelle :
- Jeune homme s’il vous plait, j’ai besoin d’aide.

Je rentre dans sa chambre, mon sang ne fait qu’un tour. Christine est allongée sur son lit en slip et soutien-gorge. Ma queue, gonflée de sang, veut sortir de mon boxer ! Gênée, Elle me dit :
- Je n’arrive pas à me redresser.
- Attendez, je vais vous aider.

Je parviens à l’assoir sur son lit. Un long silence pesant règne dans cette chambre. Christine est devant moi en sous vêtement. Nous sommes gênés. Elle brise le silence :
- Vous me trouvez encore séduisante pour 78 ans.
- Oh que oui, vous êtes très jolie.
- Ah menteur, je suis flétrie, grosse et grasse de partout.
- Mais c’est ce que j’aime chez vous.

Elle a l’air interloqué ! Je fixe ses seins. Elle le remarque et retire son soutien-gorge. Elle me dit alors :
- Ce sont ces deux là que vous aimez ?
- Heu oui ils sont Euh énormes.

Ses seins sont tellement lourds qu’ils reposent sur ses genoux. Ils sont surmontés par 2 grosses rustines et des tétons qui pointent de désir. Elle les malaxe devant moi, regarde mon pantalon et me dit :
- Hum, ça te fait de l’effet, viens chercher ta récompense pour avoir sauvé une vieille dame seule.

Je me jette sur ses seins, je les dévore, je mordille ses gros tétons, ils sont si lourds, comment fait-elle pour vivre avec ? Elle gémit :
- Hum vas-y mon grand, fais du bien à mamie ! Ça fait longtemps que l’on ne m’a pas touché et donné du plaisir.

Je l’embrasse fougueusement, elle en bave sur ses gros nichons. Ma main passe dans son slip, je lui mets 2 doigts dans la chatte. Un cri sort de sa bouche, elle respire fort. Christine est très sensible des zones érogènes. Elle me dit :
- Doucement, je n’ai plus 20 ans.

- Excusez-moi. Je vais faire plus attention.

Je baisse sa culotte et commence à lécher son clitoris. Elle convulsionne littéralement. Incroyable, cette sensibilité. Pour une vieille peau, elle mouille abondamment. J’essaye de lui mettre un doigt dans le cul. Elle se braque et recule. Furieuse, elle me dit :
- Non, on ne touche pas mon petit anus. C’est péché ; la femme doit être honorée par son vagin.
- Pardon, désolé, je ne voulais pas vous heurter
- Je ne suis pas une trainée de Sodome, Monsieur.
- Toutes mes excuses.
- Bouffes moi plutôt la chatte.

Hé oui, j’avais oublié que Christine était croyante et pratiquante. Quel puritanisme, sachant qu’elle aurait déjà sucé la queue d’un prêtre pour se consoler de son divorce.

Bref, je continue à brouter son minou tout dégoulinant. Elle est proche de l’orgasme. Je mets alors 2 doigts bien au fond de sa chatte et la masturbe très vite ! Elle jouit très vite et dans un cri de soupir, s’étale sur son lit. Elle respire très fort et émets de petits cris de plaisir.
- Hum, c’était bon, coquin.
- Tu mouilles beaucoup pour une vieille.
- Hum, je suis chaude comme la braise. Je veux sucer ton zizi.

Christine se redresse, descend mon pantalon et regarde fixement ma queue.
- Quelle belle bite ! Je n’en ai jamais vu de si grosse et tu bandes déjà. Je te fais de l’effet à ce point ?
- J’aime votre corps, vos énormes seins et votre joli petit cul.
- Hum, tu vas me donner du plaisir, mais en respectant mon corps.
- Oui bien sûr madame.

Cause toujours, je n’ai qu’une envie ; te défoncer, t’humilier comme tu m’as humilié il y a 30 ans. Et je crois que c’est plutôt bien parti !

Christine commence à me lécher le gland. Je lui caresse les cheveux. Elle me fait du bien cette vieille peau ! Je lui dis :
- Oh Oui vas-y suce ma queue ! Et dis donc, tu me suces la bite, mais je ne connais pas ton prénom.

- Hum, Buuuurps. Je m’appelle Christine.
- Oh oui Christine, Suce-moi la pine.
Elle me sourit et continue à pomper mon dard.
Je n’arrive pas à pousser plus ma queue dans sa bouche, elle me repousse. Je n’insiste pas, je ne veux surtout pas la braquer. Elle me dit :
- Tu me dis si tu veux éjaculer. Je ne veux pas de sperme dans ma bouche
- Oui Christine, mais ne t’inquiète pas, je ne suis pas encore prêt à exploser.
- Oh quelle maitrise de soi.

Elle suce vraiment comme une mamie. Elle est plutôt bonne dans la technique, mais ça manque de rythme pour que j’éjacule.
Je l’embrasse de nouveau et l’a fait basculer en arrière. Je lui écarte les jambes, sa chatte est grande ouverte. Elle panique et me dit :
- Attends, attends, mets un préservatif, je ne te connais pas.
- Oui tu as raison.

Je prends une capote et la met sur ma queue toute raide. Je dis à Christine :
- On y va Titine ? Tu la veux ma grosse queue.
- Oui vas-y, mais doucement, avec respect.

Je fais pénétrer mon gland dans sa chatte, elle sursaute et crie déjà de plaisir. Je ne la fais pas attendre et la pénètre brutalement. Encore un cri de jouissance, elle se tortille dans tous les sens.
- Oh, c'est bon mon amour ! Vas-y ! Fais du bien à mamie Christine.
- Tu es serrée, Christine, malgré ton âge.
- Ça fait longtemps que je me suis fait pénétrer

Je commence mes va-et-vient, Christine crie de plus en plus fort. J’espère vraiment que les voisins l’entendent. Si, en plus, elle reçoit une réputation de nymphomane dans le quartier, je serais aux anges.

Je la perds, elle est en transe. J’en profite, pour prendre mon smartphone et faire des photos.
J’en remets encore un coup ! Quel pied, je baise mon ancienne professeure de français.
Au bout de 5 minutes de burinage, je m’arrête et lui laisse reprendre ses esprits. Elle est devant moi, allongée sur son lit avec sa mouille qui sort de sa chatte. J’enlève la capote
Je m’assoie sur elle et je viens glisser ma queue entre ses 2 énormes seins. J’agrippe ces magnifiques obus et Je commence les va et vient. Elle m’aide en tenant ses énormes nibards ; pas si simple une branlette espagnole avec une énorme poitrine, bien lourde… Je lui dis :
- C’est très agréable, Christine. Suce un peu ma queue.
- Oui viens par là.

Je rapproche ma queue de sa bouche. Elle gobe ma queue et me suce avec beaucoup d’entrain.
Elle me suce de longues minutes ; elle a l’air d’y prendre beaucoup de plaisir.
Je me relève et lui demande de se mettre à 4 pattes sur le lit. Christine se met en position.
Quelle vue magnifique. Son cul est bien rebondi pour une octogénaire. J’écarte ses fesses et commence à lécher son minou. Je frotte mon nez contre son trou du cul, elle ne réagit pas. À chaque orgasme de sa part, son anus s’ouvre un peu, ce qui permet à mon nez de rentrer dedans. Elle pue du cul, mais c’est trop bon. Je me redresse et présente mon gland devant sa chatte béante. Elle att ma queue à pleine main et me dit :
- Hé dis donc, tu n’aurais pas oublié quelque chose.
- Oh mince oui tu as raison, je n’ai pas remis de capote.
- Mouais petit coquin, on se protège. Et baise moi bien.

J’enfile une capote et rentre brutalement ma queue dans sa chatte. Je la saillis pendant de longues minutes. Je ne peux m’empêcher de lui claquer le cul. Elle jouit si fort que ça m’excite encore plus. Son cul claque à chaque coup de bite. Quel spectacle ! Je reprends mon smartphone. Cette fois, je fais une vidéo. J’aurai quelques souvenirs pour plus tard.
Christine est dans un état second. J’en profite pour enlever la capote et lui remettre ma bite dans la chatte. Elle n’y a vu que du feu.
Oh putain … c’est bien mieux sans capote … Je pourrai la baiser toute la journée comme ça.
Je la baise de plus en plus fort. Nos corps sont trempés de sa mouille. Elle gémit comme une truie.
J’écarte ses fesses. J’ai tellement envie de l’enculer ! Je veux qu’elle ait mal.
Je crache sur son anus et y mets 2 doigts.
Je sors ma queue de sa chatte et la présente devant son trou du cul. Je force pour la faire rentrer. Christine crie de douleur cette fois, mais ne peut réagir. J’écarte bien ses fesses pour faciliter la pénétration. Ça y est, je suis complètement dans son petit trou du cul. Je commence à lui buriner l’anus. Je mets mes mains autour de son cou et l’étrangle légèrement.
À chaque coup de bites, un gros pet et un mélange de mouille et de merde sortent de son cul
Elle ne se débat plus. Je domine mon ancienne professeure de français.

Tout en continuant à l’enculer, je redresse son corps en arrière contre le mien. J’att et malaxe ses gros seins. Je lui susurre à l’oreille :
- Alors Mme Christine T-F, on prend son pied, on jouit comme une grosse truie.
- Arrêtez, j’ai mal. Qu’ai-je donc fait pour que vous me fassiez ça ?
- Je vous rends ce que je vous dois. À savoir, humiliation et rabaissement.

Je la remets debout, l’immobilise et la traine vers la baie vitrée de sa chambre.
Je plaque son visage et ses gros seins contre la vitre. Je continue à l’enculer de plus en plus vite. Je lui dis :
- Regarde Christine, Regarde mon amour, dehors, le voisin, il te regarde entrain de te faire sodomiser. Et son fils, à l’étage, il se branle en te regardant.
- Non pas ça !
- Tu passes pour une grosse salope. Ça va faire le tour du quartier. Quelle humiliation !

Je sors ma queue de son anus, la force à se mettre à genou. Je lui enfonce ma bite, recouverte de ses excréments, dans la gueule. Je luis baise violemment la bouche. Elle s’étouffe. J’en peux plus ; j’éjacule sur son visage et dans sa bouche. Je finis en lui mettant des gros coups de bites sur le visage.

Je luis dis :
- Merci beaucoup pour ce très bon moment, j’espère que tu as apprécié ?
- Oui beaucoup, mais tu as dépassé les limites. Tu m’as quasiment violé. J’ai mal au cul.
- Non pas du tout, regardes ses vidéos et photos. Moi, j’ai plutôt l’impression que tu as pris beaucoup de plaisir.
- Oh Salaud ! Dégage de chez moi
- Attends encore une chose, je veux que tu prennes des photos de toi entrain de sucer le voisin et que tu les envoies à cette adresse avant la semaine prochaine. Si tu ne le fais pas, il y aura plein de photos de toi sur internet.
- Tu es un gros porc.
- Le pauvre voisin, il doit avoir les couilles pleines après notre petit show. Tu vas le faire avec beaucoup de plaisir.

Je m’en vais en laissant Christine avec le trou du cul bien dilaté et du sperme plein le visage.

Deux jours plus tard, j’ai reçu un mail avec une dizaine de photos de Christine entrain de sucer son voisin. A priori, ils ont tous les 2 pris beaucoup de plaisir.

Christine a écrit dans son mail : « Voilà c’est fait, sans rancune, tu m’as fait découvrir le plaisir de l’anal, je suis maintenant une vieille salope. »

J’espère que ce récit vous a plu. À vos commentaires, et à très bientôt pour la suite de ma série : Les femmes matures de ma vie.

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!