Education D'Elodie 2

Education d’Elodie -2
- N - Le soleil me réveille, elle dort toujours dans mon bras, contre moi.
Je sens sa chaleur et sa main est posée sur mon sein, très agréable au réveil.
Je vois Pierre qui entre dans la chambre, je lui fais signe de ne pas faire de bruit, il se dirige
de son côté du lit, s’assoit délicatement pour pas réveiller Elodie, il fait glisser délicatement le drap et il découvre les fesses d’Elodie, il me fait un grand sourire et me dit doucement
- P - Vous ave joué ensemble
- N - Oui
- P - Elle aime
- N - on dirait
- P - Regarde, il montre son sexe tendu
- N - Pas maintenant, tout a l’heure on verra
- P - Je vais à la cuisine préparer le petit déjeuner
- N - J’arrive, je me dégage doucement pour ne pas la réveiller, me lève et je vais rejoindre Pierre à la cuisine.
- N - Bonjour amour
- P - Bonjour chérie, bien dormi
- N - Oui très bien, Elodie m’a réveillé à 3h du matin, il y a eu un gros orage et elle m’a demandé si elle pouvait rester avec nous et elle est venue se blottir contre moi.
Nous avons joué un peu, elle a eu droit à mon doigt dans son petit trou pendant qu’elle frottait son minou contre jambe et qu’elle me caressait la vulve, elle est très étroite, si on veut aller plus loin avec elle il faudra bien la préparer sans la brusquer, elle décidera au début et je lui ai dit que ce que nous avons fait cette nuit sera notre secret, donc silence
- P - Pas de problème, je te laisse faire pour la mettre en confiance, car nous avons une grande différence d’âge, donc doucement
- N - Tout à fait, il faudra que nous aiguisions sa curiosité, qu’elle puisse découvrir, discrètement nos corps, je te laisse improviser pour toi, je te sais imaginatif (rire)
- P – Tu peux me faire confiance
- N – Tient, voilà notre Puce qui arrive
- E – Bonjour vous
- N et P – Bonjour notre petite Puce, nous la regardons pendant que nous nous afférons à préparer le petit déjeuner, elle est en nuisette échancrée, mi cuisses, on devine ses deux petits seins tendus, on ne sait pas s’il a fait attention à sa tenue, mais il faut dire que l’on apprécie
- N – Ma Puce tu veux déjeuner dehors ou ici
- E – Je veux bien dehors si ça ne dérange pas
- N – Pas du tout, tient prend la nappe et met là sur la table sur la terrasse
- E – Entendu, elle la prend et se dirige vers la terrasse et face à la lumière extérieure, par transparence remarquons qu’elle porte une petite culotte et sommes un peu déçus.

Nous dressons la table, le petit déjeuner est prêt, nous nous installons pour commencer à prendre notre collation.
- E – Vous avez une maison superbe, tout est calme, beaucoup de nature et une piscine superbe, j’irai bien après le petit déj.
- N – Pas de problème. Nous discutons de tout et de rien, de ses parents, de ses petits copains et copines, de ce qu’elle aimerait faire, …..
- E – Je vous donne un coup de main à débarrasser et après je vais me changer.
- N – Laisse, on s’en occupe avec Pierre, va te changer.
- E – Merci, j’y vais, à tout à l’heure
- N – Entendu.
Un fois la table desservie et tout rangé, je me décide à prendre un bain de soleil, nue sur le transat, je suis bien, Pierre me sourit et me dit
- P – Tu n’as pas peur de la choquer ?
- N – Pourquoi, on verra bien et je lui dirais que chez nous, nous sommes souvent nus
- P – Coquine, je vais dans le bureau, j’ai un mail a envoyer, a tout à l’heure
- N – Entendu.
Je me laisse aller et je commence à réfléchir à tout ce que l’on pourrait faire avec Elodie, j’ai des idées, pas très belles mais surement agréables.
Perdues dans mes pensées, je reviens à la réalité quand j’entends Elodie me dir
- E – Nathalie, tu es nue, je ne savais pas, excuse moi.
- N – Tu n’as pas à t’excuser, j’aurais du te prévenir que chez nous, nous sommes souvent nusn désolée, je me rhabille si tu veux (elle me dévisage, regarde mon corps, qu’elle a déjà touché, mais pas vu, elle paraît surprise)
- E – Non pas du tout, tu es belle, je n’avais jamais vu une femme nue.
- N – Merci de ton compliment, je suis très touchée, tu ne l’a pas vu cette nuit mais tu as commencé à le découvrir et si je ne me trompe pas tu as aimé
- E – Oui beaucoup, surprise de que nous avons fait
- N – Si tu veux que je t’explique, te montre, si tu veux aller plus loin, dis le moi, je me ferai un plaisir à t’apprendre et Pierre aussi, à ton âge il faut que tu découvres le plaisir et avec nous, qui sommes mûrs, on sera de bons professeurs, lui di je en souriant, elle rougit
- E – Je vais me baigner, elle court et se jette l’eau.
elle est délicieuse, c’est super, tu viens me rejoindre ?
- N – Si tu veux, je vais mettre un maillot
- E – Non, ne change pas tes habitudes.
- N – Entendu, j’arrive.
Je m’avance, je suis debout au bord de la piscine, j’écarte légèrement les jambes, Elodie me regarde, elle ne perd rien me ma toison et de mes seins, je me déplace vers l’échelle et commence a descendre à reculons pour qu’elle puisse découvrir la face arrière, une fois dans l’eau, je me retourne et nage vers elle, elle m’éclabousse en arrivant vers elle, elle rit, s’échappe, nous nous poursuivons en nageant, elle nage très bien moi aussi, finalement elle s’arête là ou elle a pied et s’appui contre le rebord et m’attend
- E – Tu nages bien.
- N – Merci toi aussi.
Nous somme appuyés contre le rebord, nos corps se touchent presque. Et je lui dis, j’espère que cette nuit je ne t’ai pas choqué avec ce que nous avons fait ensemble
- E – Non, un peu surprise au début, mais j’ai bien aimé, la première fois que je touchais une femme, ce qui veut dire que je suis lesbienne ?
- N – Non pas du tout, peut être bi, mais tu le sauras plus tard.
Tout en discutant, je lui prends la main et la dirige vers mon sexe et lui dit, fais ce que tu veux, je te laisse découvrir et je fais ce que tu veux, elle est surprise
- E – Je ne sais pas
- N – Laisse faire ton imagination et ce que tu souhaites.
elle me regarde et sa main commence à frotter mon ventre, puis descendre vers on pubis, s’arrête, puis descend plus bas, mais mes jambes sont serrées, alors elle me dit
- E – Je ne peux pas aller plus loin, tes jambes sont fermées
- N - Alors, que veux-tu ?
- E – Tu peux écarter tes jambes, ce que je fais et la laisse faire, je sens sa main frotter délicatement ma vulve, puis un doigt qui essaie de forcer le passage, elle se souvient de notre nuit, je l’aide un peu en ouvrant plus, son doigt a trouvé l’entrée, doucement elle entre, je suis trempée, elle ne sait plus, retire son doigt, me regarde, déçue.
- N – Ne sois pas triste, tu vas apprendre, je vais te demander si tu as confiance en nous
- E – Quelque secondes avant de répondre, oui, bien sur
- N – Tu veux apprendre les plaisirs du sexe
- E – Oui
- N – Nous avons trois semaines pour toi, mais ne jamais en parler à tes parents, tu es ma nièce.
- E – Promis.
- N – On commence aujourd’hui si tu veux
- E – Oui
- N – Viens devant moi.
elle se mets face à moi, je la prends dans mes bras, je pose mes lèvres contre les siennes, ma langue essaie de forcer le passage
elle les ouvre
ma langue commence à entrer, recherche la sienne, la trouve, se heurtent, se caressent, je l’aspire, se laisse faire, me rend mon baiser, il devient plus fougueux, mon genou lui écarte les jambes, elle se laisse faire, j’imprime une poussé sur sa vulve, sursaute et commence à se frotter (souvenir de notre nuit), ses mains se posent sur ma poitrine, les malaxe, saisit mes mamelons, les pince délicatement, nous gémissons ensemble, elle s’active de plus en plus, je sens quel va avoir un orgasme, elle tremble, je la retiens, elle flanche, nos bouches sont folles, mes mais luis saisissent ses fesses et la plaque fortement contre moi .
Finalement elle se détend, me prend dans ses bras, me fait un bisous dans le coup et me dit
- E – Merci, c’est délicieux
- N – Ce fut un plaisir, ce n’est que le début, tu veux que je te fasse une surprise
- E – Oui
- N – Alors fait moi confiance et laisse toi faire et surtout, laisse toi aller
- E – J’ai confiance
- N – Je vais te retirer ton SG, deux petits seins s’échappent, ils pointent, sont durs et ne demandent qu’a se faire manger, sucer, alors j’appelle Pierre en lui disant, tu peux venir à la piscine, (Elodie sursaute), au bout d’une minute.
- P - Oui j’arrive
On le voit arriver, il est torse nu, en boxer blanc, arrive au bord et nous dit, que veux-tu ?
- N – Tu peux venir nous rejoindre pour prendre un bain, ça te fera du bien, (Elodie se tend) et je lui glisse à l’oreille de ne pas avoir peur, Pierre descend nous rejoindre
- P – Alors les Puces, on profite de la fraîcheur de l’eau
- N et E – Oui l’eau est délicieuse, tu devrais faire une longueur et revenir vers nous
- P – Tu as raison, ça me fera du bien, il plonge, commence à nager
- N – Fais la planche, je suis derrière toi, je te soutiens et décontracte toi
Pierre revient ver nous, s’arrête face à nous, remarque la poitrine dénudée d’Elodie
- P – Je vois deux belles petites choses (Elodie le regarde) inquiète
- N – Ecarte lui les jambes et montre lui ce que peut faire un homme avec sa bouche
- P – Oui amour, je suppose qu’elle est d’accord
- E – Oui
- P – Alors laisse toi faire
E - il se faufile entre mes jambes
Il saisit mes fesse, me relève le basin
face à lui ma vulve lui apparaît à travers ma culotte
Il pose ses lèvre dessus et commence à la sucer, je sursaute à cette bouche
Je sens sa main qui m’écarte les fesses, je suis surprise de ce geste, mais me laisse faire
il relève la tête me regarde avec un grand sourire en me disant, arrête moi si je te fais des choses que tu ne veux pas
- E – Oui promis
finalement il défait les cordons de ma culotte
il me découvre à travers ma petite toison rousse
je suis un peu inquiète et à ce moment là Nathalie pose ses lèvres sur les miennes, je sens sa langue forcer le passage, nos langues se trouvent, je suis heureuse et brusquement je sens la bouche de Pierre se poser sur ma vulve, dépose une bise, puis sur mes cuisses et pendant ce temps là il écarte mes fesses, un doigt touche mon petit trou, je sursaute et en profite pour poser sa bouche sur ma vulve, je sens sa langue qui cherche à entrer en moi, il m’aspire, ma langue s’affole avec celle de Nathalie, la langue de Pierre est entrée en moi, je la sens, il m’aspire, je gémis, me cambre, son doigt cherche le passage de mon petit trou, je saisis les bras de Nathalie et dit à Pierre
- N- attention elle est très étroite, ne lui fait pas mal et ne force pas
- E – Il arrête, de forcer, mes continue à frotter mon petit trou, je me sens envahie de frissons, ma poitrine me fait mal, gonflée, mes mamelons son tendus, j’en peu plus, Nathalie se retire de ma bouche, je pousse des gémissements, puis des cris tout en vibrant, Pierre m’aspire de plus en plus fort, je me cambre en criant et me laisse retomber dans les bras de Nathalie et de Pierre
Je me sens bien, heureuse, je n’avais jamais ressenti tant de choses, mon corps est détendue
- P – Je peux te lâcher
- N – Oui
il se retire d’entre mes jambes et me lâche, mes pieds touchent le fond, Nathalie me soutient en me disant
- N – Tu vas bien
- E – oui très bien, je me sens fébrile, mes jambes tremblent un peu, Pierre me sourit
- N – Normal, car tu viens d’avoir du plaisir et je dirais même beaucoup de plaisir, un début pour toi et tu verras, tu en auras encore plus, nous ferons ce qu’il faut pour.
- E – je vous adore
Nathalie saisit ma main droite, la déplace devant moi et brusquement je sens une chose tendue et dure, ma main veut se retirer, elle insiste et me dit
- N – regarde ce que tu as fait à Pierre, il est tendu comme jamais, tu lui a fait beaucoup d’effet, prend le en main, pas plus
- E – ma main se pose sur son sexes, je l’ouvre et le saisit doucement, Pierre a un frémissement, je l’avais vu sous la douche, mais là je le touchais, en disant, c’est énorme.
- N – Il a ce qu’il faut, j’en suis heureuse, il sait l’utiliser quand il faut, si tu le souhaites je te le prêterai, pardon, nous le partagerons si tu le veux bien, maintenant que tu l’as en main, fais moi plaisir, serre le doucement comme si tu serrais la main, continu a serrer et tu sauras quand arrêter
- E – je m’exécutais, je serrais délicatement et de plus en plus, je regardais le visage de Pierre, heureux, tendu, serrais encore, alors Pierre poussa un gémissement, ce qui me fit lâcher prise
- N – Bravo, il a bien aimé, mais je ne peux pas le laisser dans cet état, il faut qu’il se libère, je vais te montrer, viens avec nous, là où il y a peu d’eau, nous dirigeons vers le bout de la piscine, eau mi cuisses et Elodie découvre le sexe tendu de Pierre, je fais mettre Elodie face à moi, Pierre sait ce que je veux, il passe derrière moi, j’écarte un peu les jambes, il se faufile en me prenant la taille, son sexe apparait, je resserre délicatement mes cuis ses, il est bloqué, Elodie regarde avec attention, je lui prends sa main, la dirige entre mes cuisses en lui disant de maintenir son sexe pour qu’il ne se sauve pas
- E – A ce ment là Pierre commença à bouger, je voyais son sexe disparaître et revenir, il était énorme, ma main sentait son sexe et la toison de Nathalie
Les mains de pierre avait saisis la poitrine de Nathalie, la pétrissait, pinçait les mamelons, elle gémissait de plus en plus, Pierre aussi, il allait de plus en plus vite, brusquement il s’arrêta, Nathalie se mit à crier et à ce moment là des jets de sperme sortirent de son sexe,, sperme épais, chaud j’en avais sur la main et mon ventre, je ne savais plus quoi faire, je tenais ce sexe entre les cuisses de Nathalie, je sentais sa chair humide, elle ouvrit les yeux, me regarda avec un sourire et me dit
- N – Tu as été superbe, j’espère que tu as aimé de sentir ce que tu as dans la main et de ce que tu as vu, approche toi de moi, ce que je fis, elle passa sa main entre mes cuisses en me disant, tu es trempée, donc tu as aimé, tu commences à réagir, aussi maintenant il va falloir que tu apprennes à connaître ton corps et celui des autres pour que tu saches quoi faire.
Maintenant nous allons tous aller prendre une bonne douche ce qui te permettra de bien te nettoyer, car Pierre t’a bien arrosé, rien de salle, mais en séchant ça devient collant.
Nous sortîmes de la piscine et nous nous dirigeons vers nos chambres, nus comme des vers et Nathalie, me dit
- N – , je t’ai déposé une surprise sur ton lit, on se retrouve tout à l’heure sur la terrasse.