Jenny La Bourgeoise Serait-Elle Une Salope ? Le Repas Mais Pas Que ! (2/6)
Après avoir contacté son voisin Charly afin de confirmer linvitation, Jenny navait pu organiser le diner le vendredi soir, ce qui lobligea à le reporter au samedi-midi 22 juin. Pour ce repas, Jenny avait prévu de faire en entrée une salade de riz, avec crevettes et avocats, un poulet moutarde accompagnée dune ratatouille de légumes de saison, en plat principal et un assortiment glaces et pâtisseries en dessert. Toute la semaine, elle navait pensé quà Charly, ce nouveau voisin qui l'attirait physiquement. Elle était impatiente de le toucher, de lembrasser et faire lamour avec lui. Elle en faisait une obsession, elle était tombée amoureuse, ce fameux coup de foudre !
Elle voulait le rencontrer avant samedi mais malheureusement, lui était submergé de travail alors que Paul, son mari, comme un fait exprès avait pris une semaine sabbatique, restant aux côtés de son épouse. Jenny navait donc pu revoir son voisin et fut très surprise et déçue lorsquelle apprit quil venait samedi midi avec une amie :
Tu dois me faire confiance Jenny, si je fais ceci, cest pour une bonne raison. Lui avait-il dit simplement.
Le beau temps de ce mois de juin permettait de sinstaller en terrasse pour le repas. Jenny était habillée simplement dun chemisier blanc assez fin et transparent avec un large décolleté hyper sexy, dune jupe noire courte qui lui collait à la peau, sur des escarpins à talons haut. Elle sétait faite une beauté avec un léger maquillage. Tout comme Paul qui portait simplement un jean et une chemisette vert pastel qui allait bien à son teint.
Lorsque Jenny ouvrit la porte à ses invités, elle était une nouvelle fois tombée sous le charme de son futur amant. Elle navait dyeux que pour lui et remarqua à peine sa compagne dun jour. Charly était en tenue décontractée également, un pantalon blanc et un polo de marque, bleu ciel qui mettait en valeur sa peau mate. Paul au contraire, fut subjugué par cette femme au bras de son voisin.
Nadia, était une superbe femme, la trentaine passée, type orientale, à la limite de la vulgarité. Sa longue chevelure brune dont les cheveux soyeux étaient maintenus par une queue de cheval portée sur le côté reposant sur son épaule droite avec une large mèche recouvrant une partie de son front. Ses yeux marrons surlignés de noir, ses longs cils et ses sourcils fin bien dessinés la rendaient légèrement coquine.
Son petit nez, sur une bouche sensuelle laissant apparaitre une dentition impeccable, entourée de ses lèvres brillantes et souriante, faisaient de cette jeune femme un appel direct à lamour. Et que dire de sa tenue, elle était vêtue dune robe très courte à zip, en wetlook, un faux cuir de qualité en partie basse moulant un fessier ferme aux formes parfaites et en partie haute en fine résille transparente. Son zip intégral à double sens s'ouvrait par le haut ou par le bas. Elle avait choisi de le laisser col chemisier ouvert sur un décolleté ravageur, dont les bonnets à fronces donnaient un joli galbe à sa poitrine, probablement un 90 C.
Cette robe sexy et glamour, coupée à la perfection, mariant le charme à l'élégance permettait des looks et des jeux très érotiques. Elle fit tourner la tête à Paul. Aux pieds, elle avait des escarpins brillants à haut talons et autour du cou, elle portait un bijou strass.
Paul sempressa daccompagner Nadia au salon pour lapéritif, quand Jenny sursauta. Charly venait de passer sa main sous sa jupe, lui caressant lentrecuisse en disant doucement à son oreille :
Tu aurais pu te passer de cette petite culotte.
Mais Charly
Si tu veux être ma soumise, il va falloir ten passer en ma présence.
Paul installa Nadia sur le grand canapé, Charly sur un fauteuil, servit le champagne puis sinstalla aux côtés de la douce orientale après avoir entendu Charly lui dire que cette femme nétait quune Escort quil avait engagée pour ce repas.
Tout au long de lapéritif, les compliments que Charly faisait à Jenny déplaisaient à Paul. Même si elle les méritait, cétait trop flagrant. Ce moment fut assez contraignant pour lui, il devenait jaloux. Il ne se sentait pas à sa place, même sil était à côté de la plantureuse Nadia quil regardait avec envie, il savait quil avait peu de chance avec cette jeune et sulfureuse créature.
Après un échange de regard avec Charly, Nadia sétait rapprochée un peu plus de lui afin de lui tenir compagnie et le mettre beaucoup plus à son aise. Certaines fois, Paul était presque gêné car cette femme était un peu trop entreprenante. Il se demandait si elle ne le draguait pas, Nadia était bien présente, cétait une femme qui attisait son désir. Tous les deux, étaient assis côte à côte, la cuisse de Nadia se rapprochait inexorablement de celle de Paul qui commençait à suer sous les bras.
Ce fut ce moment que Charly utilisa pour demander à Jenny :
Alors ces travaux daménagement, vous me les montrez ?
Ils étaient sortis tous les deux laissant Paul pantois avec Nadia de plus en plus entreprenante. Le voisin persévéra, il dit à Jenny :
Il en est de même pour ta poitrine, je veux que tu enlèves ce carcan qui comprime tes seins magnifiques. Va enlever ton soutien-gorge pour le repas, tu seras bien plus à laise. Avec moi, tu ne dois pas porter de sous-vêtement.
Tu crois ???
Ne discute pas ! Tu veux devenir ma soumise ?
Après la visite du jardin, tous les quatre sétaient attablés pour le repas, Jenny avait bien retiré son soutif, ses seins lourds ballottaient sous son chemisier fin à chaque pas lors du service.
Nadia frottait de plus en plus son mollet contre la jambe de Paul, elle était tactile souvent lors de leur discussion, elle passait sa main sur la sienne, jusquà ce que Jenny tourne légèrement la tête. Paul ne savait plus comment sen sortir. La situation lexcitait mais le mettait dans une situation délicate. Cette brune était canon, il commençait à chauffer de lintérieur. Il avait envie de quitter le repas afin de ne pas être tenté de lui sauter dessus et de la prendre comme une bête sur la table en plein milieu des assiettes et des verres. Il se disait quelle abandonnerait, sil navait aucune réaction.
Il se trompait. Pendant les dix minutes qui suivirent, il était resté le plus naturel possible et la laissait faire. Elle sen rendit compte, Nadia enleva sa chaussure, monta son pied le long de sa jambe pour lui caresser son genou puis lintérieur de sa cuisse, il eut une poussée dadrénaline, il bandait. Il ne pouvait pas reculer sans que cela éveille les soupçons. Il prit son pied dans sa main et le garda contre son sexe quelques secondes puis le caressa entre ses doigts. Mais dun seul coup, énergiquement lécarta, elle fut obligée de laisser retomber sa jambe au sol.
Elle continuait de parler comme si de rien était, en le fixant droit dans les yeux. Cétait un appel à lamour, il baissa, son regard en premier. Il nen pouvait plus. Heureusement que le repas se terminait.
Vous reprendrez bien une coupe avec moi Paul ?
Sans attendre sa réponse, elle lui remplit un nouveau verre. Quelques minutes après le dessert, Paul finit sa coupe aux côtés de Nadia sur le canapé, pendant que Jenny débarrassait la table. Charly était quant à lui au téléphone. Nadia était en pleine action, elle avait sa main sur la boursouflure de lentrejambe du mari qui nen croyait pas ses yeux.
La jeune orientale se leva lorsque Jenny réapparue en disant :
Je suis désolée, je viens de recevoir un SMS, il est temps que jappelle un taxi, je dois vous quitter malheureusement.
Je vais vous ramener en voiture dit tout naturellement Paul. Nest-ce pas chérie, pendant que vous parlerez travaux avec notre voisin ?
Le plan avait fonctionné et au moment de les raccompagner, Charly remit une enveloppe discrètement à Nadia dans le hall dentrée :
Cest bon, je le garde au chaud deux heures, lui souffla-t-elle avant de partir.
Jenny était prise entre deux sentiments, elle avait une pointe de jalousie sachant très bien que son mari, ne rentrerait pas sans avoir profité du corps de la belle Nadia. Mais de son côté, elle était heureuse de se retrouver enfin seule avec Charly, cela faisait plus dune semaine quelle attendait ce moment et était prête à céder à tous ses caprices. La porte dentrée était à peine fermée, que Jenny sesclaffa :
Tu crois que Paul va baiser cette jeune femme ?
Tu peux me faire confiance, ma secrétaire fera en sorte de vider et de mettre à sec les bourses de ton homme. Il aura son compte pour toute la semaine et te laissera tranquille pour un moment.
Tu es vraiment génial Charly
Jenny venait de lui sauter au cou, sa bouche chercha la sienne et rapidement sa langue franchit la frontière de ses lèvres pour rencontrer la sienne. Leurs langues se caressaient, sentremêlaient dans un baiser fougueux, ils sembrassèrent brièvement et dun ton autoritaire, Charly ordonna :
Quattends-tu ! Mets-toi à poil en dansant pour moi.
Jenny ne répondit pas et sexécuta, elle se plaça au milieu du séjour et fit un striptease, elle navait plus beaucoup de vêtement à enlever, mais sappliqua. Une fois nue comme un ver, il lui demanda de sagenouiller devant lui :
Allez ! Suce-moi maintenant.
Avant de se mettre à genoux, Jenny enleva le pantalon de son amant pendant quil ôtait son polo quil jeta sur un fauteuil. À la vue de la bosse dépassant de son bas ventre, elle constata leffet quelle lui avait fait. Elle baissa son boxer le long de ses jambes à saccroupissant en même temps. Jenny posa ses mains sur son torse recouvert de poils longs et soyeux avec un large sourire aux lèvres illuminant son visage. Elle descendait le long de son corps faisant courir ses mains sur ses flancs, ses seins lourds glissant vers son sexe alors que de sa bouche et sa langue elle goutait sa peau.
Finalement elle atteint son objectif et sa main commença à tâter la colonne de chair se bandant devant ses yeux. Sa longue queue en pleine érection, se trouvait devant son visage, la bouche légèrement ouverte elle la saisit dans sa main, elle sentait la chaleur et les palpitations lorsquelle commença un lent mouvement de va et vient. Elle plantait ses beaux yeux verts dans son regard, sa main lâcha ce beau sexe et attrapa ses bourses, ses boules gonflées de désire quelle fît rouler doucement lune contre pendant quelle faisait de petits bisous sur son sexe de bas en haut dabord puis sur le prépuce encore partiellement en place pour finir sur le bout du gland.
Sa langue remplaça ses lèvres, elle léchait en remontant le long de sa verge qui semblait prendre encore du volume. Puis après voulant sassurer que Charly aimait, elle le fixa dans les yeux puis ouvrit sa bouche pour laisser rentrer le bout de sa queue. Ses lèvres écartées, elle avait aspiré son gland alors que sa tête descendait et montait le long de la hampe. Charly ferma les yeux et attrapa la tête de Jenny par derrière et la plaqua contre lui. Il ressentait la chaleur de sa bouche et enfonça un peu plus son sexe.
Sa langue sactivait en senroulant autour de son long pénis, elle aspirait puis relâchait la pression. Parfois elle laissait ressortir son sexe pour mieux lavaler par la suite. Après quelques minutes de ce jeu, elle finit par accélérer les aller-retours dans sa bouche et ses mains sactivaient un peu plus lune sur ses testicules. Charly navait pas tenu longtemps :
Je vais venir ! Lui dit-il.
Jenny savait que le moment était venu, son gland grossissait dans sa bouche et la pression de ses mains derrière sa tête avait augmenté. Elle désirait faire un cadeau à son amant, mais elle naimait pas avaler cette liqueur masculine. Charly libéra son sperme par longues saccades dans sa bouche, quelle ouvrit afin de laisser séchapper ce liquide poisseux et blanchâtre sur sa poitrine. Le dernier jet encore puissant vient sécraser sur son sein gauche. Il passa ses mains sous ses aisselles, la releva, tattira à lui pour lembrasser pour la remercier :
Tu devras faire quelques progrès à ce sujet, Jenny ! dit-il en souriant.
Elle avait compris, il voulait quelle boive sa semence et se promis de le faire dès la prochaine fellation. Il poursuivit :
Allonge-toi maintenant sur le canapé ! Lui ordonna-t-il
Il sapprocha delle, et de ses deux mains étala le sperme sur toute sa poitrine, il en récupéra sur ses deux doigts et lui fit lécher, ce quelle navait pas refuser :
Tu vois ! Ce nest pas la mer à boire.
Ses mains empoignaient ses seins lourds, les soupesaient, et les malaxaient avec délicatesse. Ses deux tétons rosés étaient érigés et tendus telles deux cheminées au faitage dun toit pentu. Elle frissonnait de plaisir, sa bouche descendait doucement le long du cou de Jenny jusquà son sein gauche quil embrassait tendrement. Mêlant fougue et tendresse, il torturait son téton, avec toute son expérience.
Il le mordillait, le léchait, laspirait, tout autour, le pétrissait et les pressait tour à tour, tandis que de lautre main, il faisait rouler entre son pouce et son index le mamelon tendu de son sein droit. Jenny se tordait dans tous les sens, ne pouvant échapper aux vagues de plaisir qui inondaient à présent son entrejambe, sa chatte était trempée et coulait entre ses cuisses. Ne pouvant se retenir davantage, elle réalisait des mouvements de bassin mimant lacte damour.
Puis, la main de Charly glissa le long de son ventre jusquà son intimité. Il écarta dun doigt ses grandes lèvres et introduit son index à lintérieur. Elle était trempée, son doigt caressait pendant quelques secondes lentrée de son vagin puis remonta titiller son clitoris. Il était gonflé de sang, gros comme une bille et durcissait dexcitation.
En quelques minutes, elle était prête à exploser, Charly en profita pour introduire deux doigts dans sa vulve dilatée et vint masser lintérieur des parois intimes. Jenny ne put résister plus longtemps à ces vagues de plaisir, son corps fut traversé de spasmes. Elle poussa un cri en jouissant, pendant que son corps tressautait et se cambrait :
Haaa
Hiii
Oui
Cest trop bon, Tu es formidable Charly
Charly nen avait pas fini, il profita de sa jouissance pour passer son index sur la petite rondelle violacée en la massant sans la pénétrer. Son anus était très serré et navait jamais dû être par la verge dun homme :
Tu es vierge de ce côté ? Lui demanda-t-il.
Oui ! Je nai jamais essayé, jai peur
Ce soir, je vais remédier à cela ma chère.
Le portable de Jenny se mit à vibrer, cétait un SMS de Paul :
« Je dois passer la nuit chez ma sur, elle ne va pas très bien, je te retrouve demain matin. Bisous ma chérie. »
« Comme tu vas me manquer ! Bises » Sempressa-t-elle de répondre.
Si comme Jenny, vous voulez raconter vos histoires ou vos fantasmes, prenez contact avec moi par mail
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