Le Retour De Luc 3

Luc a pris aussi 4 jours de congé. Donc nous passons nos journées ensemble. On a consacré le Mardi et Mercredi à me consti une garde de robe complète : chaussures, dessous, robes, maquillage, parfum…
Le Mercredi soir alors que nous dinons aux chandelles à l’appartement, Luc me prends la main me regarde longuement et me dit :
- Luc : j’aimerai que tu sois ma femme pour la vie chérie.
Moi je rougis, je ne sais pas quoi dire et il continu :
- Luc : je crois que je suis tombé amoureux de toi et je ne peux pas m’empêcher de penser à toi quand tu n’es pas là. Je veux vivre tout le temps avec toi que tu sois mienne, et que vive tout le temps en femme.
- Moi : oui chéri je sais moi aussi j’adore ta compagnie et j’aimerai être en femme tout le temps, mais je fais comment pour le boulot.
- Luc : ça c’est un détail on trouvera une solution, mais tu acceptes d’être mienne.
- Moi : oui
Il me tire vers lui, me prend le visage de ses deux mains et me donne un baisé sensuel.
Il m’emmène vers la chambre a couché ; me fait assoir sur le lit et se déshabille face à moi en disant :
- J’ai envie de toi chérie.
Pendant qu’il enlève son pull et sa chemise, je lui dégrafe son pantalon et le lui enlève ainsi que son caleçon. Sa chair est déjà dure devant mon visage, je l’embrasse, la lèche, puis le prend en bouche. je lui fais un va et viens lent puis je le prends par les fesses de mes deux mains et le tire vers moi jusqu’à ce que son bas ventre vienne buter contre mon visage. Il râle de plaisir, et lui-même pousse en tirant ma tête vers lui. Après quelques minutes il me fait allonger sur mon ventre et vient se mettre sur moi, il écarte mes jambes à l’aide de ses genoux, et il me pénètre d’un coup. Sa chair chaude dure et mouiller me remplis. Je sens son souffle sur ma nuque, il glisse ses mains sous mon bas ventre et me lime ainsi pendant je ne sais combien de temps. Je n’arrête pas de gémir et de me tortiller le cul pour bien sentir sa chair et je me cambre pour qu’elle entre au plus profond de moi.

Le rythme s’accélère, je tremble de plaisir quand soudain je jouie. Il m’entend crier de plaisir et ça le fait jouir aussitôt. On reste allongé quelques minutes, puis je me lève en lui disant :
- J’arrive chéri je me rafraichi et j’enfile une chemise de nuit.
Je prends une chemise de nuit en satin rouge, je me dirige vers la salle de bain, je me lave et enfile ma chemise de nuit en satin rouge en gardant mes bas auto-fixant. J’adore la sensation du nylon sur mes jambes.
Le matin après le petit déjeuner Luc me dit qu’il doit sortir pour un rendez-vous qu’il n’avait pas pu annuler. Il s’habille, m’embrasse et part vers 10h00. Moi je range un peu la maison ensuite je prends ma douche, et je m’habille. Je dois être prête, Luc ne m’a pas dit combien va durer son rendez-vous donc : bas résille auto fixant noirs, jupe en cuir droite noire à hauteur des genoux, chemise en satin blanche, escarpins noirs à talons de 10 cm, perruque, maquillage ….
Je suis en train de préparer une salade dans la cuisine perchée sur mes talons quand j’entends la porte de l’appartement s’ouvrir. Je souris et me dirige vers le séjour et là je reste scotchée. C’est Adil notre ami colocataire qui est sur le pas de la porte. J’avais complètement oublié qu’il rentrait Jeudi.
- Adil : Bonjour Mademoiselle, heu je suis Adil un des colocataires, et vous êtes ?
Je réponds en essayant de féminiser ma voix au maximum :
- Moi : Je suis Karima, une amie de LUC
- Adil : ah ok il est rapide lui, quelques jours d’absence et le voilà déjà en couple. Excusez-moi je vais aller prendre une douche.
Il entre se dirige vers sa chambre et j’entends la douche couler. Je suis en panique quand Luc arrive. Il me voit dans cet état et me dit :
- Luc : qu’est ce qui se passe, y a un problème ?
- Moi : Adil est arrivé, il est là
- Luc : ahhh tu m’as fait peur, ne t’en fait pas je l’ai eu au téléphone avant-hier et je lui ai tout expliqué et il comprend nous a souhaité tout le bonheur du monde.
- Moi : Le salaud, il m’a eu, il sait mais il a fait semblant d’être surpris…
- Luc : c’est tout lui ça
Adil sort de sa chambre avec une serviette sur sa tête et dit en rigolant :
- Adil : Ah tu es là Luc, j’ai fait la connaissance de Karima en ton absence, elle est charmante.
- Luc : super moi aussi je la trouve superbe.
Et là il m’embrasse sur la bouche devant Adil qui reste sans réaction. On commande a déjeuner et s’en suit une longue discussion avec Adil. Malgré sa proposition de rester avec lui en colocation nous avons convenu de rester pendant un moment, le temps de trouver un appart ou on pourra emménager. Luc voulait un peu d’intimité. Avec son voyage Adil s’est éclipsé tôt pour aller dormir, là Luc me serre un verre et s’assied prêt de moi sur le canapé et dit :
- Luc : j’ai une bonne nouvelle pour toi chérie, mais promet moi de ne pas t’énerver et de rester calme.
- Moi : Je ne vois pas comment une bonne nouvelle va m’énerver, je ne comprends pas
- Luc : ahh je sais ce que je dis ma belle
- Moi : vas-y lâche le morceau bébé
- Luc : aujourd’hui j’avais un rendez-vous, tu te t’en souviens
- Moi : je hoche la tête et réponds oui
- Luc : tu ne devineras jamais avec qui j’avais rendez vous
- Moi : s’il te plait chéri arrête ton suspense racontes
- Luc : ok ok , ben j’avais rendez-vous avec ton patron
- Moi : quoi ? pourquoi faire ?
- Luc : ça va calmes toi, je l’ai contacté en début de semaine et il a été gentil de me recevoir. Je lui ai parlé de Karima et de nous
- Moi : Mais tu es fou, ça ne va pas chez toi, pourquoi tu as fait ça
- Luc : calmes toi, laisse-moi finir, il comprend ta situation et le plus important c’est qu’il est d’accord pour que tu viennes travailler en femme.
- Moi : Quoi non non
- Luc : attends je n’ai pas fini, il a réuni toute l’équipe et m’a présenté a eu et leurs a expliqué pour toi et qu’il était d’accord pour que tu viennes travailler en femme, et tout le monde à applaudi l’idée.
- Moi : oh mon dieu je ne sais pas si je pourrais
- Luc : écoutes chérie, les temps ont changé, et les gens sont beaucoup plus tolérants qu’avant. C’est une bonne chose
Il se penche vers moi et m’embrasse. Je lui rends son baisé mais n’arrête pas de penser aux collègues…..