Déplacement Professionnel
Je tiens à me présenter, je mappelle Marc, jai trente cinq ans, célibataire. Jaime à dire que cest par choix mais je crois que cest juste parce que je nai pas rencontré la bonne personne.
Je forme des dirigeants de sociétés, grosses ou moins grosses, dans le domaine du management et des ressources humaines. Je suis donc très souvent en déplacement ce qui me convient bien.
Je suis aussi très sportif, cest ma passion. Je pratique la plupart des sports liés à lathlétisme et à la natation. Je prends donc soin de mon corps. Cest un atout non négligeable pour moi dans mon autre domaine de prédilection : les conquêtes féminines.
Sans vouloir me jeter de fleurs, je sais que je plais aux femmes. Je mesure 1,85m pour 80kg. Le sport que je pratique me permet dêtre « carré » et je nai même pas un début de ventre. Mon visage nest pas désagréable et le fait que mes cheveux commencent à grisonner me vieillit juste ce quil faut.
De plus, mon activité, qui me met continuellement en contact avec des chefs dentreprises ou des cadres importants, me donne une bonne confiance en moi (et accessoirement un revenu plus que correct)
Après avoir eu une période de plusieurs mois professionnellement très chargée, jai décidé de maccorder une semaine de repos fin novembre dans un hôtel du Jura après être intervenu dans une entreprise de la région. Je comptais profiter du grand air et faire quelques randonnées malgré un temps peu propice.
Javais depuis le début de la semaine pas mal bourlingué dans la région et je me suis accordé un bon dîner dans mon hôtel. Dailleurs, le temps avait changé. Un vent glacial avait commencé à souffler accompagné de petites chutes de neige. Cétait le mardi soir. Alors que je venais de commander, le serveur a placé une jeune femme à 2 tables de moi, presque en face.
Elle a tout de suite attiré mon regard. Cest la blondeur de ses cheveux ondulés qui ma attiré au premier coup dil.
Je suis ensuite allé dans ma chambre et limage de cette jolie inconnue me revenait de temps en temps en mémoire.
Le lendemain et le surlendemain, le froid sétait accentué et la neige tombait dru et régulièrement. Une bonne épaisseur commençait à sentasser.
Je croisais le matin et le soir la jeune femme que javais vu au restaurant. Je lui disais alors bonjour avec un sourire que je voulais charmant. Son charme a elle, était bien réel, même si elle cachait certainement de bien jolies formes sous ses tailleurs et vêtements de travail plutôt classiques.
Ce jeudi, en soirée, jai décidé de profiter de lespace Spa de lhôtel après avoir passé un peu de temps dans leur salle de musculation. Ce nest pas trop ma tasse de thé mais il fallait bien soccuper.
Je suis entré dans lespace Spa. Jai posé ma serviette et mon peignoir et après avoir hésité à aller dans le hammam, je me suis glissé dans un jacuzzi. Une autre personne sy trouvait déjà.
Cette personne nétait autre que mon inconnue du restaurant. Quand je lai vu, un sourire a illuminé mon visage et je lai saluée. Elle a souri légèrement également.
- (moi) Bonsoir,
- Bonsoir
- Lhôtel est grand mais on se croise souvent.
- Affaires, cest un bien grand mot, mais oui, je suis là pour le travail. Et vous ?
- Pus ou moins. Je mappelle Marc
Nous avons discuté de tout et de rien pendant un bon moment puis nous sommes allés dans le hammam et le sauna. La première fois que lon a bougé, cest moi qui lai suivie, la deuxième fois, cest elle. Elle était très agréable, sappelait Lucie. Je ne pouvais mempêcher de lancer des regards sur son corps quand je le pouvais mais jessayais dêtre le plus respectueux possible.
Cette femme me troublait. Mariée depuis déjà 8 ans, elle intervenait tous les ans dans une société locale. En plus dêtre belle, elle avait vraiment une tête bien faite. Son côté un peu timide et réservée sans être renfermée lui donnait un charme indéniable.
Jai cru déceler chez elle que je ne la laissais pas complètement indifférente et jai même surpris quelques regards discrets sur mon corps.
- (moi) Bon, je vais vous laisser profiter tranquillement du spa.
- (Lucie) Vous ne mavez pas dérangé. Cest agréable de discuter avec quelquun de gentil quand on est loin de chez soi.
- (moi) En tous cas, pour moi, ça a été un vrai plaisir. Je ne connaissais pas ce spa mais je ne regrette vraiment pas dy être venu. Ca ma permis de passer un moment avec la plus jolie femme de lhôtel, et je ne parle pas que de vos beaux yeux. Jespère pouvoir profiter encore de votre charmante compagnie pour dîner. Vous acceptez ? 20h00 ça vous va ?
Elle est devenue rouge écarlate en deux secondes, sest mise à balbutier des excuses pour finir par dire oui.
Revenu dans ma chambre, jai repensé à elle. Javais pu observer son corps et cétait une perfection. Elle mesure 1.65m environ et pas de rondeurs superflues, ses cheveux sont blonds et bouclés. Elle a une taille fine, un ventre plat et de jolies fesses pommées mais ce qui ma attiré le plus, ce sont ses seins, gros sans lêtre de trop et surtout, visiblement fermes et biens ronds.
Elle ma rejoint au restaurant. Javais choisi une tenue décontractée, chemise blanche et jean. Elle était en pantalon de tailleur et chemisier assez moulant pour que sa poitrine soit plus quappétissante.
Nous avons diné et au fur et à mesure, le « vous » est devenu « tu ». Par moment je la dévorais du regard et ça ne lui déplaisait visiblement pas. Son trouble était palpable. Je lui plaisais
.
Au moment de se séparer, je lui ai fait la bise, très près de la bouche et je lai maintenue contre moi, attendant une réaction de sa part, que ce soit une gifle ou un baiser mais dans un sursaut, elle sest dégagée, ma dit quelle était mariée, quelle aimait son mari et quelle partait le lendemain. Elle avait débité ces phrases très rapidement, très gênée et elle sest sauvée avant que jai pu dire un mot.
Jai compris quelle avait faillit craquer. Si javais été plus entreprenant, jaurais peut-être fini dans son lit.
Il a neigé toute la nuit et la matinée ne sannonçait pas mieux. Les routes étaient très mauvaises, encombrées par la neige et glissantes.
Lucie mavait dit quelle habitait à 400km de là et jespérais bien quelle ne pourrait pas partir.
Le soir, jai dîné avec une personne dont javais fait la connaissance la veille.
En sortant du restaurant, jai aperçu Lucie assise au coin du feu du salon de lhôtel. Je me suis excusé auprès de la personne en question et je suis allée vers elle.
- Bonsoir Julie.
- Oh bonsoir, je ne tavais pas vu.
- Tout dabord, je tiens à mexcuser pour hier soir. Je nai pas voulu toffenser. Cest juste que javais passé de très bons moments avec toi et que cétait dur de résister à lenvie de tembrasser.
- Tu nas rien fait de mal. Au contraire, tu as été respectueux malgré ta tentative de membrasser et je ten remercie. Cest à moi de mexcuser. Jai été malpolie dagir comme ça hier. Je crois que jai eu peur.
- Peur ? Je tai fait peur ? Tu nas pourtant rien à craindre. Bien au contraire.
- Ce nest pas ce que jai voulu dire et tu le sais.
- En fait tu as plutôt eu peur de toi non ?
-
.
- Lucie, depuis que je tai vue le premier soir, tu mas plu. Ensuite, on a fait connaissance et je tai désirée. Maintenant, jai envie de toi comme je nai jamais eu envie de qui que soit.
- Marc, tu ne devrais pas dire ça. Je
je ne peux pas.
- Oh si tu peux ! Tu es seule dans ce grand hôtel, sans contrainte, et tu en as envie aussi. Oses dire que je ne te plais pas.
- Ce nest pas ça... Ce nest pas aussi simple.
- Si, cest aussi simple. Je sais que tu es mariée, que tu as une vie agréable et rangée si je puis dire
et jai bien compris que tu aimes ton mari
. mais je te plais. Et cest une attirance réciproque. On pourrait vivre une nuit de plaisir, découvrir nos corps. Cest un fait, tu as envie de moi.
-
Elle était soufflée par mon culot, mais aussi complètement sous mon charme, jen étais certain. Je me suis approché delle, jai déposé un baiser sur ses lèvres puis sa joue et je lui ai murmuré à loreille :
- Vis quelque chose de fou, dimprévu
.. oublies-toi pour une nuit.
Encore un baiser. Ses lèvres étaient chaudes, légèrement humides, douces, très bonnes. Jai même cru sentir ses lèvres souvrir imperceptiblement.
Je me suis un peu reculé en la regardant dans les yeux. Jai compris que javais gagné mais je ne devais pas lui laisser le temps de réfléchir. Je me suis levé en prenant sa main et je lai entraîné à ma suite. Jai senti le regard envieux du réceptionniste qui savait que jallais passer de très bons moments avec cette femme sublime.
Ma main était ferme sur la sienne, comme pour être sûr quelle nallait pas méchapper. Je lai fait entrer dans ma chambre et je me suis jeté sur ses lèvres. Elle me semblait petite et fragile dans mes bras.
Ma langue a pris possession de la sienne pour un baiser endiablé. Je devinais que personne dautre que son mari ne lavait embrassé depuis une éternité. Alors que mes mains pressaient ses hanches, pour la maintenir contre moi et que nos langues continuaient leur ballet, jai senti son corps sabandonner.
Jai arrêté de lembrasser et jai commencé à défaire un bouton de son chemisier, puis un autre
- Enfin je vais découvrir ce corps. Jen ai eu un aperçu au spa mais là, je vais en profiter pleinement. Tu veux que je te voie nue ?
-
..
- HMMMM ! Quelle poitrine !
Javais enlevé son chemisier et la voyais dans un très beaux mais sage soutien gorge. Sa respiration sétait accélérée. Tout en lembrassant, jai avec doigté fait sauter lattache et je lai fait glisser au sol. Ses tétons pointaient outrageusement dexcitation. Cétait sans conteste la plus jolie poitrine que jaie jamais vue.
Jai soupesé ses seins, les ai caressé, ai pincé doucement ses tétons déjà visiblement sensibles. Elle aimait apparemment ma façon de la caresser, des caresses sans doute plus franches, plus fermes et osées que celles de son mari puis je me suis penché et jai léché les tétons avant de les prendre en bouche tour à tour. Lucie en soupirait de plaisir mêlé à de la honte, de la retenue.
Je me suis redressé et jai commencé à enlever ma chemise puis jai guidé ses mains et elle a pris le relais. Jai senti quelle appréciait ma musculature sous ses doigts. Elle ma même embrassé dans le cou, les pectoraux et les abdos. Je la laissais faire et profitais de ses caresses.
Je lai prise dans mes bras et lai déposée sur le lit. Jai couvert son corps de baiser tout en enlevant petit à petit ses chaussures, son pantalon. Son corps était dune douceur incroyable. Mes lèvres se sont posées sur ses pieds, ses chevilles, remontant sur ses cuisses.
Doucement, Jai écarté ses cuisses. Jai commencé à lembrasser sur le pubis, le ventre, lintérieur de ses cuisses en me rapprochant toujours plus de son sexe dont la légère tâche qui humidifiait le slip ne laissait aucun doute quand à son désir. Je nen pouvais plus dattendre. Quand jai croisé son regard jai compris quelle était aussi impatiente que moi et jai arraché sa culotte.
Je lui ai souri, et tout en la regardant, Jai passé ma langue sur son sexe, goûtant son excitation. Lucie était une vraie blonde, jen avais la preuve en voyant les poils blonds superbement taillés. Lentement, jai fait monter la pression. Son bassin bougeait tout seul, animé par sa volonté de prendre du plaisir. Un de mes doigts est venu sinviter à la fête et jai même caressé doucement son anus. Cen était trop pour elle. Son plaisir a explosé dans ma bouche et sur le bas de mon visage. Elle a poussé un feulement alors que son corps se cabrait.
Je lai laissée redescendre doucement du nuage sur lequel elle était et jai lavé mon visage.
Je suis revenu en caleçon me lover contre elle et on sest embrassé. Cette fois, cest elle qui est passée sur moi, hésitante, en membrassant partout. Mon caleçon prenait vie au contact de son ventre, ses seins, son menton.
Elle sest redressée et a regardé réellement pour la première fois la bosse du caleçon. Jai lu de la surprise sur son visage en voyant la déformation de mon caleçon. Je lai sentie hésiter mais cétait allé trop loin, elle ne pouvait plus reculer.
Elle a enlevé le dernier rempart pour se retrouver face à mon sexe encore souple mais dune taille déjà respectable. Mon sexe a toujours été apprécié de mes conquêtes et je dois avouer que jen suis fier. Elle a commencé à le caresser avec sa paume et il a gagné en rigidité. Jai sourit en voyant la surprise sur son visage. Je devinais quelle nétait pas habituée à ce calibre.
- Elle est belle hein ?
-
Oui, très belle
- Cest bien que tu la trouve belle. On va bien samuser tous les deux. Vas-y, branle-moi ! Lâches-toi ! Ne te refuse rien.
Je ne parle pas comme ça dhabitude mais jai senti que Lucie avait besoin dêtre dirigée, e même pour finir par se lâcher.
Elle commence à me branler, à une main puis deux. Ses doigts ne font pas le tour et ça limpressionne visiblement.
Elle sétait penchée et se trouvait avec le visage proche de mon sexe et de mon gland quelle ne quittait pas des yeux. Jai vu ses lèvres sentrouvrir et sa langue est passée sur ses lèvres.
Elle hésitait encore et jai cru devoir la diriger une nouvelle fois mais elle sest penchée et a embrassé ma verge. Elle la embrassé encore et encore, sortant finalement sa langue pour me lécher. Je la guidais et elle sexécutait. Elle a fini par enfourner mon gland dans sa bouche chaude, douce et humide, un délice.
Elle ne pouvait pas prendre beaucoup plus que le gland dans sa bouche. Je ne pouvais mempêcher de gémir par moment.
- OH là Oui ! Cest bon comme ça ! Continue !
Je lui parlais, la guidais. Je me suis redressé et lai embrassée et je lai fait mettre sur le dos en me positionnant entre ses jambes. Je me suis fait tendre quand je lai sentie stressée. Mon corps couvrait le sien. Je lembrassais, lui disais que jaimais son corps et ses caresses.
Jai placé mon gland juste à lentrée de son sexe en poussant très légèrement. Elle respirait fort, la tête dans le creux de mon cou.
Jai senti son sexe souvrir pour moi. Jétais patient, doux. Et il le fallait car elle était vraiment serrée. Je ressortais pour pénétrer toujours plus loin. Javais rarement été aussi enserré dans le sexe dune femme. Je nai pu mempêcher de penser que son mari nétait pas gâté par la nature et ça a décuplé mon excitation.
Je me suis stoppé et je me suis redressé un peu. Elle a pu voir que je navais pas entré la totalité de mon sexe. Jai alors commencé à bouger lentement en elle. Cétait incroyable. Je la sentais tellement bien. Jai fait monter le plaisir graduellement, accélérant le rythme de temps en temps. Ca me rendait fou de voir une femme aussi belle se tordre de plaisir sous moi, tout faire pour freiner ses gémissement mais finalement vaincue, elle a commencé à jouir vraiment fort. Sa jouissance la rendait plus belle encore.
Je me suis à nouveau stoppé et jai basculé sur le dos en lentrainant sur moi. Sans attendre, elle sest empalée elle-même sur mon pieu. Mon sexe est entré plus profondément. Elle a poussé un long gémissement. Je me doutais que mon sexe atteignait des endroits jamais atteints. Je la regardais en souriant, assez fier de leffet que je lui faisais.
- Cest bien vas-y ! Empale-toi ! donnes-toi du plaisir !
Elle a commencé à bouger sur mon sexe à un rythme continu. Jen profitais pour passer mes mains partout sur son corps, empaumais ses seins parfaits et me redressais parfois pour les sucer. Nous étions en sueur. Elle était magnifique sur moi. Cétait incroyablement érotique. Elle a explosé dun coup dans une jouissance incroyable, tête rejetée en arrière. Lair semblait lui manquer.
Elle nen pouvait plus alors jai saisi ses hanches et je lui ai fait faire des mouvements courts et rapides. Son corps est immédiatement reparti dans un orgasme très fort et surtout très long.
La voir jouir si fort, sentir sa chatte enserrer ma queue comme ça
Cen était trop pour moi. Jai basculé Lucie sur le dos en sortant mon sexe et en me branlant au dessus delle. Jai éjaculé dans un grand râle une quantité impressionnante de sperme. Elle en avait partout, du cou jusquau pubis avec une bonne quantité sur les seins.
Je me suis écroulé à côté delle. Après avoir repris notre souffle, on est allé se doucher. Ce nétait pas du luxe.
Elle allait ramasser ses vêtements mais jai saisi sa main et nous nous sommes allongés. On sest endormis immédiatement. Elle était lovée dans mes bras
Quand je me suis réveillé le lendemain, il était 7h30. Lucie allait à la fenêtre et la vue lui a coupé le souffle. Il avait encore neigé. La couche de neige était impressionnante. Je ne voyais plus que le toit de ma voiture sous une congère.
A ce moment, Jai posé mes mains sur sa taille. Elle a sursauté mais je lai embrassée sur la nuque en me collant à elle. Mes mains ont à nouveau pris possession de son corps doux, chaud et si bien fait. Aucune parole navait été prononcée mais je savais déjà que javais gagné et ce quon allait faire ce matin là.
Je lai embrassée, caressée. Ma plus belle récompense a été de sentir immédiatement du désir dans les caresses quelle me rendait.
Mon sexe battait contre son ventre. Dans une impulsion, jai saisi Lucie par les cheveux dune main et jai appuyé sur son épaule de lautre. Elle sest retrouvée à genoux devant mon membre en pleine forme, long gros et puissant. Le gland formait comme un champignon, encore plus gros.
Elle a pris mon sexe et la sucé avec application. Je bandais très fort et maintenais sa tête en prenant ses cheveux dans mes mains.
- Tu suce bien ! Tu aimes me sucer ?
- Oui. Cest bon.
- Tu le suce comme ça ton mari ?
- Non, pas souvent.
- Viens, je vais encore fourrer ta jolie petite chatte.
Javais décidé de changer de ton et ça me plaisait. Je lai entrainé sur le lit, genoux au bord du lit. Je lai penchée en avant.
- Tu es magnifique dans cette position. Quel cul tu as !
Jai caressé son dos et ses fesses, passant également un doigt sur son sexe et dans la raie de ses fesses. Elle se crispait un peu à ces moments-là mais ne disait rien. Par moment jécartais ses fesses de façon autoritaire, admirant sa jolie rosette.
Dun coup, je lui ai fait cambrer les reins encore plus et, me mettant à genoux derrière elle, jai commencé à lui manger la chatte. Ma langue jouait avec son clitoris ou senfonçait profondément en elle. Insidieusement, alors quun doigt entrait en elle, je lui ai léché lanus, orifice entièrement vierge à coup sûr. Je la sentais soumise à mes caresses. Jétais persuadée que jamais son mari ne lui avait fait cette caresse et quelle len aurait empêché. Je pense même quelle sest encore plus offerte.
- OH Marc ! cest trop bon ! Prends-moi ! Je nen peux plus.
Je me suis mis debout derrière elle alors quelle me regardait par-dessus son épaule. Mon sexe dressé, prêt à la prendre. Jétais dautant plus excité que je voyais un désir très fort dans ses yeux.
- Alors tu la veux encore ma queue hein ! Tu vas voir comme je vais te faire jouir ma salope. Dis-le que tu veux ma queue !
Mes mains agrippaient fermement ses fesses.
- Prends-moi !
- Mieux que ça ! je ne suis pas ton petit mari ! tu vas le faire cocu encore une fois alors assumes.
-
.
- Allez !
- Mets-la-moi ! Je veux que tu me baises ! Je te veux !
- Cest mieux !
Jai positionné mon gland et jai poussé. Son sexe a accepté mon membre plus facilement que la veille mais elle était quand même délicieusement serrée.
Je me suis enfoncé dune seule et lente poussée, tirant à moi ses hanches, écartant ses fesses pour la prendre encore plus profondément. Elle gémissait, la sensation semblait être plus forte que tout ce quelle pouvait imaginer.
- OH mon dieu ! Si profond ! Si gros ! OUI !
Jai fait un mouvement ample et profond, buttant une nouvelle fois doucement au fond de sa chatte, lui arrachant un grand cri.
- Lucie, je voudrais que ton mari te voie maintenant, complètement offerte en levrette. Tu laimes mais cest ma queue que tu veux. Je vais te faire gueuler comme jamais il ne le fera.
Elle était ma chose à cet instant, je le sentais. Je pouvais lui demander nimporte quoi.
Progressivement, jai repris mes mouvements, implacable. Je caressais son dos quelques instants puis la saisissait par les hanches ou les fesses en lui baisant la chatte. Je sais être endurant, me maîtriser. Je la laissais parfois à la limite dun orgasme dévastateur. Elle en couinait denvie. Son corps ne lui appartenait plus et son bassin allait à la rencontre du membre qui la bourrait.
A un moment, jai inséré doucement le pouce qui caressait et assouplissait son anus depuis un moment, augmentant encore son excitation.
- Tu es à moi. Je vais te faire jouir et après je te dépucellerai le cul ma salope.
- OH MON DIEU ! OUI ! Fais-moi jouir ! Tout ce que tu veux ! Prends tout !
Jai accéléré le rythme, la prenant à fond, longtemps. Jétais dur et gros comme rarement je lavais été. Elle est partie dans un orgasme démentiel et jétais obligé de la maintenir en position le cul en lair, 2 doigts investissaient son cul en même temps. Javais trop envie de jouir moi aussi et mes mouvements sont devenus désordonnés. Je me suis planté profondément en elle, envoyant mon sperme dans sa chatte et déclenchant un nouvel orgasme chez elle. Elle sest effondrée en avant sur le lit, complètement terrassée par la violence de son plaisir.
Quand elle sest réveillée, quelques minutes plus tard, jétais en train de caresser tout son corps et de lembrasser. Elle sest retournée et ma embrassé. La sensation davoir une si belle femme dans mes bras, sentir tout son corps chaud contre moi me rendait fou et elle semblait apprécier pleinement aussi.
La douceur de nos caresses et de nos baisers contrastait avec les paroles crues que javais prononcées.
Elles me revenaient en mémoires. Javais marqué mon emprise sur elle, relégué son mari au second plan et ça lavait excitée autant que moi. Javais toujours rêvé de le faire. Javais senti que son mari nétait pas à la hauteur de mes performances et jen tirai un plaisir malsain mais jouissif. Son mari ne lui avait jamais fait ressentir ça. Jen étais sûr.
Jai senti mon sexe redevenir dur et jai eu envie delle à nouveau. Jai vu la même envie dans ses yeux mais avec cette pointe de honte qui mexcitait tant. Je dévorais ses seins, son cou, son ventre. Je lai retournée et jai pressé mon sexe entre ses fesses tout en lembrassant sur la nuque.
- Tout à lheure, Lucie, tut tes vraiment lâchée. Je ne crois pas avoir fait jouir autant une autre femme. Ta chatte était un délice et ton petit cul était bien tentant aussi. Tu crois que tu aurais accepté de maccueillir là aussi ?
Elle mavait dit que je pouvais tout prendre et je comptais bien aller jusquau bout.
- Je te lai dit. Tout ce que tu veux. Je suis à toi pour le moment alors profites-en.
- Ton mari nest jamais passé par là ?
- Non, jamais.
- Alors on va y aller en douceur. Il faut que tu aimes. Ton mari me remerciera une autre fois. Jespère quil ne sera pas jaloux que je passe en premier.
Tout cela était murmuré à son oreille et ça la mettait dans un état dexcitation incroyable. Elle était anxieuse mais en crevait visiblement denvie.
Sans un mot, elle a passé une main entre nous et a écarté une fesse. Linvite ne pouvait pas être plus claire. Je me suis levé et je suis revenu très vite de la salle de bain avec un petit flacon dans la main. Je me suis placé à côté delle. Je lui ai caressé lanus doucement et jai fait couler un filet de lubrifiant dans la raie de ses fesses. Deux doigts sont entrés immédiatement et plutôt facilement. Elle a tendu la main pour branler mon membre déjà très dur. Là aussi, jai fait couler le liquide gras sur ses doigts, lubrifiant mon sexe qui coulissait dans sa main.
Mes doigts faisaient des allers retours, assouplissant son conduit. Elle découvrait des sensations nouvelles, apparemment pas désagréables du tout contrairement aux réactions que je craignais.
Je me suis positionné doucement, alors que sa main quittait à regret mon membre turgescent. Jai placé quelques coussins sous son ventre en écartant doucement ses cuisses.
- Tu es magnifique, offerte comme ça.
Jai fait coulisser mon sexe entre ses fesses lubrifiées, y prenant beaucoup de plaisir. De temps à autre, je pressais mon gland contre son anneau que je sentais prêt à céder puis je me retirais, la laissant frustrée, tout en lembrassant.
A un moment, je me suis presque allongé sur elle, mon gland pressant plus fort sur son anus. Elle soufflait fort, tout de même un peu apeurée.
- Ne tinquiète pas ma belle. Ca va aller. Je vais posséder ton petit cul vierge tout en douceur. Quand jen aurais fini avec toi, tu voudras lavoir dans le cul tout le temps.
Dun coup, son anus sest ouvert et le gland est entré. Elle a poussé un petit cri de plainte. Je suis resté en elle longtemps comme ça, bougeant à peine. Elle gémissait en continu mais cétait clair que même si ce nétait pas de la jouissance, ce nétait pas de la douleur. Elle se faisait à ma présence.
A un moment, elle a bougé son bassin, comme pour me sentir plus. Je nattendais que ça et jai poussé fort. Mon sexe est entré dune traite. Seul un râle rauque est sorti de sa gorge. Elle semblait suffoquer, bouche grande ouverte.
Je suis ressortit presque entièrement, lui arrachant un nouveau râle. Jai lubrifié à nouveau et jai commencé des va et vient puissants, en lui tenant fermement les fesses. Elle a mordu dans les draps pour ne pas ameuter tout lhôtel.
Elle ma lancé un regard bestial, je la sentais salope, et jaimais ça !
- Bon dieu, taimes ça Lucie.
- Oui. AAHHHH. Encore ! Mais doucement stp Test vraiment gros là !
- Cest parce que tu mexcite Lucie. Je nen reviens pas. Ce nest pas ton petit mari qui peut te la mettre comme ça hein ? Tas besoin dune grosse queue toi ! Tu laime ma queue qui te ramone partout ?
- Oh Oui. Jaime ça.
- Tu préfère ma queue ou celle de ton mari ?
-
.
- Allez ! Dis-le !
- Cest ta queue que je préfère ! Cest trop bon MON DIEU OUIIIIII !
- Je vais te casser ton petit cul, je vais tapprendre à faire cocu ton mec !
Mes mots la rendaient folle. Jallais doucement mais inexorablement tout au fond de ses fesses. Elle était concentrée sur les sensations inconnues que je lui procurais. Son cul sest tendu encore plus vers moi, signe quelle aimait et que je pouvais la prendre plus fort.
Je lai alors mise en levrette, en ramenant ses bras dans son dos. Jai saisi ses poignets dune main tout en lui tenant la hanche de lautre. Jai alors commencé à véritablement lui baiser le cul, sans douceur, fort et longtemps. Elle sest mise à crier, à gueuler, totalement incontrôlable mais sans me repousser.
Quand jai senti que jallais jouir, je suis sorti de son cul, je lai amenée sans ménagement sous la douche et une fois mon sexe lavé, jai enfoncé mon sexe dans sa bouche en la tenant par les cheveux.
Il ne lui est même pas venu à lidée de refuser. Elle a refermé ses lèvres sur mon gland en suçant comme une affamée. Je me suis vidé dans sa bouche dans un grand râle et je lai vu avaler mon sperme. Jai même eu limpression quelle le savourait, que la seule chose qui lui importait était de sentir ma jouissance sur sa langue et dans sa gorge.
Quand jai fini, elle a continué à sucer en prolongeant un peu mon plaisir.
On sest ensuite rallongé. Je lai enlacée et embrassée tendrement. Cétait le moins que je puisse faire.
- Tu es incroyable toi ! Jai fantasmé sur toi dès que je tai vue mais je naurais pas cru te voir agir comme ça.
- Cest toi qui es incroyable ! Merci pour tout.
- Merci à toi !
- Je vais y aller maintenant, je retourne dans ma chambre.
- Daccord je te laisse partir. Tu crois quon pourra se revoir ?
- Non, surtout pas. Je ne regrette pas ce qui sest passé mais tout sera fini dès que je serais partie dici. Jaime ma vie de famille. Promets-moi de ne pas chercher à me revoir.
- Ne tinquiète pas. Je tiens trop à ma vie de célibataire pour aller casser un couple.
Elle est repartie dans sa chambre. Je me suis reposé tout laprès-midi devant des programmes sportifs.
Daprès la météo, tout était bloqué à 50 km à la ronde et ce que je voyais par la fenêtre me le confirmait.
Je pensais beaucoup à Lucie. Javais envie daller la voir et je me doutais quelle naurait pas pu partir.
Daprès la réception de lhôtel, le village ne serait dégagé que le lendemain voir le surlendemain.
Cest à 21h00 que je suis allé frapper à sa porte.
- Bonsoir Lucie.
- Bonsoir Marc. Quest-ce que tu veux ?
- Quelle question ! toi bien sûr.
- Marc !!! Je tai dit que cétait fini ! Ne complique pas les choses.
- Tu mas surtout dit une chose en quittant ma chambre
- Quoi ?
- Tu as dit que tout serait fini dès que tu serais partie dici
. Et tu es toujours là ! Tout comme moi !
- Mais
.
- Il ny a pas de mais. Tu es à moi tant que tu es là et je vais encore profiter de ton corps cette nuit.
-
.
Devant son absence de réaction, je suis entré et je lai embrassée, ouvrant de force son peignoir. Jai su de suite quelle allait craquer.
Je lui ai fait lamour dabord puis je lai baisée par tous les trous plusieurs fois durant la nuit, le point dorgue étant lappel de son mari à 9h00 le dimanche matin alors que je glissais ma matraque dans son anus endolori.
Malheureusement pour moi, les 2 nuits avec cette femme mont parues bien courtes et je la soupçonnais de le penser également. Pour la première fois depuis très longtemps, javais limpression quune femme aurait pu prendre une vraie place dans ma vie. Cependant, je comptais bien tenir ma promesse de ne pas chercher à la contacter mais jai discrètement pris ses coordonnées alors quelle était sous la douche.
Presque 1 an a passé et je dois (en tous cas, je me suis arrangé pour ça) retourner chez mon client du Jura. Jai suivi le parcours de Julie en restant dans lombre grâce à un célèbre réseau social : toujours pas d et peu de photos de couple. Je ne peux mempêcher de penser à Lucie, à son corps superbe et à létroite douceur de son sexe et de son cul. Je suis persuadé que de son côté, elle pense aussi à moi et au plaisir quon a pris ensemble.
Je regarde de plus en plus la petite carte glissée dans mon agenda professionnel sur laquelle se trouvent les coordonnées de Lucie. Pense-t-elle à moi ?
Jai eu la réponse environ un mois avant la date anniversaire de notre rencontre lannée précédente. Un message posté sur la page daccueil de son réseau social « Mon prochain déplacement professionnel dans le Jura approche. Jespère retrouver là-bas les mêmes conditions de séjour. Et compte tenu de mon tout nouveau célibat, jaurais plus de libertés à prolonger le séjour »
Maintenant, plus aucun doute, je vais reprendre contact pour faire coïncider nos interventions ?
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!