Le Restaurant Et...Le Retour En Voiture
Marie et moi, Patrick, sommes libertins depuis maintenant quelques années, et voir ma femme prendre du plaisir dans dautres bras reste pour moi un moment incomparable.
Ce soir-là, Martin, un ami libertin que nous connaissions depuis peu de temps, nous invite au restaurant un soir où il se trouvait de passage dans notre ville, et bien sûr, nous lavions invité à dîner et rester dormir chez nous, mais lui préférait nous inviter pour que Marie nai pas à faire la cuisine.
Nous acceptons avec plaisir, et au téléphone, je suggère une petite idée folle à Martin, qui sempresse de me donner son accord.
Je demande à Marie ce soir-là, peu avant larrivée de notre ami, de shabiller sexy, histoire de lémoustiller un peu, et après quelques réticences, le restaurant nest pas lendroit idéal pour libertiner me dit-elle, elle accepte et part choisir ses vêtements.
Lorsquelle revint de la chambre, je fus ébloui, comme souvent. Elle portait une jupe noire très courte, un chemisier de même couleur fermé par des lacets quelle na pas vraiment serrés, qui laisse entrevoir ses seins sans soutien-gorge, un string assorti vraiment très mini, des bas et une paire de bottes montant au-dessus de ses genoux, je vous laisse imaginer la vision de rêve que javais devant les yeux.
On sonne à la porte, je mempresse daller ouvrir et accueille notre ami, qui est un très bel homme dans nos âges, une cinquantaine dannées, grand, dorigine espagnole, bien bâti, et je sais quil plaît assez à Marie. Ma petite chérie arrive, Martin lembrasse sur la bouche et nous propose de partir au restaurant. Javais pris soin de retenir une table dans un endroit très chaleureux de la région, avec des tables relativement isolées les unes des autres, mais situé à une trentaine de kilomètres de chez nous.
Marie prend place à larrière du grand 4x4 de notre ami, Martin sinstalle à la place du passager et me laisse le volant.
A notre arrivée, nous choisissons une table dans un angle du restaurant, Martin prend place à côté de Marie, et je minstalle en face deux.
Pendant le repas, Marie me fait des yeux doux, caresse ma main, et, lalcool aidant, se laisse aller en douceur sur la banquette, mais je remarque que Martin et elles ont chacun une main sous la nappe, et quelle a parfois des mouvements légers de sursaut, des tressaillements, et Martin se tient bien au fond de la banquette, avec de petits soupirs daise. Mon sang ne fait quun tour, je laisse alors négligemment tomber ma serviette sous la table, et bien sûr, je me baisse pour la ramasser. Ce que je vois alors mélectrise immédiatement : une main de Martin est posée en haut des cuisses de Marie, la jupe relevée presque à la taille, et la caresse tout doucement à travers son string. Elle a très légèrement écarté ses jolies cuisses pour faciliter la caresse de notre ami, mais elle nen est pas restée là, je vois sa main monter et descendre sur la queue rigide et tendue de Martin, quil a faite sortir de louverture de son pantalon. Imaginez ce spectacle, heureusement que nous sommes au fond de la salle où personne ne peux voir leur manège
. Mon sang ne fait quun tour et ma queue se dresse immédiatement, comme tendue par un ressort, je me sens très à létroit dans mon pantalon et ma main glisse sur mon sexe à travers le tissu, ce qui na pas pour effet de me calmer.
La fin du repas arrive, Martin règle laddition et nous rejoignons la voiture. Sur le parking Martin demande à Marie si elle veut bien monter à larrière avec lui. Ma chérie me tend ses lèvres et me demande si je suis daccord. Bien évidemment, je mempresse daccepter, sachant bien ce qui aller se passer, ce nest pas pour rien que javais choisi un restaurant éloigné de chez nous.
Ma chérie monte à larrière de la voiture, sur la large banquette, à côté de Martin qui, pour rire, me tend une casquette de chauffeur !! Me voilà promu chauffeur officiel, je mets la casquette, ce qui les fait rire tous les deux, et je démarre le moteur.
Dans le rétro, japerçu immédiatement quils étaient serrés lun contre lautre, Martin avait dénoué plusieurs lacets du chemisier de Marie et lui caressait le bout de ses jolis seins bien ronds tout en lembrassant à pleine bouche, pendant que Marie, répondant à son baiser, lui caressait la verge à travers le tissu du pantalon, qui laissait entrevoir une bosse assez impressionnante. Moi je mefforçais de bien regarder la route, mais javais de plus en plus de mal à détacher mes yeux du rétroviseur, Marie venait douvrir le pantalon de notre ami, elle saisit sa verge tendue comme une matraque et commença à faire
glisser ses doigts le long de la tige épaisse
Martin profita de ce moment pour glisser sa main sous la jupe de Marie, et tout en douceur, il introduisit un doigt sous la fine dentelle du string, pour commencer à la caresser.
Je sentais bien la température qui montait à larrière du véhicule, les gémissements commençaient à emplir lhabitacle, et la vision de Marie dans les bras de mon ami me rendait fou de désir pour elle. Je glissais la main sur mon pantalon et je fis sortir mon sexe de sa prison, ainsi, je pouvais me caresser, très excité par le spectacle que japercevais dans le miroir.
Plusieurs centaines de mètres plus loin, jentendis des râles, des soupirs, des gémissements, je reportais alors mon regard vers le rétroviseur et là, je vis Marie, entièrement nue, les fesses appuyées sur la vitre arrière du côté droit de la voiture, en train de sucer la queue de Martin, qui avait enlevé son pantalon et sa chemise.
Je reportais mon attention sur la route, connaissant les dons particuliers de ma belle et tendre pour sucer un homme. Encore un kilomètre ou deux, et jentendis la voix de ma femme, qui, en haletant, me disais « je taime Patrick, tu es mon amour, regarde comme il me prends, cest bon, cest trop bon
.. », en regardant à nouveau dans le rétro, je vis mon épouse allongée sur la banquette arrière, les jambes largement ouvertes, et la queue de Martin la prendre avec force, je voyais ce sexe pénétrer la chatte de ma femme, profondément, violemment, lui arrachant à chaque poussée des soupirs et des cris de plaisir. Il lui malaxait les seins à pleines mains, lembrassait à pleine bouche, tout en la baisant avec force. Soudain, un cri de jouissance, Marie prenait son plaisir, et Martin hurla sa jouissance en se vidant dans le ventre de mon aimée, je venais de franchit le portail de notre maison
Ils se rhabillèrent, et nous entrâmes dans la maison. Là, Marie se précipita sous la douche, pour se rafraichir, et avec mon accord, Martin ly rejoint. Par la porte entrouverte, je les vis se doucher, et se caresser, Marie ne pouvait sempêcher de lui caresser le sexe pendant quil se rinçait, et lui-même lui passait les mains partout sur le corps, le ventre, les seins, le sexe, tout en lembrassant.
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