Jenny La Bourgeoise Serait-Elle Une Salope ? Le Dépucelage Du Petit Trou (4/6)
Jenny rangea son portable après avoir répondu au SMS de Paul.
Elle était toutefois jalouse de simaginer Paul en train de baiser la belle Nadia. La situation quelle vivait avec Charly et ladultère de son mari lexcitait un peu plus, car à présent, elle était totalement libre de faire ce quelle voulait avec son voisin. Charly avait profité de son absence pour plonger dans la piscine en cette fin daprès-midi encore chaude. Jenny le rejoignit, ils étaient entièrement nus et jouait dans leau comme deux adolescents, sembrassant, se caressant mutuellement.
Jenny venait de jouir et de faire jouir son amant et les vingt minutes dans leau leur avait donné faim. Ils enfilèrent un teeshirt et sinstallèrent au salon pour manger quelques restes, en finissant les vins qui restaient du repas du midi. Charly avait tenu avant que Jenny se mette assise de lui enfiler un petit plug dans lanus, elle savait donc quelle allait se faire dépuceler de ce côté dans quelques heures, peut-être quelques minutes. Les sensations quelle ressentaient au niveau de lanus la rendait toute chose, elle serra les fesses pendant tout le repas, elle avait peur que le plug ressorte.
Jenny était prête à débarrasser la table lorsque Charly lui ordonna :
Installe-toi sur le fauteuil et masturbe-toi devant moi.
Quoi ? Tu veux vraiment cela ?
Ne discute pas bon dieu ! Fais ce que je te dis.
Ne voulant pas loffenser, Jenny sinstalla comme Monsieur désirait et entreprit ses caresses tout en maintenant son anus serré contre le plug qui commençait à la brûler légèrement. Elle ferma les yeux et repensait à leur première rencontre, elle se voyait encore le masturber en tenant sa belle et longue queue quelle navait pas encore eu loccasion davoir dans sa chatte qui mouillait de nouveau.
Charly et sa bite lexcitait, ses doigts allaient et venaient dans son vagin sans aucune difficulté, elle sentait le désir monter, elle frottait son clitoris après lavoir délogé de sa coquille, le bout de son doigt lastiquait.
Jenny mouillait pour lui, elle avait envie de se montrer ainsi. Il avait bien remarqué cette coulée de mouille le long de sa cuisse :
Tu mouilles déjà... Tu vas devenir ma salope ce soir ?
Hummm... Jaime... Oui ! Je vais être ta salope, je serai toute à toi. Approche-toi que je te suce
Charly adorait entendre ce genre de phrase, de la part des femmes qui se soumettaient à ses caprices. Davoir entendu ces mots et de la voir sexciter ainsi, sa verge sétait transformée, elle était déjà grosse et dure comme une trique. Il se leva et la tira par les bras, elle se colla à lui, ils s'embrassèrent fougueusement, leurs langues sentremêlaient. Puis il lemmena dans la cuisine, il voulait la prendre sur une table.
Jenny sagenouilla devant lui, prit sa longue queue dans la main et la dirigea dans ma bouche, il était énorme, elle avait toujours des difficultés à lenfiler entièrement, il était prêt à exploser. À cet instant, il enleva sans ménagement le plug quelle avait toujours dans le cul, dans un bruit de succion et lui ordonna :
Mets-toi assise sur la table et écarte un maximum tes jambes
Oui Charly ! Baise-moi, défonce-moi avec ta grosse queue, tu me rends folle, je mouille pour toi.
Ces mots lavaient excité de nouveau, il lavait prise avec force, puis allait et venait en elle violemment, sa queue puissante pleine de sang lui perforait la chatte, à chaque coup de rein, ses couilles tapaient contre mes fesses, elle jouit très rapidement, il fut obligé de ressortir afin de laisser sortir les jets de liquide translucide qui giclaient à grand flux arrosant une grande partie, le sol de la cuisine, il en avait reçu jusquà mi-cuisse.
Elle navait pas fini de couler, lorsquil la pénétrait de nouveau, elle le cramponnait, ses bras le maintenait, ses seins plaqués contre son torse, ses jambes sétaient enroulées derrière ses fesses, il navait pu se retirer, il éjacula dans son préservatif qui lui comprimait la verge :
Emmène-moi dans la piscine. Lui dit-elle.
Elle voulait le conserver en elle encore un moment, il la porta, traversa le salon et la terrasse et toujours dans cette position, ils tombèrent tous les deux dans leau à 23° de la piscine. Ils reprirent leurs esprits, se remettant debout, elle lui enleva la capote et avala tout le sperme présent à lintérieur. Ils sembrassèrent de nouveau, firent quelques brasses pour se détendre, la nuit était tombée depuis quelques minutes déjà.
Nus lun contre lautre, Jenny lui demanda :
Tu crois que Paul va sodomiser Nadia cette nuit ?
Sil lui demande, il lenculera, elle ne refusera pas cette garce.
Et moi, tu mas dit que
Laisse-moi me reposer un moment et tu verras que je ne vais pas men priver. Ton cul mappartiendra désormais, je vais te dépuceler. Là ! Tu pourras dire que tu es ma salope. Dis-le
Oui ! Mon amour, je suis ta salope, je serai même ta chienne si tu le désire. Je serai ta soumise.
Ils sinstallèrent à la cuisine pour prendre un alcool, un petit remontant, une mirabelle à 45° de 10 ans dâge quelle conservait pour les invités de marque et Charly en faisait désormais partie. Le goût sucré du fruit et la petite brûlure au fond de la gorge, faisait de cette boisson toute son originalité. Ils prirent le temps de la consommer et de la déguster, il était temps pour eux de se coucher. Elle avait choisi de sinstaller dans le lit conjugal, cétait une excitation supplémentaire et en voyant la verge de Charly dans la main de son maitre qui reprenait de la vigueur, elle avait bien deviné quelle reprendrait un coup de queue avant de sendormir.
Jenny avait tiré entièrement le drap du dessus au pied du lit, ils se retrouvaient nus lun contre lautre sur le drap blanc recouvrant le matelas. Après quelques petits baisers, ils se positionnèrent dans un soixante-neuf, allongés de trois-quarts. Pendant que Jenny suçait sa verge et caressait ses couilles délicatement, Charly n'hésitait pas à aller de son clito à sa rondelle, suçait ses grandes et ses petites lèvres, revenait jouer à l'entrée de son anus, il força sa petite étoile avec sa langue bien raide et pénétra légèrement à lintérieur de la peau lisse, elle offrait ses fesses, les jambes légèrement écartées, son nez planté dans la raie de son cul, il léchait et ses doigts assouplissaient le passage que le plug avait légèrement dilaté.
Avec sa mouille et la salive de lamant, Jenny était prête, pas besoin de lubrifiant quelle avait prévu sur la table de nuit. Les trois doigts à lintérieur de son rectum lui prouvaient quelle pouvait recevoir sa grosse verge dans son petit trou :
Mets-toi à quatre pattes, salope ! Le moment est venu que je tencule.
Oui ! mon chéri encule-moi
Jenny sexécuta, même si la réponse quelle avait fournie indiquait le contraire, elle appréhendait ce moment, elle avait peur davoir mal. Il lui suréleva la croupe et lui écarta bien les cuisses. Il sétait positionné derrière elle, entre ses jambes, il se pencha et cracha sa salive sur sa rondelle. Il entra dans sa chatte humide, cette pénétration la surprenait car elle pensait quil voulait la sodomiser.
Tout en la possédant traditionnellement, le va-et-vient de son index dans lanus lui procurait détranges sensations. Jenny mouillait fortement, toujours à genoux derrière elle, il se retira de sa chatte et fit glisser sa queue dans la raie de ses fesses, à la recherche du sens interdit. Sa chatte était trempée, la cyprine coulait, son gland se trouvait à lentrée de sa vulve humide, dun coup de reins, il avait enfilé sa bite jusquà la garde une nouvelle fois dans le vagin.
Charly navait pas changé davis comme le croyait Jenny, même sil continuait à la baiser normalement. Il savait quelle était prête à se faire sodomiser. Mais il voulait que sa jouissance soit proche, il sut que le moment était venu lorsquil lentendit dire :
Vas-y mon chéri, tu peux y aller.
Ces mots lavaient excité, il se retira de la chatte chaude et mouillée, cracha sur le gland de sa bite bandante et le présenta devant le trou étoilé. Très impatiente, elle saisit son pénis et le guida vers lentrée interdite. Il lui semblait que sa queue était plus raide que tout à lheure. Son petit trou se dilatait à chacune de ses poussées. Charly de sa main droite titillait son clitoris de plus en plus vite, elle était au bord dune nouvelle explosion.
Il pressait sa queue de plus en plus, elle cambra ses reins puissamment, lorsque soudain, sous une nouvelle pression, le muscle anal sétait relâché et avala le gland gonflé de sang. Elle poussa un grand cri, dû à la brûlure quelle ressentit. Elle était prête à sangloter, ses petites plaintes ninquiétaient pas Charly qui poussait toujours progressivement, sans relâche mais, sans lui demander si elle voulait quil se retire. Sapercevant quelle ne gémissait pas de plaisir, il ne bougea plus, elle crut quil allait sortir, ne voulant pas le décevoir, elle lui dit :
Continue, encule-moi, encule-moi...
Elle ressentit une douce chaleur lenvahir, lorsquelle avait pris linitiative de pousser elle-même ses fesses contre sa queue. Contrairement à ce quelle redoutait, sa hampe senfilait aisément dans le rectum. La douleur disparait à chaque va et vient pour se transformer en plaisir. Sur un coup de reins violent de sa part, elle fut littéralement empalée, jusquà la garde. Sa verge tendue allait et venait en elle avec facilité, cen était même déconcertant. Rassuré par son comportement, Charly prenait un rythme de croisière, ses coups de reins violents faisait pénétrer sa queue, telle un piston, senfonçant le plus loin possible dans ses entrailles. Elle avait passé sa main entre ses cuisses et avait attrapé ses couilles pour les malaxer. Charly en fut surpris, il commençait à râler. Il passa la cinquième et la pilonnait sans vergogne.
Elle avait atteint le point de non-retour, Jenny fut prise dun orgasme foudroyant, une déferlante de mouille sécoula en jets sortant de sa petite chatte. Voyant quil était parvenu à quil désirait, Charly ressortit sa verge, enleva sa capote et prit son plaisir en se déversant dans la raie de son cul. Il lessuya sur une de ses fesses, puis il remit sa queue là où elle était, bien au chaud pénétrant avec facilité son anus dilaté. Ils sétaient écroulés tous les deux sur le côté et étaient restés sans bouger. Sa verge toujours dans son rectum, elle diminuait peu à peu mais Jenny ressentait encore beaucoup de bonheur ainsi. Dun léger mouvement de bassin, il sétait dégagé, lavait retournée et prise dans ses bras, en lembrassant. Il était fier de lavoir dépucelée du cul.
Charly était allongé sur le dos, Jenny de trois-quarts avait sa tête sur son épaule velue, la jambe droite allongée et la jambe gauche repliée sur le ventre musclé et poilu de son amant, de son maitre à présent. Cétait dans cette position, quils sétaient endormis, épuisée par cette nuit damour et ce fut dans cette même position, blottis lun contre lautre que Paul, en rentrant le dimanche matin, les avait découvert dans le lit conjugal.
Paul navait pas pensé être aussi secoué en apercevant son voisin dans son lit avec son épouse mais cette vision lavait toutefois émoustillé. Toute la soirée, il avait eu le sentiment que ce que lui avait dit sa maitresse nétait autre quun mensonge, enfin, il lespérait de tout cur. Il était pourtant là et était obligé dadmettre lévidence, Jenny avait baisé avec Charly et pourtant cela lexcitait. Il nétait pas en colère, il était quelque peu déçu de ne pas les avoir vu faire lamour, en quittant la chambre pour rejoindre Nadia en train de préparer le petit déjeuner. Les deux amants sétaient levés, avaient enfilé un peignoir et allèrent ensemble dans la cuisine.
Sans attendre plus longtemps, Paul dit à Jenny en la fixant droit dans les yeux :
Je te présente ma nièce Gaëlle, elle vient habiter le petit appartement au rez-de-chaussée.
Si Charly avait bien reconnu Nadia quil voyait tous les jours, il ne dit rien, tout ceci larrangeait. Jenny de son côté, voyant cette jeune fille, sans maquillage, avec deux couettes, un teeshirt large et en jean-baskets, navait à aucun moment, fait la correspondance avec la jeune Escort girl de la veille. Elle ne savait pourtant pas que Paul avait une nièce, mais comme il ne parlait plus à sa famille, cela ne lavait pas surprise :
Enchantée de faire ta connaissance Gaëlle. Je te présente Charly, notre voisin et ami.
Je vois quil est bien plus quun ami. Rétorqua Paul mais si cest ton choix, je men accommoderai.
Jenny sapprocha de son mari et vint le prendre par le cou et lembrasser sur la bouche, en lui disant au creux de loreille :
Merci mon amour de me faire ce cadeau, tu ne le regretteras pas.
Jespère quune chose, cest que je pourrai assister à tes parties de jambes en lair ma chérie.
Si comme Jenny vous voulez raconter vos histoires ou vos fantasmes, prenez contact avec moi par mail
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