Imprévu Total

Je m’appelle Julie, j’ai 28 ans. Mon mari s’appelle Luc, 2 ans de plus que moi et il est toute ma vie.

On s’est rencontré il y a maintenant 8 ans et on ne s’est plus quittés. Nos vies professionnelles étant importantes pour nous, nous n’avons pas encore d’s.

Nous occupons des postes qui nous donnent une bonne sécurité financière et on profite donc de la vie dès que l’on arrive à s’échapper tous les 2 de notre travail.

Pour moi, le sexe n’a jamais été très important mais on s’entend bien au lit. Je sais que Luc n’est pas une bête de sexe et que son corps n’a rien de celui d’un apollon mais il me donne du plaisir. De mon côté, je suis douce et câline mais pas vraiment portée sur le sexe. Je n’avais couché qu’avec un seul garçon avant Luc et ça ne m’avait pas laissé un souvenir impérissable.

 

Lorsqu’on s’est rencontrés, j’étais une fille réservée, timide. Je portais toujours des vêtements amples, et des lunettes assez moches, j’en conviens maintenant.

Pourtant (d’après Luc), tous les mecs étaient d’accord pour dire quelle j’étais jolie et même que j’aurais pu être canon. C’est certainement grâce à sa patience, son sens de l’humour et son romantisme qu’il a pu séduire le glaçon que j’étais. Petit à petit, il m’a fait prendre confiance en moi et si je ne suis toujours pas une femme extravertie, je suis beaucoup plus sûre de moi. Il a aussi réussi à me faire porter des vêtements plus près du corps et à me faire porter des lentilles.

Luc dit que j’ai un corps parfait. Je ne suis pas parfaite mais je sais que j’ai des atouts. J’ai une taille fine, des fesses fermes et rondes (un peu trop grosses à mon goût) et des jambes pas moches du tout. Sans avoir à faire de sport, j’ai la chance d’avoir une ligne que la plupart des femmes n’arrivent pas à avoir. Mais ce dont je suis fière, ce sont mes seins, gros sans l’être trop, bien ronds et fermes. La gravité n’a encore eu aucun impact sur eux et j’en prends soin car c’est un atout non négligeable  face à tout homme que je rencontre.

Luc les adore.

Dès que je porte une jolie robe et que mes formes apparaissent aux yeux de tous, il n’est pas rare que je me fasse gentiment draguer et parfois même en présence de Luc.

J’ai toujours éconduit les prétendants et Luc n’a aucune raison d’être jaloux car il ne me viendrait pas à l’idée de le tromper.

 

Un jour, au travail, un client m’a fait du rentre dedans. C’était un nouveau client, plutôt moche et bedonnant, avec un regard vicieux. Je n’ai pas voulu être désagréable donc je ne l’ai pas rembarré de suite mais je ne suis pas entrée dans son jeu. Pourtant, je me suis surprise à me pencher une fois afin qu’il matte mon décolleté.

Ça m’aidait parfois à obtenir des contrats et une commission est toujours bonne à prendre.

A la fin de l’entrevue, après qu’il ait passé une commande, il m’a proposé de monter dans son appartement à l’étage, « je pourrais vous faire visiter mon appartement. Ma chambre plaît particulièrement aux femmes si vous voyez ce que je veux dire ».

Je ne pouvais pas ne pas m’apercevoir de la bosse énorme qui déformait sa braguette et qu’il ne cherchait pas à me cacher. Le gros tout moche était apparemment gâté par la nature.

Tout dans la délicatesse ! J’ai décliné poliment (c’est un client quand même) mais ça m’avait amusé un peu et excité, aussi, de savoir que je  pouvais susciter du désir comme ça. Même si l’homme n’était pas attirant.

 

Le soir, on a fait l’amour et je sais bien que j’étais plus réceptive, plus expressive aussi. J’étais différente.

Je repensais bizarrement de temps en temps à cet homme que j’avais fait bander et ça me troublait.

 

L’été suivant, nous avions dégoté, pour une semaine et ½ de vacances, la maison des parents d’un ami au bord de la mer en Bretagne en plein mois d’août. C’était un bonheur.

Nous sommes arrivés un samedi et passions de très belles vacances.


Malheureusement, le mardi soir, un homme est arrivé vers 22h00 en ouvrant la porte avec une clé. Il a été aussi surpris de nous rencontrer que nous de le voir arriver.

C’était en fait l’oncle de notre ami. Il avait la clé tout le temps et les parents de mon ami s’étaient trompés d’une semaine sur notre présence. Après un moment d’embarras, la maison étant grande, on a décidé de tous rester sur place et de cohabiter.

 

Le mercredi, on s’est à peine vus mais le jeudi, il pleuvait à verse (n’oublions pas qu’on était en Bretagne tout de même) donc on est restés ensembles. Il s’appelait Marc, était célibataire depuis 2 ans, ingénieur. Sa compagnie était très agréable. Au cours de cette journée, je l’ai vu regarder plus que de raison dans ma direction. Il faut dire que mon petit haut moulait bien mes seins et ma taille fine.

Du coup, je l’ai regardé aussi de temps à autres. Je dois avouer que c’était un bel homme : 45 ans, cheveux grisonnant, 1,85m environ, une sacrée carrure et malgré un début de ventre, il n’était pas gros. On voyait qu’il était soigné. Plus encore que son physique, c’est le charisme qu’il dégageait qui me troublait. Je me retrouvais 10 ans en arrière, intimidée.

 

Vendredi :

Un temps magnifique et une bonne chaleur était revenue. Luc et moi sommes partis nous promener. En revenant, Marc était dans le jardin, en short et torse nu.

J’ai été impressionnée par le corps puissant de Marc et ça ne lui a pas échappé non plus.

A un moment, dans le début de soirée, J’ai aperçu Marc qui me regardait fixement et j’ai vu une bosse déformer son short. Il a vu mon regard et a souri. J’étais morte de honte alors que c’était lui qui aurait dû l’être.

Le reste de la soirée, il y a eu une certaine tension et bizarrement, j’ai eu l’impression que Luc s’amusait à l’entretenir. Quand on s’est couché, il m’a demandé ce que je pensais de Marc. J’ai failli m’ mais j’ai balbutié que je l’appréciais sans plus mais il m’a titillé, et j’ai fini par avouer que je le trouvais canon malgré ses 45 ans.
Luc m’a dit qu’il n’arrêtait pas de me regarder, qu’il était sûr qu’il avait envie de moi. Je lui ai dit qu’il était bête, et je lui ai fait l’amour comme pour me faire pardonner quelque chose. J’étais très mal à l’aise car c’était une chose qui ne m’était jamais arrivée. Le fait était là, Marc m’intimidait, me déstabilisait, m’attirait….

 

Samedi :

On est allé à la plage tous les trois sur l’idée de Luc. Marc et moi, on n’a pas arrêté de se regarder dès que l’autre avait le dos tourné. C’était comme un jeu implicite auquel Luc m’encourageait. Le plus bizarre était qu’il n’était pas jaloux. J’ai senti qu’il aimait l’idée que je plaise à un homme charismatique et bel homme comme lui. Il en tirait une certaine fierté je pense.

Luc me caressait souvent, érotiquement parfois, quand Marc s’absentait et il prolongeait la caresse même quand il le voyait revenir. J’étais réceptive et surtout dans un vrai jeu de séduction envers Luc, parfois, et envers Marc souvent. Je me suis rendue compte que malgré moi, je mettais mon corps en valeur dès que je le pouvais. C’était incontrôlable, j’avais envie de lui plaire et j’avais aimé que son sexe réagisse la veille.

Le soir, on a fait un barbecue, buvant quelques apéros. On parlait et on riait beaucoup, abordant tous types de sujets y compris des blagues grivoises.

Marc me flattait souvent et je rougissais jusqu’au bout des ongles. J’étais sous le charme.

 

La soirée était gaie et pour moi très agréable car j’avais deux chevaliers servants pour moi toute seule.

En fin de soirée, on s’est installés dans les canapés. Moi sur les genoux de Luc et Marc en face de nous. Il était resté torse nu et me faisait beaucoup d’effet. Comme on dit, c’était un homme, un vrai ! Poilu mais sans plus, des pectoraux marqués et des épaules et biceps forts.

Ses yeux me détaillaient parfois des pieds à la tête mais sans perversité et j’en avais des frissons de contentement.
A un moment, je me suis même dit que mon mari avait intérêt d’être en forme car pour une fois, je me sentais pleine de désir. J’avais bu 1 ou 2 verres mais rien de bien méchant. Luc a commencé à me caresser la cuisse ou la taille et Marc n’en perdait pas une miette. A un moment, un silence est tombé, il y avait une certaine tension. C’est Marc qui a pris la parole.

 

-          Marc : Vous formez un couple très unis tous les deux. J’ai passé de très bons moments avec vous mais les choses deviennent compliquées.

-          Luc : Qu’est-ce qui devient compliqué ?

-          Marc : Tu n’es pas bête Luc et tu n’es pas aveugle non plus. Julie me plaît. Elle me plaît au point que je pense à elle tout le temps…. A voir ta tête, tu n’es pas surpris par ce que je te dis. Je m’en doutais et l’absence de réaction de Julie montre qu’elle le sait aussi.

-          Luc : Bien sûr que je le sais….. Et je serais aveugle de ne pas voir que vous plaisez aussi à Julie.

-          Moi : Luc ! Ça ne va pas de dire ça !

-          Marc : Ne t’énerve pas Julie. Sans vouloir être prétentieux, je t’ai vu me regarder aussi et j’étais sûr de ne pas te laisser indifférente.

-          Moi : Vous vous trompez ! J’aime Luc de tout mon cœur.

-          Marc : Ca, je le sais. Et Luc le sais aussi, j’en suis sûr mais je ne te parle pas d’amour, là. On peut être attiré l’un par l’autre sans qu’il y ait d’amour.

-          Luc : Je m’en suis aperçu immédiatement Julie. Certains signes ne trompent pas. Et je ne t’en veux pas. Je ne doute pas de ton amour et tu as le droit de trouver un autre homme attirant. Je ne suis pas jaloux.

 

Luc continuait à me caresser doucement malgré que je sois extrêmement troublée. Tout tournait dans ma tête.

 

-          Moi : Je ne vois pas où nous mène cette discussion.

-          Luc : Tu sais, tu vas trouver ça macho mais je suis très flatté que ma femme plaise autant. C’était assez excitant de voir votre jeu de séduction : chercher à plaire à Marc sans me blesser n’était pas si facile et pourtant tu y es parvenue.

 

Après un court silence, Marc a pris la parole.

 

-          Marc : Caresses-la Luc, commence à lui faire l’amour. Je veux vous voir.

-          Moi : …. Marc, tu n’es pas sérieux ?

-          Marc : Si, très sérieux. Et tu vas le faire car depuis 2 jours, tu veux me montrer ton corps. Je le sais. Tes poses parfois plus suggestives que tu ne le crois me l’ont montré. Ne m’en veux pas Luc mais si tu n’avais pas été là, j’aurais déjà tout fait pour l’attirer dans mon lit.

-          Moi : Mais….. Luc, voyons !

-          Luc : On va le faire Julie. Je vais t’offrir à ses regards. Je veux qu’il te voie nue, je veux voir le désir dans ses yeux et dans les tiens. Ce moment est exceptionnel. Je ne veux pas que tu aies quelque chose à regretter. Ce serait plus terrible que tout ce qui va suivre. J’en suis persuadé.

-          Marc : Si tu te laisses aller, on vivra tous les trois un moment d’une rare intensité dans tous les sens du terme. Abandonnes-toi et je te promets que tu ne le regretteras pas !

-

 

Ces derniers mots étaient plein d’assurance et son regard s’est baissé vers son entrejambe où le short commençait à se déformer. Le souvenir de mon client dragueur « apparemment bien monté » m’est revenu en mémoire en même temps qu’une bouffée de désir et d’excitation. J’ai eu envie de voir son sexe.

Je ne savais plus où j’en étais.

J’étais excitée, apeurée, et honteuse de ressentir ça. Luc m’a embrassé dans le cou, là où ça me fait fondre. J’étais très tendue mais le regard d’envie de Marc à cet instant précis m’a fait défaillir. J’aurais dû envoyer balader mon mari et le voyeur en face de moi mais la simple absence de colère dans mon esprit me prouvait que j’allais céder à cette folie. Quand j’ai vraiment répondu à ses baisers, il a ôté mon petit haut, dévoilant ma poitrine aux yeux admiratifs de Marc. Vu la chaleur, Je n’avais pas mis de soutien-gorge.

J’étais à califourchon sur les genoux de Luc mais face à Marc.

Luc m’a caressée et j’ai vu Marc en profiter pour s’installer plus confortablement dans son fauteuil. Il manquait visiblement de place dans son short.

J’ai croisé le regard plein de désir de Marc qui semblait sonder mon âme et il a souri.

 

-          Moi : Mon dieu ! Qu’est-ce qu’on fait ?

-          Marc : Rien de mal Julie. Vous profitez de l’instant présent. Surtout n’arrêtes pas Luc, ta femme est magnifique. Quelle paire de seins ! Je n’en ai jamais vu d’aussi beaux…. Tu aimes qu’ils me plaisent Julie ?

-          Moi :…. Oui.

-          Marc : Montres-moi en plus Luc. Tu veux que je la voie n’est-ce pas ?

 

Son regard était sûr de lui. Et il était en train de prendre les commandes. Luc m’offrait à ses regards sur un plateau mais c’est Marc qui dirigeait réellement et ça me mettait dans un état d’excitation incroyable.

 

-          Luc : Oui, Marc. Tu vas voir comme elle est belle.

 

Il a commencé à remonter ma jupe sur mes cuisses, dévoilant la chair douce le plus haut possible jusqu’à ma culotte.

Il m’a caressé ainsi les cuisses, la taille et les seins, insinuant parfois sa main vers mon entrejambe et pressant mon sexe. Mes cuisses serraient alors sa main dans un réflexe de pudeur.

Il a voulu commencer à ôter mes derniers vêtements mais la position l’en empêchait. Il m’a donc fait lever devant lui… et devant Marc. A cet instant, Marc s’est levé et s’est approché.

 

-          Marc : Laisse-moi faire Luc, Je vais t’aider.

 

Je suis resté sans réaction lorsqu’il a posé ses mains sur mes hanches. Marc s’est quasiment collé à moi puis s’est agenouillé. Ses lèvres ont frôlé l’un de mes seins dans un mouvement bien volontaire de la part de Marc. J’ai frissonné immédiatement à ce contact.

 

-          Marc : Déshabille-toi Luc !

-

C’était un ordre. Pendant que mon mari ôtait ses vêtements, il a lentement enlevé ma jupe, caressant mes jambes au passage. Puis il a enlevé ma culotte. Je le laissais faire comme dans un rêve, comme si ce n’était pas à moi que cela arrivait.

 

-          Marc : Décidément, tu es vraiment un joli bout de femme.

 

Luc bandait fort et je supposais qu’en dehors du désir que je lui inspire, c’était de voir Marc si proche de moi, qui le mettait dans cet état. Le bout des doigts de Marc courrait sur ma peau. Il s’est relevé et m’a retourné face à Luc. La situation l’excitait.

-          Marc : Regarde comme il bande pour toi ton mari. Il a très envie de toi !....... Ou bien il t’imagine peut-être dans mes bras ?

Marc passais ses mains sur mes épaules, puis dans mon dos. Ses larges mains enserraient parfois ma taille fine et remontaient le long de mes côtes en effleurant mes seins.

Je ne bronchais pas. Ma poitrine se gonflait au rythme de ma respiration maintenant un peu saccadée. C’était troublant et excitant d’être caressée par un autre homme.

D’une légère pression sur les épaules, je me suis retrouvée avec le visage à hauteur du sexe de Luc. Je l’ai immédiatement branlé doucement puis, j’ai pris son gland dans ma bouche. Moi, qui ne suis pas particulièrement fan de cette caresse, j’en avais envie, preuve que j’étais très excitée.

Marc s’est agenouillé à côté de moi. Il me caressait toujours et passait régulièrement sa main sur mes fesses. Puis, j’ai senti un doigt caresser la raie de mes fesses. Il a écarté légèrement mes genoux et je l’ai laissé faire. Il avait maintenant libre accès à mon sexe.

La main de Marc s’aventurait toujours plus loin et je ne disais rien. Je n’osais pas regarder Luc et je poussais maintenant de petits soupirs. Du coin de l’œil, j’’ai vu Marc regarder mon mari comme pour savoir jusqu’où il pouvait aller.

J’ai senti ses doigts s’aventurer lentement sur mon sexe déjà bien humide. Comment Luc pouvait-il laisser faire ça ! J’ai levé la tête vers lui. J’étais complètement retournée de désir et j’ai lu la même excitation dans le regard de Luc. Il appréciait ce qu’il voyait. C’était évident.

 

-          Moi : Luc, qu’est-ce qu’on fait ? Ce n’est pas possible.

-          Luc : laisse toi aller ma chérie. Profite !

-          Moi : Ah ! Mmmmh !

-          Luc : Qu’est-ce qu’il fait mon amour ?

-          Moi : Il me caresse le clitoris ! OOH !

-          Marc : Qu’est-ce qu’elle mouille Luc. Elle aime ce que je lui fais on dirait. N’est-ce pas Julie ?

-          Moi : Mon amour, c’est bon. AAAHHH ! Il vient de mettre un doigt. Ahhh !

 

Marc faisait maintenant des mouvements qui ne pouvaient pas prêter à confusion pour mon mari. Son doigt épais me pénétrait par des mouvements lents et amples.

 

-          Marc : Venez, on va dans la chambre.

 

On s’est relevé et on s’est regardé brièvement. J’attendais encore une réaction de Luc. Marc ne nous a plus laissé le temps de réfléchir et il m’a pris par la taille pour m’entraîner avec lui. J’avais jusque-là un doute mais lorsque Marc m’a faite entrer dans « sa » chambre sans que  Luc ou moi ne se rebelle même un peu, j’ai su qu’il allait profiter de moi. C’était inévitable.

Luc s’est allongé sur le lit et j’ai repris ma fellation, encore plus penchée sur son sexe cette fois. Marc a recommencé à me doigter, me faisant pousser de petits soupirs et gémissements.

 

-          Marc : Qu’elle est belle ta femme ! Quel cul ! Elle a très envie là ! Tu peux en être sûr. Tu aimes que je m’occupe de toi pendant que tu le suces ?

-          Moi : …. Oui

-          Marc : Vas-y, enfile-toi sur lui. Fais le jouir. Il n’en peut plus là.

 

Totalement obéissante et trop pleine de désir, je me suis mise au-dessus de lui et j’ai fait pénétrer son sexe. Je le regardais avec des yeux pleins de passion tout en commençant à bouger sur lui. Sans un mot entre nous, on a su se faire comprendre plusieurs choses : qu’on s’aimait, que j’avais envie de Marc et qu’il en était conscient et consentant. Malgré mon amour pour lui, j’ai pris conscience d’une chose qui m’a remplie de honte. Bien plus que le sexe de mon mari en moi, c’était chaque effleurement de la part de Marc qui me couvrait de frissons et me faisait pousser un petit gémissement.

Marc nous a regardés en souriant. Le sexe de Luc glissait en moi et je gémissais. Je l’avais rarement senti aussi dur.

-          Marc : c’est bien Julie, continue ! Il va bientôt jouir !

-          Moi : il est tellement dur ! Oui !

-          Marc : C’est parce qu’il est complètement excité par ce qui va se passer après….. Il sait que dès qu’il aura fini, c’est moi qui te baiserai……  Tu veux aussi que je te baise. N’est-ce pas Julie ?

 

Je n’ai pas répondu mais j’ai regardé intensément Luc dans les yeux en me mordillant la lèvre inférieure.

 

-          Luc : Oui. Elle veut que vous la baisiez. Je ne l’ai jamais vue aussi excitée.

-          Marc : C’est bien. On va bien s’amuser. Julie, quand Luc voudras jouir, je veux que tu le termine avec ta main. Je veux que tu voies sa jouissance…. Et après ce sera mon tour de m’occuper de toi….

 

Le ton de sa voix était devenu plus directif sans être autoritaire. Bizarrement, ça m’excitait encore plus et j’ai senti que ça excitait aussi Luc. Il tentait de se retenir mais j’ai senti qu’il était au bord de la jouissance.

D’un regard, Marc m’a fait comprendre de me retirer. Je me suis dégagée de mon mari avec un petit gémissement et je l’ai branlé en le regardant dans les yeux. Je n’ai eu besoin que de quelques secondes pour faire jaillir son sperme. Il a joui plus fort que jamais, tapissant son ventre et son pénis de goutes de sperme.

-          Marc : A mon tour de m’occuper de toi Julie. Tu nous laisse la place Luc ? Viens vers moi maintenant.

 

Luc s’est levé et écarté un peu du lit. Luc m’avait donné du plaisir mais je n’avais pas atteint l’orgasme.

Je me suis retournée. Marc et moi étions à genoux, face à face.

Marc a posé ses mains sur ma taille en m’attirant à lui. Il m’a embrassée sur la joue, puis à la base du cou, il jouait avec moi. Je respirais fort et je fermais les yeux.

Doucement, les lèvres de Marc sont allées à la rencontre des miennes. Le baiser a d’abord été timide, c’était clairement Marc qui prenait l’initiative. Puis, je me suis décontractée. C’était le premier baiser d’un autre homme depuis des lustres et Marc embrassait très bien. Le baiser était de plus en plus franc, nos langues sont entrées en contact. Un regard vers Luc m’a fait comprendre qu’il était toujours ok même si je le sentais moins à l’aise. Mes mains se sont posées sur les épaules de Marc.

 

Luc était dans mon champ de vision et il a rebandé presque immédiatement.

Les caresses de Marc étaient de plus en plus franches elles aussi. Ses mains ont saisi mes poignets et il m’a fait poser les mains sur son short pour me faire comprendre que je devais le lui enlever.

Je me suis un peu écartée et j’ai baissé son short lentement. Je supposais que son sexe serait plus gros que celui de Luc d’après la bosse mais je ne pensais pas à ce point. La surprise a dû se voir dans mes yeux. Le sexe exhibé par Marc était bien plus gros que celui de mon mari.

Le sexe de mon mari fait 14-15cm je pense, et n’est pas non plus très gros mais il est loin d’être ridicule.

Le sexe de Marc, n’était pas encore en érection même s’il avait commencé à gonfler. Il était déjà plus long que le sien et surtout plus gros aussi.

 

-          Marc : Vas-y Julie ! Prends-la en main. J’ai très envie que tu me touche. Sois sensuelle aussi.

 

J’ai donc pris son sexe dans ma petite main.

 

J’ai commencé à le branler doucement, comme pour Luc. De l’autre main je caressais ses cuisses, sa taille et son torse musclé. J’appréciais sa musculature. J’ai tenté de lui obéir en me faisant sensuelle et je collais parfois mes seins contre Marc qui continuait à me caresser.

Le sexe de marc était maintenant bien dur et vraiment très impressionnant. Je pouvais avoir les deux mains sur son sexe et le gland dépassait, gros comme un champignon.

La verge était longue, épaisse et parcourue de veines bleutées.

J’ai pensé à Luc et je me suis dit que Marc avait de quoi lui donner des complexes. J’étais totalement sous le charme de ce mâle et le désir me vrillait le ventre. Je n’osais pas regarder Luc qui y verrait ment mon envie.

 

-          Marc : Alors Julie, je te plais toujours ?

-          Moi : Oui

-          Marc : Et ma bite ? elle est belle non ?

-          Moi : oui, très belle

-          Marc : Et tu la veux en toi n’est-ce pas ?

-          Moi : ….

-          Marc : Je veux que tu regardes ton mari et que tu lui dises que tu veux ma queue, que tu la trouve belle et que tu veux que je te baise.

-          Moi : Je suis désolée mon amour, je n’arrive pas à comprendre ce qui arrive mais j’ai trop envie de lui. Sa queue grosse ! Si dure ! Si longue ! Je veux être à lui.

-          Luc : Baisez la Marc. Elle n’attend que ça. Faites la jouir !

 

Marc m’allongé et il a commencé par couvrir mon corps de baisers et de caresses. Il passait parfois sa langue sur mon sexe et je poussais alors des soupirs de désir.

Je voyais le gros sexe de Marc dur comme du bois, parfois sur le point de me pénétrer mais il me faisait languir. De manière incontrôlable, mon bassin cherchait de plus en plus le contact de son sexe. J’ai eu une pensée pour Luc et la vision que je devais lui donner. Il voyait sa femme comme il ne l’avait jamais vue. Je tendais parfois mes seins, mon ventre ou mon sexe à la bouche qui parcourait mon corps.

Marc s’est mis sur moi, me bloquant sous son poids et il a positionné son gland. Il m’a obligé à le regarder droit dans les yeux tout en m’embrassant. Il a commencé à pousser et j’ai senti le gland disparaitre progressivement dans ma chatte qui n’avait jamais rien accueilli d’aussi gros.

 

-          Moi : Oh mon dieu ! Doucement S’il vous plait. Vous êtes gros.

-          Marc : Détends toi ma belle. Elle va rentrer en entier et tu vas découvrir de nouveaux plaisirs.

-          Moi : Oh mon dieu ! Oh mon dieu !

-          Marc : Qu’est-ce qu’elle est serrée bon sang ! Luc, elle va bien la sentir ma queue.

 

Marc bougeait son sexe de façon lente et régulière. Il sortait son gland pour le replonger en me pénétrant toujours un peu plus mais je savais qu’il était loin d’avoir tout entré. Il jouait avec moi. Je gémissais de plus en plus fort. Au bout d’à peine 2 minutes de ce traitement, j’ai senti que j’allais jouir. J’ai ouvert les yeux en grand. Le plaisir venait. Mes doigts se sont crispés sur les draps. Marc a accéléré un peu, sans s’enfoncer plus. Et alors que je voulais cacher ma jouissance, elle a explosé trop bruyamment à mon goût.

Je me suis aperçu que Marc était totalement maître de lui et qu’il regardait parfois Luc en souriant.

Il s’est mis sur le dos et il m’a entrainé sur lui. Je me suis positionnée au-dessus de lui. J’ai moi-même tenu la verge de Marc et je suis descendue lentement. Marc semblait fou de mes seins. Il les caressait à pleines mains, franchement, il les suçait aussi et j’aimais ça. Les caresses étaient moins douces que celles de mon mari, plus sûres aussi. Sentir ses mains puissantes partout sur mon corps me rendait folle. J’aimais sa façon d’être. Tout était nouveau pour moi. Il m’a laissé plus de liberté de mouvement.

 

-          Marc : Vas-y ! Empales-toi ma belle ! Donnes-toi du plaisir.

Une pensée qui m’a mise dans un état second m’a traversé l’esprit. J’ai regardé Luc dans les yeux et mon mari a alors vu sa petite femme « s’empaler » elle-même sur le pieu de son amant, enfournant la grosse verge toujours plus loin. Je me suis stoppée alors qu’il restait  quelques cm à rentrer. Je tentais de m’habi à la taille du sexe de Marc quand il m’a saisie par les hanches pour que j’imprime un rythme lent et régulier. Il avait légèrement plié les jambes pour ne pas me pénétrer trop profondément. De façon tout à fait incontrôlable, je me suis mise d’abord à gémir, puis à jouir et finalement à gueuler de plaisir. Je sentais son sexe si profond en moi, si gros, si dur et doux en même temps.

Je me suis effondrée sur son torse, essoufflée. Marc m’a alors embrassé tendrement. Ce baiser m’a surpris et gêné devant mon mari. Marc a arrêté de m’embrasser, il m’a regardé avec une lueur de vice dans les yeux puis il a regardé Luc et il m’a saisi fermement par les hanches. Il a légèrement soulevé mes fesses et il a commencé

immédiatement des mouvements de bassin courts et rapides. La sensation était incroyable. Je me suis tout de suite mise à gémir en continu. Cet homme était une bête de sexe.

 

-          Marc : C’est bon une grosse queue hein ? T’aimes ça hein ?

-          Moi : OH ! OOHHH ! HAAAANN ! C’est trop bon ! ENCOOOOOORRRE !

-          Marc : Qu’est-ce qu’elle est bonne ta femme ! Elle va me faire jouir.

 

Alors que je venais d'avoir un orgasme terrible, il m’a retournée sur le dos, est sorti de moi et il s’est masturbé. Il a éjaculé dans un grand râle. J’étais couverte de sperme du pubis jusqu’au cou. Avant que j’aie pu réagir, il a récupéré du sperme sur son doigt et il l’a mis dans ma bouche. Après un instant d’hésitation, j’ai sucé son doigt, goûtant pour la première fois de ma vie du sperme….. Je ne peux pas dire que ce soit mon meilleur souvenir mais sur l’instant, ça m’a plu de le faire.

J’ai pris conscience de la présence de Luc à ce moment. Marc m’avait baisée pendant presque ¾ d’heure d’après le réveil, se montrant, sur le plan de l’endurance, plus performant que mon mari également.

Je me suis levée, encore sonnée par cette expérience, j’ai pris la main de Luc et sans un mot, nous sommes partis. On a pris une bonne douche et on s’est couché. Luc a voulu parler mais je n’étais pas en état, ni mentalement, ni physiquement. J’ai fermé sa bouche d’un baiser et je me suis blottie dans ses bras pour m’endormir.

Quand je me suis réveillée, j’étais plus à même de réfléchir à ce qui s’était passé.

Marc est un homme vraiment beau, viril tant par sa musculature que par la taille de son sexe. Etant plus âgé que nous, il avait une emprise sur moi mais aussi sur mon mari.

Il a su joué de son charisme pour profiter de moi et amener Luc à vouloir me voir avec lui. Voir sa femme se donner à un tel homme avait dû être très dur, vexant par moment, complexant même car jamais il ne m’avait fait jouir comme Marc l’a fait. Cependant, j’avais en mémoire des moments terriblement érotiques et j’espérais que Luc n’aurait pas de rancœur, que la jalousie n’avait pas été trop forte et qu’il pourrait me pardonner.

Je voulais lui parler alors j’ai commencé à le caresser et à l’embrasser. Il était 8h00 quand il a ouvert les yeux. Je l’ai embrassé à pleine bouche.

 

-          Moi : Désolée pour hier soir, j’avais besoin de dormir et de penser à tout ça calmement.

-          Luc : Ce n’est rien.

-          Moi : Non, ce n’est pas rien…. Je ne sais pas ce qui nous a pris hier soir. Je ne t’aurais jamais trompé avec Marc. Je veux que tu le saches. Tu es aussi coupable que moi pour ce qui s’est passé hier. Je ne vais pas nier que Marc m’attire. Ce serait hypocrite. Je ne vais pas nier non plus qu’il m’a donné du plaisir car tu étais là et tu as tout vu.

-          Luc : Je…

-          Moi : Attends, je voudrais terminer.

-          Luc : Ok

-          Moi : Je crois seulement que j’étais dans un état second. Le désir était trop fort. Ce qui me fait peur, c’est que ça devait être très dur pour toi. Je veux que tu sache que je t’aime. Je pense qu’on a vécu une expérience particulière et que je ne veux pas que ça se reproduise. J’espère que tu ne m’en veux pas de trop. Je t’aime et je ne veux pas te perdre. Je veux qu’on parte aujourd’hui pour être uniquement tous les deux.

-          Luc : Je t’aime Julie. Je ne t’en veux pas et je ne peux pas t’en vouloir car j’ai laissé faire et provoqué les choses même… Bien que Marc soit quelqu’un de persuasif. Je ne vais pas te mentir. Te voir dans ses bras a parfois été dur, très dur même.

-          Moi : Je suis désolée.

-          Luc : Ne sois pas désolée. Comme tu l’as dit, j’étais là. Tu vas me trouver bizarre, pervers même peut-être, mais j’ai aimé te voir avec lui. Vous avez baisé, longtemps, et bien. Il t’a fait jouir plus fort et plus longtemps que je l’ai jamais fait. Marc est un bon coup comme pourrait dire une femme n’est-ce pas ?

-          Moi : … Oui, mais avec toi, je prends du plaisir aussi.

-          Luc : Je sais mais tu avoueras que tu as beaucoup aimé baiser avec lui. J’ai bien vu que la taille de son sexe te faisait ressentir des choses que je ne peux pas faire. Sois franche avec moi. Je ne t’en voudrais pas.

-          Moi : … Oui, j’ai aimé beaucoup de chose hier… Je ne sais pas…. La situation, te savoir en train de regarder. J’avais honte mais en même temps, ne m’en veux pas mais Marc est très bel homme. Il est fort… Sûr de lui…. Plaire à un homme comme lui, c’était très excitant.

-          Luc : Et il t’a donné beaucoup de plaisir !

-          Moi : T’es têtu toi ! Oui ! Il m’a donné beaucoup de plaisir. Il est très viril. Tu as vu son engin ? C’était très bon et il atteignait des endroits qui m'ont donné des sensations que je ne connaissais même pas.

-          Luc : en plus vraiment gros !

-          Moi : Oui ! En plus ! C’était très fort ! Je ne sais pas si je dois mais je te remercie de m’avoir permis de vivre ça. J’ai pris du plaisir et je vais en garder un bon souvenir mais tu n’as rien à craindre. Je ne recommencerais pas. D’ailleurs, je te l’ai dit. Je veux qu’on parte aujourd’hui.

-          Luc : Ok. En effet, hier, je n’ai pas vu ça comme une tromperie mais j’espère que ça ne te manquera pas.

-          Moi : Non, sincèrement, je ne crois pas. Et puis je t’aime trop.

-          Luc : C’est très bien. Alors puisque tout est clair entre nous, je veux que tu ailles tout de suite dans sa chambre. Je veux que tu le réveille et que vous baisiez une dernière fois avant qu’on parte. Une occasion d’être dans une telle situation ne se représentera pas et je veux que tu en profites…. Toute la matinée si tu le souhaite.

-          Moi : Tu n’es pas bien !

-          Luc : Si, au contraire. Et ne me dis pas que tu n’as pas envie de connaître une fois de plus le plaisir qu’il t’a donné hier soir. Cette situation représente pour moi un fantasme que je n’avais jamais osé t’avouer…. Un très vieux fantasme.

-          Moi : Mais…

-          Luc : Pas de mais ! Je sens que tu en as envie et il aime tellement ton corps qu’il ne dira pas non. Je veux que tu y aille et que tu te lâches. Agis comme tu le veux ! Sois sensuelle et tendre ou directe et chienne, salope. Ou les deux. Ne penses pas à moi et vis ça comme une parenthèse qui restera dans nos mémoires à tous les deux. Maintenant, plus un mot. Soit tu y vas, soit on part immédiatement.

-

 

J’étais choquée, surprise…. Et contente à la fois. Il avait su voir en moi ce que je n’aurais jamais pu lui demander. Je me suis redressée, je l’ai regardé dans les yeux comme pour sonder sa sincérité. J’ai hésité un instant puis je l’ai embrassé. Pas de doute, il pensait ce qu’il disait.

 

-          Moi : D’accord mon chéri. Je vais y aller. Puisque tu m’y autorise, je vais aller me faire baiser. Je serais sa chienne s’il le souhaite. Je pomperais sa grosse queue et je le laisserais tout faire. C’est vraiment ce que tu veux ?

-          Luc : Oui !

 

Je me suis levée, entièrement nue et sans un regard en arrière, mais je me suis arrêté à la porte.

 

-          Moi : Sa chambre est juste à côté. Tu vas nous entendre. Branle toi bien mon amour.

 

J’ai disparu dans le couloir, excitée par cette simple phrase et je suis entrée dans sa chambre en fermant la porte derrière moi.

Marc dormait, sur le dos, les draps descendus à la limite de son sexe.

La simple vue de cet homme me rendait déjà folle. Je suis montée doucement sur le lit et j’ai déposé des baisers sur son torse musclé. Puis j’ai passé mes mains sur son corps. Marc s’est réveillé.

 

-          Marc : Quel réveil ! c’est très agréable ! Tu veux recommencer ce qu’on a fait hier soir c’est ça ? Ton mari sait que tu es là ?

-          Moi : Oui, c’est lui qui m’a dit de venir.

-          Marc : Et tu n’as pas dit non ! Dis-moi clairement pourquoi tu es là !

-          Moi : J’ai joui très fort hier et je veux encore jouir. Je veux me faire baiser et je veux ton sexe en moi.

-          Marc : c’est bien. Tu vas te donner à moi alors.

-          Moi : Fais ce que tu veux, mon corps est à toi pour la matinée. Je t’appartiens.

-

 

Luc m’avait donné la permission de midi et je comptais bien en profiter, comme il me l’avait demandé. J’étais une autre.

 

-          Marc : caresses-moi !

 

J’ai repris mes caresses, appréciant sa musculature à sa juste valeur. Mes mains descendaient de plus en plus le drap, dévoilant son sexe. Je suis passée sur lui, effleurant son torse avec mes tétons, léchant le corps de marc. J’ai caressé ses épaules, ses pectoraux, son ventre et ses cuisses puissantes. Le sexe de Marc faisait des bonds lorsque je l’effleurais.

Marc m’a attiré et on s’est embrassés. Nos baisers étaient passionnés et les mains de Marc ont pris possession de mon corps. Je m’offrais totalement aux caresses, gonflant la poitrine, creusant mon ventre.

Marc est descendu au niveau de mon sexe et il a commencé à la me lécher.

 

-          Moi : Oui Marc, lèche-moi. C’est bon.

 

Il savait vraiment y faire. Il a même aventuré sa langue sur mon anus par moment et je l’ai encouragé alors que j’avais toujours refusé que Luc touche cet orifice.

-          Moi : C’est trop bon. Laisses moi te toucher. Je veux te sucer.

 

Marc s’est positionné et on a commencé un 69. Je suçais mon amant avec ardeur alors qu’il me léchait, me doigtait. Il a même glissé un doigt puis 2 dans mon anus.

Je poussais de petits gémissements étouffés par la grosse bite dans ma bouche. Marc s’est redressé.

 

-          Marc : on va passer aux choses sérieuses maintenant.

-          Moi : Oh oui ! J’ai trop envie.

-          Marc : Tu la veux ma queue hein ! Offre-toi. Tends-moi ton joli petit cul.

 

Je me suis mise dos à lui et on s’est roulé un patin comme ça, le sexe de Marc calé dans la raie de mes fesses et ses mains sur mes seins. Il simulait une pénétration.

J’étais sa chose. Il m’a saisi au niveau de la nuque et m’a obligée à me pencher en avant. Moi qui ne suis pas toujours très partante pour cette position, là, j’étais totalement docile. J’étais maintenant à 4 pattes devant Marc qui branlait doucement sa grosse queue. Il a caressé du bout du gland ma chatte. Jamais je n’avais autant désiré être « prise ». J’ai cambré encore plus les reins pour l’inviter à me prendre.

-          Marc : Je vais te baiser comme tu n’as jamais été baisée ma petite. Ton mari va t’entendre gueuler comme la salope que tu es. Je suis sûr qu’il va se branler pendant que je vais te prendre. Ça t’excite ?

-          Moi : Oui, prends-moi. VAS-Y !!!

 

Marc a affermi sa prise sur mes hanches et il a poussé. Sa queue a pénétré tout de suite mon sexe complètement trempé. J’ai poussé un long feulement alors qu’il s’introduisait. Une fois au fonds de moi, il s’est stoppé, me laissant le temps de m’habi à son calibre. Il a commencé des allers retours lents et puissants, prenant bien soin, à chaque fois qu’il était au fond de pousser un peu plus. Je n’aurais jamais cru ressentir ça un jour. C’est indescriptible. Les femmes qui disent que la taille n’a pas d’importance n’ont jamais eu affaire à un amant tel que Marc qui en plus d’être monté comme un dieu, savait vraiment s’en servir.

Je poussais des cris rauques. Je serrais fort les draps, haletais par moments.

 

-          Marc : Ah c’est autre chose que la petite bite de ton mari hein ! Tu la sens bien là !

-          Moi : OH mon dieu c’est si gros ! Encore ! OUI !

-          Marc : qu’est-ce que t’es bonne ! T’es serrée comme une gamine. Ta chatte me suce la queue…. Ton mari est un petit cocu maintenant… Et toi tu es devenue une salope.

 

Il a accéléré un peu et je suis partie immédiatement dans un orgasme incroyable. J’ai vu dans un miroir notre étreinte. La vision que j’avais était très hard. Mon amant, un homme viril, très beau et puissant me prenait en levrette. Je me sentais très belle et désirable comme ça, soumise et consentante alors qu’il me besognait fort. Comme il l’avait prédit, je « gueulais » sous ses coups de boutoirs. Il a tenu la cadence longtemps, me donnant plusieurs orgasme puis il est sorti, m’a retournée et a enfoncé dans ma bouche son sexe gonflé, prêt à exploser.

 

-          Marc : Salope, fais-moi jouir ! Je veux que tu boives mon jus.

 

Je ne me reconnaissais pas. J’ai saisi le membre plein de mouille, énorme et je l’ai branlé tout en le suçant. Pour rien au monde, je n’aurais voulu manquer son sperme et j’accompagnais de ma bouche les mouvements incontrôlables du bassin de Marc. Il a commencé à jouir dans un râle et j’ai tout reçu dans ma bouche. J’ai tout avalé, en malaxant ses bourses pour m’assurer que j’allais tout avoir, et pour le récompenser au mieux des orgasmes donnés. Même quand il a eu fini de jouir, J’ai continué à le lécher un peu. On s’est allongés côte à côte et on s’est embrassés.

Après un moment de calme, c’est moi qui ai recommencé à le caresser. J’avais encore envie et lui aussi. Il était sur le dos. Quand sa bite est redevenue suffisamment dure, je me suis glissée dessus en une seule fois. Il en a profité pour me caresser les seins et les cuisses. Je cherchais à embellir mon corps par ma position sur lui, à être splendide. Mes fesses étaient écartées par les mains de Marc. Il a recommencé à me caresser l’anus et ça me plaisait alors je cherchais le contact de ses doigts. Son sexe était fiché tout au fond de mon ventre…. Si Profond ! Avec le majeur de chaque main, il déplissait mon petit trou.

Marc soufflait fort, excité par mon corps et ses caresses sur mon cul.

-          Moi : Tu aimes me caresser le petit trou toi. Tu es un pervers

-          Marc : Ton cul est magnifique. Il me fait envie depuis qu’on s’est vu. Et puis tu m’as dit que tu étais à moi alors j’en profite.

 

Nous parlions fort et je ne sais pas ce qu'il en était pour Marc mais pour ma part, c'était pour que mon mari entende.

-          Moi : Tout ce que tu veux ! AAAHH ! Ta grosse queue ! Si dure ! OOHHH ! Je jouis ! OUIIIIII ! Je n’aurais jamais cru ressentir ça. C’est trop bon.

-          Marc : Et j’en ai pas fini avec toi. Ça m’excite de savoir ton mec juste à côté. Qu’il sache que j’enfile sa femme, que je la fais jouir plus fort que lui. Je te baise mieux que lui hein ?

-          Moi : Oui, beaucoup mieux. C’est tellement gros ! MON DIEU ! OUIIII ! Et ton doigt dans mon cul. J’aime ça ! Tu vas vouloir m’enculer, non ?

-          Marc : Tu la veux dans le cul ? Comme une bonne chienne ?

-          Moi : Oui, je suis ta chienne et je veux ta bite partout en moi.

 

Marc m’a soulevé comme une plume et j’ai été à nouveau impressionné par son braquemart. Il m’a encore mis en levrette et il a léché mon anus. Il agissait comme un porc mais j’appréciais. Il a pris un flacon dans sa table de nuit et a versé un peu de liquide dans la raie de mes fesses. Sans attendre, il a introduit un doigt puis deux dans mon anus, entrant rapidement toutes les phalanges. Je grognais, bougeait mon bassin pour échapper à cette intrusion inhabituelle pour moi mais il me maintenait en position.

Petit à petit, j’ai ressenti plus de plaisir et moins de gêne. Timidement, je suis allée à la rencontre des doigts qui me fouillaient. C’est quand il a réussi à entrer un troisième doigt qu’il s’est relevé. Il a mis du lubrifiant sur son sexe toujours aussi dur.

-          Moi : Doucement s’il te plaît. Je ne l’ai jamais fait par là.

-          Marc : OH ! Encore mieux. C’est moi qui vais avoir l’honneur de déflorer ton joli cul. Détends-toi. Tu ne le sais pas encore mais tu es faite pour le sexe et tu vas adorer…. Et moi aussi.

 

Marc a appuyé sur mes épaules et je me suis retrouvée les fesses en l’air, complètement offerte. Je n’en menais quand même pas large car le calibre était vraiment gros.

Il a appuyé doucement son gland puis il a un peu. Le gland est passé rapidement mais j’ai poussé un grand cri mêlant douleur et surprise.

Pendant plusieurs minutes ensuite, il a fait sortir et pénétrer son gland en s’enfonçant un peu plus loin.

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