Collection Échangisme. Première Fois (2/3)

J’ai réussi à lier un contact avec Laurence la femme de Jean mon amant, amant en tout bien tout honneur, nous sommes échangistes avec Luc et il est présent à chaque fois quand nous faisons l’amour.
Ça fait un mois que Jean essaye d’entraîner sa femme vers le libertinage.
Il vient tous les vendredis sous couvert d’être au football en match vétéran, avec troisième mi-temps.
Je deviens la troisième mi-temps, j’adore quand ils me prennent en double pénétration.
Afin de faire pencher Laurence vers le libertinage et l’entraîner vers l’échangiste, j’ai promis aux garçons que je réussirais à ce que nous fassions l’amour tous ensemble.
Je viens de réussir à la voir en partie nue, à lui montrer ma chatte.
J’ai mes deux mains sous sa robe longue, je tire vers le bas sa petite culotte, je la sens fébrile, je tiens à pousser mon avantage, mais la moindre erreur pourrait nous être fatale.

- Drôles de situations, nous nous retrouvons directement dans ta chambre, fais-moi visiter.
- Il faut que je me secoue, c’est la première fois que je me retrouve dans cette situation, viens dans la salle, j’espère que tu vas apprécier le repas que je t’ai préparé.

Gros mensonge, j’ignore dans quel but, je le fais, il était si facile de dire que c’est Jean qui a tout préparé.

- C’est charmant chez toi, c’est décoré avec goût, tu as mis la table, jolie vaisselle, as-tu des bougies allant avec ce chandelier ?
- Oui, des rouges.
- Regarde l’ambiance on se croirait dans un restaurant où se retrouvent les amoureux.
Tu as une belle chaîne haute-fidélité, j’ai amené un CD que je t’aurais mis si tu étais venue à la maison.
J’ai amené du champagne, j’ignorais les senteurs de parfum que tu aimes.
- Jean en a ouvert une dans le frigo.

Elle allume la chandelle, ferme la lumière, place son CD et appuie sur « Play », une musique douce monte dans la pièce, pendant que je vais chercher la bouteille de champagne.


On s’installe, je la serre et nous trinquons.

- À tes amours.
- Au tient aussi, dire que nos couillons courent après un ballon au lieu de s’occuper de nous.

J’apporte le foie gras, un délice, digne des plus grands chefs de France.

- Ton foie gras est divin, tu me donneras ta recette, chaque fois que j’en prépare, c’est nettement moins bon.

Un peu coincé la petite Laurence, il faudra que je voie avec Jean pour me sortir de cette panade.
C’est un slow qui passe sur la chaîne, « Comme d’habitude » de Claude François, le slow qui m’a fait chavirer quand j’ai rencontré Jean.

- M’accordez-vous cette danse mademoiselle ?
- Il faut que je demande à ma maman.

Éclat de rire, l’ambiance est détendue, nous nous levons, c’est Sonia qui d’entrée conduit la danse.
Pour une nouvelle première fois, mon bassin vient en contact d’un bassin féminin, des seins se retrouvent en contact des miens, j’espère que mon trouble lui restera caché.

- Tu sens nos monts de Venus qui se frottent, c’est la première fois qu’une femme me fait de l’effet.
- Je dois t’avouer que moi aussi, que m’arrive-t-il ?

Laquelle de nous à tourner sa bouche pour qu’elle vienne en contact avec l’autre, je l’ignore !
Mais c’est un fait que je constate, pour la première fois, je dois encore le reconnaître, je suis toute molle dans les bras de cette jolie femme, très peu connue de moi il y a peu.
Le disque se termine, Claude François m’a une nouvelle fois fait craquer.
Là, c’est plus étonnant, c’est dans les bras de cette jolie femme que cela se produit, surtout qu’elle sait orienter nos pas, je tombe sur mon canapé avec son corps recouvrant le mien.

C’est fait, j’ai réussi à faire chuter Laurence sur son canapé sans pour autant lâcher sa bouche.
Si je veux atteindre notre but avec mes deux hommes, il faut que je ferre la jolie pouliche que je viens de maîtriser.

Ma main se glisse dans la fente de sa robe, je me place à son côté pour dégager sa chatte.
Je passe un doigt sur son clitoris, rapidement, j’ai la preuve qu’elle mouille.
Je me laisse glisser le long du canapé, elle fait le chemin restant en ouvrant son compas.
J’avance ma bouche qui vient de quitter la sienne et ma langue plonge entre ses grandes lèvres.

- Que fais-tu Sonia, nous sommes folles, que va dire mon mari ?
Arrête, non continue, je vais jouir, c’est fort, je plane, arrête, continue.

Je viens de jouir sous la langue d’une jeune femme, je viens de rentrer dans le monde de Lesbos.
Pourquoi avoir attendu si longtemps, certes, il faut une occasion, c’est la première fois que je me trouve dans cette situation.
J’aime la bite de mon homme, mais je découvre que la langue de mon amie est aussi efficace que la verge de Jean.
Que vais-je lui dire quand il va rentrer, j’espère qu’il va rester bien sagement sur son terrain, car j’ai encore des choses à découvrir ?
Comme le goût de la chatte de ma maîtresse quand elle se lève, manquant de me faire hurler de frustration quand sa langue quitte mon clitoris, mais c’est pour mieux monter sur le canapé.
Elle place ses jambes de chaque côté de mon visage et m’offre ses grandes lèvres, bien plus développées que les miennes.

Moi qui refuse à mon mari de partouzer, qui aurais pensé quand ma langue entre en elle et que je trouve son excroissance que je deviendrais une lesbienne.
Ce qui est plus grave, c’est que j’aime ça.
Sa chatte dégouline de cyprine qui aurait pu m’indisposer mais j’ai ce petit goût salé.
Par chance, toute ma vie j’ai toujours été plus sel que sucre ça tombe bien.
Quand elle se met à chanter me prenant par la tête, je suis heureuse, pour la première fois Sonia m’a repoussé mes limites.

« Comme d’habitude » repasse sur la chaîne car le CD est en boucle.
Nous nous plaçons dans ce qu’il s’appelle un 69 et une nouvelle fois nous avons un orgasme au même moment.


J’ai réussi ce que j’étais venu chercher, nous nous gouinons avec Laurence, elle est tombée comme un fruit mûr.
Le ver que Jean a mis en elle lui parlant d’échangisme a dû la troubler ou avait-elle le fantasme de faire l’amour avec une autre femme et je suis arrivée au bon moment.
Je décide de profiter de cet avantage quand nous nous caressons coucher côte à côte.

- Merci, j’avais deux fantasmes, tu viens de réaliser le premier.
- Dis-moi !
- Faire l’amour avec une femme, tu viens de m’aider à le réaliser.

Oh ! la menteuse que chantait Dorothé dans notre jeunesse.
Elle était amoureuse.
Je suis une suceuse de chatte depuis que j’ai découvert qu’on pouvait jouir à deux.
Tout ça avant de connaître la bite de Luc et depuis autant, voire plus, de chatte que de verge lors de nos soirées échangistes.

- Et le deuxième.
- Dois-je te le dire, on risque de se fâcher.
- Je te promets après ce que tu viens de me faire vivre, je te jure de t’aider à le réaliser.

Et voilà c’est presque dans la poche, Laurence est une femme de tête, je l’ai tout de suite vue.
Je suis sûr qu’elle va honorer ce que je lui demande.

- Alors dit.
- J’aimerais faire l’amour avec un autre homme que mon mari en présence d’une autre femme.
Tu pourrais être celle-là.
- Je dois comprendre ce que j’ai l’impression de comprendre ?
- Tu peux, tu vois pourquoi j’hésitais à te le proposer.
- Tu veux que nous fassions l’amour entre couple.

J’ai peur que ce ne soit trop direct, une partie carrée d’entrée elle risque de refuser au dernier moment.

- Non, c’est bien avec ton mari, mais avec toi.
Une soirée à deux femmes et un homme, c’est là mon fantasme.

Je vois qu’elle hésite.

- Je vais être franche, Jean m’a proposé de faire de l’échangisme, j’ai toujours refusé.
J’ai toujours honoré ma parole, mettons ça au point.


Bingo…

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