Alfonso, La Beauté À Tout Prix (02)

Ce récit en 4 parties est une histoire d’amour entre un jeune escort et un homme mature.
Si vous souhaitez savoir à quoi ressemble Alfonso, ainsi que les différents lieux mentionnés dans cette histoire, n’hésitez pas à m’envoyer un email (sylvainerotic@yahoo.com). Cela rendra votre lecture plus plaisante

Les jours suivants, je ne pense plus ni à la maladie, ni à la mort. Alfonso occupe mon esprit en permanence. Son corps nu, ses caresses, ses baisers, son sourire, mais aussi sa jeunesse, sa curiosité, son intelligence. Je regrette aussi de ne pas avoir profité davantage de sa présence, de ne pas lui avoir fait l’amour plus fort, plus souvent, avec plus de folie, de passion… Je le veux encore, je le désire. J’ai besoin de lui. Au bout de quelques jours, je lui envoie un message
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Alfonso.
J’ai passé un moment exceptionnel avec toi. Je veux te revoir le plus vite possible. Quand es-tu disponible ?
Antonio
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Salut Antonio,
Merci beaucoup pour ton message. J’ai passé un bon moment avec toi. Merci encore pour ta grande générosité. J’ai beaucoup de boulot à la fac en ce moment, et plusieurs clients aussi. Je suis disponible à la fin du mois prochain
Alfonso
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Alfonso,
Peut-on juste se voir avant, dans les prochains jours, un après-midi à Barcelone ? Quand tu veux où tu veux. Pour la somme que tu veux.
Antonio
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Antonio,
Je peux me libérer mardi prochain pour un après-midi entier, entre 2 heures et 8 heures. A l’hôtel W. Je te demande la plus grande discrétion. RDV au bar. Pas de signe d’affection. Je te laisse réserver une chambre.
Alfonso
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J’atterris à Barcelone le mardi matin. J’ai tellement hâte de revoir Alfonso. J’arrive tôt au bar du W. L’hôtel est magnifique. Je ne suis pas surpris… Alfonso a vraiment des gouts de luxe. Alfonso arrive à l’heure. Chemise blanche de lin largement ouverte sur son torse. Il sourit.

Sa beauté me transperce et m’irradie comme la première fois. Son regard me rappelle la nécessité d’être discret. J’ai du mal à retenir mes mains et mes lèvres. Nous jouons parfaitement le jeu des deux amis. Nous parlons actualité et art un verre à la main. Je ressens du plaisir à lui parler. Il est vraiment exceptionnel. Mature, posé. Je vole une photo de lui avec mon smartphone. Je ne peux m’empêcher. Une fois les verres vides, nous montons vers la chambre. J’ai réservé la suite présidentielle au dernier étage.
Alfonso s’exclame. La vue est à couper le souffle. La suite occupe le dernier étage, sans vis-à-vis. Alfonso est émerveillé par tant de luxe. Il s’approche. Ses bras s’enroulent autour de mon cou. Il m’embrasse
- Merci
- De rien mon chéri. Merci d’avoir libéré ton emploi du temps
Il commence à déboutonner ma chemise doucement. Il la retire en entier. Il veut continuer à me déshabiller. Je l’interromps. Je veux être aux commandes. Je veux un après-midi entière dédié au sexe. Et faire tout ce que je veux
- Laisse-toi faire
Je défais ses vêtements lentement un par un. Je l’effeuille. Il est maintenant intégralement nu devant moi. Mes mains le caressent doucement. Mes lèvres embrassent les siennes. J’ai décidé de prendre mon temps, d’aimer chaque partie de ce corps parfait. Faire durer le plaisir et la beauté le plus longtemps possible. Je me mets à genoux et commence à sucer. Mon adonis est debout. Mes mains caressent ses cuisses et ses fesses. J’admire son torse. Je le conduis vers le lit. Un grand lit circulaire au milieu de la chambre. Les baies vitrées inondent la chambre de soleil.
J’allonge Alfonso sur le dos. Il est immobile. Je joue avec son corps. J’embrasse doucement chaque partie de son corps. Je lèche, je caresse avec mes mains. Tant de beauté. Je veux graver ce moment dans ma mémoire. Ma langue lèche ses tétons, et le precum apparait au bout de son gland. Je commence à le sucer. Je vénère sa queue, la mouille, la lèche, la suce sans m’arrêter.

- Mets-toi sur le ventre
Je vénère maintenant son dos parfait. Baisers, caresses, lèches dans les cheveux, le cou, les épaules, le dos, les fesses, les cuisses, les mollets et les pieds. Le massage érotique et sensuel fait gémir Alfonso de plaisir. Les baiser et les caresses sur les fesses reprennent. La courbure est parfaite. Michel Ange… J’écarte les fesses. Alfonso se redresse un peu. Je mange son petit cul pendant longtemps. Mais il est maintenant temps de t’admirer en train de jouir. Je te retourne sur le dos, et te branle. Tu exploses sur mon visage et dans ma bouche. Je lèche le sperme et le partage avec Alfonso dans un baiser. A mon tour de te donner une éjaculation faciale. J’avais tellement aimé voir son visage couvert de sperme la dernière fois…
Je le prends par la main pour l’emmener sous la douche gigantesque. Je continue à décider de tout : c’est moi qui le lave, qui prend soin de ce corps parfait. Alfonso enroule une serviette autour de sa taille. D’une main je la fais tomber
- Non reste nu, tout l’après midi
Main dans la main, nous partons vers la terrasse. Pas de vis-à-vis, nous sommes trop haut. Penché contre le bord, je prends Alfonso par l’épaule et dépose un baiser sur ses lèvres. Il sourit. On bronze nus tout en discutant et lisant. Il est en train de lire le dernier Mario Vargas Llosa. Je passe de la crème solaire sur sa peau nue.
Au bout d’un moment, Alfonso se lève pour admirer la vue. Je veux faire l’amour au soleil, devant cette vue superbe. Je m’approche et je caresse ses épaules. Il se retourne, sourit et descend à genoux pour me sucer. Le soleil inonde les peaux nues. Alfonso suce comme le pro qu’il est. Il se redresse. On s’enlace et s’embrasse
- Penche-toi
Alfonso se penche contre la balustrade transparente
J’écarte ses fesses et lui bouffe le cul.
- Cest bon continue Antonio
Ma langue pénètre son anus. Je me redresse et le prend par derrière contre la balustrade. Je le baise pendant un bon quart d’heure.
On admire la vue magnifique tout en baisant.
- Prends-moi sur la chaise longue
Alfonso se met à quatre pattes sur la chaise longue et je continue à l’enculer. J’admire son dos et ses épaules.
Je me mets ensuite sur le dos et il s’assied sur ma queue. Il monte et descend. Il a l’air heureux. Il prend du plaisir c’est certain. Mes deux mains caressent son torse et ses seins
- Tu m’as tellement manqué Alfonso. Tu es tellement beau
Il sourit et descend déposer un baiser sur mes lèvres. On finit par jouir ensemble, moi au fond de lui. Lui sur mon torse.
On refait l’amour toutes les heures. Sur le lit. Alfonso m’encule à son tour et jouit en moi sans capote. Quand le jour commence à tomber, je fais monter une bouteille de champagne et du caviar dans la chambre.
On s’installe dans le jacuzzi sur la terrasse. Je dépose moi même les toasts de caviar dans la bouche d’Alfonso. Ma main caresse sa joue. Je l’embrasse sur les lèvres.
- Rien n’est trop beau pour toi mon chéri
On fait l’amour une dernière fois dans le jacuzzi. Alfonso vient s’assoir sur ma bite. Les bras enroulés autour de mon cou. Je dévore son visage et ses lèvres de baisers tout en déposant mon sperme en lui.
Il se fait tard. Alfonso se rhabille. Il doit retourner étudier. Je lui tends un chèque sans aucun montant dessus.
- Prends ce que tu veux mon chéri
Et je l’embrasse sur la bouche.
Qui es-tu Alfonso ? J’ai passé un après-midi paradisiaque. Tu es tellement beau, intelligent, charmant. Et pour un hétéro, tu as manifestement pris beaucoup de plaisir. Ou alors tu es un acteur hors du commun.
Les jours qui suivent ma passion grandit. Alfonso est présent dans mon esprit continuellement. J’ai envie de la posséder, de l’avoir avec moi, tout le temps. Mais je veux en savoir plus sur lui.
Je rencontrer un détective privé peu après. Je lui tends une photo d’Alfonso.
- Alfonso Costa. Etudiant en droit à Barcelone. Je veux tout savoir sur lui.
En toute discrétion. Peu importe le prix
En parallèle, je fixe mon prochain rendez-vous avec Alfonso. Il est malheureusement très pris par d’autres clients. Il me faudra attendre près de 5 semaines.
Ça laisse du temps à ma petite enquête. Au bout d’un mois, je rencontre mon détective dans un endroit anonyme. Il est satisfait de ses recherches. Il me tend une enveloppe épaisse, remplis de papiers et de photos.
- Nous avons trouvé à peu près tout ce que nous voulions. Ce jeune homme est un cas… intéressant si je puis dire. Alfonso Costa est son vrai nom. Il est bien étudiant en droit. Excellents résultats, très bonnes notes. Un étudiant brillant. Il habite un studio, hors de la résidence étudiante. Pas mal d’amis, filles et garçons et une vie sociale comme tous les garçons de son âge, mais pas d’amis vraiment intimes ou proches. Il adore l’art et le luxe. Il s’intéresse aux expositions et ne porte que des vêtements de très grandes marques
Je feuillette les photos volées. On y voit Alfonso à la fac avec des amis
- Que savez-vous de son passé ?
- C’est là que ça devient intéressant… D’après son entourage, il est orphelin, sans parent proche et héritier d’une forte somme d’argent. C’est ainsi qu’il justifie son train de vie
- Orphelin ?
- Oui, et c’est exact. Il a perdu ses parents à l’âge de 8 ans, renversés par un bus. Par contre, contrairement à ce qu’il prétend, il vient d’un milieu extrêmement pauvre. Des parents paysans et analphabètes. Très religieux. A la mort de ses parents, il est envoyé dans un orphelinat catholique, élevé par des religieuses. Après le collège, entre l’âge de 15 et 18 ans, il y a un trou dans sa vie. Aucune trace nulle part. Il réapparait à Barcelone à l’âge de 18 ans étudiant en droit.
J’observe l’acte de naissance, et une photo d’Alfonso bébé avec ses parents. Puis l’acte de décès. Une autre photo de classe d’Alfonso à 10 ans
- S’il n’a hérité de rien, d’où vient son train de vie ? fais-je semblant de demander
- Il se prostitue, avec des hommes. Dès son arrivée à Barcelone, à tout juste 18 ans, surement pour payer ses études et s’offrir le train de vie qu’il souhaite, il se prostitue auprès d’hommes riches, et le plus souvent plus âgés.
Dans l’enveloppe, d’autres photos volées. Alfonso dans un restaurant, attablé avec un homme d’une soixantaine d’années. Puis une autre avec le même homme dans une galerie d’art. Une autre prise au téléobjectif : Alfonso entièrement nu, avec des lunettes de soleil, sur le pont d’un yacht. D’autres ou on le voit plonger nu depuis le même yacht. Puis une enlacé nu avec un homme d’environ 50 ans, lui aussi nu. Je suis dévoré de jalousie à la vue de ces photos
- D’autres détails sur sa vie sexuelle ?
- C’est assez confus. La semaine dernière, il a rencontré une fille dans une boite de nuit, et ils ont passé la nuit ensemble dans son studio. Nous avons aussi pu hacker son ordinateur portable. L’historique de navigation montre qu’il accède à des sites pornographiques hétérosexuels, mais aussi homosexuels. Notamment des sites entre hommes jeunes et plus âgés. Dans sa vie sociale, tout laisse paraitre une vie bien rangée d’hétérosexuel. Compte tenu de son physique avantageux, toutes les filles de la fac sont à ses pieds. Personne n’est au courant de sa double vie de prostitué. Tous ses rendez-vous ont lieu hors de Barcelone. Il n’a pas d’amis proches non plus. Tout est bien cloisonné dans son existence.
Je tends une enveloppe remplie de billets
- Merci pour votre enquête
Suis-je surpris par tous ces détails ? Pas vraiment. Tout me parait logique. Mais qui es-tu vraiment Alfonso ? Que désires tu vraiment au fond de toi ? Comment peux-tu être si passionné pour un prostitué ? Fais-tu uniquement cela pour l’argent ? Je tressaille… Ce garçon me ressemble tellement. Le fait de le savoir orphelin me chagrine. Mon désir pour lui ne fait que grandir. J’aimerais qu’il soit heureux, riche, beau, comblé, et libre de choisir la vie qu’il veut. Je veux le chérir comme un fils, comme un amant. Je veux que sa vie soit parfaite.
La prochaine visite à Madrid d’Alfonso arrive vite. Je le laisse conduire ma Porsche en revenant de l’aéroport le samedi matin. Dès la porte de l’appartement fermée je l’embrasse passionnément
- Tu m’as manqué mon chéri
Il sourit en m’embrassant passionnément. Il me dit qu’il est content de me revoir. J’ouvre une bouteille de vin. Tu visites encore l’appartement comme un musée. Tu n’as pas eu le temps de tout voir lors de ta précédente visite. Tu admires le Picasso et le Miro. Tu es excité de passer le week end entier à Madrid. Tellement de choses à voir et à faire.
On s’embrasse et se caresse dans le canapé, tout en se déshabillant. J’ai décidé de lui faire l’amour dans le salon. Nous sommes maintenant nus sur le canape dans les bras l’un de l’autre. Alfonso se penche pour me sucer. Gorges profondes, lèches, sucions, il s’occupe de ma bite comme un chef tandis que mes mains le caressent. On se met en 69, Alfonso au-dessus, moi en-dessous. Sa bite descend dans ma gorge tandis que je caresse ses flancs. J’adore le sucer et me faire sucer en même temps. Je remonte progressivement pour lécher le périnée. Alfonso trésaille. Ma bite sort de sa bouche et je l’entends gémir. Il me supplie de continuer. Mon langue remonte vers l’anus. Je lèche bien en profondeur. Mes mains écartent ses fesses. Il a repris sa fellation et notre 69 de folie continue.
- Mets-toi à quatre pattes sur la table basse
Je le regarde, je l’observe ainsi. Statue magnifique au milieu des autres statues du salon. La plus belle œuvre d’art qui soit. Une beauté parfaite mais surtout vivante. Tu es mon œuvre d’art Alfonso. Je l’embrasse longuement sur la bouche. Mon doigt glisse le long de sa colonne vertébrale jusqu’à son anus. Il frémit. Je me place devant lui pour me faire sucer un moment. Puis je me place vers son autre extrémité pour la lécher et la préparer. Je pénètre ensuite mon œuvre d’art par derrière en levrette. Je suis submergé par la beauté qui m’entoure. Je caresse les épaules d’Alfonso, j’agrippe ses hanches. Je descends le long de son dos et lui murmure à l’oreille
- Tu es magnifique mon chéri
Il se retourne et nos langues se touchent.
- Continue Antonio, j’adore ce que tu me fais.
Je sodomise Alfonso pendant longtemps avant de jouir dans son cul. Après cela je le suce jusqu’à ce qu’il jouisse entièrement dans ma bouche.
Le week end démarre parfaitement. Nous partons déjeuner ensemble. La pensée qu’Alfonso porte mon sperme en lui et moi le sien m’électrise. Le déjeuner est fort plaisant. Le sexe ne me traverse pas l’esprit. Après les richesses du corps, celles de la conversation. Art, politique. Je bois ces paroles autant qu’il boit les miennes. Apres déjeuner, l’après-midi se poursuit dans quelques galeries. Puis j’emmène Alfonso dans un magasin de vêtements de luxe
- Achète ce que tu veux mon chéri
Un sourire d’émerveillement illumine son visage.
- Vraiment ?
- Oui, tout ce que tu veux
Nous défilons d’un magasin à l’autre. Je prends plaisir à le voir essayer les plus grandes marques et choisir des pantalons, chemises, chaussures de luxe. Le voir se couvrir de beauté me rend heureux et je dépense des sommes colossales.
Le soir, les bras chargés de paquets nous rentrons à l’appartement. Nus sur le lit, nous faisons l’amour. Alfonso me lèche le cul avant de m’enculer dans toutes les positions. Il m’embrasse tendrement après l’orgasme
- J’ai passé une journée magnifique, me glisse-t-il
- Moi aussi
Comme un petit garçon il me demande doucement
- Tu crois qu’on peut retourner faire quelques courses demain ?
- Bien sur mon chéri. J’aime céder à tous tes caprices
Le lendemain après quelques courses et un brunch, je me lance
- Alfonso, j’ai bien réfléchi. Je te veux dans ma vie
Il est surpris, choqué
- Tu sais bien que ce n’est pas possible. J’aime passer du temps avec toi. Mais tu te trompes sur la nature de nos relations. Je crois que tu t’imagines des choses. Je suis hétéro souviens toi
L’entendre dire qu’il est hétéro me laisse toujours perplexe, mais je n’ai pas envie d’ouvrir la boite de Pandore
- Non bien sûr, je ne rêve pas. Mais j’aimerais m’assurer que l’on puisse continuer à se voir… Je te propose un marché : je deviens ton unique client. On se voit une fois par mois, plus quelques vacances par ci par là. En échange, tu ne vois plus d’autres clients, et tu peux mener la vie que tu veux entre temps à Barcelone. Tu recois de ma part une rente mensuelle conséquente qui te permet de vivre dans le luxe, comme tu le souhaites. Qu’en penses-tu ?
Alfonso est surpris. Il réfléchit intensément. Comment pourrait-il refuser une offre pareille ? Il se met à sourire
- D’accord. Mais nous gardons le même anonymat. Cela reste uniquement entre nous. Tu me laisses vivre ma vie comme je l’entends
- Bien entendu
L’après-midi on fait l’amour une dernière fois avant qu’Alfonso ne reprenne l’avion vers Barcelone. Le lendemain, j’effectue un virement. Je m’assure que la somme permet à Alfonso de louer un bel appartement dans un quartier chic, dépenser tous les mois dans des boutiques de luxe, sortir avec ses amis dans les endroits les plus à la mode. Je suis heureux qu’il puisse mener cette vie-là. Du moment que cela lui plait, et que cela nous permet d’être ensemble.

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