Collection Échangisme. Première Fois (3/3)

Bingo !
C’est le mot qui me vient à l’esprit quand Laurence que je viens de manipuler afin d’atteindre notre but à Jean son mari et Luc le mien de l’amener vers l’échangisme.
J’arrive à l’amener aux plaisirs féminins lui faisant croire que c’était l’un de mes fantasmes.
Ce fantasme que j’ai réussi à lui faire avaler moi qui me gouine avec des copines depuis que des seins me sont poussés en est la première étape.

Bingo, car je joue du fantasme comme d’autre joue de l’harmonica en lui faisant gober que j’aimerais faire l’amour à trois.
C’est dégueulasse pour Luc, mais pour éviter de l’effaroucher ma proie, je lui explique que mon fantasme est de faire l’amour avec une femme et un homme.
Ils sont une femme et un homme et faire l’amour avec eux régleraient ce fantasme.

Là encore, lui faire croire que ce sera la première fois alors que des bites depuis que je me mélange avec d’autres, ce sont des kilomètres qui ont dû me pilonner, inutile de lui dire.

Quelle conne, non seulement j’ai brouté la chatte de Sonia mais je viens de lui proposer de coucher avec mon mari.
Heureusement, nous serons tous les trois.
Sentir la verge d’un autre homme que le mien m’apporte des hauts le cœur.

- Quand veux-tu que l’on t’aide à réaliser ton fantasme ?
- Que je réfléchisse ?
- Vendredi, ils ont entraînement je veux cacher à Luc ma tromperie alors samedi.
Il va chez sa mère ce week-end car elle a des travaux à lui faire faire.
Mais c’est vous qui venez chez moi.
Je me sentirai plus à l’aise si c’est dans mon lit que ça se passe.

Ouf, j’avais peur que Sonia veuille que nous fassions ça chez nous.
Chez eux c’est mieux.

Je viens de rentrer de mon travail et je sirote mon whisky dans mon fauteuil.
Quand Laurence s’avance recouverte de son peignoir certainement nue.

- Loulou, tu vas me gronder, mais tu sais que je suis incapable de te cacher quoi que ce soit.


- Dis, je t’aime tant que je te promets de rester zen.

Comment me prendre la tête avec celle de ma femme ?
Elle me dit la vérité car son nez bouge quand elle ment ou évite de me dire la vérité.

- J’ai couché avec Sonia.
- Vous vous êtes allongée après le repas.
- Oui et non.
- Vous vous êtes gouinée !
- J’ai honte, pour me faire pardonner, je vais réaliser un de tes fantasmes ainsi que le deuxième de Sonia.
- Tu me fais peur, de quoi s’agit-il ?
- Nous irons samedi chez eux, elle nous invite et nous ferons l’amour à trois.
- Luc sera absent ?
- Oui, il sera chez sa mère pour lui faire des travaux.
- C’est d’accord, pour Sonia, reste calme ce sont des choses qui arrivent et si tu y as trouvé du plaisir moi ça me va.
- Surtout que samedi, je vais te l’offrir à la femme de ton copain.
J’ai failli lui dire non, tu connais mes principes, mais je m’y suis mal pris et tu sais aussi que je suis fidèle à mes engagements.
C’est un peu pour ça que l’échangisme me fait peur, je veux être fidèle à mon engagement devant le curé.
- En attendant vient dans mes bras, je vais te prouver que ce contrat moral, je serais prêt à l’honorer.

Bien jouée, Sonia a été d’enfer, je comprends mieux tous les renseignements qu’elle a prise sur notre proie.
Je connais celle à qui je caresse la chatte, dans sa tête Sonia et ses rapports lesbiens laisseront une trace identique à celle qui serait restée si c’était Luc par exemple qui l’aurait baisé.
Samedi, je vais voir si elle va jusqu’au bout, en attendant ce moment, ça vos biens un petit coup de bite sans pour autant que cela ressemble à un quelconque devoir conjugal, même si faire ça à plusieurs restes mon propre fantasme.
Je lui prends la bouche, elle aime les baisers longs et profonds.
Je me surprends à penser que Sonia a mis sa langue là où je mets la mienne et que pour elle s’était la première fois si elle me dit réellement la vérité.

J’arrête de penser à ce qu’elles ont fait, je verrais ça assez tôt.
Je bande, elle profite de la position pour se l’introduire et nous jouissons en vieux couple même si nous sommes toujours très jeunes.

- Alors Jean qu’en penses-tu, je suis d’enfer, ta poulette je l’ai piégé rapidement.
- Te rends-tu compte, il a fallu que je me fasse passer pour une vierge des chattes à brouter pour qu’elle me donne la sienne.
J’ai failli éclater de rire à un certain moment de notre soirée risquant de tout foutre parterre.
- Tu en as de bonne, tu me shoot de notre jeu m’obligeant à mettre un nœud sur mon mouchoir pendant que toi Jean tu t’éclateras avec deux femmes qui s’occuperont de toi.
- Arrêtez de dire des conneries, si j’avais deux fantasmes pour ta femme, j’en ai deux pour nous demain et pour maintenant.
Commençons par demain, voilà comment chacun de vous va agir.

Une vraie salope, c’est pour ça que je l’aime.
Sonia ma femme lesbienne, suceuse de nombreuses bites le jour où je l’ai épousé m’a rapidement mis le pied dans l’échangisme.
Elle est loin d’être une femme se contentant de ma simple bite, ça je l’ai vite compris alors je me suis adapté et nous formons le couple parfait aux yeux de nos amis.

- On est d’accord.
Loulou, c’est toi qui as le plus beau rôle.

Loulou, lui aussi a ce petit nom.
J’ignore pour Luc, moi ça m’exaspère d’avoir l’impression d’être pris pour un clébard.

- Pour me faire pardonner, amenez-moi vos bites que je vous suce avant que vous me preniez en double pénétration.

Deux pour moi, zéro pour elle, on va bien s’éclater quand je sentirais ces deux verges limer mon périnée.

- Entrez, je nous ai préparé un petit repas froid.
Merci Jean d’avoir accepté de réaliser mon fantasme.
J’ai séduit votre femme la semaine dernière vous m’excuserez.
- Arrêtons le vouvoiement, tutoyons-nous, tout à l’heure nous nous retrouvons nus tous les trois.


Nous nous embrassons, bien joués le coup du tutoiement, nous sommes censés nous voir pour la première fois avec Sonia.
La situation me fait bander surtout quand je vois la tenue de la maîtresse de maison.

- J’ai mis une tenue légère, j’adore porter des guêpières.
C’est inutile avec Luc mon mari, il est vieux jeu et trouve que je ressemble à une pute.

Au oui, elle ressemble à une pute avec sa guêpière lui remontant les seins mais j’ai énormément envié de les croquer.
Pour ma part, je suis resté classique, mais comme il va falloir être nus pour que Jean nous sexe toutes les deux, c’est bien ainsi.

- Laurence vient avec moi dans ma chambre, Jean sert nous un whisky, je vais faire une petite transformation avec ta femme.

Elle fait pute mais moi aussi quand je passe la guêpière rouge, elle étant en noir.
Rouge et noir, Stendhal, mais c’est inutile de parler de ça à ce moment crucial de notre histoire.
Jean nous rejoint les verres à la main.
Non seulement il a servi les verres qu’il nous apporte mais il a aussi enlevé ses vêtements montrant à notre maîtresse de maison sa musculature car il sait s’entretenir.

- Je peux.
- On est là pour ça Sonia, j’ai promis de te laisser mon mari, j’ai les crocs de te voir lui poser la main sur son sexe mais il faut que je prenne sur moi.
- Laurence, agenouille-toi comme moi, vient avec ta langue d’un côté de la hampe de Jean et avec ta langue promène là comme je le fais de mon côté.
Ça va mieux.
- Oui dans l’action je me sens mieux embrasse-moi.

Moi qui étais sûr de mon serment je me retrouve à sucer mon mari alors que la langue qui vient dans ma bouche vient d’en faire de même de son côté.
Je lève les yeux, mon homme bande rapidement mais il ferme les yeux pour se concentrer.
Au fond de moi, j’ai envie qu’il prenne son temps.
Pas d’éjaculation précoce, je veux le voir entrer sa verge dans la chatte que je caresse de ma main libre l’autre étant posé sur le sexe que nous nous partageons.


- Tu sens comme je mouille Laurence, permets-tu à ton mari de me prendre, c’est formidable de ta part d’avoir accepté de le partager.
- Jean baise là, je veux te voir entrer en elle.

C’est presque gagné, elle participe, je me mets en levrette et mon amant vient derrière moi.

- Chérie, prend ma verge et place-la à l’entrée de la chatte de notre amie.

Je le fais, en temps normal c’est moi qui me la mets dans la chatte pour qu’il vise bien l’entrée.

- J’ai entendu la porte d’entrée, Laurence met mon peignoir et va voir, je suis à deux doigts de jouir.

Dernière étape pour faire de Laurence une libertine.
Je sais qui vient de rentrer dans la maison.
Nous entendons les cris de Luc.

- Je vais la crever cette salope et dans notre chambre, je savais qu’elle m’envoyait faire des travaux avec une arrière pensée.
- C’est ma faute Luc, c’est moi qui ai accepté de partager mon mari, ton copain pour satisfaire le fantasme de ta femme.
J’ai le même fantasme qu’elle depuis longtemps mais je refusais d’assumer.
- Viens dans le salon me sucer la queue, elle veut me tromper avec ton mari et nous allons leur rendre la pareil.

C’est fait une salope de plus dans le monde des salopes.
Clou du spectacle, Jean qui lorsque nous rejoignons sa femme l’encule en double pénétration sans qu’elle s’offusque.
Nous allons finir la nuit en partouze avant dans les semaines prochaines lui faire sauter le dernier pas.
Le club échangiste à 50 kilomètres d’ici que Luc et moi nous fréquentons assidûment.
Voir Laurence prise comme il m’arrive souvent par quatre ou cinq copains et surtout Bamba, celui que je préfère 50 sur 8 il faut se l’avaler.
Nous vous tiendrons au courant.

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