Jenny La Bourgeoise Serait-Elle Une Salope ? Charly Offre Sa Soumise À Son Fils (5/6)
Pendant le premier mois, Jenny nattendait quune chose le soir en rentrant du travail, sétait daller retrouver son maître dans la maison voisine. Non ! elle ne sennuyait plus des longues absences de son mari. Toutes les nuits, elle se faisait défoncer par les deux trous, elle était une suceuse de première et en redemandait toujours un peu plus, elle était devenue après trente jours, une vraie salope. Charly faisait ce quil voulait avec elle, il bandait, rien quen lui donnant des ordres, il ne lui demandait rien, il imposait sa loi. Elle ne portait plus de sous-vêtements, pourtant elle adorait cela mais son maitre ne voulait pas quelle en porte même à son travail.
Au bureau, personne ne la reconnaissait, elle était radieuse et toujours souriante. Elle, que ses collègues voyaient si triste auparavant, la considérant comme une femme « mal baisé » se doutaient bien quelle prenait son pied, elle avait trouvé un amant, se disaient-ils dans les couloirs. Ils étaient tous autour delle à la pause, se demandant sils avaient une chance de baiser avec elle. Car cette femme était bandante, de surcroit, elle avait changé son look, elle nhésitait plus à se vêtir avec de large décolleté sans soutien-gorge et des jupes courtes, la rendant plus désirable encore.
Paul de son côté, ne se branlait plus la semaine dans son hôtel, en regardant des vidéos XXX, il gardait son jus pour se satisfaire les week-end, il avait deux femmes à contenter. Dune fois tous les quinze jours, il faisait lamour toutes les semaines maintenant et trois fois voire quatre, du vendredi après-midi au dimanche soir.
Dès quil rentrait le vendredi, Jenny nétant pas encore rentrée du travail, il allait chez Gaëlle. Ses fellations magnifiques, gorges profondes lui vidaient les bourses et le soulageait. Les soir, il allait en compagnie de Jenny la voir se faire prendre par le voisin, il les regardait faire, cela lexcitait fortement et lui faisait plaisir de la voir se soumettre devant cet homme qui la considérait comme une salope.
Le samedi soir, il remettait cela, cétait leur soirées, Paul ne pouvait pas agir comme Charly, ce nétait pas un dominant mais dorénavant, il lenculait et jouissait fortement de la baiser dans le trou quelle lui avait toujours refusé. Il se vidait une nouvelle fois sans aucune difficulté et sans prendre de cachet magique, il retrouvait sa queue de dix ans auparavant.
Le dimanche, avant de sabsenter pour une semaine, Gaëlle, lorsquelle était disponible, lui faisait une nouvelle fellation en remerciement de la gratuité de son appartement. Dans sa bouche si délicate, il trouvait vite de la vigueur, elle savait le faire bander. Même si léjaculation nétait pas trop importante, il prenait énormément de plaisir à finir de se sécher les couilles, elles avaient une semaine entière à se remplir pour le week-end suivant.
La considérant enfin prête, Charly avait prévu que Jenny allait se faire baiser par son fils, il avait prévu cela pour la toussaint, le jour des vingt-deux ans dArthur. Il ne lui avait pas encore annoncé, il attendait le bon moment. Lorsquil lui en avait parlé, Paul était présent car il voulait humilier sa soumise un peu plus et son mari par la même occasion.
Ce jour-là, comme dhabitude, Charly soccupait avec sa bouche et ses doigts du vagin totalement glabre de Jenny lorsquil demanda à Paul :
Aujourdhui, vient maider Paul que de rester à mater. Triture-lui les nichons, elle adore ça, ta salope de femme.
Paul était heureux comme un gosse, il se leva de sa chaise et vint debout à côté du corps de Jenny, nue et allongée qui frémissait de plaisir. Pendant quil malaxait les mamelles de son épouse de la main gauche et quavec son pouce et son index droit, il pinçait et triturait, comme le maitre avait demandé, les tétons érigés de Jenny, Charly frottait le clitoris de son pouce et fouillait la vulve grande ouverte de Jenny de ses quatre doigts gauches.
STOP ! en retirant ses doigts.
NON ! Continuez jallais jouir
Ferme ta gueule salope ! Écoute ce que je dis.
Jenny avait les larmes aux yeux, cétait la première fois que Charly était grossier à ce point. Paul nétait pas daccord avec ça, mais ne dit rien, il caressa son visage et enleva les larmes qui commençaient à couler sur ses joues pendant que Charly continuait de parler :
Vendredi, cest lanniversaire dArthur, je lui offre ton trou du cul. Il navait jamais enculé de femme, tu seras sa première fois.
Tu ne peux pas faire ça mon chéri. Dit en pleurant Jenny.
Tu exagères Charly. Surenchéri Paul qui voulait intervenir.
Toi le cocu, ce nest pas ton problème, jaccepte ta présence cest déjà pas mal. Jai décidé et je ne reviens pas sur ma décision. Tu es partante ou pas ma salope ?
Je ferai ce que tu me demanderas. Oui ! joffrirai mon cul à ton fils. Tu seras là ?
Ce vendredi soir, Arthur était invité chez son père, il connaissait ses penchants sexuels, mais il fut surpris dêtre accueilli par une soubrette pratiquement nue. En effet, Jenny était vêtu uniquement dun chemisier transparent à dominante blanche, sans soutien-gorge. Il pouvait donc admirer sa lourde poitrine dont les larges auréoles brunes encerclaient deux tétons énormes érigés prêts à traverser le mince tissu, les recouvrant à peine. Elle portait une micro jupe noire qui ne couvrait que la moitié de ses fesses, laissant apparaitre son sexe totalement épilé qui navait rien pour le dissimuler. Il ny avait que son petit tablier rouge à poids blanc qui descendait un peu plus bas sur le devant. Arthur admirait cette femme qui aurait pu largement être sa mère, mais dans cette tenue, il eut comme réaction, un début dérection dans son boxer.
Je suis Jenny, la soumise de ton père, installe-toi Arthur, ton père nest encore pas arrivé, je te sers lapéritif. Que prendras-tu ?
Un Bourbon avec deux glaçons, sil vous plait.
Jenny jouant le jeu jusquau bout, lui enleva sa veste et laccrocha au perroquet puis le pris par la main et lemmena jusquau salon et le fit assoir sur un fauteuil. Le gamin bandait de plus belle lorsquelle se pencha sans précaution dans le bahut attrapant la bouteille de scotch.
Arthur finissait son verre lorsquil reçut un MSM de son père :
« Je serai en retard dune bonne heure, amuse-toi avec Jenny »
Dans le même temps, Jenny reçut elle aussi un texto :
« Comme convenu, jarrive dans 1 heure. Donne-lui ton cul. »
Jenny était au pied du mur, elle devait séduire ce jeune de 22 ans ; elle qui en avait plus du double ne savait pas trop comment faire. Elle sinstalla dans le fauteuil en face de lui et commença à lui parler de son père. Elle voyait bien que le regard du jeune garçon se portait régulièrement entre son corsage ouvert à son entre jambe quelle laissait spécialement à la vue de son interlocuteur. Puis dans la conversation, elle glissa en se jetant à leau en lui demanda sil aimait sa poitrine. Nosant répondre clairement, il acquiesça dun signe de tête. Jenny se leva et vint sagenouiller devant lui, elle lui prit les mains et les posa sur ses seins. Arthur commença sans timidité à lui caresser, il pencha sa tête et lui aspira un téton à travers le tissu, le mordillait, Jenny ressenti du désir, elle lui caressait les cuisses sans jamais aller plus haut que laine, elle navait pas besoin de vérifier sil bandait, elle savait quil devait être en pleine érection vu la bosse quelle apercevait devant elle. Arthur lui enleva le chemisier tout en lui déposant de petits baiser sur ses seins. Elle le prit par le cou et lembrassa goulument :
Bon anniversaire Arthur. Lui dit-elle. Fais de moi ce que tu veux je suis ton cadeau.
Je pense que je rêve de cela depuis que je me masturbe.
Tu vas vivre ton rêve en attendant ton père, tu veux ?
Le problème cest que je viens de baiser ma copine.
Jenny était devenue livide de honte, il sen était aperçu et changea de conversation. Sans attendre, il la fit se mettre debout devant lui, il descendit sa jupe et dégrafa entièrement son chemisier. Nue comme seule protection le petit tablier rouge à poids blanc, elle restait immobile devant ce garçon si impressionnant de maturité, lui qui semblait si timide, quelle nosait plus bouger, elle était prise entre appréhension et excitation, Oui ! elle mouillait. Il mit sa main entre ses cuisses et menfonça sans forcer deux doigts quil coulissait. Il fit de même avec son autre main, elle sentait le plaisir lenvahir mais il stoppa ses caresses. Il la fit sapprocher en se plaçant debout entre ses jambes, il prit ses deux mains lenserrant délicatement un sein et en se penchant vers elle aspira mon téton, il malaxait sensuellement son globe et aspirait, tel un bébé qui tête sa maman pour se nourrir. Jenny était aux anges, les yeux fermés, elle avait hâte quil la prenne et quil la fasse jouir mais il changea de sein et fit la même chose. Elle venait de sapercevoir en rouvrant les yeux que sa longue queue commençait à donner signe, dune légère érection :
Si tu veux quelle redevienne opérationnelle, il va falloir que tu y mettes du tien. Quattends-tu ? Mordonna-t-il.
Le même que son père, se dit-elle. Elle lui prit les couilles et les soupesais, elle lui triturait avec douceur, son pénis remontait au fur et à mesure de ses attouchements délicats. Elle prit sa hampe quelle ne pouvait pas entourer complétement de sa main, sa bite était trop épaisse et elle commença à lastiquer pendant quil lui mordillait le téton, elle coulait littéralement, lintérieur de ses cuisses étaient trempées de cyprine, ça narrêtait pas, elle avait très envie quil se jette sur elle et quil lui défonce la chatte, ses idées devenaient de plus en plus perverses, cela ne pouvait plus durer éternellement. Elle se décida de le lui dire directement :
Fais-moi lamour, je nen peux plus.
Dorénavant quand tu tadresseras à moi, tu diras « Monsieur Arthur ».
Il se leva, la fit agenouiller sur le fauteuil, la tête en avant, elle avait les fesses soffrant à lui. Il passa sa main sur ma vulve récoltant son jus quil étala sur la raie de ses fesses en insistant bien sur mon petit trou quil pénétra dun doigt. Après quelques mouvements circulaires, il y enfonça un deuxième, elle sétait contractée mais elle se relâcha et tout de suite après, il enfila un troisième, tout en jouant de ses doigts de droite à gauche, davant en arrière, tout en lui mettant son pouce dans le vagin. Elle était folle de joie et de bonheur, son plaisir montait de ses entrailles, elle explosa, dès quil lui défonça lanus, en lui imposant son rythme, lui donnant de grands coups de boutoir qui la soulevaient, tellement ils étaient puissants.
Haaa... Cest trop bon ! « Monsieur Arthur ». Ouiii...Enculez-moi plus fort...
Lui non plus ne pouvait attendre plus, il voulait conclure de belle manière en lui arrosant le visage. Il lui demanda de lui faire face mais il navait pu se retenir, en enlevant son préservatif, toute sa semence vint sétaler sur mes seins et coulait à présent sur son ventre.
Ce fut ainsi que Charly découvrit les deux amants en entrant chez lui, satisfait de voir son fils sassouvir sur sa soumise. Il sapprocha delle et en guise de bonjour, il lui tapa sur ses deux mamelles pendantes en disant :
Suce-moi avant le repas, jai eu une journée épouvantable. Jai un cadeau pour toi. Dit-il en lui pinçant les deux tétons.
Arthur se rhabillait, quand son père lui demanda :
Alors tu las enculé ma salope, elle est bonne ?
Super salope la vieille, je crois quelle va me plaire. Répondit Arthur pendant que Jenny soccupait déjà du sexe de Charly.
Si comme Jenny vous voulez raconter vos histoires ou vos fantasmes, prenez contact avec moi par mail
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