Ça C'Est Passé Simplement 18 Le Rendez-Vous
Vendredi 25 Juin
Le Mercredi matin jappelais Evelyne pour lui dire que nous avions une nouvelle réunion, mais à Clermont, javais voulu quelle fut faite à Lyon, mais impossible, donc Clermont, et je voulais savoir si elle pouvait venir, elle mavait dit quelle ferait son possible. Fort de cet accord, après de nombreuses réunions le jeudi et vendredi pour lorganisation de ce gros chantier qui devait se faire en Charente, je me rendais à lhôtel où je devais retrouver Evelyne. Arrivé à laccueil, on mannonça que la dame que jattendais était au petit salon, où je me rendis immédiatement. Arrivé au petit salon je vis Anaïs habillée dun splendide tailleur gris très clair, avec bas également gris clair et escarpins, le tout lui allait fort bien.
Moi : « Bonjour Anaïs, quelle élégance, tu es avec Evelyne ? »
Anaïs : « Non, Evelyne na pas pu venir. »
Moi : « Ah, pourquoi ? »
Anaïs : « Avant toutes explications pour se dire bonjour, on sembrasse ou on se serre la main »
Je la prenais dans mes bras et un long et sensuel baiser sen suivit.
Moi : « Que cest-il passé ?
Anaïs : « Tu nes pas content de me voir ? »
Moi : « Idiote, je suis ravi, mais jespère avoir le droit de poser des questions »
Anaïs : « Bien en deux mots. Mercredi après ton appel, Evelyne est venue me voir, elle était rayonnante et me dit que tu avais appelé. Le lendemain, elle vient me voir et me demande si je veux venir avec elle, toutes les deux, mais sans ten parler, pour te faire la surprise. Cest daccord, jétais ravie, on sorganise pour fermer lagence vendredi fin daprès-midi. Le vendredi, on était en train de boucler, un client arrive, je te passe les détails, mais nous avons, sans exclusivité, une très grosse propriété à vendre. Le bonhomme veut la visiter samedi fin de matinée. Vu limportance de laffaire, Evelyne sen occupe et me dit de partir et de lexcuser auprès de toi. Voilà rapidement lhistoire.
Moi : « Je suis ravi de te voir et tavoir pour moi tout seul. Tu es vraiment élégante, très élégante »
Anaïs : « Cest un aimable compliment,
»
Moi : « On va chercher tes affaires,
»
Nous arrivons à sa voiture, elle ouvre le hayon et se penche pour récupérer sa valise,
cette position met en valeur son beau cul et sans hésiter ou presque, nous savons tous deux pourquoi elle est venue, donc je le caresse. Elle ne dit rien, ce qui mincite à aller plus loin. Partant de ses hanches je descends le long de ses cuisses, quand elle se redresse en me disant : « Avec cette jupe droite, tu narriveras à rien,
on rentre à lhôtel, on sera plus à laise »
Arrivés dans la chambre, la valise posée : « Tu as envie de moi,
embrasses moi,
»
Moi : « Tu ne le sens pas,
»
Anaïs : « Non pas encore, mais tiens moi encore dans tes bras » et elle se mit à rouler doucement des hanches, ce qui eut un effet positif sur mon anatomie : « Je crois que je commence à sentir que tu es content de me voir,
Hummm,
Oui,
bon,
Evelyne ma dit ce que tu aimais,
»
Moi : « Bon sang,
Quest-ce quelle a pu te dire ? »
Anaïs : « Avant daller plus loin, je vais me mettre à laise,
» et elle déboutonna sa veste de tailleur sous laquelle elle navait rien, ses seins libres de tout soutien-gorge. Veste quelle jeta sur le lit et les mains sur les hanches, dans une position un peu provocatrice : « Cest toujours à ton goût
» alors que je mapprochais pour rendre hommage à ses nénés, les prenant dans ses mains : « Je pense quils sennuient,
prends les dans ta bouche,
lèches moi,
suces les,
» Ce que je mempressais de faire. Elle me les tendait et je navais plus quà les sucer, les aspirer, les téter, ce qui entrainait un durcissement des tétons, que je pouvais ainsi mordiller,
le tout conforté par les soupirs dAnaïs, qui réalisa tout à coup : « Mais cest pas vrai,
tes encore habillé,
enlèves ta chemise,
», ce que je fis rapidement et je la pris dans mes bras de façon à sentir ses seins contre ma poitrine et nous reprîmes une partie de lèche museau, avec pour moi, la possibilité de pouvoir caresser sa nudité, ce qui entrainait certaines déformations dans mon pantalon, mais qui avait, aussi, pour but de déboutonner la ceinture de sa jupe, opération difficile, dautant quAnaïs samusait de la situation.
Moi : « Arrêtes,
Evelyne ten a parlé de cette rencontre,
elle sait très bien ce qui va se passer,
tu en as envie, moi aussi,
je dirais que tu aimes dire que tes une salope,
ça texcite,
ce que tu fais cest de la provocation,
en fait tu aimes le sexe,
cest bien, profites-t-on en,
alors ma belle « salope »,
que veux tu,
»
Anaïs : « Viens,
prends moi,
comme tu veux,
fais moi jouir,
»
En fait comme elle mavait dit quelque temps avant, ses amours saphiques avec Evelyne, nétait quun dérivatif à un autre problème, qui était de trouver un homme ou peut-être un male pour la satisfaire physiquement sans autres conséquences ou autres obligations et les circonstances faisaient que jétais là, elle voulait en profiter, moi aussi.
Ainsi offerte et demandeuse, je décidais dagir et je tombais rapidement pantalon, caleçon,
pour plonger entre ses cuisses, afin de lui « bouffer » la chatte qui brillait de son jus damour, de sentir son odeur de femelle toute chaude. Je commençais par parcourir ses grosses lèvres du bout de la langue, la pénétrant juste un peu, ce qui la faisais soupirer et couler un peu plus. Jinsistais à ce petit jeu attendant quelle demande plus, ce qui ne tarda pas : « Arrêtes de jouer,
rentres
prends moi,
comme tu veux,
je veux te sentir me prendre,
» Alors, pour la satisfaire, brutalement je la pénétrais avec deux doigts, ce qui la fit se cambrer avec un : « OOOOHHH,
Ouiiii,
» une série de va et vient et elle écartait les cuisses encore plus et saccrochait aux draps : « OOOOHHH,
, Ouiiii,
cest bon,
brute,
jaime te sentir,
ralentis un peu,
je veux bien te sentir,
» pendant que je lui léchais le haut de son minou.
Alors elle mattira vers elle et membrassa sur la bouche, puis donna deux ou trois coups de langue et dit : « Je voulais lécher mon odeur sur toi, .. » Tout ça était bien joli, mais javais une trique qui pouvait intéresser une femelle gourmande ce dont elle saperçut sans problème. Elle roula sur moi, puis se glissant vers le bas, vers cette intéressant chose : « Je vais moccuper de ça,
je vais te faire jouir,
». Et là,
le rêve,
prenant son temps elle commença par me caresser la tige avec le bout des doigts, remontant descendant, puis plusieurs lents coups de langue des couilles jusquau gland, pour arriver à le titiller avec le bout de la langue, enfin prenant en bouche juste le gland, le serrant entre ses lèvres pour enfin, alors que jétais excité au possible, de se mettre à pomper doucement en mavalant presque entier, ce petit jeu ne dura quun temps trop court à mon goût, mais dame nature en décida autrement car cétait tellement bien fait que rapidement une grande giclée remplit sa bouche, quelle avala sans problèmes. Elle donna encore quelques coups de langue et remontant elle vint se frotter contre moi : « Jai aimé,
et toi,
».
Je la retournais et me mettais sur elle : « Après ce que tu mas fait,
donnes moi le temps de récupérer et jessaierais de thonorer au mieux,
maintenant on pourrait prendre lair avant le diner,
quen penses tu ? »
Nous nous levâmes, alors quelle regarder son tailleur, elle dit : « Pour une ballade dans le petit parc cest pas pratique, jai une jupe, ça devrait aller»
Anaïs ouvrit sa valise et en sortit une jupe large et une espèce de blouson en daim, fermé par une fermeture éclair.
Pendant ce temps je métais rhabillé rapidement.
Nue comme elle était, elle passa sa jupe et son corsage/blouson le fermant, juste assez pour permettre de deviner ses avantages et nous partîmes, elle me tenant par la taille, moi mon bras sur ses épaules, comme des amoureux. Ballade tranquille dans le parc voisin de lhôtel. La nuit commençait à peine à tomber et nous étions seuls. Jai eu tout dun coup, lenvie, de la prendre dans mes bras et de lembrasser. Lattirant à moi, la serrant contre moi, je posais mes lèvres sur les siennes, une hésitation de surprise et sa bouche souvrait et elle participa sans problème à cette envie soudaine. De sa bouche je glissais dans son cou, ce que je savais elle aimait beaucoup et jen profitais pour glisser mes mains sous son blouson et tenter de lui caresser le dos. Elle sécarta légèrement, ouvrit la fermeture éclair en disant : « Ce sera plus facile comme ça,
». Ses seins étant atteignables, je mempressais de les prendre en bouche, les tétons étaient déjà durs « ils bandaient », je pouvais les mordiller et les sucer à loisir, ce qui entrainait de légers soupirs et des : « Oui,
continues,
cest bon,
» si le haut du corps sétait éloigné de moi, à partir de la taille, son ventre et le reste était collé contre moi. Elle était bien chaude et je lui dis entre deux tétons : « Remontes ta jupe,
»
Anaïs : « Tes fou,
on va nous voir,
»
Moi : « Dis moi que tu nen as pas envie ? »
Anaïs : « Ce nest pas la question,
que quelquun vienne,
on fait quoi ?... »
Moi : « Combien de personnes sont passées ? Aucune,
relèves donc ta jupe,
jai envi de te caresser,
je suis sur que ta chatte attends,
»
Anaïs : « Arrêtes, ... tes pas chic,
tu le sais,
oui, jen ai envie,
que tu me caresses ici,
ça mexcite,
»
Moi : « Alors, personne ne pourra voir,
remontes ta jupe,
»
Anaïs : « Bon,
juste un petit peu,
promets moi,
vraiment pour te faire plaisir,
»
Jétais prêt à promettre tout et son contraire, et Anaïs remonta sa jupe, quelle coinça dans sa ceinture. Sitôt dégagée, une main droite curieuse se glissait dans son entrejambe afin datteindre son minou, laccès en fut, légèrement, facilité par un écart discret, mais suffisant permettant de poser cette main sur sa grotte damour, la réaction immédiate fut un : « OOOHHH,
» de bonne augure. Il fallait persévérer. La caresse fut appuyée, le bassin savança légèrement, une jambe sécarta un peu plus et mon majeur trouva son chemin entre ses grosses lèvres chaudes et humides, ce qui entraina : « Non,
tavais promis,
OOOOHHHH,
Ouiii,
».Un deuxième doigt rejoignit le premier sans problème, les cuisses sétant, de nouveau, légèrement écartées. Et après quelques va et vient de mon poignée, son bassin fut atteint, lui aussi, dun mouvement de va et vient, qui remplaça mon poignée. Son minou utilisant mes doigts comme un sex-toy. Ainsi empalée, elle se masturbait sur mes doigts, et la musique ne tarda pas à reprendre, « Ouiiiii,
continues,
non,
ne tarrêtes pas,
cest bon,
tes un profiteur,
tavais dit juste un peu,
OOOHHH,
continues,
» Alors que je nétais pratiquement pour rien pour cette montée vers son plaisir. Elle coulait abondamment et sempalait de plus en plus vite : « OOOHHH
encore,
OUIIIII,
je vais jouir,
OUIIIIIIIII,
je JOUIIIIIIS,
» et saccrochant à moi, elle serra brutalement les cuisses avec un : « OOOHHH,
» enfin prenant ma main elle membrassa la paume et suça les doigts qui lavaient pénétré en disant : « Tu es un malhonnête,
juste une caresse,
tu parles,
et moi, je técoute,
»
Moi : « Tu nas pas aimé ? »
Anaïs : « Cest ça le drame,
tu fais de moi ce que tu veux,
et en plus je savais que tu aller me rouler,
mais,
jai aimé,
embrasses moi,
on va diner,
et après je moccupe de toi,
très sérieusement,
» et nous partîmes pour diner. Je choisis une table en fond de salle, tranquille, tout ce passa bien, dans la mesure où elle samusa à « magacer » avec des propos ou des gestes un peu équivoque. Par exemple : « Tu sais, je suis nue, sous ma jupe,
imagine, les jambes bien écartées, je mouvre à toi,
je vais remonter ma jupe,
dis moi que tu as envi de moi,
» et pour dessert, naturellement, il prit une glace genre Miko et la suça avec application. Cétait à vous donner des idées. Le diner terminé, en se levant de table, Anaïs me dit : « On va prendre lair,
ou on va directement dans la chambre ?
»
Moi : « Tu es mon invitée, on fera ce que tu voudras. »
Anaïs : « Je suis déçue, jespérais que tu serais pressé de
me faire lamour,
de me sauter,
»
Moi : « De toutes les façons, nous avons la même chambre,
donc, je saurais attendre tes souhaits,
tes désirs,
»
Anaïs : « Tes bien un bonhomme,
tu ne peux pas dire que tas envi de moi,
que tu veux me prendre,
que tu veux me faire lamour,
me baiser,
ou je ne sais quoi,
bon,
allons prendre lair,
tu seras peut être plus loquace,
ou plus pressé après,
»
A la sortie de lhôtel on prit la direction de la voiture, arrivé à celle-ci je la prenais contre moi et lui disais : « Toi et moi, nous savons pourquoi nous sommes ici, daccord,
tu es une belle femme ou dois-je dire une belle femelle,
comme je lai dit tu as ce quil faut où il faut, une bouche aux lèvres qui donnent des idées
humm, une paire de nénés, wouah,
un minou chaud et accueillant,
que jai beaucoup aimé
enfin un joli cul, très attirant,
, je ne vois pas où est ton problème,
tu es attirante. Il ny-avait quà voir les regards des mecs quand on est rentré au restaurant,
autrement dit, tu es très très baisable,
cest ce que tu voulais entendre,
oui,
, jai très envi de toi,
et je me demande si je ne vais pas te sauter sur le capot de la voiture,
»
Anaïs : « Tes fou,
on va nous voir,
allons dans la chambre,
Oui,
jai envie que tu me dises que je te plais,
que tu as envi de moi,
lentendre cest le commencement du plaisir,
que tu veux me faire lamour,
me baiser,
viens, tu auras tout ce que tu voudras,
mais pas ici,
sois gentil,
nous avons la nuit pour nous,
» et avant de partir, la poussant contre la voiture, je lui dis de remonter sa jupe.
Anaïs : « Non,
tu es vraiment fou,
tu veux vraiment,
dis moi,
»
Moi : « Oui, remontes ta jupe, que je te caresses ton joli minou,
je suis sur que tu en as envie,
que tu es toute chaude,
après on ira dans la chambre,
»
Elle remonta rapidement sa jupe et coinça un morceau du bas dans sa ceinture et se collant à moi : « Cest ce que tu veux,
viens,
»
Je glissais une main entre ses cuisses et atteignant son minou, je me mis à le parcourir dun doigt curieux : «
OOOHH,
oui,
doucement,
OOOOHHH,
arrêtes,
tu me rends folle
». Cette petite exploration ne fit que confirmer mon impression, elle était vraiment prête, toute chaude, et déjà bien humide, après cette petite incursion sur son intimité nous partîmes direction la chambre, alors quelle me disait : « Tu es un malhonnête,
remarque,
tu causes pas,
tu agis,
cest peut-être mieux,
»
Arrivés dans la chambre, après quelle ait passé la porte et que jai fermé celle-ci, je lattrapais par la taille et me collais à elle, soulevant son blouson, marrêtant elle défit la fermeture éclair : « Cest mieux ainsi,
oui, ... caresses moi,
» Puis se retournant : « je suis prête,
jai envie de toi,
» Elle balança son blouson au loin, sa jupe suivit le même chemin et maidant à me déshabiller : « Dépêches toi,
je tattends,
» et elle se laissa tomber sur le lit dans une position qui nentrainait aucune équivoque. En levrette, son joli cul bien en évidence, offert et une main qui caressait doucement son minou : « Viens,
prends moi,
je suis prête,
». Je mempressais de lui enlever la main de sa chatte et mapprochant je pouvais sentir lodeur de son intimité bien chaude, et commençais à la parcourir de ma langue de la chatte à sa rosette, mais : « Arrêtes,
viens je veux te sentir me prendre,
fais moi lamour,
jai envie de te sentir me pénétrer,
viens,
je te veux sur moi,
je veux sentir ton poids sur moi,
viens, montes moi,
»
La demande était si pressante, sans hésiter, je me guidais vers sa chatte que je pénétrais sans problèmes tellement elle était ouverte, chaude, détrempée : « OUI,
jaime te sentir me pénétrer,
oui,
cest bon,
baises moi,
baises moi fort,
» je me laissais aller sur elle et je lentreprenais sérieusement avec mes va et vient, qui coulissaient à merveille dans sa grotte damour. Le tout ponctué par des paroles dencouragement et de satisfaction : « Oui,
jaime sentir ton poids sur moi,
oui,
remplis moi,
bourres moi la chatte,
continues,
OOOHHH,
oui fais moi jouir,
»
Il fallait que je sois à la hauteur de ses désirs si je tenais à profiter toute la nuit de ses charmes. Je continuais à la ramoner avec ardeur et de façon à mieux maccueillir elle sétait légèrement cambrée: « OOOHHH,
ouiiii,
baises moi fort,
continues,
je te sens,
ça vient,
ne tarrêtes pas,
OOOHHH,
OUIIIII,
OUIIIIIIIIIII,
OUIIIIIIIII.,
» En train de jouir elle fut secouée dun spasme brutal. Mais,
si elle avait pris son plaisir, il savérait quavec la façon dont elle mavait pompé quelques heures plutôt, je continuais à bander dur mais je ne pouvais pas me vider du plaisir qui était dans mes reins, rien ne sortait, cela marrivait quand je navais pas eu le temps de refaire le plein, et je continuais mes va et vient dans sa grotte d amour. Quand elle me dit : « Arrêtes,
tu mas fatigué,
arrêtes,
je ne peux pas continuer,
laisses moi souffler,
»
Cela ne faisait pas mon affaire, dautant, que la machine à baiser était en route et que sa position me permettait davoir une très belle vue sur sa rosette qui ne demandait quune chose cétait dêtre investie, mais jhésitais et bien cramponné à ses hanches, je continuais les va et viens dans sa chatte bien chaude et dégoulinante : « OOOHHH,
non,
tu profites,
arrêtes,
OOOHHH,
oui,
OH oui,
continues,
» Un peu tordu, je me retirais de son puits damour et de nouveau, me positionnais sur sa rosette, la réaction ne se fit pas attendre : « Non,
pas là,
, pas maintenant,
ne tarrêtes pas,
finis moi, comme ça,
tu mauras là après,
mais pas maintenant,
»
Je reprenais ma position dans son minou, bien décidé à en finir et, chose que je ne lui avais jamais faite, je lui claquais la fesse droite : « Oui, salaud,
encore,
ouiiii,
», je remettais la claque sur lautre fesse et augmentais la cadence de mes va et vient : « Oh,
oui, continues,
jaime,
je sens que ça vient,
»
Là, cramponné à ses hanches, bien enfoncé dans sa chatte je me vidais dun seul coup et Anaïs sentant, certainement ce qui se passait : « Ne tarrêtes pas,
OOOHHHH,
OUIIIIII,
OUIIIIIIII
OOOOHHH,
OUIIIII » et elle se laissa tomber à plat ventre, ce qui me fait sortir de son minou et je me couchais à coté delle.
Anaïs : « Tu es content de toi,
me faire jouir deux fois de suite,
je tadore,
fais moi faire un câlin, .. » et elle se cala contre moi et au bout dun moment elle me murmura à loreille : « Quand tu auras envie de moi,
appelles moi,
je viendrais,
dors bien ». Sur cette réflexion surprenante elle sendormit rapidement, quand à moi, cette réflexion, inattendue me tournait dans la tête, mais la fatigue aidant je finis par sombrer.
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