La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1342)
Conte d'Halloween au Château - (suite de l'épisode précédent N°1333) -
Je sombrais alors dans un profond sommeil
Plus tard, après ce long sommeil récupérateur, je geignis, me réveillant soudain en proie à une crampe au mollet droit, me retrouvant dans la chambre, avec le silence et lobscurité comme seule compagne. Je fus surprise, en me relevant pour me masser la jambe, de découvrir que j'étais au sol sur une couverture et non allonger dans le lit. Et surtout que j'étais enchaînée tel un animal retenu par sa laisse, attachée aux pieds de limposante et lourde armoire en chêne verni. Il métait possible de m'avancer jusqu'au lit, ni de m'y allonger dessus, du moins pleinement. Me retrouver à devoir dormir par terre, me semblait sur l'instant désobligeant, étant la seule soumise dans ce vaste Château qui comptait de nombreuses et vastes chambres. Monsieur Le Marquis me traitait comme... comme une véritable esclave... Mais ne l'étais-je pas devenue !? Je ramassais la couverture et je me blottis dans l'un des coins de la pièce du peu que la lourde chaine, cadenassée à un lourd anneau métallique fermé à ma cheville, me le permettait, m'emmitouflant dans la couverture. J'avais fini par redescendre de mon état de surexcitation. Mon clitoris et le bout de mes seins étaient douloureux, mais j'étais heureuse d'éprouver des sensations redevenues plus ou moins normales. Je n'étais pas sûre toutefois de pouvoir supporter d'autres supplices de ce genre, du moins durant les 24 heures à venir... C'était étrange, car cependant je me sentais à la fois heureuse et excitée par le fait de sentir ce collier de soumise autour de mon cou que je portais avec envie et qui me rappelait que tout cela était bien réel... Mais excitée aussi par le touché de celui-ci et cette odeur du cuir quil dégageait, me rappelant également à tout instant ma décision et mon choix ! ...
Et puis ma raison se réveilla, pour jouer, j'allais dire les démons, mais un démon m'aurait applaudi et encouragé, lui.
- Tout ça n'est qu'une aventure
, me susurra ma raison... une aventure, certes, mais oh combien des plus folle et des plus surnaturelle
mais sans vrai avenir, renchérie ma rationalité à penser
Et puis de toute façon, je rêve, je suis en plein délire irréaliste, les fantômes ça nexiste pas et je vais me réveiller sans chaine chez moi dans ma chambre, dans mon bon lit douillet, et ainsi il est certain que ma raison aura triomphé !
Et puis murissant ma réflexion, car quitte à être rationnelle, il fallait que je le sois jusquau bout, cest-à-dire constater les faits qui me revenaient en pleine figure et il faut bien lavouer mexcitaient plus que tout mon entrejambes à me faire frissonner dun sublime bien-être : Ce que je vivais avec Monsieur le Marquis nétait pas qu'un rêve ou une simple aventure, cétait une réalité car je savais très bien que je ne rêvais pas.
Cette nuit-là, j'ai donc vraiment pris conscience de mon besoin viscéral de soumission, de mon désir d'abandon total à la jouissance de nêtre plus quune marionnette, un pantin, une poupée gonflable que lon utilise par ses trois orifices, une simple chose, Sa chose incarnée par les entraves, les volées de cravaches ou de fouet et plus encore part le sexe majestueux du Châtelain fantasmagorique... comme lorsqu'il m'a fait découvrir la quintessence du plaisir incarné par mes gémissements et cris de satisfaction qui exultaient fortement de ma bouche, tandis qu'il me possédait encore et encore quelques heures plutôt
Encore aujourdhui, Je l'avoue, même sil m'arrive parfois de flipper, voire de douter comme tantôt, je sais désormais que ma vie, mon avenir sont au Château. Et oserais-je dire, mon union de couple avec Le Maître, Monsieur le Marquis d'Evans. Je sais, cest vraiment peu orthodoxe et des plus paranormal... mais cest devenu une évidence implacable comme deux et deux font quatre. Seulement, je n'ai désormais plus jamais à douter de ma décision d'être son amante soumise et que ma vie Lui appartient.
Malgré le sol inconfortablement dur, avec qui je guerroyai encore et parfois une bonne partie de la nuit, je ne dormis pas trop mal en fin de compte... enfin, je veux dire pour une esclave ! Car assurément, jaurais préféré pouvoir me reposer dans un lit ou sur un divan moelleux, bien au chaud sous une bonne couette douillette, mais ce genre de pensée ne convient pas à une esclave soumise mais plus à une jeune femme vanille. Alors assurément quand on nest pas habi, on se réveille toute courbaturés. Quand l'aube se mit à poindre, cela faisait déjà un petit moment que j'étais réveillée, mise au supplice dune attente à ne savoir ce qui allait se passer tout en étant toujours enchaînée au sol. A tout âge on peut être confronté à une longue attente, quel que soit l'endroit. Le pire c'est quand il n'y a pas de distraction et que vous ne pouvez rien faire d'autre que d'attendre et attendre encore par exemple que l'heure arrive ou qu'on vienne vous chercher ou que quelque chose arrive. Dans ces moments-là, c'est fou comme le temps semble ralentir et passer plus lentement qu'à la normale. Car comme on nous la appris à l'école le temps est relatif suivant notre perception des choses. Mais j'ai vite découvert que l'attente et lennui pour une esclave peuvent savérer une douce en soit également, cest ainsi car lattente doit être acceptée car cela faire partie de son quotidien, et certainement de son état de servilité de ladite esclave...
Etre attachée, nue, à même le sol mexcitait et je sentais mon ventre réagir à cette situation. Alors la seule chose que je trouvai à faire pour passer cette attente plus agréablement, fut de me caresser. Fermant les yeux, je commençai par malaxer mes seins, pinçant doucereusement mes tétons encore quelque peu sensibles, ce qui me fis gémir suavement, glissant ensuite lentement ma main vers mon bas-ventre, passant mes mains à lintérieur de mes cuisses pour remonter jusquaux genoux et revenir près de mon bouton rose, pour y trouver mon clitoris déjà pointant prédisposé à mes caresses intimes.
Comme il ne bougeait pas, je me mis à caresser de mes mains Son volumineux sexe. L'agrippant entre la paume et mes doigts pour l'astiquer lentement d'une main et de l'autre malaxant ses belles grosses bourses... Rapidement mes doigts sécartèrent, sous le gonflement de l'érection toujours aussi impressionnante de Son phallus... Comme il feignait de toujours dormir, (enfin cest ce que je supposais) même si Sa grosse bite était assurément parfaitement réveillée, je m'en hardis. Tirant un peu plus sur la chaîne, ma jambe levée presque à léquerre, tirée par la chaine à ma cheville, je venais ourler mes lèvres autour de Son sexe, l'aspirant dans ma bouche, le plus possible afin de le sucer de mon mieux. Si je n'avais pas été enchaînée, j'aurais certainement poussé l'audace jusqu'à le chevaucher, tellement je désirais sentir à nouveau Sa Verge tendue se mouvoir dans ma chatte en feu. A m'entendre parler ainsi, on pourrait croire que je suis une affamée de la bite... Mais en effet, il vaut mieux croire que je le suis devenue, telle une chienne en chaleurs ayant un véritable besoin de copuler. Assurément j'avais faim de ce gros Vit, celui de Monsieur le Marquis, mon amant et Le Maître qui me soumet.
Je ne ménageais pas mes efforts, pouvant sentir ses veines enflées et bien vivantes (et je ne sais pas par quelle magie, il avait su redonner vie à Son corps) alors que Sa sève de vie affluait dans sa hampe, me rendant encore plus hardie pour la faire jaillir. Le Noble ne put bientôt plus feindre l'inconscience, poussant des râles de plaisirs souverain tel un Mâle en rut quand en jouissant formidablement, il giclait tout sa crème blanche au fond de ma bouche que je m'empressais d'avaler... Si on se demande quel goût ça à, le sperme d'un fantôme, eh bien je dirai le même quun homme vivant, un goût acre et délicieux à la fois. Cela ma beaucoup aidé pour l'avaler et ce à chaque fois qu'il me l'offrait et l'exigeait de moi.
Tout homme rêve un jour de se faire réveiller ainsi par une belle femme, et si comme moi elle est toute nue et soumise à ses exigences, c'est le paradis pour lui
Monsieur Le Marquis plus encore se sentait béni par les Dieux. Revenir, si je puis dire à la vie, après des années de frustration spectrale tout seul perdu dans les limbes et pouvoir posséder à nouveau une magnifique jeune femme toute disposée à être Son esclave, c'est plus qu'il n'aurait jamais plus pu espérer dans ce monde
Il était à cet instant rempli de bonheur mobservant en train de lécher, de nettoyer consciencieusement Sa queue, avec mon regard suppliant pour obtenir à mon tour la permission de jouir... Cela chassa mes craintes. Seul comptait l'instant présent, et les jours à venir qui s'annonçaient assurément des plus paradisiaques et jouissif pour Lui, comme pour moi
(A suivre
)
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