La Vie Dissolue D'Une Bigotte 10 : La Révélation Du Secret Familial

Je parle à Geneviève du projet. Si elle ne voit pas d’inconvénient à l’utilisation de son manoir, elle ne veut pas que les gens sachent qui elle est vraiment. Les membres du club se connaissent tous et toutes et il me paraît normal qu’ils sachent qui elle est. De toute façon, personne n’a intérêt à ce que cela se sache.
« Vous vous rendez compte que ces gens, vont savoir que je couche avec mon gendre !
Ton ex-gendre belle –maman.
Oui, mais tout de même ! La grand-mère de votre fils. Et puis, j’ai une réputation à tenir moi !
Ah oui ! la réputation d’une femme hautaine, ne se mélangeant pas avec le « bas peuple » et cocufiée depuis des années par son mari volage. Tu crois que c’est une bonne réputation ? Au contraire, les personnes qui te connaîtront seront certes surprises au départ, mais t’apprécieront encore plus sous ton vrai jour. Et comme ce sont toutes des salopes, tu ne dépareilleras pas.
Vous êtes un monstre ! » Je ris.
« Tu sais que quand tu dis Ça, c’est que tu as déjà accepté dans ta tête de le faire. Je te connais belle-maman !
Arrêtez de m’appeler comme ça, puisque c’est faux !
Tu sais bien que ça m’excite et finalement à toi aussi ! Bon, je te promets que pour la présentation, tu seras masquée. Toi, tu verras qui est en face de toi, Ça participera à ton humiliation. Ensuite, si tu es acceptée dans le groupe, et si tu le décides, je dévoilerai ton visage, mais seulement dans ce cas. »
Geneviève accepte, car l’attrait de cette expérience la fait mouiller. Se montrer comme soumise l’excite en général dans les saunas que nous fréquentons. Elle résiste une dernière fois pour la forme.
« Mais… Je suis trop vieille ! Personne ne peut vouloir d’une femme comme moi voyons !
Tu vois que déjà tu es prête à te donner, mais pour ce qui est de l’âge, je te rassure, les autres femmes ont le même que toi et même plus pour certaines. Tu as vu au sauna que tu ne manques pas de partenaires ! »
Je sais déjà que je la ferai connaître et qu'elle ne s'y opposera pas, car trop excitée à l'idée d’être humiliée quand elle se dévoilera.

Ça m’excite particulièrement de montrer à mes autres maîtresses que je baise mon ancienne belle-mère. Je la préviens qu’elle va souffrir, qu’elle va pleurer, qu’elle va être humiliée et sachant que c’est ce qu’elle aime, elle donne son accord. « J'espère que tu me feras honneur ! » lui dis-je enfin en l’embrassant. Ce soir-là elle est particulièrement « chaude ». Surement la perspective de la prochaine étape de son parcours vers la déchéance et l’abdication de sa pudeur.
Trois jours plus tard, toute la troupe est réunie chez Jacqueline. J'ai annoncé que j'amènerai ma soumise vers vingt heures, au moment où la nuit est tombée. Je rentre d'abord seul, Geneviève est restée dans la voiture. Je retrouve les trois femmes et le couple qui attendent avec impatience l’arrivée de cette nouvelle recrue. Le salon a été organisé pour la « présentation » de la soirée. Comme d'habitude, le champagne est au frais. Je leur annonce qu'elle sera masquée ce qui les déçoit.
« Il est normal qu’elle soit masquée. C’est une personne connue et son intégrité doit être protégée. Si elle intègre le club, alors vous la connaîtrez. »
Oui, mais elle, elle va nous voir !
Oui ! Et cela fait partie de son humiliation. En vous voyant elle va oublier qu’elle est masquée et pensera qu’on la voit aussi.
Et si elle raconte qu’elle nous a vus ?
Tu la vois raconter qu’elle a participé à une soirée libertine ?
Elle peut vouloir nous faire du mal, sans tout raconter !
Bon ! Je vais être clair. Cette femme m’est totalement soumise. Elle attend dans la voiture sans bouger, alors qu’elle est quasiment nue. Elle ne fait rien sans me demander auparavant et dans son monde, on ne parle pas de ces choses là. Vous pouvez me croire. Vous verrez d’ailleurs sa honte sous le masque, car cela m’étonnerais qu’elle ne pleure pas en se retrouvant ici devant vous.
De toute façon, si tu as préparé tout ça, on peut te faire confiance, intervient Mélanie. Et puis, c’est elle qui va s’exhiber, pas nous ! »
Elle emporte les suffrages des autres participants, même après que j’ai ajouté.
« Au début, au moins ! »
Je règle quelques lumières et je sors chercher Geneviève. Elle sursaute lorsque j’ouvre la porte. Je lui tends la main pour sortir de la voiture.
« Tu es prête ?
O… Oui ! Puisqu’il le faut ! »
Je saisi la laisse accrochée à son cou par un collier de cuir et je l'entraîne derrière moi. Lorsque nous entrons ainsi dans la maison, le silence se fait. A la vue des personnes, Geneviève se raidit et s'arrête sur le seuil de la porte.
Je dois tirer sur la laisse pour qu’elle avance jusqu’au centre de la pièce. La laissant ainsi, je me place entre elle et les membres du groupe silencieux.
- « Je vous présente G. » Je ne donne pas volontairement son prénom, le limitant à une lettre, comme si elle ne comptait pas plus. « Vous allez voir que cette femelle est totalement soumise. Elle accepte tout. Elle n’est ici que pour le sexe, comme elle le sera plus tard, si vous l’intégrez dans votre groupe. Elle accepte tout. C’est une salope, une pute qui aime être avilie. Malgré cela, elle doit être respectée, car elle vient de son plein gré. Jacqueline, toi qui es dans les mêmes dispositions qu’elle, tu devras t’en inspirer. Elle n’a quasiment aucun tabou, si ce n’est la scatologie. Elle accepte les punitions, ce qui ne veut pas dire la violence, même si elle endure parfois la douleur. Elle sait que ce n’est qu’un jeu destiné à son plaisir et à celui de ses partenaires. »
Geneviève est restée droite au milieu du salon. Elle est enveloppée dans une cape noire qui couvre entièrement son corps des épaules jusqu’aux mollets. Aux pieds, elle porte des escarpins noirs à talon, retenus à la cheville par une bride. Personne ne pourrait la reconnaître sous le masque et dans cette tenue. Elle se tient droite et raide. M’approchant d’elle, je vois des larmes dans ses yeux. Elle a reconnu les personnes présentes. Je passe derrière elle, décroche la broche qui tient la cape autour de son cou et, ouvrant les pans du vêtement je retire la cape et découvre à tous le corps nu de Geneviève.
Bien dressée elle se met en position jambes écartées et mains derrière la nuque.
En fait, elle n’est pas totalement nue. Elle porte des bas à résille autofixants, un soutien gorge redresse seins laissant ses globes à nu. Sur ses longs tétons sont clipsés des étoiles. Geneviève est entièrement bronzée et épilée. Ses cheveux, habituellement en chignon strict, sont lâchés sur les épaules, la rendant encore plus méconnaissable. Mis à part Pierre, Ludivine et moi, personne ne l’a jamais vue ainsi. Son mari ne doit même plus se rappeler du corps de sa femme.
Les spectateurs sont muets et éberlués de découvrir cette belle femme mûre, bronzée intégralement. Dans leurs yeux, on peut lire de l’admiration face à ce corps bien conservé. Si je ne leur avais pas dis qu’elle est de leur âge, ils lui donneraient facilement dix ou quinze ans de moins. J’en rajoute néanmoins une couche.
« Vous voyez que cette femelle – j'emploie volontairement ce terme vulgaire - est magnifiquement entretenue. Pourtant elle a quasiment votre âge et il y a quelques temps son corps n’était pas aussi pulpeux. Vous voyez qu’avec un peu d’effort, on atteint un résultat remarquable.
Elle est magnifique ! Déclare Mélanie.
Tire sur tes tétons ! » G aussitôt les fait tourner entre ses doigts « Voyez cette femelle ! Elle mouille déjà rien qu’en se triturant les seins ! Il ne faut pas la laisser faire trop longtemps car elle jouirait comme ça devant vous. « Arrête salope ! Mets deux doigts dans ta chatte !... Montre-les !... Suce-les ! »
Geneviève est à la limite de la jouissance. Magnifiquement impudique au milieu de ces gens qu’elle connait et qui ne soupçonnent pas son identité. Elle m’obéit malgré tout et je sais qu’elle en éprouve du plaisir. Elle est aussi très fière de se montrer ainsi. De se prouver qu’elle peut obéir à son maître et de dévoiler son corps à des étrangers.
Je n’en peux plus s’exclame Mélanie Il faut que je me branle ! C’est trop beau ! Elle est trop belle ! » Elle soulève sa jupe et sans pudeur se caresse face au spectacle.

« Tourne-toi, penche-toi et écarte tes fesses ! » Ils découvrent alors entre ses fesses, le bijou qui y brille.
« Oh ! que c’est joli ! dit Irène. Qu’est-ce que c’est ?
C’est un rosebud, un bijou que l’on porte dans l’anus et qui tient tout seul, grâce aux muscles des sphincters..
Comment ça ?
Petite curieuse ! » J’att le bijou et le retire du cul de Geneviève. L’anus ne se referme pas aussitôt, montrant le passage secret.
« Oh ! Mais c’est gros !
Oui. C’est le plus gros modèle. G. a commencé avec le plus petit, mais maintenant elle prend celui-là sans problème.
Ça fait mal, non ?
Pas du tout. Mais sa présence est rappelée en permanence quand elle bouge et surtout quand on la baise.
J’ai envie d’essayer ! dit Jacqueline.
Ça se mérite ! C’est un bijou tout de même. Il faudra que tu commences par le petit. Quoi, que, avec toi… Salope comme tu es ! Tiens ! Sens ! C’est l’odeur de son cul !... Cà te plait n’est-ce pas ?... Lèche-le maintenant ! » Son instinct de soumise la fait obéir et très vite elle y prend du plaisir. « Bien ! Vous allez voir que G. est aussi parfaitement salope que vous ! M’adressant à Geneviève. Tu vas choisir une de ces dames et tu vas la lécher ! »
Geneviève, bien dressée, s’avance sans hésitation, et s’agenouille devant Irène. C’est celle qu’elle connaît le moins, aussi est-elle moins gênée. Elle soulève la robe et découvre directement le sexe libre de toute culotte. Cela ne doit pas la surprendre car elle connait mes goûts. Elle n’hésite pas et plonge dans la chatte de la rousse.
- « Voyez cette salope comme elle obéit. Elle se régale à bouffer une chatte inconnue, simplement parce que je lui demande. Et regardez ce cul ! » La position de Geneviève fait ressortir ses globes entre lesquels aucun poil n’apparaît. La vue est superbe. « Je vais vous montrer comme on rougit ce cul. Il ne s’agit pas de l’abîmer, mais de le chauffer. Vous verrez que G. aime ce traitement, même s’il la fait souffrir sur le moment. »
Je saisi alors le martinet et commence par passer les lanières sur la peau. Je fais remarquer au public comment la peau se granule. Le beau cul doré semble encore grossir. Je fouette légèrement Geneviève, faisant rosir la peau et secouant la femelle de quelques sursauts. Je propose ensuite à qui le désire, de prendre ma suite. Les dames hésitent. Je le propose à Gérard, mais celui-ci préfère regarder sa femme se faire gouiner. Je tends alors l’instrument à Jacqueline. « Tu commences doucement, car tu vas t’exciter et elle aussi et ensuite tu iras plus fort. Tu ne dois pas la marquer.»
Abandonnant les trois femmes, je me déshabille, vais vers Pauline et la mets nue. On s’embrasse et on se caresse tout en regardant le spectacle donné par Irène, Geneviève et Jacqueline.
Le cul de ma belle-mère est maintenant bien rouge. Irène a déjà joui plusieurs fois sous sa langue. Je demande à Jacqueline de lécher le cul de G., ce qu’elle s’empresse de faire. Ma belle-mère semble apprécier la chose. Enfin, Jacqueline replace le rosebud dans l’anus.
Il est temps de faire intervenir Mélanie qui d’elle-même s’est déshabillée. Je lui fais signe de prendre le gode sur la table basse et de s’en servir sur Geneviève. Jacqueline, libérée de sa tâche, se tourne vers Gérard. Elle a pris goût à sucer son petit sexe et ses boules. Aussi, baisse-t-elle son pantalon et s’agenouille-t-elle entre les jambes de l’homme alors que lui fixe toujours sa femme qui jouit.
Mélanie se positionne à genoux derrière ma belle-mère. Elle pointe le dard sur la rosette après avoir à nouveau retiré le rosebud qu’elle s’empresse de sucer à son tour. Elle agrippe les hanches de Geneviève et s’enfonce lentement dans le cul accueillant. Elle ressort, replace le bijou et c’est dans le vagin qu’elle pénètre sans difficulté. Connaissant ma belle-mère elle doit être trempée. Mélanie qui apprécie de baiser cette belle femme inconnue, ne la ménage pas et lui fait connaître toute la longueur de son gode en ressortant plusieurs fois et en replongeant au fond de la chatte. Après quelques instants je demande à tout le monde de regarder G. Je sais qu’elle va jouir bientôt et je veux que tout le monde assiste à son plaisir.
« Mais… Elle fait pipi ! S’exclame Mélanie qui la baise toujours énergiquement.
Non. C’est ce qu’on appelle une femme fontaine. Elle éjacule quasiment comme un homme et de façon abondante. Regardez le spectacle n’est-ce pas magnifique ? »
Tous, sont stupéfaits par l’abondante éjaculation de Geneviève. Je passe ma main sur la chatte inondée et fais goûter à chacune le suc odorant. Irène, qui a aimé, passe la main sous le ventre de sa lécheuse et fait lécher ses doigts par son mari qui se régale. Cette action, conjuguée à celle de Jacqueline sur son asticot, le fait jouir à son tour.
Après ce premier épisode, j’offre Geneviève à ces dames qui, avec le gode ceinture, les doigts ou la bouche font jouir la femelle à n’en plus finir. Ces étreintes sont entrecoupées par quelques coupes de champagne bienvenues qui ne font que monter l’ambiance. Geneviève est le centre de toutes les attentions. C’est la vedette de la soirée ! Je montre au passage à Irène comment la fister. Pratique qu’elle découvre. Les femmes, mis à part Mélanie qui connaît la pratique, sont d’abord horrifiés, puis sceptiques, enfin étonnées lorsque la petite main d’Irène disparaît dans la chatte de Geneviève jusqu’au poignet.
Lorsqu’elle commence ses mouvements, cette dernière « grimpe aux rideaux » elle transpire, crie, se cambre et éjacule de grands jets qui arrosent les femmes penchées sur elle.
J’arrête Irène et lui demande de se retirer tout doucement du vagin de Geneviève qui reste béant et se referme lentement.
- « Vous verrez que dans quelques minutes, elle pourra y tenir un crayon. Elle fait maintenant très bien travailler ses muscles ! »
Les femmes sont admiratives. Elles embrassent Geneviève. Son corps est brûlant, couvert de transpiration, ce qui avec ton teint bronzée la rend lumineuse.
« Il n’y a pas de problème ! Nous allons l’intégrer à notre groupe ! Déclare Mélanie. Mais il faut qu’on la connaisse, enlève-lui le masque.
Pas encore ! Vous n’avez pas tout vu et puis, même si elle est soumise, je vous rappelle qu’elle est ici de son plein gré et à la fin c’est elle qui décidera. Quel que soit son choix, je le respecterai. Vous savez, la relation domination/soumission, n’est pas plus facile pour le dominateur. En premier et cela doit vous servir de leçon, il doit y avoir du respect. Dans tous les cas, le soumis pose sa limite. Un simple mot, prévu à l’avance et tout s’arrête, y compris toute autre relation future. Ce n’est pas une décision facile à prendre. Dans tous les cas, lorsque la décision entraîne une interférence avec la vie publique, le choix revient à celui qui est concerné. Je l'ai autorisée à choisir son destin.
Comment cela ? demande Pauline.
Si G. décide d’enlever son masque, elle vous révèlera une face cachée de sa personnalité, qui n’est pas ment bonne à dévoiler à n’importe qui.
C’est donc si grave ?
Pour moi non, d’ailleurs j’ai donné mon accord, mais tout dépend comme chacun peut le prendre.
Il ne s’agit pas d’un crime ? Maintenant elle connait notre secret, ce n’est pas nous qui la blâmerons ! Comment irions-nous raconter aux gens ce que nous faisons ici ?
Je vous l’ai dis, c’est elle qui décidera de vous dévoiler son secret, ou pas.
J’espère qu’elle dira oui, car j’ai très envie de la revoir et de faire l’amour avec elle. Dit Mélanie
Oui, oui ! » S’écrient tous les autres en chœur.
Jacqueline ajoute –« mais, moi, il faut que j’aille faire pipi !
Nous aussi. Déclarent ses camarades.
Vous allez attendre un peu, dis-je. On va boire un peu et ensuite nous verrons.
Tu es fou ! Je vais me faire dessus ! J’ai trop envie ! pleure Jacqueline.
Cela fait partie du jeu. Allez buvons à notre amie, qui n’a pas fini de vous étonner »
Bon gré, mal gré, tout le monde trinque. Jacqueline se dandine, on voit bien qu’elle a du mal à se retenir. Les autres ne sont pas loin non plus. Je décide que l’attente a assez duré.
- « Nous allons promener cette chienne », dis-je en me levant et en saisissant la laisse, toujours accrochée au cou de ma belle-mère.
Tous sont surpris en me voyant sortir dans le jardin. Nous sommes nus et jusqu’à présent, tout s’est passé à l’intérieur. Arrivés sur l’herbe, je me retourne vers eux et les appelle. « Vous vous décidez ? Vous allez manquer le spectacle !
Mais… Il faut s’habiller !
Je croyais que vous étiez de vieilles salopes ? Regardez G., elle n’a rien dit et n’a pas hésité à sortir. »
Un instant de flottement, puis Mélanie, la première se décide. Derrière elle, toutes suivent. Je remarque qu’elle prend encore un peu plus, le leadership du groupe.
Nous nous retrouvons tous dans le jardin. Je nous place en cercle et demande à G. de pisser. Les autres n’en croient pas leurs oreilles ! Cette femme va pisser ainsi, debout et nue devant eux ?
Geneviève écarte un peu les jambes tout en pliant légèrement les genoux. Quelques secondes d’attente et un premier écoulement, puis d’un coup, c’est une cataracte qui s’échappe et arrose l’herbe. La miction dure, surtout que je lui demande d’arrêter parfois, pour relâcher ensuite. Cinq paires d’yeux sont hypnotisés par l’exhibition de cette femme inconnue.
Oseront-elles faire de même ? Pour Jacqueline, c’est sûr ! Elle ne peut plus tenir et n’attend même pas que G. ait fini pour se lâcher à son tour. Montrant l’exemple je pisse à mon tour, bientôt suivi par tous les autres.
Je reprends la laisse de G. et l’amène en face de Mélanie qui a terminé. La toison abondante de cette dernière a sûrement gardé quelques gouttes. Je fais agenouiller ma soumise et lui intime de nettoyer la chatte et la toison, ce qu’elle fait sans rechigner. Je dis à Mélanie de ne pas hésiter, si elle a encore envie de se lâcher dans sa bouche. C’est un jeu que ma belle-mère adorait avec Ludivine et elle retrouve là, un plaisir oublié.
Les autres ont terminé aussi et Jacqueline, se précipite sur la chatte de sa présidente-amie-amante, alors que Gérard s’occupe de sa femme. Me retrouvant seul, je passe derrière Geneviève et je l’embroche sans difficulté. Elle se retourne, me sourit et se remet à l’ouvrage avec plus d’énergie. J’empaume ses seins et roule ses tétons, ce qui fait qu’elle jouit rapidement. Coulant une nouvelle fois dans l’herbe, mais cette fois-ci, c’est sa cyprine qui arrose le sol.
Nous retournons à l’intérieur après cet épisode d’urophilie, découverte qui a plu à tout le monde. L’ambiance est totalement détendue jusqu’au moment où Jacqueline lance :
« Alors ? Est-ce que G. va nous montrer son visage, maintenant qu’elle va intégrer notre groupe ? » – Un silence pesant s’installe alors et je prends la parole.
« Comme j’ai dit tout à l’heure, c’est à elle de décider. Je pense que pour ce qui est de participer à nos soirées, il n’y a pas de problème, salope comme elle est, elle sera partante. Pour son identité, je pense que, si elle participe, vous devez la connaître. Les deux choses sont donc liées. G., veux-tu nous révéler ton visage ? Je ne te forcerai pas et personne ici non plus. Si tu le désires, je te rhabille et te ramène chez toi. Personne n’ira à l’encontre de ta décision. A toi de jouer ! »
Je vois dans ses yeux sous le masque, la panique à l’idée d’enfin se dévoiler. Sa poitrine se soulève alors qu’elle réfléchit. Personne ne bouge, ni ne parle. Au bout d’un temps qui paraît extrêmement long à tout le monde, Ma belle-mère se lève et se place face à nous, au milieu de la pièce. Je l’arrête alors qu’elle s’apprête à enlever son masque.
Elle a transpiré, son maquillage doit être ravagé sous le masque et je ne veux pas qu’elle apparaisse ainsi défigurée. Je demande à Jacqueline des lingettes et de quoi remaquiller G. un peu. Je la fait retourner afin qu’elle se trouve de dos aux autres. Je lui retire son masque et effectivement j’ai eu raison. Je nettoie sa peau sur laquelle larmes et sueur ont laissé des traces affreuses. Une fois fini, je la repoudre comme je peux, n’étant pas expert, un peu de rouge à lèvres et un coup de brosse dans les cheveux, la rend beaucoup plus présentable.
Lorsqu’elle est enfin prête, je l’embrasse tendrement sur la bouche, caressant son corps qui réagit aussitôt. Je murmure contre son visage:
« Tu es très belle ! Tu es sûre de vouloir le faire ?
O… Oui ! Il le faut !... Je dois me libérer de cela !... Je dois assumer, au moins avec eux. Vous avez réussi !... Soyez content !... Je suis devenue votre salope !... Votre pute !
Tu vois comme tu me fais bander ! Je te félicite pour ton courage ! Tu es prête ? On y va ?
Oui ! Moi aussi je… mouille !... C’est fou !... Je vous aime ! » Elle prend mon visage entre ses mains et m’embrasse langoureusement sur la bouche. Elle se redresse et d’une main, elle place le masque devant ses yeux. Je l’embrasse tendrement.
Je saisi sa main et la retourne enfin face à nos amis. Elle garde un peu le masque devant son visage, tenu à la main. Elle se tourne vers moi. Sa main tremble et serre très fort la mienne. Ses yeux brillent. Je dois dire que moi aussi, j’ai le cœur qui bat ce qui ne m’empêche pas de bander fort en face de nos amis, eux aussi tendus. Nous sommes nus debout face eux. Je laisse Geneviève décider du moment où elle va se dévoiler. D’un coup enfin après avoir pris une profonde inspiration, elle écarte le masque et le jette au loin comme pour s’empêcher de le récupérer.
L’atmosphère est lourde ! Quand le groupe découvre enfin le visage de Geneviève, le silence devient pesant. Je ne fais rien pour l’interrompre et des secondes interminables passent avant que Pauline ne réagisse la première.
- « Oh ! Madame de Brassac ! Non ! Ce n’est pas possible! Ce n’est pas vrai ! Pas vous ! Je n’aurais jamais pensé que… !
- Mais !... C’est ta belle-mère ! Ajoute-t-elle à mon endroit.
- Mon ex belle-mère plus exactement, dis-je. Je te rappelle que je suis divorcé.
- Oui, c’est vrai !... Tout de même !
- Ça te choque ?
- Non… ce n’est pas ça, … mais reconnais que ce n’est pas courant !
- Peut-être plus que tu ne le crois. Mais ce n’est pas le sujet. Que pensez-vous de votre nouvelle camarade de jeux ?
- Franchement, répète Pauline, je n’aurais jamais crû que vous soyez comme ça ! Si on me l’avait dit, j’aurais traité la personne de menteuse, de perverse. Mais je vous rassure, je ne suis pas choquée, au contraire, je vous découvre sous un nouveau jour très… comment dirais-je…très… sympathique. »
Mélanie, qui n’avait rien dit jusque-là, se lève et s’approche de Geneviève. Elle la prend dans ses bras et l’embrasse tendrement sur la bouche. - « J’ai dis tout à l’heure que je vous trouvais très belle et je confirme. Je dirais même plus, j’adore ! Je vous adore ! Que ce soit vous, en plus, ça m’excite au plus haut point. Vous pouvez être sûre que personne ne pourrait jamais faire le rapprochement entre ce que vous êtes tous les jours et ce que vous êtes ici. Moi je préfère ce que vous êtes ici. Elle l’embrasse à nouveau sur la bouche et les deux femmes, sous nos yeux, restent soudées un bon moment. Elles sont nues et se caressent mutuellement sans s’occuper de nous. Mélanie vient de baiser cette dame de la haute société et dira plus tard que sur le moment elle n’en revenait pas.
« Je crois mesdames, que compte tenu de ce que nous faisons ensemble, vous pourriez passer au tutoiement. Sachez que ma salope d’ex-belle-mère, adore qu’on la traite mal, qu’on lui dise justement qu’elle est une salope qui aime se faire enculer, n’est-ce pas vieille pute ?
Tu y vas un peu fort quand même ! lance Mélanie, alors que les autres semblent l’approuver.
Non, il a raison ! L’interrompt Geneviève. J’aime ça ! J’aime qu’on me traite de tous les noms, Il m’a promis un jour que je deviendrais une salope, une pute, sa propre pute ! Je le suis devenue aujourd’hui ! Et j’en suis fière ! Je peux vous dire que de m’entendre vous dire cela, je coule comme une fontaine !
Là ? Maintenant ? vous… mouillez ? Jacqueline ne sait plus comment parler.
Vous ne me croyez pas ? Venez toucher vous-même ». Elle s’approche de Jacqueline qui hésite à la toucher maintenant. Voyant le total abandon de Geneviève, qui a légèrement écarté ses jambes, elle approche lentement sa main et découvre l’humidité déjà abondante. - « Alors ? Vous trouvez que c’est sec ?
Tu… Vous êtes trempée, c’est fou !
Sachez que j’aimerais que vous me tutoyiez. Pour ma part je ne le ferai jamais je crois. Ça participe aussi à mon excitation. Sachez aussi qu’avec mon ex-beau-fils, nous jouons à nous appeler mon gendre ou belle-maman, même si ce n’est plus tout à fait vrai. Que je suis complètement soumise à ses désirs et ses inventions comme aujourd’hui. C’est un pervers, mais ça vous le savez et Il est parvenu à me faire aimer la luxure et la débauche. Il m’a entraîné dans des saunas libertins, m’a offerte à des hommes et des femmes sans que je puisse refuser. S’il me le demandait, je me prostiais, c’est vous dire ma soumission et ma dépendance. Il m’a complètement pervertie et j’en suis heureuse !
Sachez aussi que dès que nous avons fini de jouer entre nous, nous retrouvons des rapports « normaux ». Il s’agit de parenthèses dans nos vies. Je pense qu’il en est de même pour vous.
Vous n’auriez jamais pu vous douter que je sois une débauchée, avide de sexe. Vous aussi vous aimez cela, si vous le voulez bien, je serais très heureuse de faire partie de votre groupe, même si le reste du temps je ne vous fréquenterai pas.
Tu sais, que j’ai couché avec ton mari ? , dit alors Mélanie. Je suppose que tu ne dois pas être surprise, mais je préfère te le dire. C’était il y longtemps. J’espère que tu ne m’en veux pas ?
Je vous rassure. Aujourd’hui, grâce à mon gendre, je m’en contrefiche totalement et comme j’ai pris beaucoup de plaisir avec vous, que j’espère en prendre encore, je suis, on va dire, « vengée » dit-elle en riant. Ce n’est pas parce que vous avez eu des relations avec mon mari que je devrais vous en vouloir.
Des relations, c’est trop ! C’est arrivé une fois et… Bon… Bref... Je n’ai pas eu envie de recommencer ce n’était pas un « bon coup» !... Franchement, je ne comprends pas, avec une femme comme toi, qu’il aille voir ailleurs.
Je ne suis pas avec lui, comme avec vous. Il ignore totalement ce côté de ma personnalité. Nous n’avons plus de rapport depuis plus de vingt ans. C’est mon gendre qui a révélé ma sexualité, c’est pourquoi, chaque fois qu’il me propose quelque chose de nouveau, j’accepte, même si au départ je m’en crois incapable. Comme pour aujourd’hui. Il peut me demander ce qu’il veut. Vous savez qu’il est très vicieux et ne manque pas d’imagination ! »
Durant tout ce temps, Geneviève est restée debout. Debout et nue, au milieu de la pièce, comme si c’était naturel. Mélanie, l’enlace à nouveau et les deux femmes échangent un baiser brûlant. Quelque chose est en train de naître entre elles. D’ailleurs, elles se retrouveront souvent toutes les deux, par la suite, pour faire l’amour chez l’une ou chez l’autre. Je serai bien sûr invité à quelques uns de leurs moments d’intimité. Je me rendrai compte alors de leur attachement. Je ne saurai que plus tard, que Geneviève a révélé avant les autres à Mélanie, la période à laquelle nos relations ont réellement commencées. Un soir, Mélanie me confiera d’un air coquin, « Si j’avais su que depuis longtemps tu aimais les femmes mûres…. »
Les trois autres femmes se sont aussi approchées et elles s’enlacent et s’embrassent toutes les quatre sous nos yeux. Gérard semble particulièrement excité de voir sa femme sucer les tétons arrogants de ma belle-mère. Cette dernière se fait d’ailleurs téter de l’autre côté par Mélanie. Voulant reprendre la main, après avoir laissé un peu les femmes s’amuser, je propose de fêter l’intégration de Geneviève avec un peu de champagne. Puis, saisissant Irène, je la mets à genoux devant son mari et demande à Geneviève « Suce Gérard pendant que j’encule sa femme sous ses yeux »
Je demande également à Pauline de faire des photos pour alimenter le site internet. Je crois que cette cochonne s’excite beaucoup à la tâche et elle demande à Jacqueline de venir la lécher, ce dont cette dernière s’acquitte avec entrain.
Il est temps de se séparer, la nuit est très avancée, tout le monde est fatigué. Geneviève embrasse chaleureusement tout le monde, je lui remets la cape qui la couvre entièrement. Dans la voiture, malgré la courte distance elle s’endort. Arrivés chez elle, elle me demande de finir la nuit avec elle. Se pend à mon cou pour me retenir. Elle déclare que peu importe si son mari nous trouve au matin, qu’elle est heureuse, qu’elle veut sentir mon corps contre elle…
Dans sa chambre, je la déshabille, ce qui est rapide, vu qu’elle ne porte que les bas et les chaussures une fois la cape retirée. Cela suffit pour qu’elle se rendorme et que je puisse partir sans bruit.

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!