La Vie Dissolue D'Une Bigotte 10 : La Révélation Du Secret Familial
Je parle à Geneviève du projet. Si elle ne voit pas dinconvénient à lutilisation de son manoir, elle ne veut pas que les gens sachent qui elle est vraiment. Les membres du club se connaissent tous et toutes et il me paraît normal quils sachent qui elle est. De toute façon, personne na intérêt à ce que cela se sache.
« Vous vous rendez compte que ces gens, vont savoir que je couche avec mon gendre !
Ton ex-gendre belle maman.
Oui, mais tout de même ! La grand-mère de votre fils. Et puis, jai une réputation à tenir moi !
Ah oui ! la réputation dune femme hautaine, ne se mélangeant pas avec le « bas peuple » et cocufiée depuis des années par son mari volage. Tu crois que cest une bonne réputation ? Au contraire, les personnes qui te connaîtront seront certes surprises au départ, mais tapprécieront encore plus sous ton vrai jour. Et comme ce sont toutes des salopes, tu ne dépareilleras pas.
Vous êtes un monstre ! » Je ris.
« Tu sais que quand tu dis Ça, cest que tu as déjà accepté dans ta tête de le faire. Je te connais belle-maman !
Arrêtez de mappeler comme ça, puisque cest faux !
Tu sais bien que ça mexcite et finalement à toi aussi ! Bon, je te promets que pour la présentation, tu seras masquée. Toi, tu verras qui est en face de toi, Ça participera à ton humiliation. Ensuite, si tu es acceptée dans le groupe, et si tu le décides, je dévoilerai ton visage, mais seulement dans ce cas. »
Geneviève accepte, car lattrait de cette expérience la fait mouiller. Se montrer comme soumise lexcite en général dans les saunas que nous fréquentons. Elle résiste une dernière fois pour la forme.
« Mais
Je suis trop vieille ! Personne ne peut vouloir dune femme comme moi voyons !
Tu vois que déjà tu es prête à te donner, mais pour ce qui est de lâge, je te rassure, les autres femmes ont le même que toi et même plus pour certaines. Tu as vu au sauna que tu ne manques pas de partenaires ! »
Je sais déjà que je la ferai connaître et qu'elle ne s'y opposera pas, car trop excitée à l'idée dêtre humiliée quand elle se dévoilera.
Trois jours plus tard, toute la troupe est réunie chez Jacqueline. J'ai annoncé que j'amènerai ma soumise vers vingt heures, au moment où la nuit est tombée. Je rentre d'abord seul, Geneviève est restée dans la voiture. Je retrouve les trois femmes et le couple qui attendent avec impatience larrivée de cette nouvelle recrue. Le salon a été organisé pour la « présentation » de la soirée. Comme d'habitude, le champagne est au frais. Je leur annonce qu'elle sera masquée ce qui les déçoit.
« Il est normal quelle soit masquée. Cest une personne connue et son intégrité doit être protégée. Si elle intègre le club, alors vous la connaîtrez. »
Oui, mais elle, elle va nous voir !
Oui ! Et cela fait partie de son humiliation. En vous voyant elle va oublier quelle est masquée et pensera quon la voit aussi.
Et si elle raconte quelle nous a vus ?
Tu la vois raconter quelle a participé à une soirée libertine ?
Elle peut vouloir nous faire du mal, sans tout raconter !
Bon ! Je vais être clair. Cette femme mest totalement soumise. Elle attend dans la voiture sans bouger, alors quelle est quasiment nue. Elle ne fait rien sans me demander auparavant et dans son monde, on ne parle pas de ces choses là. Vous pouvez me croire. Vous verrez dailleurs sa honte sous le masque, car cela métonnerais quelle ne pleure pas en se retrouvant ici devant vous.
De toute façon, si tu as préparé tout ça, on peut te faire confiance, intervient Mélanie. Et puis, cest elle qui va sexhiber, pas nous ! »
Elle emporte les suffrages des autres participants, même après que jai ajouté.
Je règle quelques lumières et je sors chercher Geneviève. Elle sursaute lorsque jouvre la porte. Je lui tends la main pour sortir de la voiture.
« Tu es prête ?
O
Oui ! Puisquil le faut ! »
Je saisi la laisse accrochée à son cou par un collier de cuir et je l'entraîne derrière moi. Lorsque nous entrons ainsi dans la maison, le silence se fait. A la vue des personnes, Geneviève se raidit et s'arrête sur le seuil de la porte.
Je dois tirer sur la laisse pour quelle avance jusquau centre de la pièce. La laissant ainsi, je me place entre elle et les membres du groupe silencieux.
- « Je vous présente G. » Je ne donne pas volontairement son prénom, le limitant à une lettre, comme si elle ne comptait pas plus. « Vous allez voir que cette femelle est totalement soumise. Elle accepte tout. Elle nest ici que pour le sexe, comme elle le sera plus tard, si vous lintégrez dans votre groupe. Elle accepte tout. Cest une salope, une pute qui aime être avilie. Malgré cela, elle doit être respectée, car elle vient de son plein gré. Jacqueline, toi qui es dans les mêmes dispositions quelle, tu devras ten inspirer. Elle na quasiment aucun tabou, si ce nest la scatologie. Elle accepte les punitions, ce qui ne veut pas dire la violence, même si elle endure parfois la douleur. Elle sait que ce nest quun jeu destiné à son plaisir et à celui de ses partenaires. »
Geneviève est restée droite au milieu du salon. Elle est enveloppée dans une cape noire qui couvre entièrement son corps des épaules jusquaux mollets. Aux pieds, elle porte des escarpins noirs à talon, retenus à la cheville par une bride. Personne ne pourrait la reconnaître sous le masque et dans cette tenue. Elle se tient droite et raide. Mapprochant delle, je vois des larmes dans ses yeux. Elle a reconnu les personnes présentes. Je passe derrière elle, décroche la broche qui tient la cape autour de son cou et, ouvrant les pans du vêtement je retire la cape et découvre à tous le corps nu de Geneviève.
En fait, elle nest pas totalement nue. Elle porte des bas à résille autofixants, un soutien gorge redresse seins laissant ses globes à nu. Sur ses longs tétons sont clipsés des étoiles. Geneviève est entièrement bronzée et épilée. Ses cheveux, habituellement en chignon strict, sont lâchés sur les épaules, la rendant encore plus méconnaissable. Mis à part Pierre, Ludivine et moi, personne ne la jamais vue ainsi. Son mari ne doit même plus se rappeler du corps de sa femme.
Les spectateurs sont muets et éberlués de découvrir cette belle femme mûre, bronzée intégralement. Dans leurs yeux, on peut lire de ladmiration face à ce corps bien conservé. Si je ne leur avais pas dis quelle est de leur âge, ils lui donneraient facilement dix ou quinze ans de moins. Jen rajoute néanmoins une couche.
« Vous voyez que cette femelle j'emploie volontairement ce terme vulgaire - est magnifiquement entretenue. Pourtant elle a quasiment votre âge et il y a quelques temps son corps nétait pas aussi pulpeux. Vous voyez quavec un peu deffort, on atteint un résultat remarquable.
Elle est magnifique ! Déclare Mélanie.
Tire sur tes tétons ! » G aussitôt les fait tourner entre ses doigts « Voyez cette femelle ! Elle mouille déjà rien quen se triturant les seins ! Il ne faut pas la laisser faire trop longtemps car elle jouirait comme ça devant vous. « Arrête salope ! Mets deux doigts dans ta chatte !... Montre-les !... Suce-les ! »
Geneviève est à la limite de la jouissance. Magnifiquement impudique au milieu de ces gens quelle connait et qui ne soupçonnent pas son identité. Elle mobéit malgré tout et je sais quelle en éprouve du plaisir. Elle est aussi très fière de se montrer ainsi. De se prouver quelle peut obéir à son maître et de dévoiler son corps à des étrangers.
Je nen peux plus sexclame Mélanie Il faut que je me branle ! Cest trop beau ! Elle est trop belle ! » Elle soulève sa jupe et sans pudeur se caresse face au spectacle.
« Tourne-toi, penche-toi et écarte tes fesses ! » Ils découvrent alors entre ses fesses, le bijou qui y brille.
« Oh ! que cest joli ! dit Irène. Quest-ce que cest ?
Cest un rosebud, un bijou que lon porte dans lanus et qui tient tout seul, grâce aux muscles des sphincters..
Comment ça ?
Petite curieuse ! » Jatt le bijou et le retire du cul de Geneviève. Lanus ne se referme pas aussitôt, montrant le passage secret.
« Oh ! Mais cest gros !
Oui. Cest le plus gros modèle. G. a commencé avec le plus petit, mais maintenant elle prend celui-là sans problème.
Ça fait mal, non ?
Pas du tout. Mais sa présence est rappelée en permanence quand elle bouge et surtout quand on la baise.
Jai envie dessayer ! dit Jacqueline.
Ça se mérite ! Cest un bijou tout de même. Il faudra que tu commences par le petit. Quoi, que, avec toi
Salope comme tu es ! Tiens ! Sens ! Cest lodeur de son cul !... Cà te plait nest-ce pas ?... Lèche-le maintenant ! » Son instinct de soumise la fait obéir et très vite elle y prend du plaisir. « Bien ! Vous allez voir que G. est aussi parfaitement salope que vous ! Madressant à Geneviève. Tu vas choisir une de ces dames et tu vas la lécher ! »
Geneviève, bien dressée, savance sans hésitation, et sagenouille devant Irène. Cest celle quelle connaît le moins, aussi est-elle moins gênée. Elle soulève la robe et découvre directement le sexe libre de toute culotte. Cela ne doit pas la surprendre car elle connait mes goûts. Elle nhésite pas et plonge dans la chatte de la rousse.
- « Voyez cette salope comme elle obéit. Elle se régale à bouffer une chatte inconnue, simplement parce que je lui demande. Et regardez ce cul ! » La position de Geneviève fait ressortir ses globes entre lesquels aucun poil napparaît. La vue est superbe. « Je vais vous montrer comme on rougit ce cul. Il ne sagit pas de labîmer, mais de le chauffer. Vous verrez que G. aime ce traitement, même sil la fait souffrir sur le moment. »
Je saisi alors le martinet et commence par passer les lanières sur la peau. Je fais remarquer au public comment la peau se granule. Le beau cul doré semble encore grossir. Je fouette légèrement Geneviève, faisant rosir la peau et secouant la femelle de quelques sursauts. Je propose ensuite à qui le désire, de prendre ma suite. Les dames hésitent. Je le propose à Gérard, mais celui-ci préfère regarder sa femme se faire gouiner. Je tends alors linstrument à Jacqueline. « Tu commences doucement, car tu vas texciter et elle aussi et ensuite tu iras plus fort. Tu ne dois pas la marquer.»
Abandonnant les trois femmes, je me déshabille, vais vers Pauline et la mets nue. On sembrasse et on se caresse tout en regardant le spectacle donné par Irène, Geneviève et Jacqueline.
Le cul de ma belle-mère est maintenant bien rouge. Irène a déjà joui plusieurs fois sous sa langue. Je demande à Jacqueline de lécher le cul de G., ce quelle sempresse de faire. Ma belle-mère semble apprécier la chose. Enfin, Jacqueline replace le rosebud dans lanus.
Il est temps de faire intervenir Mélanie qui delle-même sest déshabillée. Je lui fais signe de prendre le gode sur la table basse et de sen servir sur Geneviève. Jacqueline, libérée de sa tâche, se tourne vers Gérard. Elle a pris goût à sucer son petit sexe et ses boules. Aussi, baisse-t-elle son pantalon et sagenouille-t-elle entre les jambes de lhomme alors que lui fixe toujours sa femme qui jouit.
Mélanie se positionne à genoux derrière ma belle-mère. Elle pointe le dard sur la rosette après avoir à nouveau retiré le rosebud quelle sempresse de sucer à son tour. Elle agrippe les hanches de Geneviève et senfonce lentement dans le cul accueillant. Elle ressort, replace le bijou et cest dans le vagin quelle pénètre sans difficulté. Connaissant ma belle-mère elle doit être trempée. Mélanie qui apprécie de baiser cette belle femme inconnue, ne la ménage pas et lui fait connaître toute la longueur de son gode en ressortant plusieurs fois et en replongeant au fond de la chatte. Après quelques instants je demande à tout le monde de regarder G. Je sais quelle va jouir bientôt et je veux que tout le monde assiste à son plaisir.
« Mais
Elle fait pipi ! Sexclame Mélanie qui la baise toujours énergiquement.
Non. Cest ce quon appelle une femme fontaine. Elle éjacule quasiment comme un homme et de façon abondante. Regardez le spectacle nest-ce pas magnifique ? »
Tous, sont stupéfaits par labondante éjaculation de Geneviève. Je passe ma main sur la chatte inondée et fais goûter à chacune le suc odorant. Irène, qui a aimé, passe la main sous le ventre de sa lécheuse et fait lécher ses doigts par son mari qui se régale. Cette action, conjuguée à celle de Jacqueline sur son asticot, le fait jouir à son tour.
Après ce premier épisode, joffre Geneviève à ces dames qui, avec le gode ceinture, les doigts ou la bouche font jouir la femelle à nen plus finir. Ces étreintes sont entrecoupées par quelques coupes de champagne bienvenues qui ne font que monter lambiance. Geneviève est le centre de toutes les attentions. Cest la vedette de la soirée ! Je montre au passage à Irène comment la fister. Pratique quelle découvre. Les femmes, mis à part Mélanie qui connaît la pratique, sont dabord horrifiés, puis sceptiques, enfin étonnées lorsque la petite main dIrène disparaît dans la chatte de Geneviève jusquau poignet.
Lorsquelle commence ses mouvements, cette dernière « grimpe aux rideaux » elle transpire, crie, se cambre et éjacule de grands jets qui arrosent les femmes penchées sur elle.
Jarrête Irène et lui demande de se retirer tout doucement du vagin de Geneviève qui reste béant et se referme lentement.
- « Vous verrez que dans quelques minutes, elle pourra y tenir un crayon. Elle fait maintenant très bien travailler ses muscles ! »
Les femmes sont admiratives. Elles embrassent Geneviève. Son corps est brûlant, couvert de transpiration, ce qui avec ton teint bronzée la rend lumineuse.
« Il ny a pas de problème ! Nous allons lintégrer à notre groupe ! Déclare Mélanie. Mais il faut quon la connaisse, enlève-lui le masque.
Pas encore ! Vous navez pas tout vu et puis, même si elle est soumise, je vous rappelle quelle est ici de son plein gré et à la fin cest elle qui décidera. Quel que soit son choix, je le respecterai. Vous savez, la relation domination/soumission, nest pas plus facile pour le dominateur. En premier et cela doit vous servir de leçon, il doit y avoir du respect. Dans tous les cas, le soumis pose sa limite. Un simple mot, prévu à lavance et tout sarrête, y compris toute autre relation future. Ce nest pas une décision facile à prendre. Dans tous les cas, lorsque la décision entraîne une interférence avec la vie publique, le choix revient à celui qui est concerné. Je l'ai autorisée à choisir son destin.
Comment cela ? demande Pauline.
Si G. décide denlever son masque, elle vous révèlera une face cachée de sa personnalité, qui nest pas ment bonne à dévoiler à nimporte qui.
Cest donc si grave ?
Pour moi non, dailleurs jai donné mon accord, mais tout dépend comme chacun peut le prendre.
Il ne sagit pas dun crime ? Maintenant elle connait notre secret, ce nest pas nous qui la blâmerons ! Comment irions-nous raconter aux gens ce que nous faisons ici ?
Je vous lai dis, cest elle qui décidera de vous dévoiler son secret, ou pas.
Jespère quelle dira oui, car jai très envie de la revoir et de faire lamour avec elle. Dit Mélanie
Oui, oui ! » Sécrient tous les autres en chur.
Jacqueline ajoute « mais, moi, il faut que jaille faire pipi !
Nous aussi. Déclarent ses camarades.
Vous allez attendre un peu, dis-je. On va boire un peu et ensuite nous verrons.
Tu es fou ! Je vais me faire dessus ! Jai trop envie ! pleure Jacqueline.
Cela fait partie du jeu. Allez buvons à notre amie, qui na pas fini de vous étonner »
Bon gré, mal gré, tout le monde trinque. Jacqueline se dandine, on voit bien quelle a du mal à se retenir. Les autres ne sont pas loin non plus. Je décide que lattente a assez duré.
- « Nous allons promener cette chienne », dis-je en me levant et en saisissant la laisse, toujours accrochée au cou de ma belle-mère.
Tous sont surpris en me voyant sortir dans le jardin. Nous sommes nus et jusquà présent, tout sest passé à lintérieur. Arrivés sur lherbe, je me retourne vers eux et les appelle. « Vous vous décidez ? Vous allez manquer le spectacle !
Mais
Il faut shabiller !
Je croyais que vous étiez de vieilles salopes ? Regardez G., elle na rien dit et na pas hésité à sortir. »
Un instant de flottement, puis Mélanie, la première se décide. Derrière elle, toutes suivent. Je remarque quelle prend encore un peu plus, le leadership du groupe.
Nous nous retrouvons tous dans le jardin. Je nous place en cercle et demande à G. de pisser. Les autres nen croient pas leurs oreilles ! Cette femme va pisser ainsi, debout et nue devant eux ?
Geneviève écarte un peu les jambes tout en pliant légèrement les genoux. Quelques secondes dattente et un premier écoulement, puis dun coup, cest une cataracte qui séchappe et arrose lherbe. La miction dure, surtout que je lui demande darrêter parfois, pour relâcher ensuite. Cinq paires dyeux sont hypnotisés par lexhibition de cette femme inconnue.
Oseront-elles faire de même ? Pour Jacqueline, cest sûr ! Elle ne peut plus tenir et nattend même pas que G. ait fini pour se lâcher à son tour. Montrant lexemple je pisse à mon tour, bientôt suivi par tous les autres.
Je reprends la laisse de G. et lamène en face de Mélanie qui a terminé. La toison abondante de cette dernière a sûrement gardé quelques gouttes. Je fais agenouiller ma soumise et lui intime de nettoyer la chatte et la toison, ce quelle fait sans rechigner. Je dis à Mélanie de ne pas hésiter, si elle a encore envie de se lâcher dans sa bouche. Cest un jeu que ma belle-mère adorait avec Ludivine et elle retrouve là, un plaisir oublié.
Les autres ont terminé aussi et Jacqueline, se précipite sur la chatte de sa présidente-amie-amante, alors que Gérard soccupe de sa femme. Me retrouvant seul, je passe derrière Geneviève et je lembroche sans difficulté. Elle se retourne, me sourit et se remet à louvrage avec plus dénergie. Jempaume ses seins et roule ses tétons, ce qui fait quelle jouit rapidement. Coulant une nouvelle fois dans lherbe, mais cette fois-ci, cest sa cyprine qui arrose le sol.
Nous retournons à lintérieur après cet épisode durophilie, découverte qui a plu à tout le monde. Lambiance est totalement détendue jusquau moment où Jacqueline lance :
« Alors ? Est-ce que G. va nous montrer son visage, maintenant quelle va intégrer notre groupe ? » Un silence pesant sinstalle alors et je prends la parole.
« Comme jai dit tout à lheure, cest à elle de décider. Je pense que pour ce qui est de participer à nos soirées, il ny a pas de problème, salope comme elle est, elle sera partante. Pour son identité, je pense que, si elle participe, vous devez la connaître. Les deux choses sont donc liées. G., veux-tu nous révéler ton visage ? Je ne te forcerai pas et personne ici non plus. Si tu le désires, je te rhabille et te ramène chez toi. Personne nira à lencontre de ta décision. A toi de jouer ! »
Je vois dans ses yeux sous le masque, la panique à lidée denfin se dévoiler. Sa poitrine se soulève alors quelle réfléchit. Personne ne bouge, ni ne parle. Au bout dun temps qui paraît extrêmement long à tout le monde, Ma belle-mère se lève et se place face à nous, au milieu de la pièce. Je larrête alors quelle sapprête à enlever son masque.
Elle a transpiré, son maquillage doit être ravagé sous le masque et je ne veux pas quelle apparaisse ainsi défigurée. Je demande à Jacqueline des lingettes et de quoi remaquiller G. un peu. Je la fait retourner afin quelle se trouve de dos aux autres. Je lui retire son masque et effectivement jai eu raison. Je nettoie sa peau sur laquelle larmes et sueur ont laissé des traces affreuses. Une fois fini, je la repoudre comme je peux, nétant pas expert, un peu de rouge à lèvres et un coup de brosse dans les cheveux, la rend beaucoup plus présentable.
Lorsquelle est enfin prête, je lembrasse tendrement sur la bouche, caressant son corps qui réagit aussitôt. Je murmure contre son visage:
« Tu es très belle ! Tu es sûre de vouloir le faire ?
O
Oui ! Il le faut !... Je dois me libérer de cela !... Je dois assumer, au moins avec eux. Vous avez réussi !... Soyez content !... Je suis devenue votre salope !... Votre pute !
Tu vois comme tu me fais bander ! Je te félicite pour ton courage ! Tu es prête ? On y va ?
Oui ! Moi aussi je
mouille !... Cest fou !... Je vous aime ! » Elle prend mon visage entre ses mains et membrasse langoureusement sur la bouche. Elle se redresse et dune main, elle place le masque devant ses yeux. Je lembrasse tendrement.
Je saisi sa main et la retourne enfin face à nos amis. Elle garde un peu le masque devant son visage, tenu à la main. Elle se tourne vers moi. Sa main tremble et serre très fort la mienne. Ses yeux brillent. Je dois dire que moi aussi, jai le cur qui bat ce qui ne mempêche pas de bander fort en face de nos amis, eux aussi tendus. Nous sommes nus debout face eux. Je laisse Geneviève décider du moment où elle va se dévoiler. Dun coup enfin après avoir pris une profonde inspiration, elle écarte le masque et le jette au loin comme pour sempêcher de le récupérer.
Latmosphère est lourde ! Quand le groupe découvre enfin le visage de Geneviève, le silence devient pesant. Je ne fais rien pour linterrompre et des secondes interminables passent avant que Pauline ne réagisse la première.
- « Oh ! Madame de Brassac ! Non ! Ce nest pas possible! Ce nest pas vrai ! Pas vous ! Je naurais jamais pensé que
!
- Mais !... Cest ta belle-mère ! Ajoute-t-elle à mon endroit.
- Mon ex belle-mère plus exactement, dis-je. Je te rappelle que je suis divorcé.
- Oui, cest vrai !... Tout de même !
- Ça te choque ?
- Non
ce nest pas ça,
mais reconnais que ce nest pas courant !
- Peut-être plus que tu ne le crois. Mais ce nest pas le sujet. Que pensez-vous de votre nouvelle camarade de jeux ?
- Franchement, répète Pauline, je naurais jamais crû que vous soyez comme ça ! Si on me lavait dit, jaurais traité la personne de menteuse, de perverse. Mais je vous rassure, je ne suis pas choquée, au contraire, je vous découvre sous un nouveau jour très
comment dirais-je
très
sympathique. »
Mélanie, qui navait rien dit jusque-là, se lève et sapproche de Geneviève. Elle la prend dans ses bras et lembrasse tendrement sur la bouche. - « Jai dis tout à lheure que je vous trouvais très belle et je confirme. Je dirais même plus, jadore ! Je vous adore ! Que ce soit vous, en plus, ça mexcite au plus haut point. Vous pouvez être sûre que personne ne pourrait jamais faire le rapprochement entre ce que vous êtes tous les jours et ce que vous êtes ici. Moi je préfère ce que vous êtes ici. Elle lembrasse à nouveau sur la bouche et les deux femmes, sous nos yeux, restent soudées un bon moment. Elles sont nues et se caressent mutuellement sans soccuper de nous. Mélanie vient de baiser cette dame de la haute société et dira plus tard que sur le moment elle nen revenait pas.
« Je crois mesdames, que compte tenu de ce que nous faisons ensemble, vous pourriez passer au tutoiement. Sachez que ma salope dex-belle-mère, adore quon la traite mal, quon lui dise justement quelle est une salope qui aime se faire enculer, nest-ce pas vieille pute ?
Tu y vas un peu fort quand même ! lance Mélanie, alors que les autres semblent lapprouver.
Non, il a raison ! Linterrompt Geneviève. Jaime ça ! Jaime quon me traite de tous les noms, Il ma promis un jour que je deviendrais une salope, une pute, sa propre pute ! Je le suis devenue aujourdhui ! Et jen suis fière ! Je peux vous dire que de mentendre vous dire cela, je coule comme une fontaine !
Là ? Maintenant ? vous
mouillez ? Jacqueline ne sait plus comment parler.
Vous ne me croyez pas ? Venez toucher vous-même ». Elle sapproche de Jacqueline qui hésite à la toucher maintenant. Voyant le total abandon de Geneviève, qui a légèrement écarté ses jambes, elle approche lentement sa main et découvre lhumidité déjà abondante. - « Alors ? Vous trouvez que cest sec ?
Tu
Vous êtes trempée, cest fou !
Sachez que jaimerais que vous me tutoyiez. Pour ma part je ne le ferai jamais je crois. Ça participe aussi à mon excitation. Sachez aussi quavec mon ex-beau-fils, nous jouons à nous appeler mon gendre ou belle-maman, même si ce nest plus tout à fait vrai. Que je suis complètement soumise à ses désirs et ses inventions comme aujourdhui. Cest un pervers, mais ça vous le savez et Il est parvenu à me faire aimer la luxure et la débauche. Il ma entraîné dans des saunas libertins, ma offerte à des hommes et des femmes sans que je puisse refuser. Sil me le demandait, je me prostiais, cest vous dire ma soumission et ma dépendance. Il ma complètement pervertie et jen suis heureuse !
Sachez aussi que dès que nous avons fini de jouer entre nous, nous retrouvons des rapports « normaux ». Il sagit de parenthèses dans nos vies. Je pense quil en est de même pour vous.
Vous nauriez jamais pu vous douter que je sois une débauchée, avide de sexe. Vous aussi vous aimez cela, si vous le voulez bien, je serais très heureuse de faire partie de votre groupe, même si le reste du temps je ne vous fréquenterai pas.
Tu sais, que jai couché avec ton mari ? , dit alors Mélanie. Je suppose que tu ne dois pas être surprise, mais je préfère te le dire. Cétait il y longtemps. Jespère que tu ne men veux pas ?
Je vous rassure. Aujourdhui, grâce à mon gendre, je men contrefiche totalement et comme jai pris beaucoup de plaisir avec vous, que jespère en prendre encore, je suis, on va dire, « vengée » dit-elle en riant. Ce nest pas parce que vous avez eu des relations avec mon mari que je devrais vous en vouloir.
Des relations, cest trop ! Cest arrivé une fois et
Bon
Bref... Je nai pas eu envie de recommencer ce nétait pas un « bon coup» !... Franchement, je ne comprends pas, avec une femme comme toi, quil aille voir ailleurs.
Je ne suis pas avec lui, comme avec vous. Il ignore totalement ce côté de ma personnalité. Nous navons plus de rapport depuis plus de vingt ans. Cest mon gendre qui a révélé ma sexualité, cest pourquoi, chaque fois quil me propose quelque chose de nouveau, jaccepte, même si au départ je men crois incapable. Comme pour aujourdhui. Il peut me demander ce quil veut. Vous savez quil est très vicieux et ne manque pas dimagination ! »
Durant tout ce temps, Geneviève est restée debout. Debout et nue, au milieu de la pièce, comme si cétait naturel. Mélanie, lenlace à nouveau et les deux femmes échangent un baiser brûlant. Quelque chose est en train de naître entre elles. Dailleurs, elles se retrouveront souvent toutes les deux, par la suite, pour faire lamour chez lune ou chez lautre. Je serai bien sûr invité à quelques uns de leurs moments dintimité. Je me rendrai compte alors de leur attachement. Je ne saurai que plus tard, que Geneviève a révélé avant les autres à Mélanie, la période à laquelle nos relations ont réellement commencées. Un soir, Mélanie me confiera dun air coquin, « Si javais su que depuis longtemps tu aimais les femmes mûres
. »
Les trois autres femmes se sont aussi approchées et elles senlacent et sembrassent toutes les quatre sous nos yeux. Gérard semble particulièrement excité de voir sa femme sucer les tétons arrogants de ma belle-mère. Cette dernière se fait dailleurs téter de lautre côté par Mélanie. Voulant reprendre la main, après avoir laissé un peu les femmes samuser, je propose de fêter lintégration de Geneviève avec un peu de champagne. Puis, saisissant Irène, je la mets à genoux devant son mari et demande à Geneviève « Suce Gérard pendant que jencule sa femme sous ses yeux »
Je demande également à Pauline de faire des photos pour alimenter le site internet. Je crois que cette cochonne sexcite beaucoup à la tâche et elle demande à Jacqueline de venir la lécher, ce dont cette dernière sacquitte avec entrain.
Il est temps de se séparer, la nuit est très avancée, tout le monde est fatigué. Geneviève embrasse chaleureusement tout le monde, je lui remets la cape qui la couvre entièrement. Dans la voiture, malgré la courte distance elle sendort. Arrivés chez elle, elle me demande de finir la nuit avec elle. Se pend à mon cou pour me retenir. Elle déclare que peu importe si son mari nous trouve au matin, quelle est heureuse, quelle veut sentir mon corps contre elle
Dans sa chambre, je la déshabille, ce qui est rapide, vu quelle ne porte que les bas et les chaussures une fois la cape retirée. Cela suffit pour quelle se rendorme et que je puisse partir sans bruit.
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