La Délivrance Qu'il Attendait Tant.
Il lavait croisé au hasard dune sortie entre amis dans un bar. Elle était toujours aussi magnifique et il avait toujours autant dintérêt pour elle.
Il avait été faible et était resté en sa présence, voulant sauvegarder les apparences auprès des autres.
Comme toujours, elle attirait lattention des autres hommes et qui pourrait les en blâmés, impossible de résister à son visage rieur et son corps à se faire damné.
La soirée se déroula dans la bonne humeur et leurs regard se croisèrent à plusieurs reprises. Jusquà ce quun soupirant attire son attention à elle. A partir de ce moment, il devint intérieurement fou de rage et de désir pour elle.
Il eu beau essayer de ne rien laisser paraître, les regards des autres ne laissait pas douter de sa transparence.
Voyant quelle était sur le point de céder aux avances de linconnu, il ny tien plus et se dirigea droit sur eux.
Il lui pris la main alors quelle ne sattendait à rien et lui dit:
- Il faut quon y aille
Elle ne dit rien mais à sa grande surprise se leva et mis sa veste. Linconnu essaya bien de la faire changer davis en lui proposant un verre mais en jetant un il au nouvel arrivant il comprit que cest son intégrité physique quil risquait.
Ils abandonnèrent leurs amis sans aucune explication. Ils néchangèrent pas un mot sur le trajet du retour mais il ne lui lâcha pas la main et elle nessaya pas de se dérober à son étreinte. On pouvait lire un désir violent dans leurs yeux et cela navait pas besoin dêtre traduit par des mots.
Arrivez à lentrée de leurs immeuble commun, il lentraîna vers son étage à lui. A peine arrivé dans son couloir désert, il la plaqua contre le mur et lembrassa fougueusement. Il ny avait plus aucune trace de raison dans son esprit, il ny avait que le désir quil ressentait pour elle. Tandis quelle passait ses bras autour de son cou, ils lui saisit les poignées et les maintiens joints au dessus de sa tête dune main alors que son autre main sinsinua entre ses cuisses.
Ny tenant plus il lentraîna dans son appartement, à peine la porte refermé, il la plaqua à nouveau contre le mur mais cette foi elle faisait face au miroir. Il lui déboutonna son jean et le descendis jusquà ses genoux. Libérant lui même son membre turgescent , il écarta son string pour senfoncer en elle avec passion en déchirant ses chairs humide de désir.
La douceur navait pas ça place dans cette union, la passion avait besoin dêtre assouvis. Il continua à senfoncer en elle inlassablement jusquà ce que les contraction et halètement laisse entrevoir sa délivrance à elle. Il rassembla alors ses long cheveux derrière sa tête et les maintien dun main ferme pendant quil continuait de la pénétrer avec acharnement. Par delà la recherche de son plaisir, il voulait la voir jouir, il le voulait depuis quil lavait fait rire la première fois. Dans se but ultime son autre main saventura jusquà son clitoris pour la faire jouir et elle le comprit parfaitement. Sa main plus experte viens vite remplacé la sienne alors quil la regardait dans le miroir pour ne rien raté de son visage au trait fins que seul pouvais embellir la métamorphose par lextase.
Enfin elle jouit et se spectacle inestimable restera à jamais gravé dans sa mémoire. Il resta blotti au fond delle pendant sa jouissance et ils restèrent ainsi pendant de longue minute. Il la prit alors dans ses bras et la porta à moitié jusquà son lit. Leurs vêtements chutèrent avec célérité.
Allongé sur le ventre, elle commença à venir à sa rencontre en initiant le mouvement. Seulement alors il recommença à la prendre avec enthousiasme. Dabord doucement puis de plus en plus vite et profondément. Il ne fallu pas bien longtemps avant que lorgasme les emportent tout les deux aux septième ciel. La passion avait enfin pu être assouvis, il regrettera sûrement demain davoir profité de son état alcoolisé.
Elle passa la nuit dans ses bras et laube ne se fit pas attendre bien longtemps, et avec elle la virilité matinal. Cette fois-ci ils firent lamour en douceur et tendresse leurs regard unis une dernière fois.
Enfin, cest avec amertume quil la regarda partir car il savait que plus jamais il ne pourrait la posséder. Elle était telle une déesse, à jamais libre et au mortel interdit. Il avait pu partager sa couche avec elle et cest un plaisir dautant plus grand quil était éphémère.
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!