Josiane(6)
- Je te dois combien ? Fit Josiane, assise sur son fauteuil. Là même où la veille, elle était confortablement installée pour assister à ma débauche avec Mercédès. La position quelle avait prise eut pour effet de faire glisser la blouse quelle portait, haut sur ses cuisses gainées de résilles de couleur noir au-dessus de bottes en cuir de couleur rouge. Mon côté voyeur a très vite prit le dessus. Il me fallait à tout prix que je trouve un bon angle pour apercevoir ce quelle portait sous sa blouse. Surprenant mes yeux se poser sur sa chair, elle a esquissé un geste pour rabattre lourlet de sa blouse.
- Rien, tu ne me dois rien ! Je pense te lavoir déjà dit, non ? Ai-je répondu.
- Tu sais
je
je mexcuse pour hier. Jai cru bien faire
en
- Texcuse pas, la coupais-je, tu ne pouvais pas savoir comme cela aller se dérouler.
- Mais enfin jaurai cru
que
fit-elle en baissant son regard sur ses bottes.
Jen ai profité pour me décaler sur la gauche, afin de me positionner pile poil dans laxe de ses cuisses. Jai pu par ce déplacement apercevoir la chair blanche de ses cuisses au-dessus des bas résilles et le triangle de sa culotte couleur chair qui cachait sa féminité resplendissante. Collée à sa chatte, dessinant sa fente. Il ne men a pas fallu plus pour mexciter. Et très vite comme pareil cas, une idée mest venue, si polissonne que mon cur sest accéléré.
- Et bien tu as mal cru
fis-je en me levant. La tête pleine de projets cochons. Tu ne peux pas savoir comment jai pris mon pied avec cette cochonne de Mercédès. Et tu sais comme jaime bien les cochonnes, non ?
Incapable de me résonner, je fis les quelques pas qui me séparer delle. Là, je me suis saisi de sa main. Que jai tiré à moi pour la forcer de quitter sa place et je lai entrainé jusquau divan, où je me suis de nouveau installé. Mais alors quelle sapprêtait à sasseoir à mes côté, je lui ai ordonné de rester debout, bien face à moi.
- Mais
mais quest-ce que compte me faire ? A-t-elle gloussé.
- Tu ne devines pas ? Jai répondu, alors que ma main a soulevé lourlet de sa blouse. Pas un moment elle a eut un geste pour arrêter mon geste. Une large auréole tapissait le devant de son slip. Laissant apparaitre par transparence, les muqueuses entrebâillée, de couleurs foncés entre les poils. Du bout du doigt, jai souligné la fente de la vulve, à travers létoffe imbibée de mouille.
Elle na pas plus protesté quand mes doigts ont soulevé lempiècement du sous-vêtement pour sinsinuer au milieu de ses poils. La bande de peau nue de ses cuisses se sont couvert de chair de poule. Josiane a fermé ses yeux. Comme si elle se soumettait à mes caprices. Jen ai profité pour poser ma main bien à plat sur la toison de sa chatte. La coquine avait sournoisement déplacé une cuisse de côté comme pour mieux moffrir laccès de son intimité. Jai exercé une pression de la paume, faisant bâiller un peu plus les lèvres de chair mouillée. Cela me fit penser à un gros mollusque tiède. Le con était aussi ouvert quune bouche vorace. Jy ai enfoncé deux doigts sans difficulté. Josiane a laissé échapper un gémissement sourd. Honteuse, et dans lincapacité de résister à mon audace, elle a caché son visage dans les creux de ses mains. Alors que la caverne de son ventre se dilatait de plus en plus au fil de son excitation. Lorsque je lui ai enfilé un troisième doigt, elle ma griffé le haut de mon crâne. Tremblants davidité, mes doigts ont patiné dans la mouille, tapissant les muqueuses. Son souffle sest accéléré, comme affolée par le plaisir quelle prenait. Jai agrippé une babine entre deux doigts. Puis jai étiré sur la chair élastique et sensible à son maximum. Josiane gémissait de plus belle, en me suppliant de continuer, quelle aimait ce que je lui faisais. Jen ai profité pour lui faire glisser son sous-vêtement le long des jambes. Linstant daprès javais devant mes yeux, un pubis renflé aux poils dont les contours étaient nets.
- Tu es un sacré vicieux Alain ? Tu le sais ?
- Cest pour cela que tu maimes, non ?
- Oui
peut-être ! Vas savoir ! Mais dis-moi, cela ne te fait rien de toujours toucher ce qui est sale ?
Ignorant ses paroles, je me suis penché. Il émanait de son sexe une odeur musquée. Me donnant envie dy poser mes lèvres au lieu de mindisposer.
- Oh oui, embrasse-les ! Tu ne peux pas savoir comme jaime
Ça !
Jai respiré bruyamment le parfum épicé de la vulve imprégnée de mouille, de pisse et de sueur. Jai plongé ma bouche dans une torpeur agréable, qui a accentué mes sensations sales. Jai cherché dans la broussaille le bouton dont jai posé mes lèvres. Je lai embrassé avant de le sucer. Jai a laveuglette ouvert le devant de sa blouse. Mettant ses seins à nus. Toujours à tâtons, jai cherché les mamelons qui étaient durs et gonflés dexcitation. Je me suis mis à les triturer sans cesser de pourlécher la fente au goût fade.
Je lai fouillé de ma bouche, de mes lèvres, de ma langue. Elle a joui scandaleusement dans ma bouche. Je me suis reculé pour apercevoir les chairs bouffies, congestionnées par ma succion. Elle sest alors laissé tomber sur le divan. Mattirant à elle avec des : jen veux encore
encore ! Elle sest mise à geindre en empoignant ses cuisses, creusant les reins pour mieux soffrir à mon exploration buccale.
- Oui encore ! Comme ça, mange-moi toute !
Jai relevé la tête pour reprendre mon souffle, contemplant le con détrempé, les poils raidis de salive, les lèvres rougies et le clitoris saillant. Ainsi ramassé, elle ma exposé son cul. Une raie rosée au milieu de deux globes pâles, dont lanus plissé était entrouvert, enfoui entre une mince couronne de poils bruns. Mon regard a croisé le sien. Avec une pointe de défi, jai plongé vers le trou du cul.
- Là oui ! Oh que cest bon
. cochon, plus loin !
Je lui ai pris la main, que jai tenté de la ramener vers ma verge, mais elle la repoussé, préférant empoigner ses seins lourds, les malaxer entre ses doigts pendant quelle ruait en avant, projetant son bassin au devant de ma bouche. Jai marqué un temps darrêt et jai enfoncé là, deux doigts joints dans le rectum que ma langue avait dilaté. Elle a poussé un râle plaintif, tout en donnant des coups de reins, finissant elle-même de sempaler.
- Oui, maintenant ! Vas-y, mange-moi la encore ! Je ne peux pas savoir comment jaime cela
Tu le fais tellement bien, tu sais !
Jai obéis, en posant mes lèvres sur son sexe. Je me suis goinfré de lui. Aspirant les babines, écrasant le clitoris sous ma langue, et cela tout en lui branlant le cul de mes doigts. Elle a jouit, et jouit encore, en poussant des cris si violent que je pris une expression inquiète. Jai pensé sur le moment, que toutes les mères au foyer du gage descalier devaient profiter des délires de Josiane. Que ses cris avaient transpiré sous la porte dentrée pour se déverser dans lescalier afin demplir les foyers et venir ainsi leurs chatouiller les oreilles.
Je ne lui ai même pas laissé le temps de reprendre son souffle que déjà je me suis agenouillé au-dessus delle, guidant mon pénis pour tenter de lui enfoncer dans la bouche, en lui lançant :
- Tiens, toi qui aime que je te suce, à ton tour, maintenant !
Elle a détourné le visage et ma gentiment repoussé du bras. Puis encore haletante, elle sest redressée, le visage rougi, un regard fiévreux sur moi. Comme si elle avait totalement oublié ma présence, elle sest mise debout.
- Je préfère que tu sois assis et moi à genoux devant toi si cela ne te gêne pas !
- Pas le moins du monde. Le résultat est le même, non ?
- Pas pour moi.
Puis, avec un sourire salace elle sest penchée pour me lécher la verge de haut en bas. Je nen croyais pas ma veine. De la langue elle a tracé des arabesques sur mon sexe. A titillé le frein, suivant le pourtour du gland. Puis elle a noué ses doigts en bague autour de ma verge tout en levant vers moi un regard vicieux, et ma branlé tout en suçant. En pure experte, me sentant proche de conclure, elle sest arrêtée. Elle en a profité pour repousser mes cuisses, mincitant à les relever tant que je le pouvais. Sa langue a glissé sur mon périnée, et cela jusquà lanus, quelle sest mise a taquiné de petits coups de langue avant de la plonger dans la crevasse. Je nai pas pus retenir un râle de satisfaction. Elle sest attardée sur lorifice, avant de se polariser sur mes couilles, quelle a soulevé du bout de la langue avant de revenir à lanus. Cen était trop pour moi. Je me suis laissé envahir par la jouissance. À ne pas chercher à la contenir. La plus importante giclé a zébré sa joue, son il, son front. En clignant des yeux, elle a resserré les lèvres autour de ma verge, juste à temps pour recueillir les autres giclées.
Engourdi par le plaisir je me suis étendu sur le divan. Josiane sest posé près de moi, les cuisses grandes ouvertes. Exposant sa marchandise. Après seulement quelques minutes dinactions, elle est montée sur le divan, face à moi. Exhibant les grandes lèvres vaginales bombées et brillantes.
Maîtresse des événements, elle sest placé à cheval sur mes cuisses, tout en me dévisageant. Les cuisses écartées, la fente au-dessus de ma verge redevenue raide. Avec un regard fondant, elle a dirigé de sa main, mon membre en elle, entre ses lèvres vaginales ouvertes. Quelle sensation de pénétrer son vagin chaud et humide. Et cela centimètre après centimètre. Tout en émettant un long râle guttural. Puis elle sest lancée tomber. Les parois spongieuses mont aspirée. Épousant la forme de mon membre, le comprimant par spasme. Machinalement, jai commencé à donner des coups de reins. Elle a secoué la tête et sest tortillée sur mes pieux. Ses fesses tremblées chaque fois que mon pubis cognait le sien. Laissant échapper un petit bruit humide. Elle a cherché ma bouche, et la trouvé. Quelle était belle. Plus bandante que Mercédès. Tant dannées dabstinence pour en arriver là, ça valait le coup. Surtout que la coquine sautorisait tout, osait tout.
Elle sest mise immédiatement en branle par des mouvements rapides. Sa poitrine a tangué, défiant la pesanteur. Que jai effleuré de mes doigts. Elle a accéléré le rythme de sa chevauchée. Ses fesses ont rebondi sur mes cuisses. Elle se ramonait à une cadence encore plus infernale. Elle a pressé sa poitrine contre mon visage. Jétouffais englué dans sa chair en fusion. Je les ai léché avidement, jai aspiré les mamelons, je les ai mordillé, jai malaxé les globes laiteux. Je lai senti partir sous dautres cieux. Sa voix a tout dun coup chavirée.
- Tète
tète ! AAAAhhhh ! A-t-elle lâché.
Elle a poussé des ordres ultimes. Jai pu découvrir à cet instant son point faible. Un autre centre névralgique de sa forteresse. Puis elle sest laissé glisser dans un long orgasme bruyant. La sentir jouir a provoqué ma propre jouissance. Jai hurlé comme un dément tout en giclant mon venin dans son antre. Jamais un orgasme ne sétait fait aussi violent. Malgré ma jouissance, elle a continué à imprimer des coups de bassin, qui me défonçaient littéralement. Ses mains se sont crispées sur mon dos. Son corps sest balancé de haut en bas, de droite à gauche, tandis quelle arquait son dos et enfermait ses jambes autour de ma taille pour tenter de me tirer encore plus loin dans sa chatte affamée. Les vagues dextases ont explosé dans nos cerveaux. Des vrais feux dartifice.
Lorgasme passé elle a ralentis laction de son piston. Sa baise sur ma verge a rapidement cessé. Et un ver mou, blanc et trempé de sperme a glissé de dentre ses jambes. Je suis resté prostré à ma place, le pénis pendant comme un bout de tuyau entre mes jambes velues.
- Alain ! Quavons-nous fait !
Et elle a couru hors de la pièce pour senfermer dans sa chambre.
- Josiane ? Fis-je en ouvrant la porte, que lodeur de neuf vint titiller mon nez. Quest-ce qui ne va pas ?
Mignorant complètement, elle sest dévêtue et sen est rejoindre la salle de bains, où elle sest jetée sous la douche. Sous les jets deau chaude, je lai entendu dire : Oh putain Quest-ce jai fait !
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