Chambre D'Hôtel

Tu rentres dans la chambre d’hôtel et tu découvres un petit papier. C’est mon écriture.
« Déshabilles-toi ».
J’ai laissé à côté du mot un masque noir pour tes yeux. Tu décides de le mettre.
Je veux te voir à genou, offerte, nue.
Tu attends quelques instants. La porte se ferme, quelques bruits, quelques odeurs, des froissements d’air et c’est tout.
Tu sens le sexe d’un homme sur ta joue.
Att-le avec ta bouche, tête le gland !
Non, n’utilises pas tes mains. Je vais te les attacher dans le dos.
Le sexe est encore mou, fais-le durcir. Avale le complètement. Suce. Lèche.
Je malaxe tes seins, je joue avec tes tétons.
Il gonfle, te remplit. Il va s’enfoncer. Tu as peur de te faire baiser la bouche. Tu te sens fragile, à ma merci mais la situation t’excite alors tu continues.
Laisse-toi aller, sois obscène. Sens la chaleur autour de toi. Plusieurs personnes sont là, te regardent. Maintenant que le sexe est excité, l’homme se retire, un autre arrive, le remplace. Plus dur, plus gros tu essaie de l’avaler. Je te caresse les cheveux et te rassure : « Je suis là, ne t’inquiète pas, tu vas y arriver ». Tu recules, il se retire.
Je te fais mettre le visage contre le sol ce qui fait remonter ton bassin. Tes seins s’écrasent sur le parquet froid. Je te caresse le dos, les fesses. Ta croupe ainsi offerte m’excite tu sais.
Ecarte un peu tes jambes.
J’approche mon visage de ce temple et avec ma langue vient humecter de salive ton petit trou. Cela t’excite mais tu appréhende, je le sens. Je glisse en dessous pour retrouver ta chatte, ton doux minou. Je le lèche alors avec délectation. Ma langue à plat, à grande lapée je fais sortir ton clitoris que je commence à lécher doucement. Je me cale sur le rythme de tes gémissements, de tes petits mouvements. Je veux te faire monter. N’y arrivant pas ainsi je me tourne, me mets sur le dos et tu n’as plus qu’à descendre ton bassin sur mon visage pour que je continue mon cunni.

Pendant ce temps tu sens glisser entre tes fesses un doigt enduit de gel venir continuer de te préparer ton petit trou. Il te masse tout autour. Tu as peur, je le ressens, ma bouche arrête une seconde ; je te mordille. Ça t’électrise. Cela te fait repenser au contrat que tu as signé « Tous les orifices de la soumise seront à la disposition du maître qui les utilisera à sa guise ou les prêtera à qui il le veut. »
Tu n’as pas le choix, tu es à moi, offre-toi ! L’homme glisse un doigt dans ton anus. J’accélère de ma langue pour que tu te concentres sur ton clitoris, que tu n’écoutes que ton plaisir. Tu sens le gland de l’inconnu venir en toi, se frayer un chemin. Tu as un mouvement, un réflexe mais de mes mains sur ton bassin je te tiens fermement alors que l’inconnu fais de même sur ton dos. Tu ne peux t’échapper, tu es à notre merci et l’homme va s’enfoncer.
Ma bouche sent ton corps décontenancé. J’accélère, te suce comme un sauvage. Je veux te faire jouir par ma bouche pendant que l’inconnu s’enfonce et commence à coulisser en toi.
Le deuxième homme s’approche alors et…
Tu me prends le papier des mains. Tu lis, me souris ; tu viens contre moi, féline, et me dis : ton histoire est excitante mais il manque la vision d’une femme. Laisses-moi t’aider à la finir, une présence féminine à tes côtés. Je lui souris l’embrasse et lui laisse mon mail. Si tu veux être cette femme-là, si tu veux mélanger tes mots aux miens écris-moi : adresse.essai@club-internet.fr