Collection Dominant Domine. La Soumise, La Suite (2/3)
- Chérie, quas-tu sur ton sein, c'est une coupure ?
Je croyais être sortie des suites de mes fantasmes quand Lionel ma libéré de la cage quil avait construite pour donner suite à mon fantasme de sexe torride.
Par chance, il ma libéré pour notre anniversaire de mariage.
Cétait sans penser ce que jai mis en marche en demandant à Maîtresse Démoniaque qui vient chez moi pour me récupérer en me prouvant que cest elle la dominatrice.
Pour me montrer sa puissance de domination quelle a sur les autres, elle me rentre sa main au fond de ma chatte.
Je reconnais que la jouissance quelle mapporte est très prête de ce que jespérais en regardant des vidéos de domination sur Internet.
Une nuit à la dure, une chaîne attachée au cou vous remet les pensées en place.
Jattends avec impatience le retour de celle qui tient à devenir ma maîtresse.
Il faut dire quelle a du répondant avec sa main au fond de mon vagin me fistant.
Du moins cest le mot quelle a employé.
Sans compter sa cravache rangée sous sa cape dont elle men a donné un petit échantillon sur mes seins.
Le soleil est debout depuis quelques temps quand je vois le portail glisser et souvrir.
Un homme entre, cest le genre dhomme que lorsque vous lavez vu une fois, ça vous obligé à vous dire que le vôtre est une petite nature.
Six pieds, 6 pouces, plus de 2 mètres, des mains comme de grands battoirs.
Qui est-il.
Cest la première fois que je le vois.
Comment a-t-il eu le code, il semble savoir ou il va se dirigeant directement vers moi.
À oui, dans mon interrogation joublie de dire quil est aussi noir que le masque tatoué sur le visage de Démoniaque.
- Avez-vous passé une bonne nuit, mademoiselle Agnès ?
Je suis le bras droit de Maîtresse Démoniaque, elle est concentrée sur d'autres taches ce matin et elle ma envoyé vous détacher avant le retour de votre mari.
- Cest gentil de sa part, elle vous a donné la clef du cadenas qui me retient prisonnière ?
- Oui, regardez, elle ma donné deux choses, ce bout de papier avec le code dentrer et cette clef.
Mais elle ma aussi donné un autre ordre que je vais mempresser de réaliser.
Il saisit ma chaîne et me tire jusquà sa braguette, il louvre en sortant une véritable monstruosité.
Sil fait six pieds, six pouces, elle fait au moins un pied, 50 centimètres avec un gland que jai du mal à faire entrer dans ma bouche.
Cest ce que jessaye de faire sans rechigner, surtout quand je vois sa main se glisser entre mes cuisses et venir caresser ma fente.
- Démoniaque ma dit de te faire voir ce que tu as perdu en restant avec ton homme.
Suce et avale !
Je vais te baiser avant de te relâcher.
Jignore si tu pourras encore entendre ce que je te dirais après avoir eu orgasme sur orgasme.
Va à cette adresse, dans deux jours, nous aurons un grand moment ou tu pourras recommencer à baiser avec moi et deux ou trois copains tous bien montés.
Suce.
Je mexécute, je voulais vivre une telle expérience quand jai répondu à lappel de ma nouvelle maîtresse, je suis servie, avec la promesse que ce qui entre dans mon vagin, est le début de grandes souffrances.
Après la fellation, plutôt le léchage de sa verge dun noir profond, il me met à quatre pattes et entre dans ma chatte.
Quand il commence à me pilonner, une première jouissance monte du fond de mes entrailles, aussitôt suivi dune autre et dune autre et
Oui, une autre, jusquà ce quil me remplisse par de longs jets de sperme à croire que ses couilles sont inépuisables.
Ses couilles en rapport de sa verge que jai sucé comme le reste de ce pieu, renferment combien de litres de ce que jespère boire dans deux jours.
Comme il la prédit, je perds la notion du temps.
Je reprends pied, je suis seule.
Il est temps daller me doucher et daller moccuper des chiens jusquau retour de celui qui se prenait pour un Maître comme la dit Démoniaque.
À mon avis, cest un placebo.
À un moment, lidée me vient de revoir la cage doù Lionel ma libéré pour notre anniversaire de mariage.
Il a posé une porte avec une grille entre les deux secteurs bloqués par une grosse chaîne et un gros cadenas dans le secteurs m'intéressant.
Je retourne à mon labeur.
Il arrive deux heures plus tard, de fort mauvaise humeur.
L qui devait prendre son chien avait changé davis et au dernier moment sa mère avait accepté de lui offrir un chaton.
Pour son déplacement, il a touché des indemnisées mais a perdu une bonne partie de la vente.
Sa mauvaise humeur, il aurait pu la passer sur moi bien que je sois épuisée après la façon dont lacolyte de Maîtresse Démoniaque ma défoncé la chatte dans la cage où elle mavait fait passer la nuit.
Mais celui qui se disait capable de me satisfaire touche à peine au repas que je lui aie concocté et va se coucher.
Retour à la vie habituelle le lendemain, calme plat, là encore, morne plaine sexuellement.
La seule chose que je constate cest que contrairement à son habitude, il sort laprès-midi de 14 à 18 heures sans plus dexplication.
Le lendemain, il mest facile de prétexter de nombreuses courses afin de partir au rendez-vous de maîtresse Démoniaque.
GPS, quartiers dans la ville voisine et « Vous êtes arrivée » devant une sorte dentrepôt semblant désaffecté.
Je descends de voiture, limpasse dans laquelle je suis garée me permet une tranquillité si par le plus grand des hasards une personne me connaissant passe dans le coin.
Je suis face à une porte qui souvre quand japproche.
Un système de surveillance doit avoir prévenu mon beau black que je suis arrivée.
- Agnès, cest bien tes à lheure, la ponctualité pour Maîtresse Démoniaque est primordiale.
Je me rends compte que je mouille simplement quand mon cerveau repense aux cinquante centimètres que ma chatte a avalé lautre matin.
Ce qui est étonnant cest que jignore le nom de cet homme qui a su satisfaire mon corps au plus haut point.
Jignorais même que ce que je cherchais était bien plus puissant que ce jen pensais quand je regardais ces vidéos.
Je me rends compte outre sa carrure et sa verge disproportionnée que cest lendroit et la façon dont javais une chaîne au cou qui a décuplé ma jouissance.
Nous étions seules dans ce lieu isolé, ignoré de tous et à sa merci.
- Mambour, tu peux disposer, tu viendras me rejoindre avec Mbala et Youssef quand jen aurais fini de caresser notre nouvelle amie.
Agnès, tu as bien fait de venir, jaurais mal vécu un second affront comme celui que tu mas fait subir en prenant comme Maître cet avorton.
Elle a sa tenue en lanière de cuir noir, léclairage de la pièce où je viens dentrer est fait pour la mettre en valeur sur la scène ou un fauteuil trône.
Derrière elle, un grand rideau rouge barre la pièce.
Elle a enlevé sa cape, il faut dire que le système de soufflerie que jentends nous apporte une douce chaleur.
Elle a de grands gants et des bottes jusquaux genoux en cuir noir bien sûr.
- Entre Agnès, jespère que tu as apprécié mon petit cadeau avant-hier en tenvoyant Mambour.
Tu as apprécié sa verge, rien à craindre pour toi, mes autres employés sont du même calibre.
Ce soir quand tu rentreras chez toi, tu prieras le ciel que ton Maître Lionel toublie.
À ce que je sais, tu as de la chance, en ce moment il a d'autres chats à fouetter.
Latmosphère fait que jaurais dû poser plus de questions, mais jai aussi compris quici, comme je lai vu sur ces vidéos, il faut se taire.
On parle quand on nous interroge.
- Déshabille-toi, range tes affaires sur cette chaise près de lentrée à moins que tu souhaites que je le fasse moi-même.
Énonçant ces paroles, elle pend un fouet dans un présentoir où il y a des cravaches dautres fouets et détranges choses, comme des martinets mais avec plusieurs lanières se finissant par des boules en bois.
Je suis dos à elle quand jenlève la robe que jai mise sans rien dessous sachant pourquoi je venais là.
- Cest bien, jaime ta docilité, viens jusquà moi.
Avant que je me retourne, jentends le fouet claqué et une grande douleur part de mon dos.
Elle vient de me fouetter, je passe ma main par-dessus mon épaule et je ramène une goutte de sang.
- Enlève ta main, viens.
Fesse gauche même douleur.
- Aie.
- Une petite éraflure, tu te plains déjà, tu es une petite nature, quhurleras-tu quand je te caresserais avec ça.
Je viens de me retourner et je la vois reposer son fouet à la lanière assez longue pour pouvoir matteindre à quatre ou cinq mètres.
Elle sassoit sur son fauteuil avec un de ces étranges objets ou les lanières se finissent par des boules.
- Mets-toi à quatre pattes et viens jusquà moi me brouter la chatte.
Je mexécute, elle fait tournoyer les lanières mollement.
Quand jarrive sur le podium où je monte sans me relever, elle écarte ses cuisses, je vois sa fente qui luit de plaisir, sans nul doute, elle mouille.
Japproche ma langue la regardant fixement, je vois le coup partir, mais la douleur sur ma croupe est telle que je hurle.
- Tu aimes mon chat à neuf queues petites salopes
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