Collection Dominant Domine. La Soumise, La Suite (3/3)

- Chérie, qu’as-tu sur ton sein, c'est une coupure ?

Je croyais être sortie des suites de mes fantasmes quand Lionel m’a libéré de la cage qu’il avait construite pour donner suite à mon fantasme de sexe torride.
Mais c’était mal connaître Maîtresse Démoniaque, cette femme que j’aie contacté afin qu’elle me mène aux plaisirs par la violence dont je sens impulsivement avoir besoin.
C’est comme une chienne docile que je me rends à l’adresse que son employé m’a donné en même temps qu’il me baisait.
Cette queue que j’ai eu le plaisir de sentir en moi.
Une queue aussi belle.

Dès l’entrée, une femme m’enlève mes affaires, c’est nue que je rentre dans une grande salle.
Un véritable hall de gare.
Maîtresse Démoniaque me reçoit perchée sur un podium devant son trône et me demande de la rejoindre à quatre pattes acceptant par ce geste, ma soumission.
Elle souhaite que je vienne lui sucer la chatte, c’est nouveau pour moi.
Tout ce qui est nouveau va dans le sens de ce que j’espérais découvrir la première fois où je me suis mis une pince à linge sur mon sein.
On sait où tout cela m’a mené dans un premier temps avec mon mari et aujourd’hui avec Maîtresse Démoniaque qui me fait goutter à son chat à neuf queues.
Neuf queues, il y en aurait eu qu’un, ça m’aurait suffi tellement les boules de bois qui les terminent me font mal.
Je serre les dents jusqu’à ce que ma bouche soit en contact de la fente de cette femme que je lèche pour la première fois.
Démoniaque, me donne de petits coups sans élan, j’apprécie, j’ai l’impression qu'elle me caresse.
Jusqu’au moment où elle le lâche accrochant les accoudoirs de son trône doré pour les serrer et jouir du mordillement de son clitoris.
J’ignorais qu’une femme pouvait avoir un clito comme une petite bite, celui de ma maîtresse en fait partie, il m’a été facile de le prendre dans ma bouche.
Le temps qu’elle récupère faisant celle qui est restée maître de son corps, je sais que je l’ai fait flancher.



- C’est bien petite cochonne, tu es douée avec ta langue.
Quand j’ai envoyé Mambour chez toi, connaissant l’absence de ton mari, il a été élogieux.
Il t’a sexé sans que tu rechignes, plus d’une heure malgré son énorme queue.
Beaucoup refusent cette belle verge, toi tu l’as reçu sans aucun râle de regret.
Toi, tu as tout avalé du moins ton corps à tout avaler.

Elle se lève, me relève me serrant le bras à me faire mal.
Aucune reconnaissance alors que je viens de la gouiner avec succès.
Maîtresse Démoniaque est là pour montrer aucune faiblesse.
Elle tape dans ses mains, le rideau s’ouvre comme dans une salle de théâtre.
Ce que je vois me fait peur, là encore dans des vidéos, souvent les filles et quelques fois des hommes subissent les appareils que j’ai devant mes yeux.
Maîtresse satisfait plusieurs clients en même temps.
Dans une cage, une jeune femme est enfermée avec une boule rouge dans la bouche, j’ignore qui elle est.
Elle est entrée mais est dans l’impossibilité de bouger.
Depuis combien de temps est-elle là, je l’ignore.
Un homme tout recouvert de lanière de cuir à la poche pubienne très impressionnante, maîtresse a su s’entourer d’un personnel de qualité.
Il s’approche de la cage, ouvre la porte et prenant la femme par les cheveux il la tire dehors.
Soit elle suit, soit elle est scalpée, j’ai mal pour elle, bien que j’aimerais me trouver à sa place.
Dans ma cage chez Maître Lionel, je ressentais ce que j’espérais être un moment de plaisir dans la douleur.

- Entre, si tu n'y arrives pas, tu resteras ici pendant trois jours.
Quand ton mari reviendra, il trouvera le chenil vide de toute occupante.
En plus les chiens resteront à soigner.

La femme est tirée jusqu’à une gigantesque croix où elle est attachée.
La boule l’empêche de parler, seules des larmes coulent sur son visage.
Elle est maquillée, pardon, elle était maquillée, le rimmel coule partout jusque sur sa poitrine.

Maîtresse Démoniaque à un corset mettant ses seins en valeur, ils sont très gros, à croire qu’elle s’est fait faire des implants.
L’homme la menotte poignets et pieds, elle est écartelée, ses poignets doivent la faire souffrir les menottes tirant dessus.

- Baise là, je la connais depuis le temps où elle vient ici, elle adore ça cette chienne.

L’homme monstrueusement membré faire sauter la lanière retenant son étui.
Son sexe me saute au visage, un vrai phénomène.
Mambour était bien pourvu, son copain le devance à la seule différence c’est qu’il est blanc.
Ma bouche tente de l’absorber, je dois la recracher car je m’étouffe.

- Fouettez là, ici elle doit savoir que l’on est loin de plaisanter.

Ça recommence, je sens le sang venir au bord de ma peau prête à nous éclabousser.
Dans les films par moments je trouvais que les dominateurs y allaient sans grande passion.
Là je suis servi qui veut prendre ma place.
Encore deux coups sur mon fessier et la verge est de nouveau tendue.
Je risque qu’elle me fasse éclater les commissures des lèvres mais elle entre grâce aux mains ayant saisi l’arrière de ma tête me poussant jusqu’à ses couilles.
Du côté de ma chatte, aucun souci, j’ai tellement été défoncer qu’elle est béante, si Annibal revenait, ce sont tous ses éléphants qui pourraient entrer.
Attention, un par un évidement.

- Mambour passe-moi les cordes il est temps de là suspendre et qu’elle rejoigne son mari.

Que veut-elle dire, que vient faire Lionel ici ?
Un rideau est tiré, j’entends des râles.
Là encore j’ai vu des films où les filles se faisaient attacher avant de se faire suspendre.
Mes seins sont pris dans ces liens de façon si serrés que rapidement le sang entrant a du mal à ressortir.
Ils deviennent rouge vif.
BDSM, j’ai vu ça aussi sans penser qu’un jour je me trouverais à la place de ces femmes pratiquant cette déviation sexuelle.

B que veut dire B
D que veut dire D
S Idem et M encore moins.
Ce que je sais c’est que les femmes, quelques fois les hommes, semblaient aimer ce que leur Maître leur faisait.
Aussi quand me soulevant on m’attache à un palan par un nœud dans mon dos, le long d’un autre grand rideau rouge, la sensation que tous mes muscles vont m’être arrachés m’apporte la plénitude d’un bonheur sans nom.
J’ai envie de hurler mais je sais que si je veux que Maîtresse Démoniaque me « garde » comme soumise il faut que je me taise.

- C’est bien mais ton sort est lié à ton voisin.
Ouvrez le rideau monsieur pour que cette petite chienne voie à qui elle avait confié sa soumission.

Comme au théâtre avec les trois coups du brigadier marque l’ouverture de cette grande tenture.
Je regarde qui geins à mes côtés pour voir Lionel pendu dans la même situation que moi avec en plus une boule à bouche rouge entre ses lèvres.

- Enlevez-lui sa boule pour qu’il puisse me répondre.
- Oui maîtresse comme vous le souhaitez.
- Ce que je souhaite c’est montré à cette petite dinde qu’une simple cage dans un chenil est loin de faire le propriétaire un Maître avec un grand M.
- Détachez-moi, j’ai mal et j’ai horreur de la douleur.
- Regardez cette petite nature, il a bobo le monsieur.
Mambour, amène-moi mes grandes aiguilles trempant dans l’alcool.

Mon corps suspendu par le milieu me donne l’impression de flotter.
Mambour amène ce qu’à demander Maîtresse.
Elle en prend une et venant à moi me transperce le sein.
Je serre les dents fières.
Aucun son sortant de ma bouche.
Idem quand elle m’en plante une autre dans l’autre sein.

- Regarde, ce que je fais à Agnès, je me le fais à moi.

Incroyable, j’aime que l’on me martyrise mais se planter une aiguille dans son propre sein dans les vidéos comment peut-elle se percer elle-même.
Elle s’avance vers Lionel en pleure et lui saisit la verge pendant lamentablement dans la position où nous sommes.


- Il me reste une aiguille.
Deux choix possibles, je te traverse la verge où Mbala t’encule.

Lionel redouble de pleurer.

- Détachez-les, ils me fatiguent, foutez les dehors.

Elle plante son aiguille aseptisée dans le cul de Lionel qui hurle et retourne s’asseoir sur son trône.
Quel con, il nous fait virer.
Les assistants me détachent et me laissent au sol.
Je suis cassée de partout mais je me traîne jusqu’à Maîtresse lui saisissant les pieds.

- Lèche mes bottes, montre-moi que tu mérites ma clémence.

Je me mets au travail quand j’en arrive au talon droit.
Je le prends dans ma bouche avec le risque que cette véritable lame de rasoir m’ouvre la bouche à droite et à gauche.
Elle appuie m’obligeant à me retourner lui montrant mes seins.
Sa pointe assérée sort de sa bouche et vient s’appuyer sur mon sein juste à la hauteur de la première blessure que je me suis faite.
Cette blessure avec une pince lorsque je m’en suis mis au bout de mes mamelons.
Cette blessure que je vois se doubler avec délice de sa petite sœur sur le sein opposé.
Cette blessure qui immédiatement saigne sans un murmure de ma part.
Et c’est à ce moment que Maîtresse Démoniaque donne un ordre qui me ravit bien que j’ignore où je vais me retrouver.
Ce qu’il y a de sûr c’est que Lionel c’est la dernière fois que je le vois quand les deux adjoints le tirent par les pieds pour le mettre dehors.

- Mambour conduit Agnès sur mon île au milieu de mes autres soumis et soumise, elle a mérité que je m’occupe d’elle.

Mambour m’empoigne enlève les aiguilles toujours fichées en moi, me charge sur ses épaules et m’emporte vers une destination inconnue.
Je suis heureuse, j’ai enfin trouvé mon maître.
Merci Maîtresse Démoniaque.

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