Solange La Bourge : La Séance Sadomasochiste Avec Un Vieux Maître. (« Saison 2 » Partie 6)
Solange était soumise à son époux depuis vingt ans, Patrick aimait voir sa femme dans des parties de sexe où se mêlaient, lhumiliation et la soumission. Le principal pour lui était de la voir, un peu comme dans le dogging, être baisée par des contrastes dindividus, soit avec des tout jeunes ou par des vieux vicieux. Mais ce quil désirait avant tout, cétait la jouissance pour sa femme qui adorait cela, afin quelle en redemande.
Solange tenait son journal intime, vingt ans avec son mari candauliste à raison dune séance par mois, cela faisait près de 250 à raconter. Ce récit qui va suivre fut donc tiré dune des nombreuses histoires quils avaient vécues ensemble.
Solange ayant déjà fait un petit peu de SM, Patrick avait organisé, il y a quatre ans de cela, une belle et complète séance de cette pratique. Ils en avaient parlé ensemble et sa femme ne lui refusant jamais rien, était partante pour renouveler lexpérience. Elle ne connaissait que la date de cette séance, elle ne savait absolument pas ce quil souhaitait et lui réservait.
Son mari avait rédigé une annonce dont voici le texte, passé sur BDSM Fantaisies : « Homme, offre sa femme pour une séance SM en sa présence, mais ne sera que spectateur. Elle, 42 ans, belle femme aux seins lourds, sexe épilé. Seul la scato sera interdite et les limites des pratiques seront fixés à lavance. Mes critères : homme de 70 ans minimum. Vicieux. Présentant un test HIV récent. Pouvant recevoir dans un rayon de 50 km autour dAmiens. Aucun suivi. ».
Suite à cette petite annonce, il reçut énormément de réponses, malheureusement, de nombreux retours ne correspondaient pas aux critères fournis. Des personnes trop éloignées, des hommes de moins de 70 ans, certains voulaient payer, dautres voulaient prendre Solange en stage et quelques-uns nacceptaient pas la présence du mari. Bref, il nen restait que trois, avec lesquels il avait échangé par mail et ce fut un type prénommé Gildas ayant 72 ans, habitant Amiens que Patrick avait choisi, ce candidat lui semblant être parfait, pour ce rôle.
La séance était prévue pour un samedi vers dix-neuf heures chez lui, avenue du 1er mai à la sortie dAmiens en direction de Beauvais. Patrick devait présenter Solange à Gildas qui se faisait appeler « Monsieur ». Cétait un dominant depuis de très nombreuses années, sa femme Christiane était sa soumise. Une femme de 61 ans que lhôte lui avait présenté dès son arrivée. Néanmoins, lépouse du maitre ne devait ni participé, ni assisté à la séance avec Solange.
Ce soir-là Patrick et sa femme étaient arrivés un peu en avance, devant le pavillon, voulant être certain de ladresse et du type, il laissa son épouse dans la voiture et était allé frapper à la porte. Lhomme se faisant appeler « Monsieur » le reçut en tenue un peu cliché du « Maître », vêtu dun pantalon de cuir, un large ceinturon, un gilet clouté sans manche sur un tee-shirt blanc.
Sa femme Christiane, une très belle blonde avec de jolies formes, était, elle aussi, dans la caricature de la soumise, portant une micro-jupe sans culotte, quil pouvait admirer sa chatte tout aussi glabre que celle de Solange, à la différence près, elle avait des anneaux aux lèvres de son vagin. Quant au haut, elle portait un corsage coton hyper moulant sans soutien-gorge, qui avait des difficultés à contenir ses nibards bonnets D minimum ! Pour couronner le tout, elle avait autour du cou, un collier de cuir pour bien indiquer son appartenance. En effet, Gildas lhyper macho vieillissant créait cette ambiance spéciale afin de prouver que malgré son âge, il était encore le dominant, en exhibant son épouse, en femme entièrement soumise.
Les deux hommes installés dans le salon discutèrent du contrat et mettaient les choses au point au sujet de la demande de Patrick. Pendant que Christiane leur servait lapéro comme une soubrette, se penchant bien devant linvité afin quil puisse admirer son sexe et le plug quelle avait enfoncé dans son anus.
Le pavillon était surélevé et le sous-sol était divisé en trois parties. La première, un cellier tenait lieu de débarras et de lingerie, une autre était consacrée au garage, et la troisième était entièrement aménagée dans un ancien local où jadis une fosse creusée dans le sol servait aux vidanges de voitures. Cette pièce était aujourdhui toute agencée pour ses propres loisirs et vices : le BDSM. Il y avait, une croix de saint André, un cheval darçon, un carcan joug pour entraver tête et mains des anneaux accrochés au plafond, un fauteuil de gynécologie, des martinets, des fouets et cravaches
sans compter toutes les menottes, les godemichés et sextoys en tout genre, un vrai magasin
Cest Solange qui vous raconte la suite.
Cette soirée avait durée plus de trois heures, mais je vais essayer de résumer les passages qui pour moi, furent les plus éprouvants, excitants et humiliants. Comme à mon habitude, je métais faite belle pour loccasion. Javais un collier dappartenance, un harnais à bandes de cuir qui ceinturait les seins tout en les laissant apparents, ce harnais descendait du dessous de la poitrine en formant un V qui se rejoignait sur le pubis en cache sexe, et remontait dans la raie des fesses à la façon dun string. Au pieds je portais des cuissardes à talons haut, lacées sur toute la longueur.
Enfin, une veste qui mallait jusquà mi-cuisses, le temps de ne pas être presque nue pendant le trajet. Javais attendu une petite demi-heure dans la voiture avant que Patrick ne vienne me chercher. Il était parti installer une caméra sur un trépied et pour donner les dernières recommandations. Jétais sereine, aucune appréhension, au contraire javais hâte que ça commence, malgré linconnu. Lorsque je suis rentrée dans la pièce aménagée en « donjon » pour BDSM, je fus surprise de trouver autant de matériel.
- Je te présente ma soumise, avait annoncé Patrick tout en enlevant ma veste, me retrouvant ainsi presque nue. Lhomme se leva, se plaça face de moi mon mari se mettait en retrait.
- Monsieur Gildas, à qui je te confie pour ce soir. Me dit Patrick.
Lhomme me fixa dun regard dur, cétait presque comique, car il faisait une demi-tête de moins que moi.
- Comment tappelles-tu ?
- Solange. Lui répondis-je.
Je reçus le revers de sa main dune violente gifle qui me déstabilisa.
Femelle Solange, baisse le regard lorsque tu tadresses à un homme. Et il me semble que dans ta condition de femelle et par respect, tu dois terminer tes phrases par « Monsieur ». Alors, comment tappelles-tu ?
Stéphanie Monsieur.
Puis il poursuit en disant :
Présente-toi !
Je suis mariée à Patrick, jai 42 ans, je suis enseignante et jai une fille et un beau-fils, Monsieur.
As-tu eu des relations extraconjugales qui tont apportées plus de plaisir que ten apporte ton mari ?
Euh
Oui Monsieur.
Donc tes une pute qui est offerte et se donne, dis-moi que tu es une pute.
Oui Monsieur je suis une pute.
Tu tes déjà faite baiser par des nègres et des arabes, les putes nont pas leur mot à dire sur lorigine des bites qui les enculent.
Oui Monsieur.
Alors dis le, je me suis déjà faite enculer par des nègres et des arabes.
Oui Monsieur, des blacks et des arabes mont déjà sodomisée.
Madame la femelle joue les bourgeoises, elle ne se tape pas des nègres mais des blacks, et elle ne se fait pas enculer mais sodomiser ! (Le terme « nègre » nest pas péjoratif, ni un terme raciste, pour moi, cest le terme que Gildas avait employé.)
Je reçus une autre gifle, sans doute plus forte que la précédente.
Tu pues la catin qui ne sest pas lavée après sêtre fait tirer salope.
Non Monsieur ! Je me suis lavée avant de venir !
Qui tas appris à me dire non ?
Il me cracha au visage tout en se saisissant de mon téton gauche quil pinça en le vrillant méchamment. Je hurlais en tressautant du bout des pieds tant la brulure infligée sur mon sein était inhumaine.
Son regard était vicieux, cruel, javais remarqué ses pupilles scintiller lorsque mes yeux shumidifièrent de la tourmente quil me procurait. Il sétait saisi de pinces crocodile, après avoir donné des pichenettes à mes tétons pour les ériger, il appliqua les mâchoires dentelées sur le bout de mes mamelles. Jhurlais en tordant mon corps pour échapper à son emprise en le suppliant.
Non !!! Monsieur. Je vous en prie, arrê
Je navais pas pu finir ma phrase quil masséna une paire de gifles, puis il me prit par la gorge et me cracha au visage en proférant :
Ferme la ! Sinon voilà ce quil va tarriver.
Gildas sen alla et sengouffra dans la pièce attenante, il en revint quelques secondes plus tard avec un chien tenu en laisse, un beauceron. En le désignant il me lança :
Si je tentends encore ouvrir ta gueule de femelle, cest lui qui viendra te consoler, il adore les salopes de ton genre, tas compris ?
Jétais tétanisée, en apnée, nosant presque plus respirer. Cet épisode fut difficile pour moi et mavait déplu, javais mal supporté les pinces à mes tétons et la peur de ce chien, non pas du chien, non pas quil semblait méchant, mais cétait un mâle, javais la trouille de la saillie. Je jetais un il vers mon mari qui restait impassible. Il ramena son chien dans lautre pièce. A son retour il mentrava mes chevilles avec une barre décartèlement.
Pendant une grande partie de la soirée, il singéniait à me mettre des poids aux pinces de mes seins, puis ce furent des pinces à linge sur les lèvres de mon vagin dont il écartait avec des élastiques, puis ouverte et offerte à son vice, il me masturbait avec différents godemichés. Afin de me laisser reprendre mes esprits, il faisait quelques pauses pour se désaltérer en compagnie de mon mari, où il se vantait de ses différents exploits en tant que Maître.
Puis il recommençait à me tourmenter, je voyais son plaisir sexalter lorsque mon affliction saccroissait. Javais reçu en moi différents sextoys, du classique à celui imposant semi rigide très expressif aux veines et au gland très ressemblant à la verge dun homme, autant dans le vagin que mon rectum. La seule précaution quavait pris Gildas, fut de me lubrifier mon anus avec de la crème avant de me sodomiser de ces jouets.
Il avait aussi comme godemiché une main en latex. À un moment, il me pénétra dun gros god quil fit coulisser en moi avec empressement, puis un liquide inonda ma vulve. Le godemiché était pourvu dune réserve de liquide. Il me détacha et me fit massoir dans son fauteuil, jambes ouvertes. Il sagenouilla pour me lécher et sabreuver de ce liquide, jétais trop crispée pour en tirer le moindre plaisir que jaurais pu ressentir dans dautres circonstances.
Il me leva et mintroduisit un crochet à lextrémité muni dune boule dans mon anus. Il baissa son pantalon et prit ma place dans le fauteuil. Je magenouillais et me courbais sur ses cuisses. Il me tira à lui par ce crochet. Son sexe était flasque, rabougri, il mordonna de le sucer. Sa verge puait lurine, des filaments pendaient de son méat. Quimporte me dis-je, plus vite je le ferais jouir, plus vite mon calvaire cesserait. Je mappliquais à aspirer son gland et à prendre cette chair dans ma gorge, il restait tout aussi avachi. Ses soixante-douze ans avaient eu raison de sa virilité. Pourtant à un moment, son sexe se banda légèrement, puis un filet de sperme liquide ruissela sur sa verge encore molasse. Cen était déjà fini.
Non hélas ! Il me fit me relever et écarter mes jambes. Il se saisit dun martinet. Alternativement les lanières de cuirs léchèrent mon sexe et mes seins avant de les cingler. Après ce qui était un jeu pour lui, il me fit mallonger sur le ventre sur le cheval darçon, je reçus en moi des ufs vibrants, et il entama une fessée, tantôt caressante, tantôt plus appuyée. Lorsquil me caressait, ses doigts sinuaient dans ma raie et coulaient dans mon anus.
Tu aimes ça femelle ?
Oui Monsieur.
Je ne lui avais pas menti, javais eu des semblants de plaisir, pas de jouissance réelle, sauf peut-être à la fin de la fessée érotique. Alors quil continuait ses fessées en vociférant des insultes graveleuses : « Bourge et pute, mon cul ! Une pute ça se respecte, pas toi, salope ! », « Femelle bonne à se faire traire dans une maison de retraite », « Tes même pas capable de faire bander ton mari, tant tu chies dans ton froc, tellement tas peur de mon klebs ». Plus la fessée se poursuivait, plus elle était dans la caresse et moins dans la punition. Ainsi javais ma récompense, sans pour autant aller à la jouissance, je fus trop dans la retenue, et mon corps fut trop tourmenté et abusé.
À 22 h45 nous étions dans la voiture, après avoir remercié Monsieur Gildas, chose que je ne pensais pas, mais que je devais faire. Jétais consentante en arrivant, même si les coups reçus étaient tout de même dune violence retenue, je fus dans la tourmente tout au long de la soirée temps. Javais voulu arrêter dès quil mavait pincé et tortillé mon téton, cétait trop intense, mais comment faire ? Quand je le lui avais demandé la première fois, ce fut un prétexte à dautres sévices, alors autant endurer, pleurer et attendre. Dans ces quatre dernières années, jeus loccasion de refaire dautres séances SM, suis-je masochiste pour autant ? Non ! Je le fais pour mon mari Patrick qui avait bien plus apprécié que moi.
Si, comme Solange et Patrick, vous avez envie de raconter vos histoires de sexe, contactez-moi par Email.
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