Ça C'Est Passé Simplement 18 La Suite Le Vendredi Le Soir
Je fus réveillé par un bruit deau et surtout par une porte, celle de la salle de bain qui souvrait, et doù sortait Anaïs dans le plus simple appareil.
Anaïs : « Tiens, monsieur mon amant émerge, bien dormi ? »
Moi : « Tes vraiment une belle femme »
Anaïs un grand sourire : « Wouah,
, il va neigé,
» et sapprochant de moi, vint poser ses lèvres sur les miennes, je lattrapais par la taille et la basculais sur le lit : « OH,
, elle est toute fraiche,
» elle me dit : « Toute fraiche
oui,
mais toute chaude aussi,
caresses moi,
je veux sentir tes mains me caresser,
caresser mon corps,
mon ventre,
mes hanches,
mon sexe,
jaime ta bouche sur mes seins,
dis moi que tu as envi de moi
jai envie de toi,
fais moi lamour,
viens prends moi,
je sens que tu as envi de moi,
prends moi vite,
»
Et se roulant sur le dos : « Viens,
prends moi,
»
Je me positionnais entre ses jambes largement ouvertes et se saisissant de mon engin, en belle forme ce matin, me guida en elle. Là je commençais à la prendre à grands coups de reins, décidé à la satisfaire au mieux, quand soudainement elle me repoussa et me dit : « Non,
pas comme ça,
» et se mettant en levrette : « Je tavais dit que je serais entièrement à toi,
prends moi comme ça,
prends mon cul,
encules moi,
» et posant ses mains sur ses fesses les écarta offrant à mon regard et à ma queue son petit trou : « Je me suis préparée,
pour toi,
tu auras tout de moi,
fais doucement,
». Du bout de mon outil je tâtais la souplesse de cette jolie rosette et après plusieurs tentatives, je réussissais à mintroduire doucement dans son petit trou, ce qui se traduisit par : « OOOHHH,
oui,
continues,
» et je commençais mes va et viens qui étaient très bien accueillis par ma partenaire. « Oui,
continues,
doucement,
je te sens bien,
OOOHHH, oui,
plus vite,
» Je lui claquais la fesse droite puis la fesse gauche : « et cela se traduisit dans un souffle par : « Oui,
fais moi jouir,
oui, enfonces toi dans moi,
jaime te sentir,
encules moi vite,
je sens que ça viens,
OUIIII,
»
Moi : « Caresses ta chatte,
tu seras prise des deux cotés,
»
Anaïs : « Ouiiii,
tu sais ce que jaime,
oui plus fort,
plus vite,
je vais partir,
OOOOHHH,
continues,
OUIIIIIII,
OUIIIIIIIIIII,
»
Ses commentaires firent que bien accroché à ses hanches et planté profondément dans son cul, je me vidais dun seul coup avec un large soupir de plaisir.
Pendant quelle mettait sa jupe et passait sou corsage blouson, je lui dis :
« Vas prendre le petit déj, je me rase, je me douche et je te rejoins, dans un quart dheure
vas à la même table que hier,
»
Anaïs : « Tu naurais pas des idées derrière la tête ? »
Moi : « A quoi penses-tu ? Dans un restaurant
» et elle partit.
Rasé, douché je la retrouvais à notre table dévorant son petit déjeuner et avant que jentreprenne de me restaurer, elle me dit quEvelyne avait appelé, pour lui demander dêtre au bureau vers quatorze heures, la vente étant conclue, lacheteur et Evelyne voulaient faire tous les documents rapidement, vue limportance de laffaire. Jen profitais pour demander des nouvelles dEvelyne, qui me dit Anaïs regrettait de ne pas être avec nous et espérais que nous avions passé de bons moments.
Ces politesses réglées, nous passâmes à autre chose et la conversation allait rondement sur tous sujets et nous arrivions à la fin de cette collation, donc proche du départ quand Anaïs dit : « Jai passé une excellente soirée, jespère que toi aussi ? »
Moi : « Sans discussion, cela a été très agréable,
surtout grâce à toi,
»
Anaïs : « Pourquoi, seulement, grâce à moi ? »
Moi : « Parce que tu es une femme qui aime le sexe et qui prends plaisir à se donner, même à soffrir pour son plaisir et pour le plaisir de son partenaire. Je dirais même que tes sensuelle, tu participes à lacte de tout ton corps. Tu donnes et tu prends sensuellement et ce sans complexe et je pense toujours prête à un nouvelle aventure ?
Anaïs : « Je pense que je dois prendre cela comme un compliment ?»
Moi : « Cest un compliment,
tu sais ce que tu vas faire, pour clore cette soirée mémorable ? »
Anaïs : « Non,
attention à toi,
pas de bêtises, on est au restaurant »
Moi : « Tu vas remonter ta jupe,
»
Anaïs : « Non,
tu es fou,
»
Moi : « Je suis sur que tu vas aimer,
ça va texciter,
remontes ta jupe,
cest fait ? »
Anaïs : « Non
oh tu es fou,
Oui,
»
Moi : « On ne voit rien,
mais je suis sur que cela texcite,
que ça te donne du plaisir,
dailleurs tu aimes la provocation,
sans grands risques dailleurs, mais quand même excitant,
puis tas un tout petit décolleté,
tu nous caches ta jolie poitrine, .
Anaïs : « Tu veux quoi,
»
Moi : « Tas de jolis nénés, bien ronds,
bien remplis,
juste lourds ce quil faut pour donner des idées,
ouvres ton décolleté,
»
Elle commença à descendre lentement sa fermeture éclaire, juste jusquà larrondi de la naissance de ses jolis bibelots.
Anaïs : « Tes vraiment fou,
cest ça que tu veux,
ça te va,
tes dingue et moi aussi,
» Elle avait les yeux qui commençaient à briller et qui balayaient la salle voir si on était observé, mais rien danormal parmi les clients.
Moi : « Encore un peu,
montres men un peu plus,
»
Anaïs : « Non,
tu es fou,
non,
je ne peux pas,
mais,
» quelques secondes dhésitation et elle descendit la fermeture éclair encore un peu plus bas, là on distinguait le commencement de la gorge entre ses deux beaux nénés, cétait excitant.
Moi : « Très joli décolleté et belle vue sur les gorges, encore un petit effort et ce sera parfait,
on verra quils tiennent tout seul,
»
Anaïs me regarda et tout dun coup : « Non,
tu es fou,
je ne sais plus ce que je fais,
jai limpression de ne plus avoir de volonté,
non jarrête,
» et elle remonta brutalement la fermeture éclair.
Pendant tous ces instants, je me demandais comment et quand elle réagirait,
donc très occupé à étaler, avec une grande attention, du beurre sur mon pain et naturellement sans la regarder : je lui dis : « Oui,
tu dois avoir raison,
jaime tes seins,
jaime ton corps comme tu me la demandé
jaime te faire lamour,
mais il faut peut-être arrêté là,
tu dois avoir raison,
»
Anaïs, une petite hésitation et un léger sourire sur les lèvres : « Jean, regardes moi au lieu de faire semblant de beurrer ta tartine
» cela dit, tout en descendant doucement sa fermeture éclair : « Dis moi que tu as envi de moi,
que tu veux me faire lamour,
Ça te va, ou plus,
» et elle descendit encore la fermeture.
Moi : « Plus tu men montres plus japprécie,
mais tu risques de provoquer une émeute en montrant tes jolis appâts.
Moi : « Ta jupe est toujours relevée ? »
Anaïs : « Bien sur, mon amant ne pas dit de la rabaisser,
tu vois que je suis obéissante,
je fais ce que tu veux,
et jespère que tu feras tout pour me donner du plaisir,
»
Moi : « Tu vas te préparer pour avoir beaucoup de plaisir,
je pense que tu as envie de caresses,
de plein de caresses partout,
et surtout de ton minou,
»
Anaïs : « OH,
oui, jai envie que tu me caresses,
ici cest pas possible,
ou tu es fou,
»
Moi : « Non,
cest toi qui va le caresser,
tu en as envie,
tu glisses ta main entre tes cuisses,
tu caresses ton joli minou,
tu rentres un peu,
juste pour rapporter son gout
»
Anaïs : « Tu es complétement fou,
je ne vais pas faire ça,
me caresser,
et
cest pas vrai,
que je rentre,
pour,
non, il est fou,
tu me rends folle,
»
Moi : « Vas-y,
tu en as envie,
je suis certain que ton minou attend,
quil est ouvert,
quil attend de poser son humidité sur ton doigt,
»
Elle ne manifesta plus rien, cependant toujours avide de plaisir, visiblement elle était tentée et certainement dans sa jolie petite tête un duel était en train davoir lieu, ne rien faire et menvoyer promener et lenvie dessayer,
pourquoi pas ?
Elle avait pris sa décision, le regard un peu lointain, les lèvres légèrement entrouvertes, je vis sa main droite passer sous la table et je devinais, à la position du bras, quelle se dirigeait bien vers sa chatte. Il y eut, encore un moment dhésitation et ses lèvres se serrant, je devinais quelle sétait pénétrée. Puis tout saccélérât, sa main arrivât sur la table le majeur et lannulaire repliés.
Je pris sa main, humant son odeur et les prenant en bouche les suçais consciencieusement.
Tout cela faisant que, malgré le sport du lever, je commençais à avoir une trique sérieuse et je me disais que peut-être, enfin lespoir fait vivre.
Anaïs se leva : « Bon, je vais aller mhabiller et préparer le départ » et en plaisantant je lui dis : « Je finis mon café et je te rejoints et surtout noublies pas de mettre des bas cest plus habillée »
Environ une dizaine de minutes après, je me rendais dans la chambre pensant Anaïs pratiquement sur le départ. En fait, elle était étendue sur le lit, la main gauche posée sur son minou, et le bras droit replié sur sa poitrine comme pour cacher ses appâts et les jambes légèrement écartées, enfin habillées avec juste un porte jarretelles tendant ses bas donc pratiquement entièrement nue,
Elle maccueillit, un sourire coquin aux lèvres en disant « Comme tu as dit les bas ça fait habillés,
viens,
viens me faire lamour,
jai le feu au ventre,
je te veux,
après tout ce que tu mas fait,
viens,
»
Je ne mis pas longtemps à me mettre en tenue dAdam et me glissais entre ses cuisses, pour atteindre sa joie chatte, doù elle avait enlevé les mains. Je humais son odeur chaude qui me grisait et jentrepris de gouter à son jus damour, mais me tirant vers elle: « Non,
arrêtes,
viens prends moi,
fais moi lamour,
» Je remontais et alors que jarrivais, enfin que « popol » arrivait à la hauteur de sa chatte, elle attrapa mon outil et le guida là ou elle le voulait dans sa chatte, chaude, ouverte, accueillante et sans hésiter je me mis à louvrage. Elle était chaude à point prête à être consommée et ne demandant quà lêtre. Démarrant rapidement, elle mencourageait : « Oui,
tu mas excité avec ton truc,
maintenant, fais moi lamour pour me calmer,
oui,
baises moi,
baises moi fort,
je te veux,
remplis moi,
» A chaque pénétration elle se cambrait.
Vu son état dexcitation pour tenir la cadence, il fallait que je change de position. Je soulevais ses jambes et les portais en appui sur mes épaules et je continuais mes va et viens dans la chaleur de sa moule inondée. Cette nouvelle position ne calma pas ses ardeurs : « OOOHHH,
Oui,
cest bon,
continues,
je sens que ça vient,
ouiiiii,
baises moi fort,
OUIIIIII,
.OUIIIIIII,
» Elle était parti dun seul et venait de jouir, secoué par un bon spasme, qui la fit se cambrer. Quand à moi avec les traitements quelle mavait fait subir, javais le plaisir dans les reins, mais seulement dans les reins et il fallait que ça sorte, que je me vide. Je continuais mon travail de mâle baiseur et Anaïs, me surprit de nouveau, car elle ne mit pas longtemps à repartir : « Ouiii,
continues,
fais moi encore jouir,
encore,
OOOHH,
OOOHHH,
OUIIIII,
OUIIII,
», elle était en train de partir et moi, bien enfoncé dans son puits damour, je méclatais en elle et mécroulais sur elle, content, mais fatigué,
Nous eûmes quelques minutes de repos, surtout moi, car se levant elle dit : « Si je ne bouge pas on va faire un câlin et tu auras envi de recommencer,
et il faut que je retourne à Lyon,
»
Elle se rhabilla mais ce coup ci en femme sérieuse, slip, soutien,
Alors quelle finissait sa valise je me levais et passais un caleçon et un pantalon. Enfin prête elle vint vers moi : « Embrasses moi » et se collant à moi, entre deux baisers, lèvres et corps : « Jai passé un excellent moment,
ce que je tai dit cette nuit, ne loublies pas,
» Alors que je commençais à la caresser : « bas les pattes,
je sais comment ça commence et comment ça fini,
au revoir
» et elle partit sans se retourner. Pour ma part, javais pratiquement 5 heures de route et un rapport important à terminer.
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