La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1345)
Kate au Château (Saga se passant au Moyen-Age, écrite par Kate & textes améliorés par MDE) (suite de l'épisode précédent N°1345) -
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et idem pour Louis-Etienne
Ce soir-là ayant grand besoin de se détendre et de se distraire le Seigneur dEvans proposa à Antonin et Chloris de le rejoindre, Lui et Marion, pour une soirée D/s et privée. Ils acceptèrent avec plaisir et Chloris ajouta :
- Peut-être, pourrions-nous inviter Lucie, elle est seule puisque Messire Léon est en mission.
- Bonne idée, approuva le Seigneur dEvans, retrouvons nous tous ce soir dans Ma chambre.
Avant de partir rejoindre le Seigneur dEvans et Marion, Chloris dit à Antonin.
- Vas-y déjà je vous rejoins dans un instant.
- Ça ne va pas? Tu ne te sens pas bien?
- Si si, ce nest rien, jarrive.
Antonin quitta donc seul la chambre. Chloris voulait juste lui faire la surprise ainsi quau Seigneur dEvans de se présenter nue à Sa porte, en quadrupédie et avec son collier, quelle gardait précieusement dans son coffret. Lorsquelle arriva à ladite porte, elle se mit nue, à quatre pattes et frappa à la porte.
- Entrer! Le ton était laconique et ferme.
Ayant la tête baissée, elle ne vit pas le regard dAntonin ni celui quil échangea avec son ami. Ce fut Antonin qui parla.
- Je comptais te punir de nous avoir fait attendre, mais est-ce pour te faire aussi belle et désirable que tu as voulu que je parte devant ?
- Oui Maître, car quand nous sommes que tous les deux, il est si rare que vous mordonniez de mettre mon collier et jai eu envie de vous faire la surprise de me présenter nue devant vous ainsi quau Seigneur dEvans qui nous a si aimablement invité.
- Alors, Ma belle Chloris, tu es toute pardonnée, nest-ce pas Antonin ? Alors à toi lhonneur, choisit celle que tu veux, même Marion.
- Merci Charles. Alors Marion, aux pieds ! Je veux que tu me suces jusquà me faire gicler avec lune de ces fellations dont tu as le secret.
- Bien Messire, dit-elle en sapprochant pour se placer entre ses jambes.
- Bon Lucie, je nai pas besoin de toi, va attendre dans un coin. Chloris jai besoin dun bon massage.
- Bien Sire, voulez-Vous que jutilise de lhuile parfumée de ma fabrication ou pas ?
Antonin intervient entre deux râles de plaisir.
- Je te le conseille, ça fait un bien fou car cest un huile, disons assez spéciale, aux vertus étonnantes !
- Vraiment ?, alors jaccepte, je verrai bien les bienfaits quelle me procure, répliqua le Seigneur dEvans.
Chloris enduit donc ses mains dhuile et voulut Lui procurer un massage sensuel et excitant mais elle constata quIl était réellement tendu et commença alors en premier lieu par un massage pour Le détendre.
- Vous êtes tendu Monseigneur, je risque de Vous faire un peu mal, mais Vous Vous sentirez mieux après.
- Mmmmmm parfait, mais si tu Me fais trop mal, gare à toi.
Pendant ce temps Antonin était aux anges sous les doux coups de langue de la fellation que lui prodiguait Marion qui mouillait abondement sa cyprine qui commençait à gouter sur le sol.
- Lucie vient ici, et nettoie la chatte de Marion
Lèche-là bien quelle ne tâche plus le sol.
- Oui Messire, tout de suite.
Après quelques minutes de ce divin traitement, Antonin commençait à sentir sa respiration saccélérer, il ressentait aussi une montée de plaisir, sa verge fit des soubresauts et il empoigna fermement la nuque de Marion afin de plaquer le visage de la soumise contre son bas-ventre introduisant ainsi en un gorge profonde sa queue tendue à lextrême et prête à exploser. Quand, ne tenant plus, il lâcha son abondante et chaude semence dans la bouche de Marion qui avala le tout avec délice et reconnaissance. Le Seigneur dEvans, quant à Lui prenait aussi du plaisir sous les mains expertes de Chloris. Après avoir défait tous les nuds nerveux dans le dos du Seigneur, elle prit lautre huile celle aux vertus spéciales qui était en réalité aphrodisiaques et qui avait le don dexciter grandement la libido.
- Mmmmm Ma Chloris, tu avais raison. Antonin, cest divin, cette huile à vraiment des vertus spéciales
Chloris continua son massage, tandis quAntonin se faisait nettoyer la queue par Marion qui ne ménageat pas ses coups de langues de soumise salope.
- Continue, salope, fais-moi durcir.
Quand il banda suffisamment, il lui dit.
- Tu as le droit de venir tempaler sur ma queue et tu pourras jouir mais uniquement quand je ten donnerai lordre, est-ce clair ?
- Oui Messire tout à fait, répondit-elle avec un sourire malicieux sur les lèvres.
- Quant à toi la chienne, dit-il en sadressant à Lucie, met-toi devant nous et branle-toi et interdiction formelle de jouir.
- Bien Messire.
Bientôt le Seigneur dEvans était de plus en plus excité par les mains expertes et baladeuses de Chloris, alors il lui lança dans un râle de plaisir.
- Tu mas bien excité, grimpe sur Ma couche et avec tes mains et ta bouche fait-Moi bander encore plus...
Ce quelle fit immédiatement. Sur ces entre faits Antonin et Marion jouirent de concert. Après avoir légèrement repris leurs esprits et plus que satisfait, Antonin donna la permission à Lucie et Marion de se donner du plaisir ensemble. Puis il sapprocha de la couche de son ami, lequel se faisait toujours sucer par sa femme et cela lexcita fortement de la voir jouer de ses mains et de sa langue sur la queue tendue de son ami
- Ça suffit, en levrette tout de suite je vais me vider dans ta chatte de salope et pendant ce temps tu vas sucer ton mari, regarde comme ma queue est droite.
Et pendant que le Seigneur dEvans la pénétrait, la baisait à grands coups de reins virils, profonds et puissants, elle suçait Antonin avec bonheur.
(A suivre
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