Solange La Bourge : Toujours Salope Même En Vacances. (Saison 2 Épisode 7)
Enfin les congés ! Jattendais avec impatience ce mois de juillet. Pour cette année 2018, nous avions réservé un mobil-home dans un camping quatre étoiles, pendant quinze jours, près de Bretignolles en Vendée. Pour des raisons professionnelles, Patrick fut dans lincapacité de passer la première semaine avec moi et nous en étions désolés.
Patrick mavait accompagnée en voiture jusquau camping, nous étions partis assez tôt dans la matinée du dimanche et malheureusement, il devait repartir le soir même, en espérant me rejoindre pour la fin de la semaine. Je navais pas de voiture mais quimporte, notre mobil home était installé dans les dunes face à la mer. Lhabitat était très peu ombragé par des pins, la terrasse donnait plein ouest, un havre de tranquillité dont les emplacements étaient clos dune haie de laurier. Javais prévu de passer ces cinq jours de célibat, en farniente, lecture et promenades
Ce mois de juillet était presque caniculaire. En arrivant vers 14 heures, nous avions consacré ce dimanche après-midi, à ouvrir les valises, ranger les vêtements et toutes nos affaires, faire le lit puis nous étions partis faire les courses
Enfin ! épuisés par le trajet, la mise en place, la chaleur, nous nous étions installés sur la terrasse pour souffler un peu autour dun verre et dun diner, avant que Patrick ne reprenne la route vers vingt et une heures.
Javais enfilé un maillot deux pièces, je métais installée sur le transat et je commençais à lire, espérant que la fatigue et la lecture aient raison de moi pour que jaille enfin me coucher. Minuit déjà ! Je me décidai de rentrer dans le mobil home. Horreur, la chaleur emmagasinée pendant la journée rendait latmosphère étouffante. Je regardai la climatisation, essayai de la remettre en route, impossible, elle était bien en panne et à cette heure, jétais dans limpossibilité de joindre les responsables du camping.
Je mallongeai nue sur le lit espérant trouver le sommeil.
Jenfilai une sortie de bain, il était une heure du matin ce lundi 30 juillet et la lune était pleine dans ce ciel sans nuage. Seuls quelques lampadaires parsemés éclairaient lallée menant au centre du camping. Après mêtre rafraichie sous leau glacée de la douche, en rentrant pour moxygéner de cette léthargie qui menvahissait, je choisis de remonter cette allée, faire ainsi sans doute, le tour du camp. Tout était calme, pas une lumière hormis les candélabres et la clarté de la lune.
Quelques pas plus loin, jentendis à ma droite un bruit confus que je nidentifiais pas. Plus je men approchais, plus je discernais le son. Cétait sans nul doute des gémissements de lascivité. Un couple faisait lamour, là, tout près de lallée. Mes sens en alerte, dune indiscrétion mal placée que je mettais sur mon oisiveté, je mapprochais de la toile de tente en madossant contre un pin. Les plaintes dune femme sentrecoupaient dun chuchotement étouffé de : « Encore
Ah, cest bon
. Doucement
Encore
».
Jinspectais rapidement autour de moi. Jétais seule, ma main sinfiltra sous ma sortie de bain, jinsinuais le bout de mes doigts entre mes lèvres moites de ma sudation et bientôt de mon obscénité de femme impudique. Je lentendais jouir et se retenir, mes doigts narrivaient pas à combler cette envie dêtre à la place de cette femme : « Que lui faisait-il ? »
Elle devait savourer le sexe la pénétrant, jusquà ce quelle étouffe son orgasme dans sa paume ou le torse de son amant. Cen était trop pour moi, elle avait joui, pas moi ! Je ne pouvais rester dans mon onanisme contre cet arbre.
Aussitôt je refermais la porte derrière moi, jotai ma sortie de bain et me jetai sur le lit, mes cuisses se refermant sur mes mains. La touffeur du lieu que je fuyais auparavant devenait salvatrice, me remémorant dautres moment de débauches et de luxures parfois inavouables, mais tellement salvatrice dassouvir ses tensions de chair.
Je devenais folle, mes doigts me fouillaient, ma main englobait mes seins que je portais à ma bouche, mais je ne parvenais pas à me libérer. Javais la soif dun sexe en moi, je me relevai et me dirigeai vers la salle de bain, fouillant dans mon sac de toilette, jen sortis un tube de lotion pour corps. Je tenais le Graal de ma félicité entre mes mains. Je parvenais enfin à me faire jouir de ce godemiché improvisé. Jétais sale, mon essence de débauchée coulait sur mes cuisses, mais que cétait bon ! Cétait bon de jouir, de transpirer, de puer la sueur, la cyprine, de sentir ma peau coller. Cette volupté de béatitude se poursuivit encore après que ma tension se soit évanouie, je continuais mes caresses sur mon sexe, mes tétons, mon anus
Je ressentais toutes mes zones érogènes du bout de mes doigts. Apaisée, jai pu enfin mendormir. Dix heures du matin, le téléphone.
Ce nest pas vrai, je te réveille ?
Ah ! Cest toi Patrick ?
Oui, jai mis du temps à mendormir avec cette chaleur
Je vais prendre mon petit déjeuner, après je ne sais pas ce que je ferai
Tes bien rentré hier ? .... Oui, je tembrasse, on se rappelle ce soir.
Je minstallai sur la terrasse au soleil, un délice ! Lorsquun couple de noirs, la petite trentaine, tenant à la main un bout de chou denviron six ans passa devant lentrée du mobil home, ils me regardaient et savancèrent vers moi.
Bonjour, nous sommes vos voisins.
Oui ! Le mobil homme, là ! Montra la femme dun signe main.
Bonjour ! leur répondis-je.
Lhomme, un grand, sportif et elle, un mannequin tant elle était belle.
Excusez-nous de vous déranger poursuivit lhomme, Thomas, en désignant son fils a lancé chez vous sa balle.
Ce nest rien, récupérez là. Si ça recommence, nattendez pas de me voir pour venir la chercher !
Effectivement, sur le coup des midis, le père revint chercher la balle, nous échangeâmes des sourires. Jingurgitais une assiette de crudité comme déjeuner. Le soleil nétait pas encore à son zénith, pourtant le thermomètre affichait déjà trente et un degré ! Je pris un bouquin et métais installer à lombre dans un transat, sur le côté du mobil home. Le mélange, de la chaleur, de la chaise longue et le côté soporifique de mon roman, une nuit de peu de sommeil eurent raison de mon éveil, jétais plongé dans une somnolence profonde.
Heum, heum. Entendis-je en sursautant légèrement.
Jécarquillais les yeux. Le grand black se tenait devant moi vêtu dun short.
Oh, oui ! Me remettant lhomme et le contexte, émergeant de mes rêves. Oui, euh
Excusez-moi
Je vous en prie, allez chercher le ballon, ne faites pas attention à moi.
Cest moi qui dois mexcuser, je ne pensais pas que vous dormiez, dailleurs ce nest pas très prudent en plein soleil.
Je regardai ma montre. Bientôt quinze heures ! Je métais assoupie à lombre une bonne heure auparavant, et maintenant je sentais ma sueur perler sur mon front, entre mes seins et mes cuisses.
Vous êtes seule en vacances ?
Je lui expliquais la retenue de Patrick pour son travail, « et vous ».
Avec ma femme et mon fils que vous avez vu tout à lheure. Donc pour répondre à votre question, oui je suis seul aussi, enfin pour une bonne heure, ils viennent de partir à la plage, dit-il dun grand sourire.
Vous ne les accompagnez jamais ? Lui demandais-je.
Non ! et pour deux raisons. La première, cest que je ne pense plus pouvoir vraiment bronzer, ironisa-t-il. La seconde, serait que je ferais une grave erreur en laissant seule une voisine aussi charmante que vous.
Charmeur ! Rétorquais-je alors que son regard plongeait entre les deux bonnets de mon maillot de bain sans doute trop décolleté.
Vous naimez pas les compliments ?
Bien sûr que si, cest ainsi que vous avez conquis votre femme ?
Il vint sagenouiller près de moi.
Oui, et ça a marché.
Bien dommage pour vous que la polygamie soit interdite.
Pourquoi dommage ? Qui vous a dit que je souhaitais avoir deux femmes ?
Tout en parlant, il posa sa main sur le haut de ma cuisse. Je fis semblant de lignorer. La loi ninterdit pas davoir une femme lune après lautre. La morale oui, mais êtes-vous morale davoir un aussi beau corps ? Ses doigts sinuèrent sur mon aine entre ma peau et le tissu de ma culotte.
Encore un compliment ? Est-ce le même que vous lui aviez dit ?
Les bouts de ses phalanges sinfiltrèrent sous mon slip et se mirent à aduler mon pubis glabre.
Aussi, dit-il. Elle ma dit à ce moment-là, Théo, ne crois pas que jai lair aussi sage que jen ai lair, elle a écarté ses cuisses et a rajouté en fermant les yeux, encore.
Je me prénomme Solange, et daprès vous, que dois-je dire
Tout dabord, vous fermez vos yeux.
Je mexécutais, Je sentis ses doigts dénouer ma culotte sur mon flanc droit, puis le gauche. Il tira sur le tissu et dévoila mon sexe. Instinctivement jécartais davantage mes jambes, ses phalanges coulèrent entre mes lèvres, sinsinuant peu à peu entre elles jusquà ce quelles viennent flirter la chair humide de ma vulve. Ma main sintroduisit dans son short pour prendre possession de sa verge en érection. Nous ne nous parlions plus, nous nous caressions en silence de longues minutes.
On peut rentrer dans ton mobil home ?
Les fesses à lair, je fis le tour du mobil home pour mengouffrer dans la pièce, suivie de très près par Théo. Il me prit par les épaules et me retournant, il me poussa, métalant sur le dos, sur le lit. Mes reins se trouvaient sur le rebord du matelas, il sagenouilla entre mes jambes, et dévoila sa vraie personnalité.
Écarte tes cuisses que jte bouffe la chatte !
Je ne répondis pas, le temps de la séduction était passée, il en était à la seconde étape, celle de baiser, de posséder, dévacuer le trop plein divresse de débauche trop retenue. Sa tête était déjà enfouie entre mes cuisses et je ressentais sa langue avide en moi, puis sa bouche aspirait mes lèvres intimes, essayant de les distendre tandis que la paume de sa main caressait mon mont de Vénus et que son pouce exaspérait mon clitoris. Dans le calme de la chambre, ce nétait que chuintement et gargouillement de salive et de cyprine dont il sabreuvait cupidement. Dans ce murmure indécent se mêla mes soupirs, puis mes gémissements que le plaisir ne pouvait retenir.
Tu mouilles ma cochonne !
Me lança-t-il en se redressant, le visage visqueux de notre soif de sexe. Il marracha mon soutien-gorge et prenant mes seins à pleines mains, les malaxa bestialement jusquà me faire échapper des lamentations dues à la tourmente quil minfligeait.
Jvais tbouffer tes mamelles !
Tout en les pétrissant, sa bouche mordillant mes tétons quil voulait faire ériger plus quils ne létaient déjà. Tout en minjuriant, il me dévorait, me tétait à men faire souffrir. Il sagenouilla à mon côté.
Suce-moi, mordonna-t-il tout en me présentant sa verge tendue.
Comment aurais-je pu refuser de goûter à ce phallus luisant aux épaisses veines saillantes. Je pris ce gland entre mes lèvres, ma langue en dessous le contourna et le lapa avant de jouer avec son méat que titillait en le forçant. Les doigts de Théo fouillaient ma vulve dont on entendait ma jute clapoter.
Aspire-moi salope ! Vociféra-t-il en massénant une gifle sur mon sein. « Allez ! »
Une autre claque sabattit tout aussi violemment. Mes lèvres en anneau autour de son gland, jaspirais sa hampe peu à peu dont il me força à la prendre jusquà ma gorge, en me guidant dune main derrière ma nuque. Puis il se retirait, et je récidivais. A chaque retrait de son sexe, il pinçait mon téton, puis prenait un malin plaisir à talocher mon sein pour le voir onduler comme de la gélatine.
Jvais te baiser, retourne-toi !
Je mexécutais, malgré ces préliminaires bestiaux, javais hâte dêtre prise, de le sentir en moi et surtout de jouir. Allongée sur le ventre, il me tira sur le rebord du lit, magenouillant sur le sol. Instinctivement je me cambrais. Dune main il tenait son membre quil guida pour frotter son gland entre mes lèvres dégoulinantes de mon envie. Dun coup de rein, je perçus mes chairs sécarter, sa verge coulissa en moi. Il me tenait par les hanches quil tirait vers lui à chaque salve de son ventre faisant claquer ses couilles contre mes cuisses.
A chaque bordée il me provoquait en me crachant des « salope, prend ça ! », « Tu laimes ma bite ? », « Jte baise bien à fond salope ! ». Il ne pouvait savoir que dêtre traitée ainsi mexcitait, car oui ! Je suis une salope ou une pute sil veut, si ma condition de femme veut que je jouisse, quimporte si celui qui me possède soit blanc, black, jeune ou vieux et quil me considère comme une trainée, quil profite de moi, je veux me perdre dans la volupté du vice.
Ses coups de reins se ponctuaient du claquement de son ventre sur mes fesses et du chuintement de sa hampe qui sombrait dans ma vulve. Il sécroula sur moi. Sa langue parcourait mon épaule, mon cou quil embrassait, puis il me murmurait des « salopes, tes bonne » et autres insultes quil entrecoupait de baisers. Jhaletais au rythme de sa possession, geignant des « encore » étouffés, puis des « oui, oui » lorsquil me baisait plus ardemment.
Les jointures de mes doigts blanchirent tant je magrippais aux draps et mon corps se mit à trembler sous mon orgasme où je mentendis le supplier « baise-moi plus fort ! Encore ! », je suffoquais. Ma jouissance le contamina, ses muscles se bandèrent. Dans un dernier assaut, sa verge se planta au plus profond de moi et simmobilisa. Ses mains puissantes métreignirent les épaules, puis dans un râle guttural, je sentis son sperme inonder mon vagin. Jétais secouée de spasmes incontrôlables.
Il resta en moi de longues minutes tout en me caressant. La « bête » était redevenue tendre, ses paroles plus chastes. Il se retira en me donnant un dernier baiser dans le cou. La porte se referma. Je restais ainsi agenouillée, le buste sur le lit. Je sentais son sperme, mêlé à ma quintessence de femme, suinter de mon sexe et ruisseler sur mes cuisses. Jétais sale, mais heureuse de mon état. Jai dû somnoler dans cette position obscène pendant une bonne demi-heure, avant de prendre une douche, puis partir me promener vers la pinède. Je pris mon téléphone, javais hâte de raconter toute cette aventure à mon mari Patrick.
Si, comme Solange et Patrick, vous avez envie de raconter vos histoires de sexe, contactez-moi par Email.
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