Summer Of Love 10
J'entends Bérénice
glousser alors que je verse un petit peu de ce lubrifiant sur ses fesses, dans le but que ce soit confortable, agréable pour elle
alors que je m'apprête à m'occuper de nouveau
de son petit cul.
Elle, elle a encore et toujours les fesses à l'air, et elle m'expose son petit cul comme ça, délibérément, à la face du monde.
Ses jolies fesses se dandinent.
Ça fait depuis belle lurette que j'ai plié et que j'ai rompu.
Bérénice est irrésistible.
Et quand elle est comme ça, à quatre pattes, entièrement nue, toute mouillée, trempée, offerte, je me répète cette mantra en moi : «Bérénice est la plus belle femme du monde, et elle est avec moi. Elle est à moi. »
Après lui avoir versé un peu de ce lubrifiant «spécial anal» sur son petit cul, je me suis
on va dire
autorisé à observer, à
admirer son cul, juste un petit peu. D'en capter, pour le restant de mes jours, un instantané. Parce que là, Bérénice, toute nue, toute entière, à quatre pattes, est si belle à regarder. Et moi, oh
oui, j'aimerais m'en souvenir jusqu'à la fin de mes jours.
Bérénice, elle, la petite coquine, MA petite coquine, ma jolie coccinelle, elle le voit bien que je la regarde ainsi, de cette manière. Sa tête est encore tournée dans ma direction. Je la vois qui me sourit.
Je l'aime.
Beaucoup.
Passionnément.
À la folie.
Puis, je me remets à rapprocher ma tête de son derrière.
Je pose mes mains, dans le même temps, sur ses deux ravissantes fesses roses.
Je les embrasse, par la même occasion.
De là où je me tiens, je parviens à voir Bérénice qui tend ses bras dans ma direction. Pour être plus précis, elle tend ses bras en direction de ma tête.
Par ce geste, il me semble comprendre et savoir ce qu'elle veut
Elle a, elle aussi, de nouveau envie que je la goûte.
Que je m'occupe, encore et toujours, inexorablement, de son anus.
Et c'est ce que j'ai l'intention de faire
!
Et c'est ce que je veux faire
Bérénice a son joli «petit» postérieur rose pâle tout imbibé de salive
de cyprine douce, salée, chaude, agréable, et de lubrifiant.
J'y passe le bout de mes doigts sur sa jolie petite chatte toute trempée.
Puis
tout en embrassant, avec rythme, avec désir, avec passion, avec frénésie, ses fesses, l'une après l'autre, je passe la pulpe d'un doigt sur son anus. Pour être plus précis
sur l'entrée de son anus.
Mais
je ne le pénètre pas tout de suite.
Non
Avec la pulpe de mon doigt, je titille l'entrée de son cul
Bérénice halète. Bérénice gémit. Je regarde Bérénice, à la volée : son regard se fait suppliant, plus que jamais...
Je maintiens mes efforts pour procurer du plaisir à Bérénice.
Plus
Bien plus
Encore plus
Beaucoup plus
Toujours plus
Bérénice, elle, me regarde. Elle me sourit.
Mais
son visage, transfiguré et rougi par le plaisir, se fait de plus en plus suppliant au fur et à mesure que nous faisons lamour ce matin.
Je suis encore et toujours derrière elle, mon corps, et en particulier ma tête collée à son joli postérieur.
Avec mes deux mains, jécarte ses fesses.
Javais commencé à placer la pulpe dun doigt à lentrée de son anus.
Auparavant, javais versé un peu de lubrifiant sur sa croupe, et en particulier sur son petit trou.
Et là, avec la pulpe de mon doigt, jétale
je tartine le lubrifiant sur le joli petit illet de Bérénice.
Et
étant donné que ma tête est collé à son beau petit cul
jembrasse son derrière
Des petits baisers mouillés
Bérénice ne me quitte pas des yeux pendant ce temps-là.
Elle me regarde. Dans les yeux. Elle ne me lâche pas dune semelle. Non
Elle est comme ça, Bérénice.
Elle hoche la tête de haut en bas, de bas en haut, comme pour me dire quelle aime bien et quelle désire que je continue.
Avec sa voix, quelle rend aiguë, sensuelle et sexy dans lintimité, elle émet des petits bruits de plaisir. Ses fameux bruits de plaisir qui me font craquer et qui mexcitent
beaucoup.
Elle halète.
Sa respiration est rapide. Bruyante.
Bérénice me regarde dans les yeux.
Ton doigt
Chéri
Chéri
Chéri ! Ton doigt
Je veux sentir ton doigt
Sil te plaît
Cest alors que, de nouveau, je regarde Bérénice dans les yeux. Je soupire. Je ferme les yeux
et jembrasse son cul.
Puis, jintroduis un tout petit bout de mon doigt dans son anus lubrifié.
Nous franchissons définitivement un Rubicon...
Je suis toujours aussi fou amoureux de Bérénice.
Et je sais qu'elle ressent exactement la même chose pour moi.
C'est aussi simple que ça.
Le fait que notre relation grandit et qu'elle dure, le fait que nous nous aimons si fort, cela fait que nous avons une très grande confiance mutuelle.
Et là, Bérénice, très clairement, me fait confiance, alors que j'ai inséré un tout petit morceau de mon doigt dans son petit trou tout mouillé.
Son anus est si étroit.
Je pénètre Bérénice, mais très
très délicatement.
J'ai peur de lui faire mal. Je ne le veux tout simplement pas. Je ne me le pardonnerai pas si elle ressentait une quelconque douleur.
Je fais de tout petits mouvements de va-et-vient en elle.
Au plus profond d'elle.
Et, dans le même temps, j'approche mes lèvres de ses fesses, et je les embrasse.
Bérénice a la tête tournée vers moi.
Ses yeux sont mi-clos.
Sa bouche est entrouverte.
J'entends les gémissements de plus en plus bruyants de ma jolie coccinelle.
Quand soudain
OUI ! OUI ! OUI ! Comme ça ! Ton doigt ! Mets-moi ton doigt! S'il te plaît, mon chéri
Le petit trou de Bérénice est étroit mais bien lubrifié. Et
Au fur et à mesure que je la pénètre avec prudence, je me rends compte que mon doigt coulisse de mieux en mieux dans son anus.
J'insère alors une seconde phalange de mon doigt dans son cul.
Bérénice crie alors de plaisir...
Bérénice est toute détendue.
Bérénice me fait entièrement confiance.
De son propre chef, elle a voulu me accéder à sa plus secrète intimité. Une intimité toute particulière, qu'elle ne livrera jamais à quelqu'un d'autre que moi.
Il s'agit de son mignon petit cul.
Bérénice est allongée sur le ventre. Disons
plus exactement
qu'elle est à quatre pattes, dans la position communément appelée de la «levrette».
Moi ? Je me tiens tout contre ses fesses. J'ai pénétré l'anus de cette magnifique Bérénice. Délicatement. Très délicatement.
Son oeillet est si mignon. Si
étroit, aussi.
Je dois m'occuper de Bérénice, avec soin. En prenant beaucoup de précautions.
Je ne supporterai tout simplement pas de faire du mal à Bérénice.
Déjà rien que le fait qu'elle soit triste, qu'elle ne sourit pas ou qu'elle soit en colère
Imaginez une seule seconde si je la blesse
J'aurais l'impression d'avoir touché à notre amour et à notre désir.
Je ne me le pardonnerai pas.
Je ne plaisante pas.
Bérénice est détendue.
Elle me regarde fixement, avec ses yeux noisette. Ses yeux de femme amoureuse. Ses yeux de femme épanouie quand on s'occupe d'elle et qu'on lui procure bien du plaisir. Quand on la fait jouir
Le plaisir lui va si bien, à Bérénice. Oh
oui.
Et pour quelle ait encore plus de plaisir et que ce soit agréable, délicieux pour moi, jai gardé le flacon de lubrifiant «spécial anal» à portée de main, pour pouvoir men servir quand je veux, autant que je veux, pour lubrifier lanus de Bérénice et que la pénétration de mon doigt soit la plus jouissive pour elle.
Et là, jai repris le flacon de lubrifiant et jai retiré le bouchon. Je pointe le bout du flacon en direction des fesses de Bérénice afin den verser encore un peu sur son périnée
et sur son anus.
Bérénice ne rate pas une seule miette de ce que je fais. De ce que je LUI fais.
Bon dieu, Bérénice ! Regarde-toi ! Regarde-moi ! Regarde-nous !
Mon chéri
Mon joli oiseau...
Regarde comme tu es belle et comment jadore moccuper de toi. Bordel ! Tu éblouis ! Tu irradies !
Jaime quand tu me fais lamour, mon chat. Continue
Ne tarrête pas
Continue...
Oh que oui, je vais continuer, jolie coccinelle...
Juste après avoir dit ça, Bérénice a penché de nouveau sa tête vers moi. Elle recherche ma bouche. Elle recherche mes lèvres. Elle recherche ma langue.
Nous nous embrassons.
Tout dabord, un demi-baiser. Un smack. Du bout des lèvres.
Ensuite, nous passons à la vitesse supérieure. Nous nous dégustons. À pleine bouche. Nos lèvres font et refont connaissance. Elles se moulent.
Puis, nous changeons carrément de braquet et nous y mettons la langue. Nous dansons un sensuel tango labial, lingual. Nos salives se mélangent.
Cest magique.
Cest parfait.
Jai limpression de revenir adolescent et que je redécouvre les plaisirs sensuels. Les plaisirs charnels.
Et pendant que nous nous embrassons comme bon nous semble, je nai pas arrêté de faire que mon doigt aille et vienne en Bérénice, dans son anus étroit.
Mon doigt coulisse à merveille.
Ce lubrifiant «spécial anal» est une pure merveille !
Quant à Bérénice, elle est tout simplement belle. Sensuelle. Sexy. Irrésistible.
Bérénice est délicieuse.
Cest alors que je retire mon doigt de son anus.
Je me remets à lécher brièvement loeillet lubrifié.
Puis je reprends le flacon et me verse encore un peu plus de ce lubrifiant sur le bout de
deux doigts.
Ma main retrouve le contact des fesses de ma petite amie.
Mes doigts vont retrouver le contact chaud, humide, étroit de son petit cul.
Bérénice est délicieuse, et jai vraiment delle. Corps et âme et sexe. Toute entière
Ô son anus
Moi en elle, au plus profond delle
Ce nest plus quune question de temps.
Je la veux.
Elle me veut.
Nous nous voulons.
Cest parfait.
Grâce au lubrifiant que jai déposé sur son anus, jai carte blanche pour pouvoir continuer de pénétrer lanus de ma jolie Bérénice, avec mon doigt.
Le petit cul de ma petite amie est tout brillant. Tout imprégné de lubrifiant et de mouille. Tout trempé.
Mon doigt va et vient
Va et vient
Va et vient
Au plus profond de Bérénice.
Là où elle ne permettra jamais un autre homme de la connaître. Du moins
je lespère
Bérénice est à moi.
Elle la dit, tout à lheure !
Je la regarde.
Je lobserve.
Je la mange des yeux.
Je lentends.
Elle narrête pas de gémir.
Elle narrête pas de haleter.
Elle commence même carrément à crier. De plaisir.
Bérénice ne cesse jamais de me regarder, et ce, même si elle est à quatre pattes, en levrette.
Ses yeux sont désormais clairement suppliants.
Je sais ce quelle veut.
Elle me la dit.
Elle veut mon sexe dans son anus.
Elle veut, plus que tout, que je lencule.
Je retire mon doigt de son cul.
Puis
Avec le plat de mes mains, j'écarte ses fesses afin de pouvoir me faire de la beauté de son illet lubrifié et de sa lubrification.
Tu es irrésistible, ma jolie coccinelle. Tu es belle. Ton cul est si beau. J'ai envie de toi
Bérénice glousse sous l'effet de mes mots.
Je n'attends plus que ça, mon joli oiseau. Ta queue en moi
Je t'en prie !
À mon tour de glousser.
Mais
Avant de m'enfoncer, pas à pas, tout entier, en elle, je reprends le flacon de lubrifiant «spécial anal» et j'en redépose sur le bout de mes doigts.
Sur deux doigts
En effet
J'aimerais continuer de lubrifier et de dilater ma chérie avant que nous ne rencontrions pas le moindre souci lorsque je voudrai la pénétrer.
Bérénice a les yeux brillants. Ça, je le vois bien.
Même si je la doigte, je ne la quitte pas des yeux, moi non plus.
Je l'observe bien, la petite coquine !
Ses yeux sont embués de désir.
Sa peau est rouge de plaisir.
Elle s'efforce, tant bien que mal, à retrouver son second souffle même si je n'arrange rien à l'affaire vu que j'ai repris ma marche vers l'avant pour lui procurer du plaisir.
Bérénice veut sentir mon sexe entre ses fesses, dans son petit trou. Elle me l'a dit
Je fais tout pour que ce soit le moins douloureux et le plus agréable possible pour elle.
Ça va être notre première fois
C'est imminent...
Je retire mes mains de ses courbes et je repose la pulpe d'un doigt sur l'entrée de son anus.
J'essaie de me faire une idée de l'étroitesse de son orifice anal.
Je constate qu'elle est de plus en plus dilatée.
Tout doucement, j'insère une phalange à présent de mes deux doigts en elle, dans son petit cul.
Bérénice se met soudain à hurler.
Encore
Encore
Théo ! Oui ! Oui ! OUI !
Bon dieu, Bérénice ! Tu me rends fou !
Tes doigts ! Je les veux en moi ! Aaaaahhhh !
Je ferme les yeux, et je pousse un tout petit soupir.
Nous sommes corps et âme et sexe.
Seuls au monde.
Bérénice est en train de soffrir, toute entière, à moi, depuis tout à lheure.
Elle est si belle.
À croquer.
Sexy.
Je viens de plonger, tout doucement, progressivement, deux doigts dans son anus, au plus profond delle. Dans son intimité la plus secrète.
Et, pendant que je la doigte et que je continue de préparer son petit cul comme il se doit, jentends Bérénice gémir, crier de plaisir.
Je lentends haleter.
Ses yeux ont quitté les miens.
Elle regarde droit devant elle.
Moi, une phalange de mes deux doigts est enfoncée dans son anus, et ce sont de tout petits va-et-vient que je fais avec.
Ce sont deux doigts de ma main droite, et celle-ci est posée sur sa peau.
Sa peau rose pâle est maintenant humide. De cyprine. De salive. De lubrifiant «spécial anal»
et de sueur.
Ma main est posée sur sa fesse droite.
A lexception de mes deux doigts qui sont enfoncés en elle, les autres la caressent.
Des petits cercles
Cest comme un petit massage.
Jentends Bérénice soupirer. Ça veut sûrement dire quelle se sent bien et quelle apprécie particulièrement ce que je lui fais.
Encore
Encore
Encore
Pour toute réponse, je retire mes doigts dans son orifice mais je garde ma main sur sa fesse. Jembrasse cette fesse. Un tout petit baiser mouillé
Linstant daprès, je mempare de ses fesses avec mes deux mains. Jécarte ses fesses.
Je vois plus que bien son petit trou tout mouillé. Tout luisant et reluisant de mouille. De salive. De lubrifiant.
Tu regardes quoi, Théo ? Mon petit cul ? Il te plaît ? Tu veux le baiser ? Cest ça que tu veux ?
Je glousse.
Encore une fois, pour toute réponse, japproche ma bouche de son derrière et jhonore ses fesses de mes lèvres. Je dépose un baiser sur chaque fesse.
Et, au moment où jembrasse Bérénice, jentends un bruit.
Je lève les yeux.
Je vois Bérénice qui tend un bras en direction de sa table de nuit.
Elle a ouvert le petit tiroir. Là où se trouve ses sextoys, les lubrifiants, les huiles de massage
et les préservatifs.
En parlant de préservatifs, justement
Je vois distinctintement ma coquine de petite amie prendre une boîte.
Elle referme le petit tiroir.
Elle tire une capote de la boîte.
Je te veux, Théo. En moi. Maintenant !
Ni une, ni deux, elle se retourne et elle me fait face.
Je sais ce quelle va faire
Moi, je me mets sur le dos.
Bérénice déchire lemballage de la capote avec ses dents.
Elle prend mon pénis dans sa main, et elle déroule le caoutchouc sur mon sexe.
Je suis tout dur
Dune main, Bérénice me pousse.
Je me retrouve allongé sur le dos.
Bérénice me chevauche.
Puis, elle enjambe mon sexe et vient saccroupir, à califourchon, au dessus de moi.
Je sens ses fesses chaudes frotter contre ma queue.
Nous allons bientôt basculer
Ce nest plus quune question de temps...
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