Notre Initiation Au Libertinage, Il Y A 15 Ans...
Depuis quelques temps, je dialoguais sur internet avec un homme charmant, dans nos âges, la quarantaine, qui allait venir passer ses vacances dans notre région, la Charente-Maritime, qui comporte de superbes plages immenses avec des coins naturistes bien fréquentés.
Son nom ? Pierre, nous, nous sommes Patrick et Marie, couple normal, mince, Marie a de très beaux seins et des fesses somptueuses, très sensuelle, et, petit détail qui peux avoir son importance, nous sommes tentés par une première expérience de libertinage... d'où l'objet de mes discussions avec Pierre, dont je reparlais le soir à ma douce et tendre.
Quelques semaines plus tard, Pierre me précisa où il s'était installé au camping, pas loin de chez nous, et nous nous mîmes d'accord pour un rendez-vous le weekend suivant près d'une plage naturiste de la région, avec une forêt derrière et une étendue de sable immense. Il était convenu que nous nous retrouverions à un carrefour un peu avant la plage, histoire de faire connaissance, et qu'ensuite nous irions sur la plage naturiste...
Marie et moi étions plutôt intimidés, parler de libertinage est une chose, le pratiquer en est une autre, mais le rendez-vous était pris, pas question de reculer, et nous en avions très envie tous les deux. Nous arrivâmes au carrefour prévu, du côté de Ronce les bains, il faisait très chaud, et pour tout vêtement, Marie ne portait qu'un paréo multicolore, qui cachait son corps très légèrement en mettant ses formes en valeur, et avec la chaleur, la pointe de ses seins dardait sous le tissu.
Pierre était déjà là, à nous attendre, bel homme, mince, sportif, très sympathique, souriant, instruit, bref nous allions passer un moment agréable. Il embrassa Marie sur les deux joues, en la serrant un peu contre lui, me serra la main, et nous partîmes, en nous suivant en voiture, vers un parking près de la plage.
Une fois les voitures garées, et pris les sacs de plage, nous nous sommes dirigés vers une étendue de sable splendide, en plein soleil, à quelques mètres de l'océan.
Pour encourager Pierre, je lui tendit le flacon d'huile solaire en lui disant que Marie ne pouvait pas rester sans protection en plein soleil, et il se dépêcha de saisir le flacon. Marie était allongée nue sur le dos, laissant Pierre admirer ses formes splendides, et celui-ci, après une légère hésitation, commença à faire couler de l'huile solaire sur son ventre et ses seins, puis, posant la bouteille, il commença à étaler le liquide sur son ventre, doucement, prenant son temps, puis il remonta sur ses seins splendides, les massant doucement, titillant au passage les tétons qui semblaient ne demander que cela. Marie commençait à se sentir très très bien, les caresses de Pierre sur ses seins commençaient à produire leur effet, elle ne gémissait pas encore vraiment, mais de petits sons commençaient à sortir de ses lèvres, et elle serrait ma main de plus en plus fort, et moi, à voir d'autres mains que les miennes se promener sur le corps de ma femme commençait à me faire bander sévèrement. Puis Pierre redescendit ses mains vers le ventre, et s'attaqua aux cuisses et jambes de ma belle. Marie, sous les caresses chaudes de Pierre, écarta légèrement les cuisses, et celui-ci en profita pour masser l'intérieur de ces belles cuisses, remontant du genou vers le haut de la jambe, toujours plus haut, de plus en plus haut, jusqu'à frôler son sexe doucement. Ma chérie se laissait faire avec délices, une main sur la cuisse de Pierre, l'autre sur la mienne, nous caressant en douceur..., très sagement pour le moment, puis Pierre lui demanda de se retourner, histoire de pouvoir s'occuper du côté pile.
Marie se retourna, et il recommença à faire couler de l'huile solaire sur son dos et ses fesses, se délectant à masser ses jolies fesses, ses jambes, son dos, et dans le mouvement, Marie écarta les jambes et il remonta très haut entre ses fesses...
Une fois Marie convenablement couverte d'huile solaire, ce qui avait tout de même pris plus d'une heure, il se rassit sur sa serviette de plage, les genoux remontés sur sa poitrine. C'est le moment que choisit Marie pour nous proposer d'aller nous baigner, histoire de se rafraichir un peu. Je me levais, ainsi que Marie, mais Pierre ne suivait pas. Du coup, je lui proposais de venir avec nous, mais Marie éclata de rire et me tira par la main dans l'eau "tu n'as pas compris ?" me dit elle ? je n'avais pas fais attention, mais le pauvre Pierre bandait comme un taureau, normal après avoir caressé Marie pendant plus d'une heure.
Une fois rafraichis, Marie et moi avons regagné nos serviettes, et là elle nous proposa de nous passer de l'huile aussi, pour ne pas avoir de coup de soleil. Bien sûr, Pierre et moi étions d'accord, et je proposais de commencer par Pierre.
Il s'allongea sur le dos, et Marie commença à le masser doucement, le torse, les jambes, passant près de son sexe sans encore essayer de le toucher, mais ses gestes avaient des réactions sur notre ami, qui recommença à bander, sa queue se dressait de plus en plus au passage des mains douces de ma femme à quelques centimètres de sa base, et, bien sûr, elle commença à insister un peu plus tout autour, sans jamais la toucher.
Moi, à regarder son manège, je bandais de plus en plus, très excité de voir les mains de ma femme passer si près de la queue d'un autre. N'en pouvant plus, je m'allongeais à coté de Pierre, Marie nous massa alors tous les deux, très doucement, remontant de nos jambes vers la ceinture. Nous bandions tous les deux très fort, et il n'y avait pas beaucoup de couples sur la plage, alors, n'hésitant plus, je plaçais une main de Marie sur le sexe de Pierre et l'autre sur le mien, et elle commença à nous branler tous les deux en même temps.
Au bout d'un moment, n'y tenant plus, nous avons décidé de nous retirer un peu sur la plage, et nous avons déménagé nos serviettes au bord de la forêt, un peu à l'abri des buissons qui la bordaient.
Là, nous avons reposé nos serviettes avec toujours Marie entre nous deux, et Pierre, lui écartant les jambes, glissa sa langue sur le sexe de ma bien-aimée, il commença à la lécher, puis pointa sa langue dans le doux fourreau et entrepris de lui faire un cunnilingus profond, enfonçant sa langue le plus loin possible. Moi, de voir un autre homme sucer ma femme, me faisait bander de plus en plus, à m'en faire mal, et comme Pierre, pour la lécher, s'était positionné à l'envers, sa queue était juste sous la main de ma femme, qui recommença à le branler, promenant ses doigts sur le gland, redescendant sur la tige gonflée, pour remonter et recommencer... Je commençais alors à me branler aussi, tout en regardant ma femme caresser une autre queue que la mienne, spectacle terriblement excitant.
Marie n'arrêtait plus de gémir sous les caresses de Pierre, elle relevait les jambes de plus en plus haut, lui plaquait la tête sur sa chatte, et Pierre s'appliquait de plus en plus fort à introduire sa langue et ses doigts dans le sexe de ma chérie, pendant que moi je lui caressais les seins, agaçant ses jolies pointes, les tétons se dressaient fièrement sous mes caresses, appelant les baisers, ce que je m'empressais de faire, et finalement, ce qui devait arriver arriva, son corps se tendit d'un coup, elle se mit à crier, et l'orgasme la saisit violemment, elle plaquait la tête de Pierre sur son sexe en criant, secouée de spasmes de plaisir.
Pierre et moi nous allongeâmes sur nos serviettes de bain, Marie entre nous deux, et nous l'avons laissée reprendre ses esprits en caressant son corps en douceur.
Apaisée, Marie se redressa entre nous deux, et commença à nous caresser tous les deux. Elle ne mis pas longtemps à nous faire à nouveau bander, ses mains nous branlaient doucement, jouaient avec nos glands, caressaient nos bourses, de plus en plus vite, pendant que nous passions nos mains sur son dos, ses seins, ses jambes, et soudain, elle se pencha en avant et engloutit la queue de Pierre dans sa bouche, faisant glisser sa langue sur la tige érigée de notre ami tout en continuant à me masturber de son autre main. J'étais pétrifié, c'était la première fois que je voyais ma femme sucer un autre que moi, c'était terriblement excitant, et un peu de jalousie commençait à poindre dans mon esprit, quand elle se redressa et changea de queue, avalant la mienne, sublime caresse que j'adore, ses lèvres douces glissant sur ma tige déployée, tout en continuant à masturber Pierre
Elle continua son jeu longtemps, alternant les deux sexes érigés pour elle, et nous commencions, Pierre et moi, à gémir, de plus en plus fort, jusqu'au point de non-retour, elle saisit nos deux sexes tendus et les branla de plus en plus vite, jusqu'à ce qu'un flot de sperme inonde ses deux mains sous nos cris de jouissance, puis Pierre se redressa, et avec mon accord, il lui roula une pelle d'enfer, sa langue cherchant loin celle de Marie, tout en lui caressant les seins, ensuite, il me laissa la place et à mon tour j'embrassais ma femme comme jamais, plein de désir et d'amour
Ensuite, Pierre nous invita au restaurant, nous étions d'accord, et nous sommes partis pour son camping. Il commençait à être tard, l'après-midi avait été chaud... Au camping, nous avons tous pris une douche séparément, repos, fallait en garder un peu, puis prenant ma voiture, Pierre derrière le siège de Marie, nous sommes partis au restaurant.
Pendant que je conduisais, il passait ses mains sous le paréo de Marie par dessus son siège et lui caressait les seins, et à l'entendre gémir doucement, je savais qu'elle aimait ses caresses.
Au restaurant, dîner en terrasse, très agréable, nous avons pu faire plus ample connaissance, parlant de tout, de rien, buvant raisonnablement mais tout de même un peu plus que d'habitude. Marie était assise à mes cotés et Pierre en face d'elle.
Au dessert, je demande à Marie si nous nous contentons de ramener Pierre au camping ou si nous allons faire un tour en forêt... pourquoi pas un petit tour en foret me dit elle avec un grand sourire ? Ok, je préviens Pierre, qui règle le resto, et nous voilà repartis vers la forêt qui borde la plage. Dans la voiture, cette fois, Marie monte à l'arrière avec Pierre, avec mon accord, bien sûr, et je commence à entendre des gémissements, il a carrément les mains sous le paréo et la caresse en l'embrassant à pleine bouche. Il caresse ses seins, son sexe, tout en l'embrassant, pendant que ma chérie laisse promener ses doigts sur le short de notre nouvel ami, s'attardant un peu sur la bosse que produit son sexe dur à travers le tissu. Impatient, je finis par trouver un endroit où me garer. Nous sortons de la voiture, il fait nuit, et le paréo de Marie ne cache plus rien, juste attaché autour de son cou, ouvert sur le devant, il laisse apparaître son sexe, ses seins, bref elle est magnifique.
Je prends une couverture dans le coffre, et nous cherchons un endroit où nous installer, que nous trouvons très vite, nous étendons la couverture, puis Pierre devant et moi derrière, nous enlevons le paréo de Marie et l'embrassons en la caressant, nos mains courent sur son corps, ses fesses, son sexe, son cou, ses seins, pas un centimètre de peau n'échappe à nos caresses respectives. Marie nous embrasse à pleine bouche, sa langue nous titille, puis, soudain, elle se laisse tomber à genoux, fais glisser nos shorts, et, prenant une queue dans chaque main, elle commence à nous sucer alternativement tous les deux, passant sa langue sur nos tiges, parfois même tenant nos queues l'une contre l'autre et les suçant toutes les deux en même temps. Pierre et moi sommes aux anges, le plaisir monte à toute allure, nos gémissements commencent à s'entendre...
Pierre s'écarte alors de Marie, et, glissant une main dans son sac, en retire un préservatif, qu'il enfile. Je le regarde faire, un peu surpris, comme si ce n'était pas logique après l'après-midi que nous venions de passer... Je sens la jalousie qui revient au galop, j'ai du mal à admettre qu'il va faire l'amour à ma femme, qu'il va la prendre...
Il s'allonge sur la couverture, et fais signe à ma douce de l'y rejoindre. Marie se redresse, m'embrasse fougueusement, et se dirige vers Pierre, qui n'a pas bougé. Elle l'enjambe, et commence à descendre sur lui, je vois la queue de Pierre se rapprocher dangereusement du sexe de ma chérie, son gland frôle l'ouverture, et d'un mouvement du bassin, la pénètre doucement, il est en elle, ses bourses cognent contre les fesses de Marie, puis il accentue la rapidité de sa pénétration, Marie a posé les mains sur le torse de Pierre, pendant qu'il empoigne ses seins, elle se cambre alors en arrière, les seins vers le ciel, et Pierre la possède de plus en plus fort, malaxant ses seins, prenant son sexe, je suis pétrifié, fasciné par le beau spectacle, Marie gémit de plus en plus, ses lèvres entrouvertes laissent échapper son plaisir.
N'y résistant plus, j'empoigne ma queue et la glisse dans la bouche de ma chérie, qui commence à me pomper avidement, tout en se faisant baiser par Pierre, c'est géant, j'ai la sensation que le temps s'arrête, plus rien n'existe que notre plaisir à tous les trois. Depuis le début de l'après-midi, Marie avait envie qu'il la prenne, et moi je dois reconnaitre que j'avais très envie qu'il la baise, mon excitation est gigantesque, ma queue est une vrai trique, dure comme jamais, et je m'enfonce avec délices dans la bouche de ma femme, qui crie de plus en plus fort à chaque coup de boutoir de son amant du jour, qui accélère encore, plus profondément, plus loin dans sa chatte, jusqu'à l'explosion finale : Pierre se cambre en criant son plaisir, il balance tout dans le préservatif qui la baise, Marie crie sa jouissance, tout en me branlant de plus en plus vite, alors à mon tour je me vide d'un coup, sur ses joues, sa bouche...
Une fois repris nos esprits, nous prenons le temps de nous détendre, Marie à nouveau étendue entre nous deux, nos mains la caresse en douceur, elle promène ses mains sur nos cuisses, aux anges tous les trois, quelle belle journée !!
Nous ramenons Pierre à son camping, avec la promesse de se revoir avant qu'il ne reparte chez lui, dans les Alpes.
Après quelques mots, il embrasse Marie sur la bouche, me serre la main, et s'éloigne.
Nous reprenons la voiture, nous avons hâte de rentrer pour faire l'amour, notre excitation est grande, et nos envies plus grandes encore...
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