Le Patron
Je mappelle Audrey, 29 ans au moment où les faits se sont déroulés. Je suis mariée depuis 5 ans maintenant à Paul que jai connu sur les bancs du lycée. On saime et le projet davoir un se précise. On voulait prendre notre temps et profiter de notre jeunesse.
Je suis sortie du lycée avec le bac mais pour des raisons financières et familiales, je nai pas pu continuer mes études.
Jai donc fait des petits boulots avant dêtre embauchée au bas de léchelle dune PME assez importante. Je suis aujourdhui lassistante de direction du patron qui me fait une confiance absolue.
Jai eu un peu de chance car 2 ou trois départs en retraite mont permis de progresser plus vite mais sans prétention, je nai jamais été bête. Jai donc appris sur le tas les ficelles du métier et beaucoup de particularités techniques de notre activité. De plus, je sais que je passe bien auprès des clients qui mapprécient beaucoup. Je sais aussi quauprès de la gente masculine, ce nest pas que grâce à mes aptitudes professionnelles.
Physiquement, je mesure 1.68m pour 54 Kg. Je suis plutôt fière de mes formes que jentretiens en pratiquant régulièrement le sport. On me dit jolie et je me fais régulièrement draguer.
Je suis toujours habillée de manière élégante à la demande de mon patron et jai dailleurs une prime annuelle pour ça.
Les contacts avec mon patron sont cordiaux et totalement professionnels. Personne nest parfait et tout le monde ne lapprécie pas mais la plupart des employés laiment bien. Il a 50 ans, cest un dirigeant exigeant mais qui sait aussi être reconnaissant. Il connaît très bien son métier et ses clients, et a beaucoup de charisme et un contact chaleureux qui en fait aussi un bon commercial.
Je laccompagne régulièrement en déplacement pour rédiger et sortir les projets, contrats
directement sur place. Jamais il na eu un geste ou un regard déplacé envers moi
Jusquau jour où
Comme ça nous arrive régulièrement, on est partis tous les 2 en déplacement pour tenter dobtenir un marché qui pouvait devenir très important pour la société dans le sud de la France.
On partait pour 4 jours. Dès le premier jour, on a compris que ça se passait bien pour nous et que le contrat nous tendait les bras. Et pour ne rien gâcher, le dirigeant de lautre société ne cessait de me faire des compliments. Il était sous mon charme. Mon patron sen amusait et me disait que cette fois il ne pourrait faire autrement que me donner une prime car il était persuadé que le bonhomme allait signer autant pour avoir une chance de me revoir que pour notre société.
A la fin du 2ème jour, comme nous avions bien préparé notre venue, tout était bouclé. Le contrat était signé, le projet défini et clair. On devait seulement revenir le lendemain pour briefer un peu les collaborateurs de notre client. On allait pouvoir rentrer avec 1 jour davance.
Mon patron ma invité dans un restaurant haut de gamme pour fêter ça. On a pris une coupe de champagne puis une autre mais alors quil aurait dû être aux anges et blaguer comme il savait le faire, je le trouvais plutôt silencieux.
- Excusez-moi mais quelque chose ne va pas ? Jai dit quelque chose de mal.
- Non, bien sûr que non. Audrey, vous êtes lassistante parfaite, comme toujours.
- Si je peux me permettre
Vous ne semblez pas ravi de ce contrat. Je ne me rappelle pas vous avoir vu si peu bavard Monsieur.
- Dabord, appelez-moi Jean quand on est en déplacement tous les 2 sil vous plaît. Daccord ? Au bureau, ou devant les clients, cest vrai quil y a des codes à respecter mais je crois quon est ensemble très souvent et je vous apprécie beaucoup alors en déplacement, je nen peux plus du « Monsieur »
- Je
Si vous voulez
- Bien. Sinon, pour le contrat, je suis même extrêmement content car ça va sécuriser notre volume dactivité pour un bon moment et surtout, sur lactivité la plus rentable de la société.
- Alors quest-ce qui vous préoccupe tant ?
- Audrey, jai pris la tête de la société un ou deux ans avant que je vous embauche.
Je commençais à avoir peur de ce quil allait me dire. La société était-elle en péril ? Voulait-il quitter la société ?
- Hier, ça a fait 10 ans jour pour jour que ma femme est décédée.
Je tombais des nues et je me sentais idiote comme pas possible.
- Je suis désolée
Je ne savais pas. Si vous préférez, on peut rentrer à lhôtel, ça ne me dérange pas.
- Non, surtout pas. Je crois que je ne pouvais avoir de meilleure compagnie que vous. Jaurais aimé avoir mon fils avec moi quand même.
- Cest vrai que je savais que vous aviez un fils mais vous nen parlez pas beaucoup.
- En fait, cétait ma femme le ciment de notre famille. Moi, jai toujours été très pris et impliqué dans mon travail. Quand ma femme est décédée, après un cancer foudroyant, mon fils avait déjà 19 ans. On est encore souvent en contact et on sentend bien mais je me rends compte maintenant que je nai pas su créer un lien suffisamment fort entre nous quand il était petit.
On a beaucoup parlé et jai évoqué un autre sujet qui me trottait dans la tête.
- Et vous navez jamais pensé à retrouver quelquun, à vous remarier ?
- Je vous avouerai que je me suis jeté à corps perdu dans le travail après son décès. Et puis, pour ça, il faudrait déjà que je trouve du temps pour chercher. Et puis qui voudrait dun bonhomme comme moi. A mon âge, cest compliqué.
- Je crois que vous vous sous-estimez.
- Non, je suis réaliste.
- Eh bien non justement. Regardez-vous. Vous êtes intelligent, vous avez de lhumour et de la conversation. Et pour ne rien gâcher, vous avez un bon revenu. Je suis bien plus jeune que vous mais je ne me suis jamais ennuyée en venant avec vous. Et pour ce qui est de votre âge, vous nêtes peut-être plus très jeune mais vous êtes encore bel homme.
Je me suis débrouillée pour ne pas lui dire que moi aussi je le trouvais encore très séduisant. Il est grand, plutôt svelte mais assez carré. Ses cheveux grisonnants sont toujours bien coiffés. Jétais assez troublée davoir dit tout ça à mon patron.
- Je ne pensais pas.
- Vous êtes très doué pour vos affaires mais je crois que vous devriez revoir votre position pour ce qui est de votre vie privée. Pensez-y.
On a terminé de manger puis on est rentrés. Jai pris une bonne douche bien chaude pour me détendre. Il était encore tôt. Je venais de sécher mes cheveux et jétais en peignoir quand on a frappé à ma porte. Cétait Jean.
- Excusez-moi de me présenter si tard mais je me sentais un peu seul et pas vraiment fatigué. En plus, demain on a quartier libre jusquà 14h00 et il faut encore que je vois si je peux nous choper un avion autour de 19h00. Je voudrais vous parler de quelque chose quon a abordé lors du dîner
- Je
Entrez
Vous voulez boire quelque chose ? Cest vous qui payez de toute façon !
Ça nous a fait bien rire tous les deux.
- Quest-ce que vous vouliez me demander ?
- Vous mavez dit que vous saviez que je plais encore aux femmes. Comment le savez-vous ?
- Eh bien entre femmes, on parle. Certaines ne sen cachent pas.
- Et comment se fait-il que je ne men aperçoive pas ?
- Vous êtes le patron. Cest intimidant vous ne trouvez pas ?
- Eh bien, ce soir, on va dire que je ne suis pas votre patron. Vous, que pensez-vous de moi ?
- Mais... Je
.
Je ne savais pas comment réagir.
- Répondez à ma question Audrey. Comment me voyez-vous ?
- Je
Pour être franche, moi aussi je vous trouve séduisant.
- Et ?
- Vous avez
Comment on dit déjà ? Du charisme. Vous dégagez une assurance qui impressionne un peu
Mais qui vous donne aussi du charme. Je suis persuadé que si vous cherchez à séduire une femme, vous ne resterez pas longtemps seul.
- Je suis fou de vous dire ça mais tant pis. Jespère juste que vous ne porterez pas plainte pour harcèlement
. Cela fait très longtemps quune femme ne mavait pas autant attirée Audrey. Je vous ai toujours trouvée jolie, charmante. Mais ce soir, je vous ai trouvée resplendissante au restaurant. Votre corps était merveilleusement mis en valeur.
-
Jean, vous ne devriez pas me dire ça. Je suis mariée.
- Comme vous lavez dit, moi, je ne le suis plus. Et jai envie de vous comme jai rarement eu envie dune femme. Votre corps mattire irrésistiblement ce soir. Je mimagine découvrir votre corps, vos seins, votre ventre plat, la douceur de vos cuisses
. Vous me dites que je ne suis pas trop vieux alors aidez-moi à reprendre confiance en moi dans ce domaine.
Je ne mattendais pas à ça et jétais plus que troublée. Il sest penché et a déposé ses lèvres sur les miennes. Jai senti une bouffée de chaleur irradier mon corps. Ma plus grande erreur a été de ne pas le repousser au moment de ce baiser mais jétais figée.
Il sest reculé un peu, ma regardé et ma souri.
- Jean, je suis mariée. Jaime mon mari et je ne lai jamais trompé.
- Je sais que vous êtes mariée mais je crois pouvoir affirmer que je ne vous laisse pas indifférente.
-
.
- 2 choses me confortent dans cette idée. Vous ne mavez pas repoussé lors de mon baiser
Et vous auriez dû me dire que vous ne tromperez jamais votre mari au lieu de me dire que vous ne lavez jamais trompé. Je crois que cétait révélateur.
-
..
Devant mon absence de réaction, il sest rapproché de moi, ma prise par la taille et ma embrassé. Avant que jen prenne conscience, je répondais à son baiser. Cest quand il ma embrassé dans le cou que jai totalement capitulé.
Ses lèvres étaient douces et chaudes. Je devais lever la tête pour embrasser Jean qui me dépassait presque dune tête. Je me sentais fragile dans ses bras, à sa merci
. Jai pensé à Paul, mon mari, et à ce que jallais commettre comme faute dun instant à lautre. De manière totalement inattendue pour moi, cette pensée ma excité.
Ses mains ont commencé à caresser mon corps à travers mon peignoir de bain. Il était doux et patient. Sa langue a pénétré ma bouche et jai tout de suite mêlé la mienne. Il embrassait très bien. Moi aussi, jai commencé à passer mes mains dans son dos.
Il a enlevé un bouton de sa chemise puis a pris mes mains pour me faire comprendre de continuer. Jai découvert un torse puissant, sans poils ou presque et un ventre à peine visible pour son âge. Il avait des épaules larges et musclées. Ça me changeait de mon homme, mignon et plein de charme mais plutôt fin.
Jean a délicatement découvert une de mes épaules, puis lautre en y déposant des baisers. Il a fait descendre le peignoir, retenu à ma taille par la ceinture. Jai vu dans ses yeux à quel point il appréciait ma poitrine, qui est pour moi un atout non négligeable et dont je suis fière. Ils sont fermes, bien ronds et mon décolleté ne laisse aucun homme de marbre.
Il a passé ses mains dessus et sest attardé sur mes tétons gonflés dexcitation. Il sest assis au bord du lit et en a pris possession avec sa bouche. Ma poitrine a toujours été très sensible et je me suis sentie couler sous ses caresses. Je devinais la bosse de son sexe durcir dans son pantalon de costume.
Il ma regardé dans les yeux et a lentement enlevé mon peignoir.
- Tu es encore plus belle que je ne le pensais. Fraîche, magnifique, douce
Extrêmement désirable. Quels seins !
Puis il ma allongé sur le lit. Tout en me caressant, sa bouche est descendue dans la fourche de mes cuisses. Il a commencé à me manger le sexe délicieusement. Mon plaisir grandissait de façon continue. Il savait vraiment y faire et navait pas du tout perdu la main. De petits gémissements sortaient de ma gorge.
A un moment, il sest levé et a enlevé ses derniers vêtements. Jai été ébahie par lengin arboré fièrement par mon patron. Il bandait fort. Son sexe était long, parcouru de grosses veines sur les côté de la verge. Il était bien plus long que celui de mon mari mais mon étonnement venait surtout du fait quil était vraiment bien plus large, « épais ». Et les testicules étaient gros également.
Je me suis relevée et je me suis collée à lui. Je sentais son sexe battre contre mon ventre alors quon sembrassait. Jai saisi son sexe dans mes mains et jai commencé à le branler doucement.
Je dois avouer que jappréhendais un peu le moment de la pénétration car même avant mon mari, jétais très loin dêtre habituée à ce genre de gabarit
. Et en même temps, jattendais ça plus que tout.
Jean la compris et ma allongé sur le lit tout en se plaçant entre mes jambes. Il bougeait légèrement le bassin tout en membrassant. Son gland pressait les lèvres de mon sexe. Il ma regardé dans les yeux et a poussé. Jai tout de suite gémit en sentant son gland progresser en moi et écarter mon sexe. Il sest stoppé.
- Ca va Audrey ?
- Oui
. Allez juste doucement sil vous plaît.
Jean a recommencé à bouger lentement, lubrifiant son sexe petit à petit avec ma mouille, heureusement très abondante. Au bout de seulement une ou deux minutes de ce traitement, jai senti un plaisir incroyable monter. Je le sentais tellement bien. Par pudeur je pense, je retenais mes gémissements. Jean a continué un bon moment comme ça jusquà ce que je ne puisse plus cacher mon plaisir. Jai poussé de petits cris étouffés dans le creux de son épaule.
Il sest redressé un peu et cest seulement là que jai pu voir quil navait pas tout entré. Ses mouvements de bassins étaient maintenant plus rapides et jai vu sur son visage quil allait jouir aussi. Il a accéléré un peu alors que je criais de plaisir sous lorgasme qui traversait mon corps. Jean a patienté au maximum pour faire durer mon plaisir mais il est sorti dun coup et sest masturbé sur moi. Son sperme a giclé en même temps quil poussait un râle de plaisir. Il ma arrosée du pubis jusquà la base du cou.
Jean sest ensuite affalé à côté de moi, essoufflé. Jai redressé la tête, son sperme coulait entre mes seins. Ça ma fait sourire.
- Désolé que tu sois dans cet état mais je crois que tu peux voir que ça faisait longtemps.
- En effet, je crois que je suis obligée de prendre une douche.
Je ne savais pas trop quoi dire ni quoi faire maintenant. La relation patron-salariée occupait entièrement mon esprit.
- Je peux taccompagner sous la douche ?
- Oui
Bien sûr.
Que pouvais-je dire dautre ? On sest lavés mutuellement. Puis on est sortis de la salle de bain. Jétais derrière lui. Ses jambes étaient musclées, comme ses fesses et son corps en V pour un homme de son âge mimpressionnait. Il sest baissé pour ramasser son caleçon. Je me suis dit « Ouf ! Il va partir » et aussitôt après « mais quest-ce que cétait bon ! »
Mais il ne la pas mis et sest assis au bord du lit.
- Audrey, asseyez-vous. Je voudrais éclaircir les choses. Je suis mal à laise de ce qui vient de se passer et en même temps, je ne regrette rien car jai vraiment pris un plaisir très fort. Je ne veux pas que ce qui vient de se passer change quelque chose par la suite. Comment voyez-vous les choses ?
- Cest particulier Jean. Ce dont je suis sûre cest que jai pensé au fait que vous étiez mon patron. Jadore mon travail
. Et jen ai besoin. Jaime mon mari et je naurais pas couché avec vous si vous naviez pas été mon directeur.
- Ohhh !
- Ne vous méprenez pas. Je naurais pas succombé non plus si je ne vous avez pas désiré vraiment très fort. Vous êtes charmant, beau et
..
- Et ?
- Eh bien vous lavez vu. Jai pris moi aussi beaucoup de plaisir.
- Javais peur davoir perdu la main.
- Je peux vous assurer que non
. Pour être franche, tout a été très bon et jai du mal à regretter ce qui sest passé malgré mon sentiment de culpabilité vis-à-vis de mon mari.
- Ton corps est un régal Audrey. Ton mari a beaucoup de chance de tavoir. Jespère quil sait apprécier à juste titre ce que tu as à lui offrir. Tu es magnifique quand tu jouis.
La tension érotique a recommencé à grimper entre nous. Javais encore envie et lui aussi. Je le voyais à son sexe, qui se gonflait doucement. Je me suis surprise moi-même quand jai ouvert la bouche.
- Vous êtes mon patron. Jai peut-être voulu vous r. Je pourrais avoir simulé pour ne pas vous vexer.
- En effet, cest une possibilité. Est-ce que vous me mettez au défi de vous faire jouir ? Je suis prêt à relever ce défi tout de suite si vous le voulez ?
- Ce ne serait pas raisonnable. Vous êtes mon patron et je suis mariée.
- Oui, mais rien de ce quon a fait ce soir nest raisonnable alors autant continuer.
Sa main sest posée sur ma cuisse quil a caressée.
- Vous avez donc encore envie de moi ?
- Oh que oui ! Mais si on remet ça maintenant, ce sera parce que tu me désires aussi, pas parce que je suis ton patron.
Jean sest allongé sur le lit et ma fixé dans les yeux alors que jhésitais encore un peu. Finalement, je suis passée sur lui. Je lai caressé doucement. Les mollets, les cuisses, les bourses puis jai évité son sexe et jai caressé son torse. Je désirais cet homme. Je lai embrassé sur le ventre, les pectoraux, dans le cou. Jai passé ma langue sur ses lèvres. Il a cherché un baiser mais je me suis esquivée. Je lui ai donné mes seins à lécher. Il nen pouvait déjà plus. Ses mains ont commencé à me caresser. Je lai embrassé tout en me faisant la plus sensuelle possible.
Je me suis ensuite mise à genoux sur ses cuisses. Jai pris en main son sexe. Je nen revenais pas. Mes doigts ne faisaient pas le tour de sa verge et je pouvais sans souci mettre les deux mains dessus. Jean a vu mon regard.
- Mon sexe te plaît ?
- Oui.
- Ça faisait bien longtemps que je navais pas vu ce regard dans les yeux dune femme. Tu le désires mon sexe ?
- Tellement gros ! Tellement long ! Il est vraiment beau !
- Cest pour ça que tu voulais que jy aille doucement tout à lheure. Ton mari nest pas aussi gros !
-
. Non
- Et tu as aimé ?
- Oui
.. Beaucoup.
- Alors profites-en bien !
Je me suis penchée et jai commencé à lécher sa verge, montant doucement vers le gland, frôlant la base alors que Jean commençait à pousser des soupirs de contentement.
Jai pris son gland dans ma bouche et je lai sucé avec une gourmandise que je ne me connaissais pas. Jean mencourageait, employait des mots parfois un peu crus. En plus dêtre long et gros, il était dur comme du bois.
Je me suis positionnée sur son sexe et je lai introduit en moi. Jean caressait maintenant franchement mes seins, mes hanches, mes fesses mais me laissait libre de mes mouvements. Javais limpression que son sexe allait mouvrir en 2. Je faisais des allers retours, faisant chaque fois progresser son sexe en moi. Jai commencé à gémir, à feuler. Jean ne bougeait toujours pas et me laissait mhabi à la taille de sa queue.
- Tu la sens bien là ! Cest bon une belle queue hein ?
- OH OUI ! SI GROSSE ! HAAAAANNN !
- Vas-y petite, baises-toi. Bouge bien ton mignon petit cul sur ma queue. Tu vas aimer !
Il avait changé de ton et bizarrement, ça mexcitait encore plus. Jai accéléré un peu mes mouvements. Rapidement, un plaisir énorme a grandi en moi. Jai bougé comme ça sur lui un bon moment, enchaînant des orgasmes très intenses. Jean profitait à fond de mon corps. Jadorais ses caresses, ses coups de queue, ses baisers. On était en sueur. A un moment, Jean ma saisi fermement par les hanches et ma empalée à fond et ma fait faire de courts mais rapides mouvements sur son sexe. Jai cru mourir de plaisir quand jai senti distinctement les giclées de son sperme en moi (une première pour moi) et lorgasme ma laissée totalement dévastée. Javais crié mon plaisir comme jamais.
Je me suis effondrée sur lui, quasi inconsciente. Jai sombré dans le sommeil très rapidement.
Quand je me suis réveillée le lendemain, il était presque 11 heures. Jean nétait plus là. Jai fait un bon bain. Je me sentais coupable davoir trompé Paul mais je dois avouer quêtre aussi satisfaite sexuellement par un amant est un sentiment très grisant. Il ma suffi de penser à cette nuit pour sentir mon sexe se liquéfier.
Je suis descendue fraîche et pimpante vers 12h15 pour déjeuner. Jean était dans le hall de lhôtel au téléphone. Il cherchait visiblement à nous trouver des places dans lavion de ce soir. Malheureusement, il était complet. Ça membêtait car vu la culpabilité que j'éprouvais, jaurais bien aimé rentrer retrouver Paul.
On est allé manger et on a discuté du programme de laprès-midi, totalement professionnels lun comme lautre. Aucune allusion na été faite à la nuit passée.
On est allés chez notre client puis je suis allée faire du shoping pendant que mon patron allait senfermer dans sa chambre dhôtel pour bosser. De retour dans ma chambre, jai eu mon mari au téléphone. Il disait que je lui manquais. Bizarrement, pour la première fois depuis des années, il ma même fait une mini crise de jalousie, disant quil avait confiance en moi mais pas en mon patron. Il avait peur que Jean me fasse des avances. Je lui ai bien sûr assuré que non, que les déplacements étaient purement professionnels et quon ne se voyait pas ou presque en dehors des heures de boulot. Je devais être rouge écarlate tout en disant ces mensonges.
Je suis ensuite sortie pour me chercher un sandwich. Je navais pas du tout envie de manger une fois de plus au resto. Il nétait pas loin de 20h30 quand je suis rentrée à lhôtel. Jean prenait un verre au bar en lisant un journal. Quand il ma vue, il ma fait un grand sourire et je suis allée vers lui. Il ma offert un verre que jai accepté avec plaisir. Cest vrai quon avait du temps à . On a passé une bonne partie de la soirée à se raconter des anecdotes et divers cancans de la société. On a bien rigolé. Jai énormément apprécié de navoir perçu aucun changement dans lattitude de Jean vis-à-vis de moi. Il était habillé décontracté avec une chemisette blanche qui lui allait très bien.
- Audrey, demain, vous pouvez faire ce que vous voulez. Je risque de passer pas mal de temps à travailler à distance alors nhésitez pas à aller vous balader. De toute façon, même cette perte de temps est largement compensée par le contrat quon a signé.
- Merci. Il fait beau et la ville est agréable. Je crois que je vais garder un très bon souvenir de ce déplacement.
Jai tout de suite réalisé lambiguïté de mes paroles. Jean a sourit
- Jai toujours apprécié de partir avec vous et je nai jamais été déçu
. Mais là, cétait au-delà de mes espérances. Je garderai moi aussi un souvenir impérissable de ce déplacement
. Ne rougissez pas
.. Même si votre embarras vous rend encore plus craquante. Et ne soyez pas inquiet pour votre mari. Jamais il napprendra ce qui a pu se passer.
- Jai tellement peur que ça se sache. Vous me le promettez ?
- Oui, bien sûr
. Dites-moi Audrey ? Ny voyez pas une sorte de vantardise mais jai vraiment eu limpression de vous apporter un plaisir très fort
Un plaisir que vous ne connaissez pas avec votre mari.
- Je
.. Cétait tellement différent
. Oui, jai vraiment pris du plaisir.
- Et jai limpression que la taille de mon sexe ny est pas pour rien.
- Cest vrai. Je prends beaucoup de plaisir avec mon mari mais je dois avouer que la taille de votre sexe n'est pas une chose à laquelle je suis habituée.
- Je suis curieux mais
La mienne est beaucoup plus grosse ?
- Oui
Bien plus longue
Et sans aucun doute 2 fois plus en largeur.
- Je comprends mieux votre air de surprise en voyant mon sexe
. Mais sachez que vous êtes de loin la plus belle femme avec qui jai couché et votre corps mérite de connaître un plaisir sans limite. Jespère vraiment sincèrement que ne vous sentirez pas trop coupable de ce qui sest passé avec moi. Je suis persuadé que votre mari ne serait pas daccord avec moi
.. Mais dites-vous bien que cest juste une attirance physique et sexuelle, sans aucun sentiment. Les sentiments, ils ne sont quà lui.
- Alors, il ny a pas de raison pour que je vous cache que mon embarras vient plutôt du fait que je pensais à la nuit qui arrivait. Une nuit à passer seule mais qui serait bien plus agréable à passer avec quelquun.
- Audrey vous lisez dans mes pensées !
Jean sest levé, a payé les consommations et il a pris ma main sous les yeux d'un barman au regard amusé. Il avait à coup sûr deviné qu'une relation adultère allait suivre. Jean ma conduit jusquà sa chambre en me tenant par la taille. Arrivé dans sa chambre, on sest embrassés. Rapidement, nos vêtements se sont retrouvés par terre mais on a pris notre temps. Jaimais sentir ses caresses franches et chaudes, faites par des mains larges. Jétais dans les bras dun homme vraiment costaud et jaimais ça. Aucune parole navait été échangée, juste des baisers et des caresses très sensuelles.
On sest allongés et trouvés rapidement en 69. Jean profitait à pleines mains de mes fesses quil écartait. Sa langue fouillait mon sexe, léchait mon clitoris. Jean sy prenait vraiment très bien et semblait également apprécier fortement mes attentions envers son sexe. Je suçais et léchais son sexe. Jai même pris ses testicules dans ma bouche.
A un moment, Jean a aventuré sa langue sur mon anus. Je me suis cabrée sous leffet de la surprise mais il a insisté. Pour la première fois de ma vie, quelquun me touchait à cet endroit et ce nétait pas mon mari. Je crois que je nai pas osé dire stop ce qui fait que grâce à mon excitation, grâce à sa salive, jai assez vite eu un doigt entier dans les fesses. Je me trémoussais sur ce doigt pendant quil me léchait. Jai eu mon premier orgasme de la soirée comme ça.
Jean sest redressé, ma mise à genoux sur le lit et sest collé à moi dans mon dos. Il a caressé mes seins, pincé mes tétons, mordillé ma nuque. Jétais dans un état de désir comme je nen avais jamais connu. Je me suis penchée un peu en avant.
- MMMH ! Audrey, jamais je naurais cru te voir un jour comme ça. Quel cul !
- Prenez-moi Jean !
- Jaime entendre ça dans la bouche dune jolie femme mariée. Ça texcite de le faire cocu ? Tu veux te faire mettre par ma grosse queue hein ?
- Oui Jean. Je veux votre grosse bite !
Je regardais par-dessus mon épaule et son sexe dépassant de mes fesses était vraiment très impressionnant mais surtout, mexcitait comme une folle. Jean a positionné son gland et a poussé. Il est entré plus facilement que la veille. Il avait saisi ma taille dans ses grandes mains et maîtrisait totalement la pénétration. Jai cru quelle ne finirait jamais. Jean a enfoncé son gros sexe en moi cm par cm, dune seule et lente poussée. Je me suis sentie possédée par ce membre. Jai poussé comme une longue plainte dexcitation, de surprise, de plaisir brut incroyable.
Il ne sest stoppé quune fois son pubis contre mes fesses. Il était encore plus profond dans cette position. Jen avais le souffle coupé, bouche grande ouverte. Il a fait un mouvement de va et vient ample et plus fort en disant « Tu aimes ça ?». Jai poussé un grand cri, autant de plaisir que de luxure de le sentir au plus profond de mon sexe.
- Tu es à moi maintenant. Ta chatte me suce la queue ! Quest-ce que tes serrée ! HAN !
- Oui ! A toi ! Toute à toi ! Baises moi ! OUIIIII !
Chaque coup de boutoir me faisait voir des étoiles. Puis, une fois habituée à la taille de sa queue, les orgasmes se sont enchaînés. Jean était endurant, fort et puissant. Jétais prise jusquà la gorge par une vrai bête de sexe. Plus aucune trace de tendresse, juste du sexe brut
Et quest-ce que cétait bon !
A un moment, Jean a ralenti. Son pouce a investi mon petit trou. Je me suis mordu les lèvres de désir. Je voulais tout lui donner et il la deviné. Jétais une autre. Son pouce bougeait dans mon cul. Puis, cest 2 doigts qui sont entrés. On était en sueur. Mon sexe était une fontaine. Jai encore eu un orgasme alors que son gland insistait sur mon point g. Jean est sorti de moi et sest penché pour me parler.
- Audrey, je veux tout de toi, je veux ton petit cul.
- Je
. Je ne lai jamais fait.
- Justement ! Je veux te dépuceler le cul ! Enfoncer mon gros sexe dans ton adorable petit cul !
- Salaud !
- Je suis un salaud mais tu ne vas pas dire non ! Tu en as envie aussi !
-
Oui. Vas-y.
Je naurais jamais cru quon me ferait un jour cette caresse mais Jean a été jusquà lécher mon anus, la assoupli avec ses doigts puis sest placé comme il faut pour enfoncer son sexe. Je pense avoir eu la chance de tomber sur un amant exceptionnel car je nai quasiment ressenti aucune douleur. Il sest enfoncé doucement en moi. Au début, jai trouvé son sexe gênant, dérangeant. Puis je me suis habituée. On avait roulé sur le côté. On sembrassait à pleine bouche. Jean avait passé une main par-dessus ma taille et me caressait doucement le clitoris. Il ne bougeait pas. Cest moi qui ai commencé à onduler du bassin. Les sensations étaient étrange pour moi, très fortes également. Petit à petit, jai senti son sexe coulisser plus facilement. Jean mentourait totalement de ses bras, me cajolait. Lexcitation de me faire enculer pour la première fois me rendait folle. Jean ne bougeait toujours pas et me laissait me faire à sa présence. Je respirais de plus en plus fort, je commençais à gémir
. Et à mon grand étonnement à jouir même. Cest le moment qua choisi Jean pour me saisir par la hanche dune main et par lépaule avec lautre. Il a fait des mouvements plus amples et aussi plus profonds tout en me faisant rouler un peu plus sur le ventre. Mes gémissements se sont amplifiés, mon plaisir grandissait.
Je me suis alors vue dans la glace qui couvrait la porte dun placard. Moi, une jolie petite blonde de 29 ans, mariée et encore fidèle 2 jours plus tôt, jétais dans la chambre dhôtel dun autre homme, mon patron. Cet homme de 20 ans de plus que moi me dominait maintenant de toute sa stature. Je voyais ses muscles bandés sous leffort. Mon patron me baisait. Je jouissais depuis maintenant longtemps. Il était beau, endurant et monté comme un étalon. Et maintenant, je le laissais menculer et me faire découvrir un plaisir inconnu.
Je me suis donnée à lui encore plus, cambrant mes reins, tendant Mon cul et jai vu son plaisir de me prendre comme ça sur son visage. Il a agrippé mes hanches avec ses mains et a commencé à me ramoner. Jai crié mon plaisir. Je lai vu se crisper un peu, ses coups de reins sont devenus saccadés et son sperme ma inondé lanus, lubrifiant encore plus mon cul et permettant à Jean de senfoncer plus loin. Jai hurlé de surprise et également un peu de douleur.
Il sest collé à moi dans mon dos, totalement essoufflé tout comme moi en me disant « Merci Audrey »
Il est sorti de moi. On a mis de longues minutes à sen remettre, lovés lun contre lautre. Puis on est passés à la douche. On sest couchés et on sest endormis. Vers 9 heures, je me suis réveillée sous les caresses de Jean. Il bandait déjà dur et a dû mettre environ 30 secondes à me faire le désirer. Jai écarté les jambes et il est entré en moi sans plus de préliminaires. Nos corps se sont imbriqués lun dans lautre et cette fois, ça a été plus doux. Jai eu un orgasme long et très intense alors quil me prenait, la plantes des pieds sur ses pectoraux. Mes cris de plaisir ont une nouvelle fois remplis la chambre.
Sous le regard étonné de Jean, jai échappé à son étreinte. Je lai mené dans la salle de bain. Jai lavé son sexe et je lai pris dans ma bouche. Je lai branlé, sucé, léché. Dès quil était sur le point de jouir, je stoppais mes caresses et il me suppliait de le finir.
Son sexe était gros et dur dans mes mains, son gland doux et chaud dans ma bouche. Jai accéléré un peu mes mouvements et jai senti sa verge se tendre, son gland gonfler encore dans ma bouche. Dans un long râle, il sest vidé. Jai sucé et aspiré chaque goutte de sperme. Encore une première pour moi
. Et jai aimé.
Je me suis ensuite rhabillée sans un mot et jai rejoint ma chambre. Je me suis recouchée et rendormie. On ne sest retrouvé que dans laprès-midi pour prendre lavion. Aucune allusion na été faite.
Pendant le mois qui a suivi, jai prétexté auprès de mon mari une infection urinaire dabord, puis des règles douloureuses. Javais besoin de temps et javais peur de refaire lamour à mon mari mais je me suis aperçue avec joie que jéprouvais toujours autant désir pour lui et un plaisir réel. Et lui, a été ravi de découvrir avec moi (et de croire me faire découvrir) de nouveaux plaisirs. Dailleurs, jai largement préféré son sexe dans mon anus que celui de Jean.
Cela fait maintenant 4 mois et Jean a tenu promesse. Rien na filtré de notre déplacement et tous nos contacts sont purement professionnels. Jai reçu le mois dernier une prime pour « mon investissement personnel dans lentreprise et la réalisation dobjectifs commerciaux importants »
Cependant, Jean ma fait venir dans son bureau aujourdhui et a fermé la porte derrière moi. Nous sommes sur le point de négocier un contrat important et il souhaite memmener en déplacement deux semaines plus tard. Il a commencé en me disant que jétais la seule collaboratrice quil souhaitait emmener, que cétait purement professionnel puis a ajouté quil navait rien oublié de la dernière négociation ; au contraire et quil espérait pouvoir décompresser lors de ce déplacement également
.. Quil pouvait même faire en sorte de trouver un hôtel agréable, et prolonger le déplacement de 2 jours mais il avait besoin de savoir si javais moi aussi envie de « décompresser »
Il avait dit ça en souriant et je dois avouer que cétait très bien tourné. Je lui ai souri en retour, jai enlevé 1 bouton de mon chemisier afin quil voie bien le sillon de mes seins et je lui ai donné ma réponse. Je lui ai dit que je viendrais et quil se pourrait que jaie en effet besoin de décompresser. Que jétais même tellement fatiguée que je nétais pas sûre davoir lenvie de faire des câlins à mon mari dici là.
Cette fois, à chaque fois quon se croisait, il y avait une caresse ou un effleurement. Jai même une fois saisi son « paquet » pendant quelques secondes. Jétais excitée mais jai tenu. Je nai pas fait lamour à mon mari. Pourtant, ça a été très dur car il était vraiment adorable. Il a par contre eu droit à ma bouche encore plus souvent que dhabitude.
Le vendredi, juste avant notre départ, Jean ma donné une grande enveloppe en me disant de ne louvrir que dans la voiture. Cétait en fait une sorte de montage photo. Jy étais nue, étendue sur un lit que jai reconnu comme celui de sa chambre dhôtel et en gros plan, il y avait son superbe sexe bandé, avec le gland si appétissant dont sortait une petite goutte de liquide transparent. Jai mouillé comme une folle en voyant cette photo dont la légende disait.
« Désolé mais je navais pas pu résister à vous prendre en photo
Jai hâte de vous revoir ainsi, comme vous pouvez le voir sur cette photo
. Gardez bien votre petite chatte à labri des assauts de votre mari
. Pour que je puisse sentir une nouvelle fois autour de ma queue la sensation de votre chatte si serrée »
Pendant les 2 premiers jours de déplacement, nous sommes restés professionnels. Puis, nous avons passé les 2 jours suivants dans une magnifique chambre dhôtel où nous avons passé en revue toutes les positions imaginables et où jai une nouvelle fois ressenti un plaisir incroyable. Par contre, mon cul nappartient maintenant quà mon mari même si Jean a été très décu.
Depuis, Jean a rencontré une femme de son âge et jai eu un . Mais lors de nos déplacements, nous sommes restés amants. Cest une relation purement physique mais qui nous apporte à chaque fois une excitation et des sensations folles. Le summum pour moi ayant été de faire croire à mon mari que je me masturbais en pensant à lui alors que Jean était en train de me prendre en levrette sur le lit de ma chambre dhôtel.
Je deviens une autre 1 à 2 fois par an. Jean est sur le point de déménager. Pourrais-je maintenant me passer de ces escapades sexuelles ? Je nen sais encore rien.
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