Mireille, Second Amour De Jeunesse
Je venais davoir dix-huit ans, bac avec mention très bien en poche, je partais pour deux années scolaires faire une « prépa » en province dans une ville réputée pour ses universités, sa mer à proximité, son arrière-pays et sa joie de vivre. Je sortais dune histoire damour très compliquée, il me fallait un peu de temps.
J'avais obtenu une bourse pour mes études et une chambre dans la cité U. Il fallait trouver le rythme de travail personnel, découvrir une région que je ne connaissais pas du tout, de manger au resto U . Je maccordai une virée le dimanche, j'étais invité parfois dans la famille d'un copain de longue date, j'ai appris rapidement le fonctionnement des transports en commun de cette région et en particulier les autocars. La première année s'est passée calmement, je travaillais énormément, j'ai eu quelques aventures avec des étudiantes du campus, aucune ne l'a marqué au point que je ne peux pas mettre un prénom sur mes souvenirs.
A la seconde rentrée, le dimanche soir, dans mon bus vers le campus, il y avait un groupe de jeunes filles avec des sacs de voyage mais qui descendaient un peu avant moi, un copain de la cité ma dit qu'elles étaient en pensionnat dans une école professionnelle quelques kilomètres avant la cité U, parmi elles, il y avait une belle brune qui me souriait à chaque voyage. Ayant réussi à acheter une vieille voiture, je l'ai perdue de vue ne prenant plus le bus.
J'ai eu un accident sans gravité pour moi, un peu plus pour la voiture, mobligeant à reprendre le bus le temps de la répartition. Le dimanche soir, lorsque je suis monté dedans, elle était là, nos yeux se sont croisés, on s'est souri, étant seule à sa place, j'ai été m'asseoir à côté d'elle. Elle m'a dit s'appeler Mireille, que c'était son avant-dernière année dans cette école, qu'elle venait fé faire une fête en famille pour ses dix-huit ans ; elle avait été étonnée de ne plus me voir le dimanche dans son bus depuis un certain temps et pensait que j'avait quitté la région.
Le dimanche suivant, elle m'attendait à l'endroit prévu, debout, elle était encore plus belle qu'assise dans le car, elle s'est assise puis s'est penchée pour me faire la bise et à nouveau nos bouches se sont rencontrées, on ne sest pas excusé, on s'est souri en se marrant et on s'est embrassé à nouveau, premier vrai baiser, nos bouches se sont ouvertes et nos langues se sont enlacées, elle m'a dit que ça faisait un an qu'elle n'avait pas flirté car elle pensait trop à moi, je n'ai pas pu lui dire que la réciproque était vrai, je la trouvais belle et mignonne mais je n'étais pas amoureux.
En arrivant devant son école, la voiture garée dans un coin discret, on s'est embrassé sans arrêt, j'ai pu mettre la main sur sa poitrine mais juste sur les habits. Le vendredi soir, je passais la chercher pour la raccompagner chez ses parents, du coup, on avait deux heures devant nous, elle habitait la campagne, on restait dans ma voiture, la deuxième fois, j'ai pu toucher sa poitrine en passant ma main sous la dentelle du soutien-gorge, quelle douceur de la peau, contraste saisissant avec ses tétons très durs et érigés; le dimanche en fin d'après-midi, je l'attendait à côté de la gare, dès le départ de la voiture de son père, elle quittait le quai et venait me rejoindre, nous avion à nouveau du temps devant nous. Le troisième dimanche soir, j'ai pu défaire son soutif, voir ses magnifiques seins et poser mes lèvres dessus, je ne sais pas si elle a joui mais elle a tremblé sur tout son corps.
Début juin, son école était fermée pour faire passé les examens, moi j'avais déjà passé plusieurs concours de grandes écoles et j'attendais les résultats, je pouvais aller tous les après-midi la rejoindre, j'étais de plus en plus attiré par la belle Mireille.
Le lendemain, le temps était pluvieux, j'avais amené une couverture, abrité sous son parapluie, on s'est réfugié dans la grange d'un vieil oncle, on a escaladé l'échelle et après avoir étalé la couverture on sest couché dans le foin, elle a enlevé son polo et son soutif, elle n'avait plus aucune pudeur à montrer sa poitrine, je passais du temps à embrasser toute la surface, à téter ses bouts, elle écarta les cuisses pour laisser l'accès à son minou, la culotte est partie, la jupe a suivi, qu'elle était belle entièrement nue, je mécartais pour la contempler, elle a mis les mains devant son sexe par pudeur, je lui ai dit « tu es magnifique, n'ai pas honte, montre moi », rouge de confusion, elle enleva ses mains et écarta ses cuisses, j'ai enlevé ma chemisette et mon jean, n'osant pas lui mettre mon sexe en érection sous les yeux j'ai gardé momentanément mon slip. Je me suis couché à côté d'elle, ma main a pris possession de son minou, elle mouillait beaucoup, lorsque je me suis écarté pour enlever mon slip et qu'ensuite elle a senti ma bite contre sa jambe, elle a compris que le moment était arrivé.
Le W.E., on ne se voyait pas, son père était très strict , la seule fois où je l'avais vu, il avait sorti « on connaît ça, les gars vous ne pensez qu'à sauter les filles et vous vous barrer ensuite » charmante ambiance.
Le lundi suivant, on est parti directement dans la grange, en chemin, elle m'a dit avoir tout raconté à sa mère avec qui elle était très proche, du coup, elle lui avait donné des capotes, elle lui avait dit vouloir discuter avec moi avant que son mari rentré du travail. Mireille était détendue, elle s'est laissé déshabiller sans aucune retenue, le pas franchi, elle était fière de moffrir sa nudité , je lui ai offert la mienne, elle ne m'a pas sucé mais m'a fait un petit baiser prometteur sur la verge. On s'est couché nu dans les foins, protégés par ma couverture qui ne me quittait plus, après quelques caresses, Mireille m'a demandé de venir, elle voulait voir comment cétait lorsqu'il n'y avait plus la hantise de la première, j'ai voulu aller embrasser son minou, elle a refusé préférant attendre un lieu plus confortable, je lui ai caressé son petit clito, en rougissant elle m'a dit que c'était sans comparaison nettement mieux qu' avec son doigt, on s'est regardé et on a rit, puis comme le vendredi d'avant, je me suis placé entre ses jambes, je lui ai dit de saisir mon sexe et de le guider dans son vagin, ses mains étaient douces j'ai failli partir à leur simple contact, lorsqu'elle m'a dit qu'elle pensait que cétait o.
Ensuite, on est parti voir sa mère, elle m'a offert des livres sur la sexualité pensant sans doute que j'étais encore puceau il y a quelques jours; elle comprenait sa fille, elle-même n'avait pas attendu le mariage et son mari n'avait pas été le premier; Mireille était gênée d'entendre parler sa mère de sa sexualité, elle lui avait expliqué comment ça fonctionnait mais ne lui avait jamais parlé de la sienne.
Jusqu'au vendredi, on a passé nos après-midis dans notre grange, Mireille adorait se déshabiller devant moi , en quelques jours elle était passé de la vierge pudique à la jeune femme qui aimait son corps et le sexe; le mercredi ou le jeudi, nue elle m'a dit de ne rien faire qu'elle voulait me déshabiller, je me suis laissé faire, lorsqu'elle a baissé mon bermuda et mon slip, ma verge s'est dressée devant elle, elle l'a attrapée, s'est mise à genoux devant puis a déposé ses lèvres sur mon gland, elle a levé les yeux vers moi puis à commencé me sucer, quelle sensation, doublée de savoir qu'aucune bite n'avait connu l'honneur de ses lèvres, elle et un peu maladroite les premières minutes mais en suivant mes réactions, elle a su très vite ce que j'appréciais, au moment de partir, j'ai voulu me retirer mais elle m'en a empêché, j'ai éjaculé dans sa bouche, elle a levé les yeux, a souri et a avalé. Elle n'a toujours pas voulu que jhonore son minou en l'embrassant et le léchant comme il le mérite. On a refait l'amour avant de la raccompagner. Le vendredi après qu'elle mait sucé puis qu'on ait baisé, avant de nous séparer elle ma dit qu'il y avait une grosse surprise, sa mère avait persuadé son père de passer la journée du samedi à cinquante kilomètres de chez eux pour faire les courses pour l'été, elle rajouta qu'elle m'attendait pour le repas du midi que sa mère nous avait préparé.
Lorsque je suis arrivé, les rideaux étaient tirés la lumière tamisée, la table pour deux était dressés, tout respirait l'amour qui se dégageait d'elle, elle avait une robe légère avec visiblement rien dessous, en quelques jours, une vraie femme était née. Après le repas excellent, elle m'a pris par la main jusqu'à sa chambre, elle m'a demandé de me déshabiller devant elle puis a enlevé sa robe, effectivement elle navait rien d'autre comme vêtements, elle s'est couchée sur le lit, jambes ouvertes en me disant « maintenant c'est confortable, tu fais de moi ce que tu veux ».
Je me suis couché sur elle, le lai embrassé, je suis descendu, m'arrêtant sur ses seins, chaque fois que je les caressais ou les embrassais je la sentais vibrer, je suis passé sur son ventre, elle était sur les nerfs, l'attente se prolongeait, enfin, ma bouche s'est posée sur son minou, elle l'avait soigné, c'était bien taillé de chaque côté des lèvres, (le ticket de métro ou l'intégrale n'étaient pas en vigueur, on coupait ce qui dépassait du maillot en été , l'hiver les femmes laissaient la broussaille) j'ai embrassé l'intérieur des cuisses, elle les ouvrait le plus possible, puis ma bouche s'est collée sur son sexe , ma langue est passée entre les petites lèvres, Mireille avait ses mains appuyées sur mon crâne, lorsqu'elle a touché le clitoris, elle a joui instantanément, elle soffrait complètement, je découvrais cette magnifique chose qui nous avait déjà apporté tant de bonheur, j'ai aspiré, sucé, embrassé, ma langue a pénétré l'entrée du vagin encore intact il y a peu, j'ai mis ses jambes sur mes épaules, j'ai replongé dans son puits, elle criait, je ne voulais pas m'arrêter, j'avais soif d'elle, son lubrifiant avait un goût à faire bander un curé ou un eunuque. Enfin, j'ai réussi m'en arracher, je suis remonté vers son visage, le mien ruisselant de son bonheur, je suis rentré d'un coup jusqu'au fond, elle ma serré des bras et des jambes, m'a demandé de rester comme ça quelques instants, on sest dit des mots, ceux qu'on dit dans des moments pareils et dont on se souvient plus de cinquante ans plus tard, , elle a relâché son étreinte on a commencé à coïter, ce n'était plus là jeune fille inexpérimentée mais une femme qui se donnait à son partenaire et recevait tout de lui, son sexe venait à la rencontre du mien, ses fesses revenaient sur le lit lorsque je reculais, elle l'a dit « viens, accélère » j'ai accéléré et je suis venu, encore un orgasme simultané, nous avons eu des instants en osmose parfaite.
Elle m'a sucé aussitôt voulant, disait-elle goûter mon sexe ramolli et plein de nos amours, elle a si bien goûté qu'il se redressa rapidement, elle me chevaucha, le prit en main puis descendit dessus, elle mit sa main sur son clito et me demanda de venir l'aider, notre premier concerto à deux mains pour minou et quéquette; elle rayonnait, si son papa savait ce que sa fifille était en train de faire
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Après ses règles, elle ma dit qu'elle prenait la pilule avec l'accord de sa mère mais en secret de son père
Les jours passaient, j'aurais pu repartir chez mes parents, je retardais mon départ, je n'osais pas lui dire que j'étais reçu dans une grande école d'ingénieurs située à plus de mille kilomètres de chez elle. Un lundi, je lui ai dit que je devais partir le dimanche suivant, ce fut un coup de tonnerre pour elle, j'ai cru qu'elle allait sévanouir, elle pleurait, s'accrochait à mon cou me disait qu'elle ne pouvait pas vivre loin de moi. Sa mère compréhensible partait les après-midi pour nous laisser sa maison, elle voyait l'état de Mireille.
Le dernier samedi est arrivé, je l'ai invitée au restaurant puis à passer notre dernière nuit à l'hôtel, sa mère complice avait dit au père qu'elle partait jusqu'au dimanche chez une copine fêter la fin de l'année scolaire. Avant de me dire au revoir, sa mère ma donné une lettre pour mes parents leur disant que j'étais le bienvenu chez eux et qu'elle me recevrait quand je le voulait, lorsqu'elle m'a fait la bise, elle était très émue.
Mireille a choisi un resto rapide, préférant passer le maximum de temps dans la chambre avec moi. Elle s'est déshabillée lentement mimant un striptease, lorsqu'elle jeta sa petite culotte à mes pieds, j'ai vu qu'elle avait rasé son minou en entier, elle a dit qu'elle ne voulait rien me cacher, elle soffrait totalement. Je lai couchée sur le lit, a écarté ses cuisses, j'ai embrassé son abricot tout lisse, pour moi les sensations étaient nouvelles, pour Mireille aussi, au premier coup de langue sur son clito, elle a eu son premier orgasme de la soirée, j'ai continué à honorer sa belle chatte, je me suis tournée sur elle, elle a aussitôt honoré mon pieu, je crois que c'est notre 69 le plus réussi depuis qu'on le pratiquait.. On s'est remis côte à côte, elle m'a susurré « je ne t'ai pas tout donné, viens finir de me dépuceler »
Elle s'est mise à quatre pattes sur le lit, il y avait préméditation , un tube de gel était posé sur le lit, elle avait les jambes entrouvertes, la tête calée entre ses bras sur le lit, j'ai caressé ses fesses, son épilation était intégrale, j'ai embrassé ses fesses, sa raie, je suis arrivé à la petite étoile, ma langue a donné un coup rapide, Mireille a sursauté, j'ai écarté ses fesses encore plus pour lécher sa rondelle le mieux possible, moi doigt est rentré en action, recouvert de lubrifiant, il s'est introduit peu à peu , javais un doigt dans son cul , un autre dans son vagin, ils semblaient de toucher à travers la fine séparation. Je lui ai demandé si elle était prête, j'ai entendu un « vas-y », j'ai mis une bonne couche de gel sur mon gland, j'ai commencé à l'introduire, lorsqu'il fut rentré, j'ai stoppé mon avancée, j'ai demandé à Mireille si ça allait , elle ma dit de continuer, deux centimètres en avant, un en arrière, je lui ai dit de pousser vers moi lorsqu'elle sentirait que javançais, après beaucoup de patience, j'ai senti que jétais entièrement dans son cul, c'était serré un max, je n'allais pas tenir longtemps, après quelques allers-retours, je me suis déversé en elle, c'était une des rares fois où elle na pas joui en même temps que moi. Elle s'est étalée sur le lit, j'ai suivi le mouvement toujours planté en elle. Je lui ai embrassé le cou, elle a tourné la tête pour coller ses lèvres aux miennes. Je me suis dégagé pour la prendre dans mes bras, je lui ai dit « je t'aime », elle m'a dit « je suis heureuse et malheureuse, heureuse d'être avec toi, heureuse de t'avoir tout donné, en quelques semaines tu as fait de moi une vraie femme, plus femme que certaines femmes mariées, je ne sais pas ce que demain sera fait, et c'est pour ça que je suis malheureuse.
Après une bonne douche, on s'est endormi, c'est sa bouche sur mon sexe qui m'a réveillé quelques heures plus tard, on a refait l'amour. Le matin, cest elle qui m'a chevauché et s'est emparée sur ma queue, après avoir joui, elle est resté sur moi , à loreille elle m'a dit « j'ai quelque chose de très important et grave à te dire, cest la première fois que je prends la pilule , cette semaine, je lai oubliée deux fois, jespère que ça ne portera pas à conséquence, jai bien réfléchi, si je suis enceinte, je le garderais, je ne te l'imposerais pas, depuis qu'on a fait l'amour ai envie davoir un avec toi » moi : « et tes parents ? » « ma mère s'en occupera le temps de mes études, je la connais, mon père se mettra en colère, il dira comme d'habitude que les jeunes ne pensent qu'à baiser leurs copines, je suis sa fille unique, il m'aime et s'y fera , il doit bien se douter qu'on couche ensemble, il n'est pas abruti » « évidemment, tu me tiens informé , si tu es enceinte, j'assurerais, pas facile, j'ai encore trois ans d'études mais je t'aime, alors, le reste ne compte pas ».
Il a fallu se préparer, je l'ai menée à la gare, il fallait donner le change pour son père, nos adresses étaient notées, les au revoir furent très durs, il fallait que je passe à la cité U récupérer mes affaires et le copain qui faisait la route avec moi, d'ailleurs , il a conduit presque tout le temps.
J'avais des lettres tous les jours, j'en envoyais un peu moins souvent, daprès mes calculs, la plus importante devait arriver prochainement, lorsque je l'ai ouverte, la première phrase était « jai eu mes règles, fini, je n'aurais pas un bébé de toi, tu vas m'oublier, je t'aime » le reste n'était que des mots d'amour. Je lui ai répondu lui disant que ce n'était que partie remise, qu'on s'aimait suffisamment pour tenir. Le coup.
J'ai continué mes études, je ne suis jamais allé la voir, quelques mois plus tard, je lui ai envoyé une lettre de rupture, c'était trop compliqué pour moi, je l'ai aimé sincèrement mais je ne voyais pas comment faire, j'ai essayé de lui expliquer, pas facile de dire « je t'aime et je te quitte » dans la même phrase. Plus de cinquante ans plus tard, elle est toujours là mais ne le sait pas.
Au printemps suivant j'ai croisé une jeune fille ou jeune femme, je ne savais pas alors que c'était ma future femme.
J'ai écrit à la mère de Mireille pour savoir comment elle allait, les premiers mois ont été un vrai cauchemar, avec ses cours, elle occupée; quelques années plus tard sa mère m'a envoyé son faire-part de mariage, en post- criptum sa mère avait marqué de sa main « je te préférais ». Aujourd'hui elle doit être grand-mère ou peut-être arrière-grand-mère , mais dans ma tête, elle a toujours dix-huit ans. Ça aurait pu, ça n'a pas pu. Ainsi va la vie. Me suis-je mal conduit ? J'espère qu'elle ne m'en a pas trop voulu, j'aimerais la croiser pour parler de nos vie, un brin nostalgique le monsieur.
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