Nu Trop Loin 11/17
-- ATTENTION HISTOIRE POUR LECTEURS AVERTIS --
« Je trouvais ça encore plus gênant que dêtre découvert par des passants ..
»
- Lui : enfin te voilà ! on aurait cru que tu avais peur de courir mais tu vois, tu y es arrivé, tétais marrant à regarder de loin
- Moi (essoufflé et essayant de retirer les gravillons fichés dans les talons et les plantes de pieds) :
Son téléphone portable sonna. Il décroche. « Alors tes où ? Tu viens ou tu viens pas ?
.. oui, il est là devant moi ce connard, dépêche-toi si tu veux en profiter aussi
. oui, vachement marrant
allez viens dépêche-toi
.. non, tu entres sur le parking par lallée où il y a des peupliers tu sais et après les buissons
.. mais attends, je vais te lenvoyer comme ça tu verras vite où cest
. Ok, à tout de suite »
- Lui : tu vas y aller, ce serait bien quil te trouve
.. tu retournes à la bagnole et tu vas jusquà la grille ouverte là-bas et tu lattends, tu me le ramènes ici..
mais dépêche-toi un peu
allez zou ! ! !
Et me revoilà à traverser ce parking mais en marchant cette fois
les pieds ne me font pas moins mal
.. mais à peine ai-je débuté le trajet que jentends un pas de course derrière moi et je reçois immédiatement après un coup magistral dans les fesses qui me déstabilise et me fait tomber sur le bitume. « Dépêche-toi jai dit ! » crie-t-il avec rage. Je suis par terre, éraflé aux genoux et au niveau du côté gauche du bassin
.. des gravillons se sont incrustés dans les éraflures qui me démangent sérieusement. Japproche une main pour les retirer grâce à un simple frottement mais très vite il men empêche avec un pied
. Il appuie avec une basket sur mon bras et comprenant sa force par cette pression facile, il insiste fortement en faisant tourner la semelle sur la peau comme sil écrasait un mégot. Je reste stoïque mais ça ne le désarme pas et il promène cette semelle en remontant le bras jusquau cou puis redescend sur le torse en laissant des traces sur la peau partout où il peut accéder.
Quand va-t-il sarrêter de samuser en poussant de grands soupirs à chaque fois quil mextorque une douleur irradiante ? Il parvient parfois à bloquer une glande et à la presser jusquà ce quelle cède et roule sous son pied maladroit. Je ne sais plus comment supporter ce supplice et tente de me reculer quitte à frotter durement mes fesses sur le goudron mais il matt à la nuque avec une main sûre et tout en me retenant avec fermeté il pose en entier sa basket sur mon chibre qui dressé au dessus du ventre le provoque avec indécence. Le pied devient mordant et acide tant le caoutchouc accroche la peau si fine du membre. Mon maître exulte devant tant de perspicacité et de trouvaille de sa part car il a sous ses yeux le résultat vivant de son imagination. Il découvre sa capacité à nuire et semble en jouir pleinement, sans limite. Il recommence son jeu de sket mais se concentre sur la hampe bandée comme un arc. Avec son pied il la soulève et la laisse retomber de tout son poids vers le nombril. Il tente plusieurs fois de la loger entre les cuisses et doit saider dune main après sêtre baissé pour la forcer complètement puis il la relâche dun coup et observe en rigolant le retour à une position plus anatomique.
Une bagnole arrive et je dois dare-dare aller à sa rencontre
« ce ne peut être que lui » dit-il !
Cest chancelant que je me dirige vers les deux phares qui pointent désormais sur moi. Par les fenêtres ouvertes de la voiture jentends sapprocher de moi lair envoûtant de Kashmir de Led Zeppelin.
Le second mec est arrivé et s'est vraiment bidonné, ils m'ont fait danser après avoir accroché un truc à la bite et après m'ont amené en foret dans de la boue.
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